Cette histoire est réelle, les faits se sont déroulés il y a moins d’un mois. C’est la première fois que je raconte ce genre de chose, soyez indulgents. J’ai changé les prénoms dans un soucis d’anonymat.
Donc je m’appelle Antoine, j’ai 26 ans, je suis célibataire et j’ai une bande d’amis assez soudé avec qui je passe tout mes weekend. Nous sommes à la fin de l’été 2019 et il se trouve que ce weekend c’est le mariage d’un des couples de la bande. Nous nous sommes rencontrés au lycée, à la base nous étions beaucoup de garçons et au fur et à mesure du temps certains d’entre nous on trouvé une copine (ou un copain pour les filles) sauf quelques irréductibles comme moi.
La journée commence par la mairie, les invités sont tous sur leur 31. L’ambiance est joyeuse et nous retrouvons certaines connaissances du lycée que nous avions un peu perdu de vue mais qui comptait tout de même pour les mariés. Je mis peu de temps à remarquer Maeva, une amie proche de la mariée surtout durant nous années lycée. Je me doute bien qu’elle aussi est célibataire grâce aux réseaux sociaux ou je vois défiler ses photos et autres actualités. Au moment du lycée on se côtoyais un peu ayant des amis en commun. J’ai même participer à une soirée qu’elle avait organisé chez ses parents mais nous n’étions pas vraiment amis, seulement pote. A l’époque j’ai eu échos du fait qu’elle en pinçait un peu pour moi mais ça ne m’avais pas plus emballé que ça. Maeva était pourtant une jolie fille, naturelle, de taille moyenne, ni mince ni « enrobée », brune, cheveux mis long souvent en queue de cheval et avec des formes appétissantes. J’avais une autre cible à ce moment là, il ne s’est donc jamais rien passé entre nous. Et comme dit auparavant, nous nous sommes perdus de vue.
Je profite du vin d’honneur pour aller l’accoster, elle discutait avec d’autres filles de sa promo. Maeva avait changé, c’était devenue une très jolie jeune femme. Elle est aujourd’hui vêtue d’une belle robe bleue nuit, coiffée d’un chignon et portant des lunettes rondes. Une chose à attiré mon regard, sa poitrine. Elle était déjà bien lotis de se coté la il y a quelques années. Je me souviens même d’avoir surpris quelque uns de ses soutiens gorges sur un étendoir à linge chez ses parents lors de la fameuse soirée. J’avais ouvert la mauvaise porte pour aller aux toilettes, Maeva n’était pas loin et m’a vu. J’étais assez gêné et j’ai sortis un truc du genre « Oh, jolie collection ». Elle m’avait répondu en rigolant « Arrête ma mère pète les plombs, je n’arrête pas de grossir des seins ! ». Bref, passons les souvenirs et venons en au présent. D’après mon expérience, je dirais que nous avons à faire à quelque chose comme un 90D. Pas non plus énorme mais sa poitrine semble parfaite à travers sa robe.
Nous discutons autour d’un verre en se remémorant nos souvenirs de lycée et échangeant sur nos vie actuelle, le boulot, l’appartement, l’amour, … Et il se trouve qu’elle est bien célibataire. Ce qui m’émoustille quelque peu. Je ne cherche pas le grand amour, pas pour le moment. J’ai eu une relation de plusieurs années qui s’est terminée il y a quelques temps et je me donne un peu de temps pour m’amuser. J’essaye donc de faire passer subtilement se message lors de notre discussion. Le vin d’honneur se termine et nous prenons la direction du domaine ou se déroulera la suite du mariage.
La journée passe, tout le monde s’amuse. Chacun s’installe un coin ou passé la nuit avant de commencer la soirée, soit sous tente sois dans les nombreuse chambres que compte le site. Je serais seul dans ma tente et j’aperçois Maeva en train de gonfler un matelas dans une grande tente ou il semble y avoir d’autres filles de sa promo. Je me dit dans un scénario idéal elle pourrait migrer sous ma tente pour la nuit (ou ce qu’il en restera vu la soirée qui se prépare).
Minuit, la piste de danse se remplit peu à peu. Je danse avec mes amis, nous buvons un peu, la musique est bonne et je vois Maeva qui me fait signe avec son verre. Comme un « tchin » à distance. Je décide d’aller la voir et de trinquer pour de vrai. Je peine à ne pas plonger mon regard dans son décolleté, je ne sais si le quelques verres de cocktail y sont pour quelque chose mais je la trouve terriblement attirante. Ses lèvres sont pulpeuse et mise en valeur par un rouge à lèvre qui contraste avec sa peau assez claire. Ses yeux malicieux derrière ses grande lunettes me font chavirer. Nous échangeons quelques mots et allons danser. Après quelques sons des années 80 nous sortons prendre le frais avec un nouveau verre. A partir de la je vois que son regard change et elle devient un peu plus tactile, elle me touche le bras en rigolant et elle s’appuie sur moi pour remettre sa chaussure. J’en profite pour jeter un œil sur ses fesses moulées par la robe et j’ai une vue plongeant sur ses seins. Je sens mon sexe grossir légèrement à la vue de ce beau paysage.
« Où est ce que tu dors après la soirée ? » me demande t-elle.
« Dans ma tente, tout seul comme un grand »
Maeva me répond « Quel dommage » avec un regard triste exagéré. Ce qui nous fais rire tout les deux. Suite à ça elle sort son téléphone et s’aperçois qu’elle n’a plus de batterie. Je lui propose ma batterie externe, mais à votre avis, elle est où cette batterie ? Dans ma tente héhé.
Nous allons donc tout les deux en direction de ma tente qui est un peu plus loin dans une sorte de petit verger. Autour il y a une bonne dizaine de tentes et plusieurs personnes sont dans les parages. Trop risqué de tenter quelque chose tout de suite, dommage la situation est parfaite. Je lui donne ma batterie et elle laisse son téléphone dans la tente avant de se relever, et de s’approcher de moi en me prenant la main. Je suis surpris et elle me dit :
« Antoine, je ne sais pas si c’est l’alcool mais je n’ai pas l’habitude de ça. J’ai envie de toi, tu m’excite beaucoup de je sais que je ne te laisse pas indifférent ».
Mamamia, je suis en plein rêve. Je ne me fais pas prier pour l’embrasser, nos mains s’enlacent et nos corps se touchent. Je sens sa poitrine s’écraser sur mon torse. Les personnes qui sont à proximité sont derrière une petite haie mais à seulement quelques mètres. En un regard nous nous comprenons, nous allons d’un pas rapide dans le fond du terrain ou il y a des arbres, des bosquet et un petit banc. Nous sommes dans l’obscurité mais la lune donne assez de clarté pour voir le magnifique corps de Maeva toujours prisonnier de sa robe. Ici nous ne risquons pas d’être dérangés.
Tout en l’embrassant de pousse les brettelles de sa robe au de la de ses épaules, elle fini le travail en faisant de même avec celles de sont soutient gorge. Je pousse sa robe vers le bas afin de découvrir sa magnifique poitrine. Ses seins sont lourd, rond, il tienne parfaitement dans mes grandes mains et ses mamelons sont tout dur. Je malaxa sa poitrine fermement et y dépose un, puis deux, puis trois baisers. Je pince son mamelon gauche entre mes lèvres, un petit gémissement se fais entendre.
« Humm, je n’ai fais jamais fais ça, dehors comme ça.. Ca m’excite ! »
Sa main frotte mon entrejambe pour agripper mon sexe déjà dur a travers mon pantalon de costume, d’une main de déboutonne mon pantalon et laisse mon pénis sortir de mon caleçon. Il était temps je commençais à être sérieusement à l’étroit. Maeva serre mon sexe dans sa main pendant que j’embrasse son cou, ses lèvres et ses seins. Ma mains droite lève sa robe et agrippe ses fesse, elle porte un tanga foncé. Terriblement sexy.
Mes doigts caresse son pubis puis sa vulve au travers de la dentelle. C’est chaud et semble humide, je glisse un puis deux doigts en elle. Elle peine à rester silencieuse, sa main fait de lents vas et viens sur mon sexe.
« Prend moi » me chuchote elle à l’oreille.
« Mince une capote ! »
« J’ai ce qu’il faut dans ma sacoche, sur le banc »
J’enfile donc un préservatif, invite ma belle conquête à se retourner les mains sur le tronc d’un arbres. Je pose une main dans le creux de ses reins pour qu’elle se cambre légèrement. Je soulève sa robre jusqu’au dessus des fesses, elle ne couvre plus que son ventre et la moitié de son dos. Je glisse mon pénis en elle doucement, centimètre après centimètre. Je sens la chaleur de son corps enrouler mon sexe, les parois de son vagin glisser le long de mon gland. Puis une mains sur ses fesses et l’autre sur l’un des ses seins j’entame une série de vas et viens tantôt lent, tantôt plus rapide. Les gémissements sont de plus en plus fort, mais qu’importe le moment est fabuleux. Je prend un pied de malade, la situation, la nuit, la lune, Maeva, ses seins, … Je sens monter le plaisir en mois après quelques minutes. Je décide de changer de position, je m’assois sur le petit banc en béton. Maeva s’assied sur moi en glissant le long de ma verge prête a exploser. C’est maintenant elle qui mène la danse, ses seins s’agitent sous mes yeux venant même frapper mon visage lorsqu’elle accélère le rythme. Maeva chuchote mon prénom non sans montrer un certain plaisir, je crois ne pas être le seul à apprécier le moment. Sentant que je vais bientôt jouir je lui en fait part. Elle ralenti et coulisse sur mon sexe très lentement en me disant :
« Je n’aime pas qu’on jouisse sur mon visage, tu pourrais jouir sur mes seins mais j’ai peur pour ma robe… Je veux que tu me prenne le plus fort que tu peux et que tu jouisse en moi, on ne risque rien de toute façon »
Cette fille est parfaite ! De retour contre l’arbre, je l’agrippe par les hanches. Elle se cambre pour m’offrir une belle position de pilonnage, parce que finalement, c’est ça qu’elle veut. J’aperçois même son anus lorsque j’entre en elle. Cette vue fait monter en moi l’envie de jouir maintenant, la tout de suite. Je la pénètre donc intensément, de façon presque brutale. Mon bassin percute ses fesses dans claquement très peu discret. Maeva ne sort de sa bouche que des « Oh oui » ou des petits « Oh putain ». Je joui longuement en poussant un gémissement que j’espère assez viril (ben oui on contrôle pas tout dans ce genre de moment).
Notre escapade dans le fond du parc se termine ainsi, tout les deux assis sur le banc. Moi reboutonnant ma chemise et elle replaçant ses seins dans son soutien gorge. La suite de la soirée se déroula comme si rien ne s’était passé et nous avons décider le lendemain (après une nuit chacun dans sa tente) de nous revoir prochainement.
Voila, j’espère que ça vous aura plus. N’hésitez à me dire ce que vous en pensez, j’ai encore deux ou trois trucs à vous raconter 🙂
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