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Chap 30 : Week-end torride

Chap 30 : Week-end torride



Ouuuuhhhh, haaaaa, ouuuuiiii, mon dieu que c’est bon.
Sous la douche, d’une main, je me malaxe les seins, tandis que l’autre s’active entre mes cuisses. Je suis très excitée. Pourquoi? Parce que dans une heure, j’ai rendez-vous avec celui qui m’a fait jouir au premier de l’an, vous vous souvenez, le fils de ma meilleure amie.
Cela fait plus d’un mois que nous avons couché ensemble pour la seconde fois, mais les 200 kms qui nous séparent, ainsi que nos emplois du temps respectifs, nous ont empêché de nous revoir plus tôt.
J’ai hâte, car je sens que cette soirée va être fabuleuse. Pourtant après le réveillon, je n’avais aucune intention de le revoir. Nous avions pris du bon temps sur le moment et basta. Je ne me voyais pas avoir une relation suivie avec le fils de ma meilleure amie. Mais il a suffit d’un seul coup de fil pour que tout bascule. Au cours de notre entretien téléphonique, nous avons reparlé de nos ébats. Cela nous a excité et logiquement on a fini par se masturber ensemble, de chaque côté de la ligne. De fil en aiguille, on s’est appelé régulièrement, je finissais toujours de la même façon. Nue sur mon lit, le portable dans une main et l’autre qui s’occupait de mes orifices. Plus les jours passaient, plus ça devenait chaud entre nous. Nous avons fait des scénario, nous avons échangé des mails dans lesquels nous affichions des photos de nous à poil ou des liens de vidéos très coquines et pour la première fois de ma vie, je me suis caressée devant ma webcam pendant qu’il en faisait tout autant.
Durant cette liaison virtuelle, nous avons appris à nous connaitre, à nous découvrir et nous nous sommes rendus compte que nous étions sur la même longueur d’onde en matière de sexe. Nous aimons le sexe hard, cru, sauvage, sans retenue. Je suis même impressionnée qu’à son âge, il ait testé autant de choses avec autant de partenaires. Ce soir, cette nuit, je suis certaine, il va y avoir des étincelles. Lui est dominant et moi très docile. Je sais qu’il a envie de me baiser dans tous les sens et moi j’ai très envie de jouir à outrance. Voilà pourquoi j’ai accepté de le recevoir chez moi pour une soirée, une seule et unique soirée pendant laquelle toutes nos envies pourront être réalisées et il sait que s’il me fait jouir comme les autres fois, il pourra faire ce qu’il veut de moi. Mais avant de profiter de nos corps, il m’invite généreusement au restaurant.

A sa demande, je me suis épilée intégralement, bye-bye mon petit buisson blond. J’ai enfilé une robe sexy, sans rien dessous. Il m’arrive de ne pas mettre de soutien-gorge, mais j’ai toujours quelque chose sur les fesses. Mais il me l’a demandé gentiment, alors pour lui faire plaisir, je ne porte rien dessous et pour tout vous dire ça m’excite assez.
J’entends une voiture se garer dans l’allée, c’est lui. Je me regarde rapidement dans la glace, je réajuste ma robe. Je me trouve belle et attirante. Ma tenue y est pour beaucoup. C’est une belle robe longue noire moulante, décolleté en V, échancrée dans le dos et une fente à l’avant qui dévoile mes genoux. J’espère que ça va lui plaire. Je me recoiffe vite fait et réalise que j’ai réellement rendez-vous avec le fils de ma meilleure amie, un gamin que j’ai vu grandir. Je suis folle.
Je lui ouvre la porte, on hésite un instant sur la façon de se dire bonjour. Finalement il dépose un tendre baiser sur ma joue en posant sa main sur mes fesses, comme pour vérifier que je ne porte rien. Puis il me complimente à sa manière.
– Whaou Madi, tu es super bandante.
Ce n’est pas très classe, mais je m’en fiche, ça m’amuse. Entre nous pas de chichi, on n’est pas là pour être romantique.
– Merci, toi aussi tu es canon.
Il porte un pantalon de costume noir, une chemise blanche avec une cravate noir et une veste en cuir.
Je prends mon sac et un manteau et nous partons dîner. J’ai choisi le restaurant, un semi-gastronomique dans lequel je suis sûre de ne croiser aucune tête connue.
En arrivant, l’hôtesse d’accueil nous débarrasse de nos manteaux pour les mettre au vestiaire et nous conduit à notre table. En traversant la salle, je sens des regards sur moi. Certains hommes me reluquent grossièrement. Je frissonne, mes tétons qui pointent éveillent indéniablement leur désir. Nous passons devant une tablée de bonnes femmes aigries. Elles m’observent d’un air méprisant. Leurs réflexions ne sont pas très discrètes.
 »Elle est habillée comme une pute »,  »Ca sent la cougar qui va se faire démonter toute la nuit »
J’ai envie de leur dire qu’une seule chose en entendant cela,  »J’espère bien ». Mais je n’ose pas, pourtant je suis persuadée que ça leur aurait rabattu leur caquet.
Une fois installés l’un en face de l’autre, nous buvons un apéritif, puis nous mangeons tranquillement. Pendant le dessert, on commence à se chauffer. Après 2 verres de vin, mon esprit s’échauffe. Mon entrejambe également. L’addition tarde à arriver, j’exprime mon impatience de rentrer à mon compagnon. Il se lève et va payer la note au comptoir.

De retour à mon domicile, je retire chaussures et manteau, il en fait de même. Je débouche une bouteille de pétillant et on se met à l’aise dans le canapé. On trinque en se regardant dans les yeux.
– A nous.
– A nous, enfin seuls, repond-t-il
– Oui, on va pouvoir se lâcher complètement.
– Tu n’étais pas à fond la dernière fois, dit-il pour me charrier.
– Tu m’as très bien comprise. Cette fois, nous avons tout notre temps, pas besoin de nous dépêcher, de nous cacher. Je ne vais pas être obligée de me taire quand je vais jouir, enfin si tu y arrives…
– Ne t’inquiètes pas pour ça, tu vas jouir, mais est-ce que tu vas tenir la distance?
– Oh mais tu n’as encore rien vu mon petit gars, je vais te montrer de quoi est capable une femme de mon âge.
– Je ne demande qu’à voir ça.

Le défi est lancé. Je vide ma coupette et me place accroupie entre ses cuisses. Je défais son pantalon. Il ne porte rien non plus. Ça me rend folle. Je saisis son manche et je commence à le sucer avec gourmandise. Je lèche sa belle queue sur toute sa longueur. Il me regarde faire, ça me surexcite.
Je me relève et me déshabille devant lui. Prête à reprendre du service, il me demande de me caresser devant lui. Je me souviens alors, grâce à nos conversations téléphoniques, qu’il adore mater. Je m’assoie devant lui sur la table basse, écarte largement les cuisses et je me doigte pour lui en fixant sa verge tendue. Ca à l’air de lui plaire. Mais je veux le rendre fou de désir.
– 2 secondes, je reviens.
– Ou vas-tu?
– Surprise…
Je file dans ma chambre, ouvre un tiroir, entends un bruit bizarre dans le salon, je prends mon gode-vibro et je me dépêche de le rejoindre.
A mon retour, il m’attend entièrement nu sur le canapé. Il a déplacé la table basse. C’était donc ça le bruit. Il y a donc un grand espace vide devant lui. Il ne reste que mon grand tapis. Je m’y installe et reprends mes pérégrinations sexuelles.
Je lui fais un show privé. Je suce mon gode sensuellement, puis je me l’enfonce successivement dans la chatte et dans le cul. Je mouille, je gémis, je suis surexcitée de le voir me mater en se paluchant.
L’échauffement a assez duré. Je mets fin au spectacle en revenant entre ses cuisses. Je lui taille une bonne pipe bien baveuse. Il jubile de plaisir en posant ses mains sur ma tête. Je suce son bel engin comme une goulue en me tripotant le clitoris.
Il halète rapidement et se contracte. Il va éjaculer. Je lui accorde ce que je n’ai accordé qu’à mon mari. Un premier jet s’étale sur mon palais. Suivent plusieurs giclées qui remplissent ma bouche, son éjaculation est abondante, mais j’avale tout en continuant de le sucer jusqu’à la dernière goutte.
Il se détend et me sourit. Cette petite boisson onctueuse marque la fin du premier round. Mais vu la façon dont il me regarde, je comprends que le combat est loin terminé.
Je bois une gorgée de mousseux pour me rincer la bouche, puis nous fumons une cigarette. Je lui exprime mon désir de reprendre nos cochonneries en caressant son sexe du bout du pied.
En un rien de temps, on se retrouve dans une position du 69 un peu particulière. Christophe est assis normalement dans le canapé et moi à l’envers sur lui. Mes genoux sont de chaque côté de sa tête, posés sur le dossier du sofa et ses deux bras m’enlacent par la taille pour m’éviter de chuter. Je le suce sans les mains, car j’en ai besoin pour m’appuyer et me stabiliser sur ses cuisses, pendant qu’il dévore mes trésors avec un appétit d’ogre. Il aspire mes lèvres poisseuses, fait des va-et-vient avec sa langue dans mon vagin, suce mon clito, il m’est difficile de me concentrer sur ma sucette tellement je gémis. Encore plus lorsqu’il me lèche la raie de long en large. Il me connaît bien maintenant, il sait que dès que ça se passe entre mes fesses, je deviens incontrôlable.

Je descends du canapé et me positionne à quatre pattes. En véritable chienne, je remue mon popotin devant lui, je me cambre, ce qui a pour effet d’ouvrir légèrement mon anus. Je l’implore:
– Viens t’occuper de mon cul gros cochon.
Il ne réagit pas tout de suite, il préfère m’observer quelques instants dans cette position indécente. La honte m’emporte et ça me plait. Mon partenaire change de ton et devient plus que grossier:
– Hum, ça c’est un beau trou du cul de pute, tu vas voir ce que tu vas prendre. Vas-y, écarte bien tes fesses.
Je m’exécute sans broncher.
– Écarte encore plus.
J’empoigne à pleines mains mes deux hémisphères et tire le plus possible.
– Reste comme ça, sac à bite, ne bouge plus.
Il saisit son portable.
– Que fais-tu? Dis-je inquiète.
– Je prends un petit souvenir pour les moments où j’aurais envie de me branler.
Je n’ai jamais été aussi humiliée et pourtant je n’ai pas le souvenir d’avoir déjà été dans cet état d’excitation. Je le voulais pervers, c’est réussi.
Pendant plusieurs minutes, il me claque la croupe, me crache dans le trou, enfourne ses doigts, sa langue, puis mon gode. Il me malmène habilement et moi, toujours immobile avec la rondelle offerte, je multiplie les onomatopées.
– Hum, Oh, Ah, Ouh.

Il crache à nouveau et tapote son gland sur l’entrée de ma tanière, ses mains agrippent mes hanches et son membre s’introduit d’un coup sec dans mes chaires. Ses premiers va-et-vient sont lents et profonds. Je gémis bruyamment, ce qui l’encourage à accélérer le tempo. Il me sodomise copieusement en proférant des mots salaces.
– T’aimes ça, vieille cougar, ça te fait du bien de te faire démonter le fion par une bonne bite.
– Hum oui, j’adore ça, encule-moi plus fort avec ta grosse queue, petit enfoiré.
Il est en transe. Après avoir été derrière moi, il se place au-dessus de moi, ses pieds de chaque côtés de mes rotules, plaque ses mains sur mes fesses et les étire à nouveau. Il trempe sa queue dans mon tunnel une première fois, la ressort, puis la remet. Il y a un bruit d’appel d’air. Il reprend la sodomie, plus lentement, mais plus violemment. Je crie, je braille, je hurle, je me lâche complètement. Je ressens cette douce chaleur envahir mon corps. Je pars dans un orgasme démesuré et j’en veux encore, il le sait. Mais il se retire, me laissant avec un trou béant qu’il admire quelques secondes. Il m’aide à me relever, m’embrasse goulûment, s’assoit sur le canapé et me demande de venir sur lui.

Docile, je me positionne dos à lui, mes pieds sur ses cuisses et je m’empale sur son organe qui me fait tant de bien. Je monte et descend, mes seins suivent le rythme. Je débite des insanités en me ramonant le côlon.
– Qu’est ce qu’elle est bonne ta bite, j’aime la sentir au fond de mon cul.
– Hum, j’aime quand tu parles comme ça grosse salope.
Je m’étonne moi-même d’être aussi vulgaire, moi qui suis toujours avarde de parole pendant l’acte. Mais mon excitation est si forte et le contexte si particulier que je me libère totalement. Je continue de faire l’ascenseur sur sa colonne de chair, en me cajolant la figue, pendant qu’il malaxe mes nibards, je jouis de plus belle et un nouvel orgasme me fait délirer. J’expulse des jets de cyprine, j’ai des spasmes et mes forces m’abandonnent. Me sachant fébrile, mon amant, incroyable de vigueur, reprend les commandes. Il glisse ses bras sous le creux de mes genoux, remonte mes jambes en l’air et serre ses mains entre elles derrière ma nuque. Je suis bloquée, je ne peux plus bouger. Mon besogneux me maitrise et  poursuit son excellente performance. Il me fait couiner encore plus fort en mitrillant mon cul à grand coup de bassin. Je prends mon pied comme rarement.
Sa respiration s’accélère, il va jouir.  Il lâche son emprise me bascule sur le canapé. Allongée sur le dos, il se place entre mes cuisses, saisit son sexe et se vide entièrement sur moi en rugissant. De longues traces de sperme s’étale sur mes seins, mon ventre et ma minette. Je suis toute souillée et je n’ai qu’une envie, recommencer.

Après avoir pris une douche, nous allons nous coucher. Durant cette nuit où rien n’est interdit, nous faisons l’amour plusieurs fois. J’ai la sensation de retrouver mes 20 ans, lorsque je venais de rencontrer mon mari et que passions des nuits blanches à baiser comme des porcs.
Certains disent que plus c’est long, plus c’est bon. Personnellement, je préfère que ça ne dure pas trop longtemps et le faire plusieurs fois. Mon jeune compagnon est dans le même registre que moi. Et finalement, c’est lui qui a le dernier mot, il remporte notre petit concours d’endurance. Il m’a épuisée, sa jeunesse a eu raison de ma carcasse. Après un dernier assaut où il m’a prise en levrette et qu’il a décharger sa semence dans mon vagin, je me suis endormie comme une souche.

Il me réveille de la meilleure des façons. Il m’est arrivée de sortir un homme de son sommeil par une petite gâterie, mais jamais l’inverse. Cette fois, j’y ai droit. C’est une sensation extraordinaire d’être réveillée de la sorte et je ne mets pas longtemps à feuler mon plaisir. Il déguste mon abricot de plus en plus juteux comme pour me remercier d’avoir accepter toutes ses folies. Je ne me suis pas forcer, j’ai eu ce que je voulais également. Et je pense qu’il n’est pas déçu. Moi je ne le suis pas, j’ai joui à volonté.

Mon cunnilingus terminé, je le laisse seul sous la douche. J’enfile ma nuisette et prépare du café dans la cuisine. Lorsqu’il me rejoint, nous prenons un petit déjeuner alors qu’il est plus de midi, mais il fallait bien qu’on dorme un peu après cette nuit mouvementée.
Son départ est imminent, j’ai une petite boule au ventre, je ne veux pas qu’il parte si vite.
– Tu es sûr que tu ne veux pas rester un peu?
– Non, c’est gentil, mais je dois y aller.
– Juste une heure ou deux, insiste-je.
– J’aimerais bien, mais il y a de la route et je ne veux pas rentrer trop tard.
Je fais semblant d’être résignée, mais au moment où mon coquin s’approche de moi pour me faire la bise, je le provoque une dernière fois.
Je recule mon postérieur de quelques centimètres du tabouret sur lequel je suis assise, soulève ma nuisette pour qu’il puisse mater mes fesses et mon petit trou une dernière fois et je passe lentement mon majeur le long de ma raie.
– Regarde comme il est triste, il veut que tu lui dises au revoir.
Il craque et mord à l’hameçon.
– Tu es vraiment une belle salope, comment veux-tu que je résiste. Ok, je reste, mais tu as intérêt à être à la hauteur.
Toujours assise sur le tabouret avec les miches dans le vide, il s’accroupie et me procure une feuille de rose. Les aller-retour de sa langue dans mon sphincter m’arrache les premiers sons de ma voix. Il me donne chaud. Mon oeillet est plein de salive, je m’amuse à le titiller avec mon majeur le temps que Christophe se déshabille. J’insère une première phalange, puis mon doigt entièrement. Je me prépare à recevoir sa trompe déjà toute raide.
Il pose ses mains sous mes fesses, les écarte légèrement et fait son entrée sans le moindre mal. Une fois bien en place, il démarre sa prestation. Debout derrière moi, il me sodomise en douceur quelques instants. Ses mains s’aventurent sous ma nuisette et caressent mes seins. Il les malaxe, triture mes tétons en les roulant entre ses doigts. Je fonds complètement. Je me dégage, descends de mon siège et le pousse contre la table à manger pour l’embrasser avec fougue. Je lui suce la langue en enroulant mes doigts autour de son pénis que j’astique rapidement. Il enlève ma nuisette pour me manger les seins, notre excitation s’accentue, nous nous transformons en deux bêtes sauvages assoiffées de sexe. J’ai envie de brutalité, qu’il m’amène au-delà des limites du supportable. Je capture ses bourses et les écrase entre mes doigts pour l’énerver et lui faire comprendre ce que je veux. Il pousse un cri de douleur.
– AÏE!!! Putain, t’es folle ça fait mal.
– C’est fait exprès, venge-toi, fais-moi mal, fais de moi ta pute, ta chienne, ta chose.
Son regard se durcit. Il tire sur mes cheveux pour pencher ma tête en arrière. Il me gifle, me crache au visage et me roule une grosse pelle. Il me frappe plusieurs fois les seins, puis me fourre deux doigts dans la chatte qu’il agite rapidement. Je dégouline sur sa main qu’il me fait lécher ensuite. Je me régale de mon jus poisseux.
– A genoux salope.
J’obéis et descends à la hauteur de son gourdin, qu’il utilise pour cogner mes seins à nouveau. Il pince très fort mes tétons et tire dessus avant de faire coulisser son membre entre mes globes rougis. J’adore la façon dont il est entreprenant. Je lui fais une bonne branlette espagnole qu’il semble beaucoup apprécier. L’entendre gémir m’encourage à être encore plus chienne. Je me saisis de sa queue à la verticale et la lèche sur toute sa longueur sans oublier ses boules. Je les gobe et suce leur peau en le branlant. Puis j’avale sa queue entièrement pour lui faire une gorge profonde. Il grogne et m’insulte encore.
– Hum, c’est bon salope, tu suces trop bien, tu es la reine des putes.
– Je t’ai promis que j’allais te montrer de quoi je suis capable, dis-je en m’arrêtant un instant.
– Ta gueule, continue.
Je plaque mes mains sur ses fesses et l’embouche à nouveau. Je lui pompe le noeud vigoureusement jusqu’à ce qu’il prenne ma tête et me baise carrément la bouche. Il me l’enfonce plus profondément à chaque coup de rein. Je suffoque, j’étouffe, je suis prête à vomir, j’en ai les larmes aux yeux. Moi qui voulait que ce soit hard, je suis servie. Il relâche son emprise, je respire enfin en regardant son machin dégoulinant de bave. Mais ce n’est pas fini. Il est très excité, alors il prend sa verge et il me bifle les joues, la tapote sur mon front, puis sur ma langue qu’il m’a ordonné de sortir. C’est la première fois qu’on me fait subir ça, mais cette séquence dégradante me surexcite encore plus. Et voyant qu’il se paluche expressément, je lui signifie mon désir.
– Donne-moi ton foutre.
J’ouvre grand la bouche, tire la langue, prête à recevoir ma récompense. Il me comble en m’arrosant tout le visage, des cheveux au menton. La face maculée, j’élimine les dernières traces de sécrétion en suçant sa bite délicieusement.

Je me relève, pensant que c’est la fin. Il me regarde et plaisante:
– Contente de ta nouvelle crème anti-rides?
– Oui, elle colle un peu, mais elle a beaucoup de goût, dis-je en me léchant les babines.
– Parfait, tu vas bien en reprendre un peu…
Je n’ai pas le temps de répondre, ni même de m’essuyer le visage, qu’il me retourne, me pousse contre la table de la cuisine et plaque mon buste dessus. Je suis à sa merci, seins écrasés contre le billot, jambes écartées sur la pointe des pieds.
– Et bien, pour quelqu’un qui était pressé de partir…
– Je ne peux pas te laisser comme ça, il faut bien que je te fasse jouir une dernière fois. Je suis en position de faiblesse, il est juste derrière moi et je m’inquiète de ce qu’il va me faire.
Je reçois une première fessée, puis une seconde et une autre. Il claque un peu plus fort à chaque fois. Cela me met dans un état indescriptible, j’ai le feu au cul et soudain quelque chose de froid, liquide et gluant coule sur ma croupe, c’est une sensation étrange.
Tellement concentrée par mon châtiment, je n’ai pas remarqué qu’il a pris le tube de miel sur le buffet. Il m’en étale sur tout l’arrière- train, la raie, ma fente. Je n’en reviens pas, ses idées perverses et de sa libido débordante m’épatent et sa façon de me parler me transcende.
– Alors, ça calme la douleur pétasse?
– Oui, c’est frais, ça fait du bien.
– Je vais t’en faire encore plus.
Il me lèche partout, je sens sa langue patauger dans le nectar et dans tous les orifices. Je succombe à son délire d’apiculteur en exprimant mon plaisir de plus en plus fort.
Mon sauvageon rassasié, il pose ses mains sur mes hanches et introduit sa tige dans ma minette détrempée.
– Oh oui!!!
Quelle merveilleuse sensation d’être possédée ainsi.
Christophe me lime vite et bien, ses coups de reins sont puissants. Je suis obligée de me cramponner aux coins de la table pour éviter de valdinguer. Il me baise si fort que des gouttes de sperme coule de mon visage sur la nappe aux motifs colorés. Je plane complètement et crie ma jouissance.
– HAN! HAN! HAN!

Changement de position. Il me retourne et m’allonge sur le dos. Je me laisse faire telle une marionnette. Il soulève mes jambes en l’air, pose mes mollets sur ses épaules et enroulent ses bras autour de mes cuisses. Il revient en moi et me butine rageusement. Le clapotis de nos sexes résonne dans la cuisine. Nos regards se croisent, on se sourit et il le balance:
– Alors t’aimes quand je bourre ta grosse chatte, salope?
– Oui, j’adore ça, continue, bourre-moi encore, bourre-moi la chatte, bourre-moi le cul, je veux jouir.
Il change de trou et m’encule sans ménagement. Ses couilles claquent contre mes fesses, mes mamelles remuent dans tous les sens. Il joue avec mes orifices en alternant les pénétrations. Un coup dans la chatte, un coup dans le cul, un coup dans la chatte, un coup dans le cul. Je suis au 7ème ciel. Et la suite est parfaite. Alors qu’il ne se préoccupe plus que de mon rectum, mon corps tout entier s’embrase comme un bûcher, signe que la petite mort est proche. Au même moment, il se crispe en enfonçant ses doigts dans mes cuisses. Son éjaculation me fait atteindre les cimes du plaisir et nous savourons ensemble notre orgasme commun.
Je vacille, à moitié étourdie, semi-consciente. Je n’ai plus aucune énergie. Il me laisse là, affalée sur la table, nue, avec du sperme séché sur le visage et une autre partie qui dégouline le long de ma raie. Je ne sais pas combien de temps, je reste comme ça, mon amant a eu le temps de prendre une douche et de se rhabiller pour partir.
Il me sort de ma léthargie en me secouant doucement par l’épaule.
– Madi, ça va ?
– Mieux que ça.
– Bon, je dois vraiment y aller cette fois.
– Je sais, allez va-t’en mon grand.
– Merci pour tout, j’ai passé un week-end formidable.
– Merci à toi, je ne pensais pas te dire ça, mais reviens quand tu veux. Bisous.

De retour à la réalité, une heure après son départ, je m’allonge sur mon lit en peignoir, après avoir pris un bain. Je me remémore les extravagances du week-end. J’ai pris un pied énorme. Jamais je ne m’étais lâcher comme ça. Ma vraie nature s’est révélée à l’âge de 48 ans. Tout ça grâce à un jeune homme libre dans sa tête, bourré de fantasmes et de délires, pour qui le sexe n’est que plaisir et amusement. Un homme qui a eu l’audace de succomber à son envie, un soir en me retrouvant dans un lit. Je pensais m’être égarer avec lui, mais je comprends aujourd’hui que je me suis égarée toute ma vie. Et je me dis que si j’avais 25 ans de moins, il serait rester pour toujours dans mon lit.

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