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La femme de mon prof d’Espagnol en veut plus

La femme de mon prof d’Espagnol en veut plus



Cette histoire est la suite de :

Après avoir passé une nuit sublime avec Clémentine, la femme de mon professeur d’Espagnol, je repris les cours avec ce dernier comme si rien ne c’était passé. J’en étais arrivé à la conclusion que cette histoire n’était que pour une seule nuit et que ce couple était passé à autre chose.

Un vendredi, je reçu un message de mon prof me demandant de venir dans une heure plutôt que le lendemain. N’ayant rien à faire d’intéressant, je m’y rendis. Arrivé devant chez lui, je sonnais à la porte, c’est Clémentine qui m’ouvrit à ma grande surprise car elle n’était d’habitude jamais présente pour nos cours. Après m’avoir fait rentrer, je m’assis sur le canapé. Elle me proposa alors un café que j’acceptais avec plaisir.

– En fait, je dois t’avouer quelque chose.

Me dit-elle en revenant avec les tasses de café.

– Quoi donc ?

– En réalité, mon mari ne va pas te donner de cours aujourd’hui.

– Il a un empêchement ?

– Pas tout à fait.

Elle me dit cela avec un sourire coquin qui la rendait encore plus belle qu’elle ne l’était déjà.

– En réalité, je lui ai demandé de t’envoyer ce message pour t’avoir pour moi toute seule durant quelques heures.

Je commençais déjà à me sentir à l’étroit dans mon caleçon.

– Avec mon époux, on a un nouveau fantasme, celle que je passe la nuit avec deux hommes en même temps.

– Donc si je comprends bien, tu me veux pour toi toute seule jusqu’à l’arrivé de ton mari ?

– Voilà, tu es d’accord pour pour un plan à 3 ?

– Bien sur ! Dis-je fou d’excitation.

Contente de ma réponse, elle mit de la musique et me proposa de danser. On s’installa au centre du salon, puis je la prise dans mes bras. Très vite, nous nous laissons emporter par la musique. Nos regards se croisent, des sourires se font. Le jeu de séduction est mis en place.

Je l’embrasse sur la commissure des lèvres. Je sentis son regard envoûtant se poser sur moi. Puis, sa bouche s’approcha de la mienne pour y déposer un tendre baiser des plus agréable, nos bouches s’ouvraient pour laisser passer nos langues. Le baiser était devenu langoureux. Tout en continuant à m’embrasser, ses mains étaient devenues baladeuses, elle me caressait le torse au dessus de ma chemise.

Elle m’embrassait goulûment tout en déboutonnant ma chemise pour laisser apparaître mon torse, ses mains me caressaient le torse puis sa bouche remplaça ses douces mains qui me caressaient les jambes tout en évitant mon sexe. Sa langue titillait mes tétons, la sensation était très agréable.

– Fais moi un strip tease !

Sa demande sonnait comme un ordre. Du coup, ma main droite défit ma ceinture sans difficulté et les pressions de mon jeans sautèrent une par une. Alors que je faisais durer le moment le plus possible, elle se caressait tout en ne lâchant pas du regard mon boxer.

– Tu veux voir ma bite ? Lui demandais-je.

– Ouiiiii !

– Plus fort, je veux t’entendre le dire !

– Je veux voir ta queue.

– Et tu veux que je te fasse quoi avec ?

– Que tu me prennes, que tu me défonces bien fort !

– C’est vraiment ça que tu veux ?

– Oui ! Je veux être le vide couille d’un ptit jeune !

– Celle de ton mari ne te suffis pas ?

– Non car je suis une véritable salope qui te fais bander à mort !

Elle avait entièrement raison, à ces mots, je baissais mon caleçon, libérant enfin mon pénis devant le visage de Clémentine qui la dévorait du regarde. Elle la saisit avec sa main droite et me branla doucement, mon sexe gonfla un peu plus sous sa main. Sa langue commençait à tourner autour de mon gland puis sa bouche l’avala entièrement, elle faisait des petits mouvements de va-et-vient pendant que sa main me malaxait mes testicules. Ensuite, elle avalait complément ma bite et me suçait d’une façon divine, elle ressortait de temps en temps pour qu’elle puisse me lécher la hampe et mes couilles.

– Je ne peux plus attendre !

– Tu me veux en toi ?

– Oh oui, sodomise moi !

Je n’en croyais pas mes oreilles.

– Quoi ?

– Tu as bien entendu ! Alors prends moi tout de suite et n’hésite pas à y aller, j’ai l’habitude avec mon mari.

Elle se plaça contre le divan, les jambes bien écartées et le cul relevé. Je n’eus aucun mal à avoir accès à son anus. Ma langue vint titiller son petit trou que je léchais avec gourmandise, tandis que ma main continuait à la branler en douceur. Je la dévorais littéralement, ma langue s’insinuait dans son petit trou avec envie. Je la sentais prête à recevoir mon pénis bien raide. Avant de la pénétrer, elle me donna une capote. Après l’avoir enfilé, je m’approchais enfin de son trou pour coller mon gland contre son anus. Je n’eus pas besoin de forcer pour rentrer en elle, mon sexe était comme attiré au plus profond d’elle. Je ressortis avant de la pénétrer d’un coup sec comme elle me l’avait demandé.

Je lui donnais maintenant de grand coups en y allant bien à fond. Ce n’était pas la première fois que je sodomisé une femme mais le simple fait de me dire que j’étais entrain de pratiquer cela sur une femme qui avait le double de mon âge m’excitais terriblement. Après quelques minutes de traitement, je sentis la sève monter en moi, je me retirais alors de son petit trou, elle m’enleva la capote afin de me branler au dessus de ses sa magnifique poitrine. Je lâchais alors de puissant jet des foutre sur ses seins. Elle se releva pour venir m’embrasser avant qu’on ne parte vers sa salle de bain.

Après une bonne douche réparatrice, on s’allongea sur son canapé, toujours nue, attendant le retour de son mari pour le second round. Une petite demie-heure plus tard, il fit enfin son retour. Arrivé dans son salon, il put voir sa femme entrain de me faire une douce fellation.

– Eh bien, je vois que j’arrive au bon moment. Dit-il tout en se déshabillant.

Après nous avoir sucés et branlés respectivement, j’allongeais Clémentine sur le dos pour pouvoir lui dévorer la chatte. Pendant ce temps, elle continuait sa fellation sur son mari. Je levais les yeux de temps à autre, je pus alors la voir prendre plus de plaisir que jamais, mais je remarquais surtout qu’elle me cherchait sans cesse du regard. Son mari était alors son objet sexuel pendant qu’elle faisait l’amour avec moi. On finit ensuite par la faire changer de position pour adopter celle de la levrette.

– Reprends moi par le cul ! Me dit-elle tout en se positionnant.

– Il t’a déjà sodomisé ? Lui demanda son mari.

– Oh oui !

– Et tu as aimé avoir une autre queue que la mienne dans ton cul ?

– C’était génial, tu vas voir !

Pendant que Clémentine reprit son mari en bouche, je profitais de toute la mouille qu’elle produisait pour en récupérer un peu sur mon index avant de le lui introduire doucement dans l’anus. Après un nouvel orgasme, je lui introduis alors un second doigt. Puis, je me retirais de sa chatte afin de lui introduire de nouveau mon sexe dans son petit cul, de façon très délicate. Après quelques minutes, voilà mon sexe entièrement absorbé ! J’accélérais alors les mouvements tout en lui caressant son clito dans le même temps.

– Prenez moi tous les deux en même temps !

– Je veux t’entendre le dire plus fort nous ma puce.

– Je veux vos deux grosses bites en moi !!!

L’excitation était à son comble ! Avant d’accéder à sa demande, Clémentine nous jeta un petit regard des plus coquin et approcha nos deux queues qu’elle se mise à lécher à tour de rôle en donnant des petits coups de langues furtifs. Puis elle ouvrit grand sa bouche et fit pénétrer nos deux sexes afin de nous lécher tous deux en même temps.

Ensuite, j’embrassais sa nuque avec tendresse tandis qu’elle fit s’allonger son mari pour s’empaler dessus. Je mouillais son entrée au maximum avant de poser mon pénis sur son cul en l’enfonçant à peine. Elle commençait à geindre en ayant ma queue dans son cul. Très vite, elle provoqua elle même les mouvements d’aller et venue. Ainsi, lorsque mon pénis entrait dans son cul, celle de mon prof d’Espagnol sortait de son autre trou. Ce n’était plus de simple gémissements, elle criait son plaisir comme jamais je n’avais entendu une femme le faire.

– Je vais bientôt arriver. Leur dis-je.

– On va finir sur sa poitrine ! Me dit mon prof.

Du coup, on cessa cette double pénétration, elle me retira le préservatif pour nous branler tous les deux. Au bout de quelques secondes, on finit presque en même temps. Elle en avait absolument partout et semblait très heureuse ainsi. On partit ensuite tous les trois prendre une douche. A l’intérieur, je commençais de nouveau à la caresser de partout histoire de remettre ça mais elle me repoussa.

– Désolé mais vaut mieux attendre, j’ai besoin de toi en pleine forme cette nuit.

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