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LA FETE SENSUELLE

LA FETE SENSUELLE



je suis une fonctionnaire de 38 ans,
comme on dit, bien rangée respectée de tout son entourage
mon mari qui a également
38 ans et notre vie est sans nuages;
aite, sur tous les plans. Pourtant
^’soir du mois d’août, il m’est arrivé
une aventure assez extraordinaire.
Avec des amis nous avons loué un
chalet pour passer nos vacances
ensemble. Donc l’été dernier, l’avant-
dernier soir avant de regagner cha-
cun notre ville et nos habitudes, nous
avons organisé une soirée «dau-
revoir».
Durant ces trois semaines
passées dans cet agréable endroit.
nous avions les uns et tes autres, lait
de nombreuses connaissances, si
bien que nous nous sommes retrou-
vés une vingtaine a discuter, boire et
danser. Dans ce groupe, il y avait un
«métis», la quarantaine, bien bâti et
assez beau garçon. Il s’amusait à
dessiner au fusain sur papier ‘es
portraits de quelques volontaires.
Quelques instants plus tard, il est
venu, très poliment, .m’inviter à dan-
ser. Il me trouva très mignonne et me
dit que mon corps était superbement
bien fait. Il me proposa, si j’étais bien entendu intéressée, de lui servir de
modèle. Pourquoi me méfier, alors
que ce monsieur avait passé une
partie de sa soirée à dessiner des
portraits? J’ai donc accepté. Il me
proposa de nous retirer au calme
dans une chambre du haut, afin de ne
pas être dérangés. Je l’ai donc suivi à
l’étage. Il me fit asseoir sur le lit et
prendre une pose; ensuite il s’installa
à environ deux mètres, sur une
chaise, les jambes croisées. Quinze à
vingt minutes plus tard, il me remit
mon portrait qui était remarquable. Je
le félicitai de cette réussite. Nous
parlons dessins, travail, puis il me
dit : .< Je ne vous propose pas de vous
dessiner toute nue, de peur de vous
offusquer, mais avec votre accord, je
souhaiterais maintenant vous dessi-
ner en slip et soutien-gorge, car votre
corps est pareil à celui d’une déesse;
je vous en supplie, ne me refusez pas
ce plaisir d’artiste ». Bien que je lusse
sans crainte, j’étais étonnée et gênée,
car il n’est pas dans mes habitudes de
me déshabiller devant des inconnus.
Me sentant hésiter, il surenchérit ses
compliments d’une voix doyce et
sûre. Alors je cédai et me déshabillai.
Il s’assit sur sa chaise et prépara son
matériel de dessin sans prêter atten-
tion à moi. Puis il me fit prendre une
nouvelle pose et ferma ta porte à clef,
prétextant qu’il avait besoin de calme
pour se concentrer. Au bout de cinq
minutes, il s’excusa : «J’ai trop
chaud et pour avoir une meilleure
inspiration, il faut que je sois dans la
même tenue que mon modèle». Et il
se déshabilla. Effectivement la soirée
était lourde mais pour la première
je fus un peu inquiète;’il enleva
aussi son slip et fut complètement nu.
A mon grand etonnement j’apercuus
un membre énorme qui me fit un effet
d’ne Piqure Paralysante Je fus
vraiment hypnotisée et lui continua sans bouger son travail, mais au fur et à mesure que les minutes s’écoulaient
son membre grossissait. Je n’ai
jamais compris ce qui s’était produit
en moi, mais je n’ai pas bougé, je n’ai
pas cherché à protester ou à me
rhabiller. J’étais là, hébétée, un peu
apeurée, le regard errant un peu
partout mais souvent sur ce dard qui
semblait aussi dur qu’un pieu. Il s’en
aperçut et le dessin fini, il s’approcha
de moi. Soudain, il prit mes mains et
les posa sur son membre. Il me dit
<< Faites ce que vous voulez de lui » !
J’étais comme dans un état second, je
ne me reconnaissais plus, moi, la
femme fidèle, timide, sérieuse, res-
pectable, moi qui disais toujours ne
pas être raciste sauf pour faire
«l’amour», je me surpris en train de
masturber ce «métis» et plus les
secondes passaient, plus je prenais
plaisir à pétrir ce membre. J’étais
incapable de réfléchir, de parler; tous
mes sens étaient à vif et l’envie et le
plaisir l’ont emporté sur tout le reste.
Et, chose que j’ai faite uniquement
avec mon man, j’ai eu envie d’avoir
son gland dans ma bouche, et je le
pris ainsi, tandis qu’il m’enlevait mon
slip et mon soutien-gorge. Il me
coucha sur le lit et ses larges mains
palpèrent tout mon corps. Sa bouche
prit fougueusement la mienne et je
répondis avec autant de rage à ses
baisers. Il suça abondamment et déli-
catement mes seins et très excitée,
n’en pouvant plus, telle une chienne
en chaleur, je le suppliai de me
prendre, de me pénétrer, de me faire
jouir. Alors de tout son corps, il
m écrasa, de ses jambes écarta mes
cuisses et me pénétra ce qui me fit
pousser un soupir de légère douleur
et de satisfaction. Doucement, dou-
cernent, ce gros membre entra en
moi, dans mes entrailles, et mon
corps tout entier n’en finit plus d’être secoue par le plaisir et par une
et longue jouissance. Jusca
ce jour, je n’avais jamais autant joui.
Un bon moment après, il se
rhabilla, me remercia de la joie que je
juTavais procurée et partit. Je passai
dans la salle de bains me rajustai et
descendis rejoindre la petite fête.
Mon absence prolongée n’était pas
passée inaperçue auprès de mon
mari mais sur le moment il n’en dit
rien. Peu à peu je réalisai ce que Je
venais de faire. Un « peu tard je fus
prise de reiiords. Grâce à la compré-
hension et à l’habileté de mon mari, il
amena discrètement la conversation
sur cette soirée, et, en pleurant, je lui
ai tout avoué, en lui demandant par-
don et en lui promettant d’être plus
prudente et méfiante à l’avenir. Il a
accusé le coup, et j’ai senti que je lui
avais fait mal. Fort heureusement
pour notre foyer, l’amour a été le plus
fort. Depuis, cette aventure est deve-
nue non seulement notre secret mais
surtout notre fantasme. Parfois mon
mari fait comme s’il était « ce métis »
et cela suffit pour que tous deux
sombrions dans une jouissance mer-
veilleuse. Maintenant, nous sommes
un couple équilibré et notre vie
sexuelle a désormais atteint le para-
dis des amants heureux.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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