J’ai entendu la porte de devant s’ouvrir et l’appel de Manuela, « bonjour. »
J’ai pensé « Merde. C’est la bonne, ». Cela m’était complètement sorti de l’esprit qu’elle venait un jour tôt cette semaine parce qu’elle allait chez elle au Mexique pour rendre visite à ses parents. Elle a une clef qui lui permet d’entrer comme elle veut. Normalement, cela n’aurait eu
aucune importance. Aujourd’hui, et bien , ce n’était pas bon. Je faisais « le boulot buissonnier » , je planais car je fume rarement et je m’étais excitée en surfant sur des sites pornos. Et, oups, c’est vrai, j’étais en plein milieu d’une séance de self-bondage.
Mon obsession avec le bondage a commencé quand j’étais une jeune fille. Même avant que je l’ai associée à ma sexualité, j’ai eu des rêves et des fantasme à l’idée d’être liée par d’autres enfants, et par des adultes. Les pirates et d’autres bandits ont rempli mon imagination. J’étais
toujours la demoiselle en détresse que ce soit flics et voleurs, les cowboys et Indiens, chevaliers de la table ronde, soldats, ou n’importe qui.
Je suis parvenu à m’attaché quelques fois pendant mon enfance. Il semblait que personne n’ait remarqué que je demandais toujours à être attachée.
Quand j’ai atteint la puberté mes fantasmes, naturellement, ont pris une nature sexuelle. Peu de temps après que j’aie commencé à me masturber j’ai commencé à inclure quelques éléments de bondage et de masochisme dans mes sessions. Quand j’ai eu 15 ans, je me suis aperçue que de nombreuses personnes avaient les mêmes idées. Par exemple, vous pouviez voir une scène dans une comédie où un acteur ou une actrice est dans un équipement en cuir de bondage, mais vous ne comprenez pas vraiment la plaisanterie jusqu’à ce que vous soyez assez vieux pour comprendre les connotations sexuelles. Lorsque je l’ai compris cela a été soulagement pour moi pour être honnête. Je commençais à devenir de plus en plus raffinée dans la façon de bâtir mes séances de masturbation. Je commençais à me demander si je n’étais pas « bizarre ». Comme je disais, j’ai été soulagée. Mais pas assez soulagée pour partager mon petit secret avec n’importe qui. C’était mon grand mensonge.
Je me suis engagée dans le sexe « conventionnel » avec quelques hommes et même une amie d’université. C’était bien mais généralement insatisfaisant. Je me suis repliée sur le travail, les séances à la salle de gym et une séance occasionnelle de self-bondage.
Les sessions de self-bondage. Hmmmm. Quand je suis sorti la première fois de l’université j’ai commencé un sac de bondage. Un peu de corde, un bâillon-boule, quelques pinces à linges, des menottes, une paire de godes… OK… quelques godes…. Ce sac de bondage m’a suivi partout où je suis allé ensuite. Et maintenant 10 ans après, il y a beaucoup d’objets que j’utilise régulièrement.
Aujourd’hui j’avais sélectionné les objets que j’avais projeté d’employer sur moi et je les avais posés sur la table de cuisine. Puis je me suis baignée et j’ai rasé mon sexe. J’ai lubrifié d’avance mon cul. J’avais emporté un petit collier en cuir à la salle de bains et je l’ai mis avant d’aller à la cuisine.
Je mouillais déjà d’avance en m’asseyant au milieu de la cuisine sur un tabouret. J’ai attaché mes chevilles à deux des pieds du tabouret. J’ai commencé à frotter mon sexe fraîchement rasé. J’étais excitée. Mon sexe paraissait tellement sexy ainsi.
Mon autre main est allée à mes mamelons et a commencé à les rouler doucement. Puis j’ai commencé à les travailler plus durement.
Rapidement je me suis retrouvée à les pincer et à tirer dessus assez durement.
J’ai pris un petit butt-plug sur la table, j’ai mis un peu de lubrifiant, et j’ai inséré l’extrémité conique dans mon cul. Mon sphincter s’est refermé sur la partie étroite et le plug a ainsi été fermement maintenu. J’ai pris un gode parmi la pile d’accessoire sur la table et j’ai posé la ventouse sur le tabouret. J’étais trempée. Quand je me suis abaissé sur le gode je pouvais me l’introduire facilement … j’ai eu mon premier orgasme.
Après que les spasmes m’aient balayés, j’étais toujours empalée sur ce gode fixé sur le tabouret. Je suis revenue à la vie après quelques minutes. J’ai pris une pince de mamelon sur la table, ai ouvert l’agrafe, et l’ai tenue sur mon mamelon. J’avais acheté ces pinces il y a un moment et n’ai jamais pu les tenir longtemps sur mes mamelons. Elles mordent durement et ne sont pas réglables, mais j’essayais de me former pour les supporter. Sans beaucoup de réussite à vrai dire.
Comme toujours j’ai mis l’un d’entre eux sur un mamelon, juste pour voir si je pouvais le supporter. Aujourd’hui ce fut comme les fois précédentes. Après l’avoir refermée sur mon mamelon j’ai haleté et ai juré pendant quelques secondes puis je l’ai rapidement enlevé pendant que la douleur annihilait ma volonté. J’ai répété l’exercice avec l’autre mamelon, puis j’ai échangé ces pinces contre des pinces à linge plus supportables. J’ai repris mon souffle et ai commencé à tourner sur le gode pour obtenir de la chaleur sexuelle pour m’aider à supporter la douleur. Bordel, je me sentais perverse. J’ai mis le bâillon-boule dans ma bouche et j’ai sanglé la boucle. J’ai mis les clef de mes menottes sur une longue ficelle que j’ai attachée à mon cou et ai mis une des menottes autour de mon poignet gauche.
L’acte final avant que j’aie accompli fut de mettre la main entre mes jambes et de déclencher le moteur du gode. La chose a commencé à bourdonner et à tourner autour d’une articulation située à mi-hauteur. La chose fouillait mes entrailles. J’ai mis mes mains derrière mon dos et
fermé l’autre menotte autour de mon poignet. Avec cet acte final j’ai su que je ne me libérerait pas pendant un moment. Mon record pour me libérer était d’environ 9 minutes mais quelques fois cela m’avait pris plus d’une heure. La première fois j’avais laissé tomber la clef et j’ai dû
passer par toutes sortes de contorsions pour l’atteindre. C’est ainsi que j’ai appris à attacher la clef autour de mon cou.
Quoi qu’il en soit, C’est ainsi que Manuela m’a trouvé. Vous voyez. Si je n’avais pas fait séché le boulot et si elle n’étais pas venue un jour plus tôt ce n’aurait pas été un problème. Au lieu de cela elle a trouvé son employeur bourrée par un gode et un plug, et luttant pour se libérer
d’un self-bondage. Ma belle bonne Manuela. Elle a la trentaine. Incroyablement belle.
J’ai pleurniché dans le bâillon-boule en l’entendant venir vers la cuisine. Je tournais le dos à la porte, mais j’ai entendu son arrêt quand elle a atteint la porte et un petit halètement de surprise. J’ai cessé d’essayer d’atteindre la clef et j’ai attendu. J’ai entendu son approche à mon côté. « Qu’est ce que c’est ? » a t’elle demandé en touchant légèrement mes longs cheveux blonds. « Hmmm ? » elle a insisté. « Qu’est ce que c’est, Mme Grey ? » a t’elle demandé encore. « Êtes vous bien ? »
Naturellement je pouvais seulement gémir avec le bâillon pendant qu’elle relevait mes cheveux. Elle a semblé noter le reste de mes objets sexuels sur la table puis a regardé autour d’elle.Elle a enlevé un spot d’un crochet au plafond. Elle a fait une boucle sur une longueur de corde
et l’a fixée au crochet puis a attaché l’autre extrémité à mes menottes. Elle a tiré sur la corde forçant mes bras vers le haut, ma tête et mon torse à se baisser ce qui a placé mon clitoris en contact direct avec le gode vibrant dans mon sexe.
Je pense que j’étais bien au delà du désespoir à l’idée d’avoir été ainsi découverte car je me suis enflammée comme une allumette. J’ai joui comme jamais. Je suis devenu une sorte d’idiote bavante et gémissante concentrée sur les sensations émanant de son clitoris. Je sentais que
Manuela se tenait juste là et m’observait avoir des spasmes autour de l’outil vibrant dans ma chatte.
Mes bras commençaient à devenir endoloris. La manière j’étais attachée me forçait à regarder vers le bas. J’ai presque oublié que Manuela était là jusqu’à ce qu’elle se penche et ôte les pinces à linges que j’avais sur les seins. J’ai gémi dans le bâillon-boule. Elle joua avec mes mamelons pendant plusieurs minutes. Elle replaçait les pinces et tirait dessus jusqu’à ce qu’elle se décrochent douloureusement. Puis elle les replaçaient de nouveau. J’ai deviné qu’elle avait repèré mes pinces « insupportables » tandis qu’elle jouait avec moi. Elle en a pris une et a
enlevé les pinces à linge de mes mamelons. Quand je l’ai vue s’approcher avec les pinces j’ai commencé à couiner dans le bâillon et à lutter vraiment. « Shhh, shh, shh, » m’a t’elle apaisé pendant qu’elle frottait mes cheveux. Elle a mis ces saloperies de pinces sur mes mamelons
érigés et m’a observé gémissant de douleur. Puis elle est partie. Je l’ai entendue se déplacer dans les pièces alentour. J’ai entendu l’aspirateur se mettre en marche et s’arrêter plusieurs fois. Je l’ai entendue faire son travail tandis que j’enchainais orgasme après orgasme.
J’ai entendu son retour à la cuisine. « Ohhh. Tsk. Tsk. Tsk, ». J’étais embarrassée. J’avais fait pipi sur moi-même. J’ai perdu contrôle pendant l’un de mes orgasmes. Ce n’était pas la première fois pour être honnête. C’est pourquoi je fait ces choses dans la cuisine – plus facile à nettoyer. Elle a nettoyé le désordre puis m’a essuyée. Tandis qu’elle m’essuyait elle a noté que le dildo avait un bouton de réglage. Je n’ai jamais employé le réglage le plus élevé car j’avais du mal à le supporter très longtemps. Elle a déplacé le commutateur. Elle doit avoir aimé
ce qu’elle a vu dans ma réaction parce qu’elle l’a laissé ainsi et a fini nettoyer la cuisine. Je ne peux pas croire que mes gémissements et mes couinements ne l’ai pas distraite. Je devenais une masse de gelée sexuelle sans volonté pendant qu’elle continuait à nettoyer.
Puis elle est revenue et a libéré la corde autour des menottes. J’ai grimacé quand j’ai pu baisser mes bras et m’asseoir pour la première fois depuis des heures.
Elle s’est déplacée devant moi et a pincé ma joue. « J’ai finit, Mme. Grey. Je pars maintenant, ».
J’ai entendu porte se refermer derrière elle quand elle est partie. Après quelques minutes j’ai commencé à travailler à me libérer.
La clef des menottes se balançai devant moi. J’ai dû la balancer derrière moi d’un coup de rein, puis il m’a fallu l’att****r avec mes mains qui devenaient engourdies à cause de la diminution de la circulation sanguine. Cela m’a pris quarante minutes. Ca ne m’a pas aidé qu’un gros dildo batte mes entrailles et que mes mamelons soient torturés par une paire de super pinces. Mes yeus se sont remplis de larme quand j’ai enlevé ces pinces. Bordel ce que c’est douloureux lorsque la circulation revient. Puis j’ai arrêté le monstre vibrant entre mes jambes, je me suis appuyée en arrière sur mes bras et j’ai soufflé de soulagement. J’avais toujours le bâillon-boule et j’étais toujours remplie d’un butt-plug et d’un gode mais au moins ça ne vibrait plus ! Après quelques secondes de repos, j’ai retiré le bâillon-boule et soufflé de nouveau. Après sont venus les liens autour de mes chevilles. Je me suis soulevée et désempalée du gros gode. Puis le plug est sorti de mon cul. Je suis allée à ma chambre à coucher et suis tombé dans un sommeil profond.
Je me suis reveillée toute endolorie. Mais, j’ai souri quand je me suis rappelé pourquoi j’étais si endolorie. J’ai regardé mon réveil. Il a indiqué 7:00. Cela m’a pris près de trente minutes pour réaliser que c’était 7 heures du matin et pas de l’après midi. J’avais dormi tout l’après-midi et toute la nuit. J’ai essayé d’appeler Manuela pour expliquer… ou quelque chose. J’étais embarrassée. J’ai essayé plusieurs fois sans succès avant de réaliser qu’elle étais probablement déjà en chemin vers sa ville natale au Mexique.
La semaine suivante s’est passée dans un brouillard masturbatoire. J’ai été totalement perdue. Quand je ne pouvais pas me baiser, je passais mon temps à serrer et desserrer les cuisses, à me frotter par dessus ma robe. J’ai même porté un butt-plug pour travailler un jour. C’était une
première. Mon dieu. J’étais perdue.
Le vendredi ou je pensais qu’elle était revenue, je lui ai laissé au moins douze messages. Je sais que cela faisait despérée mais je n’en avais cure. J’en ai encore laissé six ou sept autre le samedi matin. Puis, le samedi midi, j’ai entendu une voiture se garer. J’ai regardé par la fenêtre et j’ai vu Manuela en descendre. Je suis descendue en courant, atteignant la porte juste quand elle a sonné. J’ai ouvert la porte et je suis restée muette.
Elle portait une paire de jeans serrés, un t-shirt en soie noire, et une paire de chaussures à talons hauts. C’était minimaliste mais élégant. Elle était incroyablement belle.
« Bonjour, Mme. Grey, »
« Y a il urgence? J’ai eu vos messages… enfin plusieurs d’entre eux…, » m’a t’elle dit en souriant d’un air affecté.
« Je… J’ai… juste voulu expliquer, ummm…, au sujet de la dernièrefois , » ai-je bégayé.
« OH ? »
« Que voulez vous expliquer ? » demanda Manuela en entrant.
« … Ummm…, » ai-je répondu en léchant mes lèvres.
« Vous vouliez m’expliquer pourquoi vous vous attachez et vous vous maltraitez Mme. Grey ? » Manuella n’employait pas la tonalité respectueuse qu’elle employait habituellement elle m’a parlé. En fait cela paraissait irrespectueux. Suffisant même.
« … ou y avait il une autre raison pour que vous m’ayez appelé vingt fois au cours des deux derniers jours ? »
« Je… Je…, » j’étais devenue muette.
Elle a collé son visage au mien …
« Pourquoi es ce que tu portes toujours tes vêtements salope ? »
Elle l’a dit à peine plus fort qu’un chuchotement mais avec une telle force que j’étais effrayée car j’ai commencé à déboutonner mon chemisier.
Ajouter un commentaire