C’était un soir à la sortie du boulot.
Depuis son arrivée, elle lui avait tapé dans l’œil : belle femme, élégante et naturelle.
Il s’était naturellement rapproché en lui proposant de déjeuner ensemble, en ne manquant jamais une occasion professionnelle pour venir lui faire un brin de causette
tantôt sur un aire sérieux et professionnel, tantôt sur un air léger et plaisantin.
Ce soir là, c’est elle qui lui proposa : « tu fais quoi ce soir ? »
Son cœur se mis à battre, conscient de l’opportunité : « rien de spécial »
« Viens boire un verre à la maison », lança-t’elle.
Et c’est comme ça qu’il se retrouva dans un appartement Parisien années 30 au dernier étage du côté de Daumesnil.
Elle avait un fauteuil avec accoudoirs dans lequel il s’assit en lâchant un « wahoh » tellement l’assise était basse. Coincé dans le fauteuil : « il est super confortable
ton fauteuil ».
« Qu’est-ce que tu bois ? » demanda t’elle ?
« Si tu as un martini blanc avec un glaçon, ça me plairait bien! » répondit-il sans hésitation.
Elle alla ouvrir une armoire où se cachaient les bouteilles, remplit un verre puis un second.
Il la matait de dos : ses formes l’excitait. Elle avait une taille de guêpe, des fesses bien rondes et rebondies. En son fort intérieur, défilaient des images d’un
levrette qu’il se serait bien offert avec elle.
« Tiens, fit-elle.
– merci.
– peux-tu me tenir mon verre pendant que je vais cherche de la glace ?
– bien sûr. »
A peine avait-elle le dos tourné, qu’il se replongeait dans cet état de détente, semi conscient dans lequel ses pensées érotique se mélangeaient avec la réalité.
Il était encore dans ses rêves quand dans l’encadrement de la porte, il la vit revenir en peignoir en satin noir avec un verre et des glaçons.
Son rythme cardiaque s’accélérait.
Elle se planta devant lui, le peignoir entre ouvert, il ne put s’empêcher de jeter un coup d’œil voyeur.
Alors qu’il allait lui redonner son verre en tentant de se relever, elle le repoussa et s’avançant vers lui encore plus.
Elle ouvrit son peignoir, elle était habillée en bas, corset noir faisant ressortir la forme de ses seins.
« Lèche! » lui ordonna t’elle en planquant sa culotte de dentelle sur sa bouche.
Comme il ne pouvait lâcher les verres, pris au piège, il s’exécuta non sans bouder son plaisir : sa langue tendue, il tentait de pénétrer sa chatte qu’il sentait
humide derrière la dentelle.
Elle lui pris la tête à deux mains : »bouffe moi le minou ! ».
Il sentait sa queue se raidir : il n’aurait jamais imaginé que sa collègue aussi dominatrice.
Elle arracha écarta d’une main sa culotte pour qu’il puisse fourrer sa langue plus profond.
Son jus lui coulait sur la langue dans des gémissements qui trahissaient une jouissance profonde.
Elle se détacha de lui, se retourna, baissant sa culotte, il lui offrait un spectacle qui rigidifiait sa queue : son cul ouvert, prêt à être défoncé…
Elle fit un pas en arrière pour coller son cul sur sa bouche.
« Lèche moi le cul, je veux me sentir ouverte grâce à tes coups de langue ».
Il se remit de plus belle à la lécher alors qu’elle appuyait sur son visage esquissant un mouvement de va et vient.
Puis elle se cambra pour qu’il ne puisse plus que lui lécher la rondelle.
Il ne s’arrêta pas alternant une langue plate et généreuse avec une langue pointue et dure qui la pénétrait.
Son jus coulait le long de ses cuisses, il ne pouvait plus tenir : il aurait aimé se lever et la prendre.
Mais elle ne l’entendait pas comme ça.
Elle se redressa, et faisant face à lui, elle se caressa les seins, la chatte comme pour mieux finir ce qu’il avait commencé.
Elle s’avança vers lui, mettant sa main sur cette boursouflure de son pantalon.
« Tu aimes n’est-ce pas? » minauda t’elle en le dévorant du regard.
La question n’appelant pas vraiment de réponse, elle lui défit sa ceinture, descendit sa braguette et lui ôta son pantalon.
Elle s’assit sur cette boursouflure dos à lui et se trémoussait comme pour tenter de faire rentrer sa queue dans son cul.
Cette masturbation renforçait son érection.
Elle sortit son sexe de son slip pour qu’il puisse être aligné avec la raie de sa chatte et de son cul. Elle continuait de se trémousser dans un mouvement masturbatoire plaisant.
A suivre…
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