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DE L’AIDE POUR MA VOISINE

DE L’AIDE POUR MA VOISINE



C’était un samedi matin, je sortais de l’appartement. Il était environ 10h30. J’allais ouvrir la porte du hall d’entrée quand j’apercevais la voisine du 3ème dans le hall avec trois cartons à ses pieds. Je connaissais cette dame depuis de nombreuses années mais nos horaires professionnels ne nous permettaient que très rarement de nous croiser. Il m’arrive de la saluer le matin lorsqu’elle part au travail. Ses tenues sont toujours irréprochable généralement jupe tailleur, coiffure ajustée au millimètre. La bourgeoise du quartier finalement. Hors ce matin, je restais perplexe en la voyant dans le hall vêtue d’un simple peignoir. Je la saluais et devinant son désarroi, je lui proposais de l’aide.

-Vous êtes adorable monsieur. Effectivement je suis bien embêtée avec ces cartons que m’a livré le facteur. Ils ne sont pas bien lourds mais encombrants ! Il n’y a que des vêtements a l’intérieur . Vous voulez bien m’aider à les monter chez moi ?

-Avec plaisir, répondis-je tout en l’observant discrètement.

Cheveux en chignon, pas de bijou, pas de maquillage, c’était une autre personne que j’avais en face de moi. Et ce peignoir blanc qui m’intriguait à l’idée qu’elle ne portait sans doute rien dessous.

-Tenez, me dit la voisine en soulevant un premier carton, prenez celui-ci.

Je reprenais mes esprits tandis qu’elle se relevait pour me tendre le colis. L’échancrure du peignoir attirait instantanément mon regard. Je devinais une poitrine généreuse.
Ma voisine vit parfaitement ce que je regardais mais ne parut pas du tout offusquée.

-Depuis le temps que l’on est voisin, on pourrait s’appeler par nos prénoms ?
Cela ne vous gêne pas j’espère. Moi c’est Hélène et vous ?

-Pascal. Enchanté Hélène. Donnez-moi le deuxième colis, ils sont légers effectivement .

– C’est super ; je prends le troisième et nous n’aurons pas à redescendre !

Elle saisit ensuite le dernier colis puis se dirigea vers l’ascenseur. Celui-ci était assez exigu et nos colis n’arrangeaient rien à la situation. Il fallait que je pose les miens au sol pour laisser entrer Hélène. J’étais calé au fond de la cabine, dos contre la paroi. Hélène tenait son colis des deux mains. Face à la porte, elle se recula pour laisser celle-ci se refermer. Elle se trouvait à présent contre moi. Ses cheveux frôlaient mon visage. L’ascenseur se mit en mouvement. La saccade de départ provoqua un mouvement de nos corps. Je sentais l’érection poindre malgré moi. J’étais d’autant plus troublé que je n’avais pas pris la peine de mettre un sous-vêtement sous mon jogging après avoir pris ma douche juste avant de sortir. Troisième étage, la porte s’ouvrait.

Hélène m’introduisait dans son appartement. l’endroit était très agréable. Il s’en dégageait un calme rassurant. Une musique de fond complétait ce sentiment.

-Posez les colis ici, me dit Hélène qui s’était déjà débarrassé du sien.
Merci encore pour le coup de main, c’est vraiment très gentil de votre part. Et puis c’est agréable de se faire aider par un bel homme comme vous ! Je vous offre quelque chose à boire Pascal ? Un café, un thé ?

– C’est gentil mais je ne voudrais pas abuser, m’entendais-je répondre brûlant d’envie de rester encore un peu avec elle. Sa remarque me concernant avait attisé ma curiosité. Quelle jeu jouait-elle avec moi ?

-Au contraire, je suis vraiment contente de ce début de journée, elle ne pouvait mieux commencer ! Asseyez-vous, je reviens.

J’obtempérais le coeur battant la chamade. Me voici donc chez cette femme qui ne m’avais jamais laissé indifférent et j’avais au fond de moi envie qu’il se passe quelque chose.
Hélène revint quelques instants plus tard avec des petites friandises qu’elle posa sur la table du salon. Je profitais une nouvelle fois du fait que Hélène soit occupée pour détailler son physique. je pouvais deviner le galbe de ses hanches. Elles étaient à elles seules une invitation à la volupté.

Hélène s’asseyait face à moi.
Elle fit le service du thé . Le cordon de sa robe de chambre s’était desserré.
Était-ce intentionnel ou pas ? Ses cuisses étaient offertes à mes yeux sans qu’elle ne cherche à les dissimuler. Nos propos sur le voisinage n’avaient aucun intérêt. Heureusement que j’étais assis car une érection déformait le haut de mon jogging.
Hélène débarrassait les tasses.
Elle ouvrit un des colis semblant vérifier la commande.

-Vous pourriez me dire ce que vous pensez des articles que je viens d’acheter ?

-Oui pourquoi pas ?

Elle brandissait un petit paquet. Je suffoquais en découvrant ce que Hélène sortait de l’emballage
-J’aimerais savoir ce que vous en pensez , me dit-elle en dépliant un superbe body en dentelle blanche.

J’étais complètement déstabilisé mais je trouvais quand même une réponse sans équivoque sur mes pensées.
– Ce body est magnifique mais il doit l’être encore plus sur vous.

-Vous êtes trop charmant Pascal, nous allons le vérifier de suite ! Me dit-elle en disparaissant dans la salle de bain. Je restais interdit devant la situation.
Quelques instants plus tard, elle réapparaissait.
Je restais sans voix.

Le body très échancré aux hanches et à la poitrine ne dissimulait quasiment rien de ses formes. Sa poitrine était resplendissante . Mon regard se posait sur ses jambes pour remonter vers le triangle de soie blanche sous lequel je devinais sans peine un petit triangle foncé. Elle observait la direction de mes yeux avec un sourire qui en disait long. Mon rythme cardiaque s’était accéléré de façon incontrôlé.
Elle tourna lentement sur elle-même en avançant.
Le dos était entièrement dénudé ainsi que les fesses entre lesquelles disparaissait la dentelle blanche.

Le galbe des seins ainsi que le mont de vénus étaient encore plus remarquables de profil.
– Alors Pascal qu’en pensez-vous ? me demanda-t-elle en se positionnant face à moi.

-Vous êtes resplendissante, lui répondis-je en posant la main sur sa hanche. Je faisais semblant d’apprécier la matière laissant ma main aller vers le ventre.

-C’est si doux ! lui dis-je tandis que ma main s’était aventurée sur l’entrejambe et massait à présent le mont de Vénus à travers la soie. Je sentais sous mes doigts le galbe de son sexe. J’imprimais un léger mouvement circulaire qui fit soupirer Hélène.
Je ne pouvais expliquer mon geste mais il était trop tard. Hélène s’était encore approchée de moi et caressait mes cheveux. La mienne glissait alors sous le triangle de soie, flattant le petit buisson brun, cajolait la vulve gonflée. Recourbant légèrement mon index, Je trouvais sans peine le sillon trempé de plaisir et remontait vers le petit noeud de chair dressé . Mon autre main glissait entre ses fesses et trouvais rapidement la fermeture de l’entrejambe libérant ainsi l’intimité d’Hélène. Sa toison était minimaliste ne cachant rien de ses lèvres complètement épilée. Je glissais un doigt plus loin, le ressortait luisant de plaisir pour le goûter. C’en était trop pour Hélène qui plaqua alors mon visage entre ses cuisses. Tout s’accélérait.

Je plongeais ma langue entre ses lèvres. Son clito dressé se retrouvait prisonnier entre mes dents. Je le torturais en le mordillant, en l’agaçant de la pointe de la langue tandis que mes doigts fouillaient sa chatte détrempée. Hélène faisait onduler son bassin sur ma bouche de bas en haut, les deux mains plaquées sur mon crâne comme si elle voulait que ma langue entre encore plus loin en elle.

Tout allait très vite car il était évident que nous brûlions d’envie de passer à l’action depuis que nous nous étions rencontrés dans le hall. Hélène me poussait dans le sofa. Elle se mit à califourchon sur moi, bloquant de nouveau mon visage entre ses cuisses. Je fouillais de plus belle sa chatte détrempée en agrippant ses hanches de chaque main, explorait tous les replis de sa vulve, léchait longuement l’ouverture en y introduisant le bout de la langue. Hélène ne dissimulait pas son plaisir. Elle gémissait en remuant le bassin, le souffle court, les mains plaquées au mur, écartant largement les cuisses afin de s’offrir au mieux à ma langue affamée.
-Continue c’est tellement bon !

Se cambrant vers l’arrière, elle me massait l’entrejambe à travers mon pantalon. Elle pressait mes bourses puis remontait sur ma queue lentement. Je n’en pouvais plus. Je manifestais mon envie en donnant aussi des coups de reins. Hélène me torturait tandis qu’elle continuait à faire onduler son bassin sur ma bouche. J’étais dans un état d’excitation incroyable.
Soudain, Hélène me libérait et se jetait au bas du sofa. Elle arracha mon jogging et se rua sur ma queue.

Je bandais tellement fort qu’elle me faisait souffrir. J’étais vautre sur le sofa, les cuisses écartées. Hélène étais déjà à genoux et tenait l’objet de ses intentions de la main droite. Son visage était à quelques centimètres de ma queue. Elle me décalotta alors doucement, observant attentivement le gland apparaître.
Elle renouvela le mouvement plusieurs fois très lentement. Elle jouait avec mon sexe, me torturait mentalement. Les yeux fermés, je poussais de petits gémissement de plaisir et de souffrance.
J’ouvrais à nouveau les yeux, croisais le regard gourmand d’Hélène qui me léchait le gland du bout de la langue. Son regard était félin. elle jouait maintenant à en faire le tour doucement puis revenait se poser sur le bout pour le titiller en le suçant. Une main enveloppait les testicules et les massaient délicieusement. C’était insupportable, à la limite de la torture mais tellement bon !
Soudainement sa bouche enveloppait ma queue dressée. Je sentais la douceur de sa langue glisser tout le long de celle-ci .
Je poussais un râle de libération. Ma queue se retrouvait prisonnière d’un fourreau chaud et soyeux. La bouche d’Hélène coulissait parfaitement tandis qu’elle me caressait les testicules avec sa main gauche.

Hélène se redressait et emprisonnait ma queue entre ses seins. Je n’avais même pas remarqué qu’elle avait fait disparaître le body.
Elle me masturbait délicieusement en pressant ses seins autour de mon sexe tandis que sa bouche gobait mon gland à chaque montée.
J’avais perdu la notion du temps.
C’était si bon ! Hélène était une déesse de l’amour.
Elle se relevait et me disait:
-Attends je reviens. J’étais complètement sonné.

A peine remis, je voyais Hélène revenir vêtue d’un string et d’un soutien-gorge de couleur noire.
Elle avait également enfilé des bas tenus par un porte-jarretelles noir.
– Que penses-tu de ces vêtements, me dit Hélène me faisant signe de la suivre dans la cuisine.

Je prenais cette fois l’initiative en la plaquant contre le plan de travail. Je la soulevais par les fesses et l’asseyait tout en l’embrassant. Ma bouche descendait sur sa poitrine. Je dégrafais le soutien-gorge et mordait ses seins tandis que ma main gauche descendait entre ses cuisses. Elle glissait sous le petit triangle de soie. Mon index et mon majeur exploraient sa chatte.
Je la pénétrais ainsi quelques instants, mes doigts dégoulinants de plaisir. Hélène reprenait en main ma queue et me branlait lentement en soupirant.
Mes doigts laissaient place à ma langue tandis que je m’agenouillait entre ses cuisses.
Des deux mains, je retirais le string devenu gênant puis demandais à Hélène de s’allonger au maximum sur le plan de travail. Sa tête reposait contre le carrelage mural tandis que ses cuisses étaient largement écartées afin de laisser son ventre le plus ouvert possible.

Le spectacle offert m’excitait au plus haut point. Hélène ne portait plus que des bas tenus par le porte-jarretelles noir . Les lèvres de son vagin dilatées de plaisir semblaient supplier de la pénétrer tandis que son clitoris était fièrement dressé.
-Arrête Pascal, je vais jouir !

Hélène me tenait la tête par les mains, guidant la langue dans sa chatte.
Je me redressais et remontait ses chevilles sur mes épaules, la pénétrant sans ménagement.
Hélène se tenait sur les coudes, complètement écartelée. Elle gémissait tandis que ses seins se balançaient au rythme des coups de reins.
– Descend et retourne-toi ! ordonnais je.

Hélène se positionnait dos à moi, cuisses écartées. Elle s’appuyait des coudes sur le plan de travail la tête baissée tandis que je présentais ma queue devant l’ouverture. Je la pénétrais entièrement en la tenant par les épaules . Mon ventre claquait contre ses fesses. Hélène cabrait les reins afin de mieux ressentir ma queue .
Je glissait une main surs son ventre et caressait son clito entre l’ index et le pouce. Il vibrait sous mes caresses.
Hélène criait maintenant.
Ahhhh Pascal je jouis !!!
Elle se contractait autour de ma queue provoquant des décharges électrique dans tout mon corps.

je me plaquais contre ses fesses. Tout le plaisir jaillit comme un feu d’artifice incroyable. Je tenais ses hanches des deux mains tandis que j’allais toujours en elle . Mes jambes flageolaient tandis que je déversais ma semence au plus profond d’Hélène.
Elle était parcourue de spasmes incontrôlés, luisant de transpiration, les cheveux défaits. Sa tête reposait sur le plan de travail comme tout le haut de son corps. Je tombais sur son dos, complètement vidé, le souffle court. Quelques minutes passèrent ainsi. Nous étions en nage. Quelques minutes plus tard, je me retirais et observait Hélène. Elle ressemblait à une poupée désarticulée. Son visage ainsi que le haut de son corps reposaient toujours sur le plan de travail alors que ses reins cambrés mettaient en valeur son intimité. Un filet s’écoulait et glissait à l’intérieur de sa cuisse droite.

Nous passions dans la salle de bain. Sous la douche, Hélène manifestait son envie en me caressant le bas-ventre. Elle s’agenouillait pour me prendre en bouche et me sucer langoureusement sous le jet d’eau . De nouveau en forme, Je la plaquais contre la paroi vitrée et la prenait par derrière tandis que l’eau nous aveuglait.
Un miroir renvoyait notre image. Hélène semblait particulièrement apprécier de se regarder en se tournant de sorte qu’elle puisse jouir du spectacle au maximum.
Sentant que j’allais jouir, Hélène se retirait pour me finir dans sa bouche. Ayant repris nos esprits, nous revenions dans le salon. Hélène était épanouie. Elle me remerciait encore de mon aide tout en déclarant qu’elle espérait renouveler l’expérience prochainement.
Je quittais Hélène.

Arrivé dans le hall, je me demandais si je n’avais pas rêvé.

Le lendemain, je croisais ma voisine qui me salua courtoisement.
-Merci pour l’aide hier. Vous êtes très gentil. Bonne journée.

Puis elle me glissa une petite boule de tissus dans la main en murmurant :
– nous avons encore des vêtements à essayer. A bientôt.

Je la regardais s’éloigner. Elle était encore plus sexy dans sa tenue de ville. Sa jupe épousait parfaitement la cambrure de ses reins et de ses fesses. J’avais l’impression que sa démarche était plus chaloupée qu’auparavant, était-ce un message ?
Je m’éloignais un peu afin de regarder de plus près ce qu’elle m’avait glissé dans la main.
La petite boule de tissus était un shorty rose clair transparent.

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