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Rêverie 2

Rêverie 2



Rencontre, échanges. Aux rires et aux folies nocturnes ont succédé le repos alangui de deux corps l’un contre l’autre.
Epuisés, nous nous sommes couchés, blottis, avant de nous assoupir tout deux, à peine avions nous eu le temps de nous déshabiller que le sommeil nous prenais.

Plus tard, en pleine nuit noire, j’émerge.
Sa tête repose sur mon épaule, un bras sur ma poitrine et sa jambe par dessus les miennes. Nous avons dormi ainsi. Elle, lovée contre moi ma cuisse entre ses jambes je sens son sein presssé contre mon flanc. Ma main reposant sur ses fesse s’est laissé allé à une seule investigation, inconsciente, mes doigts ont légèrement écarté les chairs. Je sens la chaleur de son anus contre mes phalanges, le bout de mon doigt immobile contre ses parties intimes.
J’ai dormi envahi de sa féminité, l’odeur de ses cheveux dans les narines et sont petits corps tout chaud contre le mien.

Peu à peu nous nous éveillons. En plein milieu d’une nuit paisible, réparatrice, comme enfermés à deux dans un oeuf à attendre l’éclosion.

Je reste immobile, jouissant de tout ce contact, je la sens onduler doucement tandis qu’elle s’éveille. Chacun de ses petits mouvements me font prendre conscience de toute cette peau contre la mienne. Elle presse un peu plus son ein contre moi, ses doigts caressent ma poitrine. Les petits sons qu’elle fait viennent enchanter mes oreilles et je sens petit à petit son bassin commencer à onduler contre ma cuisse. Je suis tout à coup priviligié, totalement émerveillé de la sentir se frotter contre moi. Je la sens frémir je la sens détendue et heureuse d’être ainsi, petit à petit son désir monte et je le ressens comme si la huitième merveille du monde se rêvélait à travers moi.
Je ne bouge pas un cil par peur de dissiper cette magie.
Elle s’enhardi, bouge de plus en plus, désormais je sens clairement ses lèvres intimes se presser contre ma cuisse, l’humidité qui commence à la maculer et son vas et viens qui s’amplifie au fur et à mesure que le temps passe.
Elle se sert littéralement de mon corps pour se caresser. Elle le fait d’elle même exprimant son désir tel qu’il lui ait venu et rien en cet instant ne peux plus me ravir.
C’est comme si toute la douceur du monde s’était réunie et collée à moi. Elle fait ça lentement, elle fait durer sans doute un peu inconsciemment, elle savoure chaque instant.Quelques respirations plus tard, comme toujours endormie, elle pousse un soupir s’écoule à mon coté et s’installe sur le ventre le visage dans un coussin. Puis de la main elle m’attire à elle.
En quelques retations, car j’ai comme l’impression que l’univers s’arrêterai si je perdais le contact physique avec sa peau, je monte sur son dos, m’étallant de tout mon long sur elle ne gardant que le bas des jambes sur le lit afin de la soulager d’un peu de mon poids. Ma queue entre ses fesses je passe la main sous son ventre jusqu’à son intimité dont je prend entièrement possession.
Je lui mordille doucement la nuque pendant que je commence à pétrir ses lèvres intimes. Elle gémit et se cambre un peu plus et ses fesses remontant c’est mon membre qui descend entre elles. Je me frotte doucement et à chaque mouvement je descend un peu plus jusqu’à arriver à l’entrée de nos désirs.

Alors, le pluslentement possible, je la pénètre doucement. Ma hampe glisse en elle elle m’aspire, gémit. Ma main toujours sur son sexe tâte ses lèvres, je les sens s’élargir et je commence alors à jouer avec la ligne de contact entre elle et moi. Je tocuhe directement cette pénétration, je touche ma queue à travers ses propres chairs. Je caresse son clitoris joue avec ses chairs qui m’enserrent tout en impriment un vas et viens, lent et ample, profond.
Nous soupirons tout les deux, faisant ainsi l’amour. Ses fesses forment comme n coussin doux contre lmon bas ventre, elle se cambre, j’appuie plus fort et continue sur ce même rythme. Des mouvement lent, amples. Nous continuons ainsi un long moment puis enfin son désir lui murmure d’en demander plus. J’accélère alors, j’appui encore plus. Durant quelques instant je la prend littéralement ma main sur son pubis ne bouge plus mais lserreses chairs et puis soudain je la sens délivrée. Elle se tend , cri ses mains en arrière elle empoigne mes fesses pour m’imobiliser au plus loin en elle et je a serre encore plus fort, si fort contre moi que je prend peur de la briser. Je la mord à nouveau.
Et puis c’est fini. Immobilisés, nous restons ainsi et je me rendors, toujours en elle. La nuit suit son cours.

Plus tard, une nouvelle émergeance qui marque un commencement, une torpeur lourde qui s’achappe d’un cocon doux et chaud. Le toucher des draps sur mon corps semblable à une caresse m’enserre, m’enlasse, tandis que timidement mes sens s’éveillent à leur tour.
Il y a comme une chaleur intense dans mon bas ventre, une pression sur ma poitrine: un corps bouge sur moi. Je sens comme une ennivrante moiteur devant mon visage et le contact si caractéristique de la peau contre la peau sur chacune de mes joue. Je ressent comme si une chose venait de trouver sa place, comme si aucun espace n’avait été laissé entre deux corps moulés l’un sur l’autre.
Mes esprits prennent un peu de vigueur. Je suis allongé sur le dos, la tête fermement tenue entre deux cuisses et les yeux toujours clos une odeur, une odeur de désir tant aimée m’envahi. Je bande, et une tiédeur humide imprime un lent va et viens sur mon sexe.
Sans que je ne m’en rende véritablement compte j’élargie un petit peu ma bulle et darde mes lèvres en avant. Instantanément une partie de mon esprit s’éteind et une autre, encore perdue dans mes songes, s’éveille.
Je viens de me perdre contre des chairs, et derrière elle je sens plus de chaleur encore, et un contact si doux que je laisse ma langue en explorer la surface. Je fais de petits cercles, écartant tendrement les chairs m’attardant à chaque passage sur un bouton de rose frémissant.
Mes mains se lèvent et enserrent deux fesses rondes, si douces…
J’entrepends alors avec ma langue d’acarter deux lèvres d’amour puis je trace un long sillon jusqu’au plus haut que je puisse atteindre provocant un soupir clairement audible par dessus la cacophonie de mes autres sens. Mes mains à plat exercent une pression comme si elles cherchaient à fusionner avec la peau qu’elles touchent, descendant dans le creux du dos puis remontant le long de l’échine. Elles caressent toujours en appuyant sur ce dos, ces flancs avant de revenir sur les deux collines qui culminent juste au dessus de moi. Puis, tendrement, j’ouvre les deux fesses et encadre mon visage avec elle pressant chacune de mes lèvres sur un gouffre d’amour. Je bouge la tête, frotte mon visage, me maccule de fluide tandis que ma langue s’empare de ce bout chair musculeuse qui saille entre mes deux objets de désir. Mes mains caressent de plus en plus fort, pétrissent, enserrent chaque parcelle de peau accessible.
Plus bas, sur ce qui semble être le pôle sud de mon corps, les mouvements s’accélèrent. Je ressens comme des vagues successives de plaisir qui font comme un ressac d’eau marine sur une plage, une tension qui s’envolle avant de revenir de plus belle. Cela pourrait même me faire serrer les dents, mais ce sont mes lèvres qui s’activent en réponse. J’ouvre et ferme la bouche tout au long de la fente, ma langue appuient fort en tout sens et mes mains emprissonent mon visage entre ces fesses.
Plus j’accélère, et plus je sens sa bouche m’engloutir, et plus je la sens m’engloutir plus j’ai envie d’accélérer, de me presser, de rentrer en elle.
Ma langue se libère enfin totalement, elle se fait plus pénétrante, inquisitrice, elle ose tout. Je m’enfonce avec elle dans chaque gouffre l’esprit oblitéré, uniquement occupé par l’instant présent. Et puis c’est la délivrance, je sens son corps se tendre sur moi, elle se cambre puis enfin s’immobilise. C’est le relachement, une torpeur douce et moite m’envahi de nouveau les sens pleins de ce contact peau à peau. Je m’envole, je voyage dans mes rêves toujours pris dans ce cocon de féminité.
J’ignore combien de temps cela peut durer, mais enfin je fini par ouvrir les yeux. Ma bulle éclate.
Le soleil brille et je m’éveille enfin totalement. Seul.

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