Aujourd’hui, j’ai écrit une douzaine de cartes de vœux à ma famille où répondant à des vœux reçus mais rien ne m’excite plus que d’écrire à propos du sexe comme cette fois où je m’étais lancée à écrire à cette femme que j’avais rencontrée alors que j’étais en vacances avec mon mari et mes enfants. Ceux-ci étaient allés quelque part en voiture et je les attendais pour dîner en buvant un apéritif au bar. Elle était arrivée au bar et elle s’était hissée sur un des tabourets tout à côté de moi. Elle m’avait demandé ce que je buvais et elle avait commandé la même chose et nous avions discuté de choses et d’autres, de nos maris et de nos enfants, si nous faisions encore l’amour…
En fait, la femme m’avait demandé si nous méritions encore d’être mariées si nous ne faisions plus l’amour. Non, si nous ne faisions plus autant l’amour qu’au début de notre mariage. J’avais été contente de lui raconter que j’avais offert à mon mari de me sodomiser quand j’étais indisposée. Elle avait ri puis elle m’avait avoué qu’elle n’était jamais allée jusque là mais qu’elle branlait son mari et qu’elle le prenait aussi entre les seins, qu’elle n’aimait pas avaler le sperme au début. Je faisais tout ça moi aussi. Elle avait une jolie robe noire presque décolletée jusqu’à son nombril parce qu’elle avait une superbe poitrine et j’allais lui raconter que j’avais souvent pensé que j’étais lesbienne quand son mari est arrivé. Elle me l’a présenté et elle m’a présenté ses cinq enfants qui faisaient comme un petit escalier car ils se tenaient par ordre d’âge et de taille. La femme m’a donné un hypothétique rendez-vous pour le lendemain soir au même endroit et ils ont quitté le bar de l’hôtel et mon mari a fini par arriver avec nos enfants.
Pendant tout le repas, je n’ai pas cessé de penser que je m’étais confiée à cette femme que je ne connaissais pas, mais elle avec quelque chose, ce petit quelque chose qui fait qu’on s’accroche à un espoir et comme pour me faire mentir, ce soir-là, mon mari m’a fait l’amour. Ça a commencé dans la salle de bains et j’ai compris tout de suite qu’il avait envie de moi parce qu’il est venu derrière moi et il a posé ses mains sur mes seins pendant qu’il me disait qu’il avait envie de me baiser. Je n’en avais pas besoin de plus et à partir du moment où il me dit ça, il a intérêt d’assurer.
– Tu veux me baiser, lui ai-je répondu ? Prépare-moi !
Et pendant que je continuais à me démaquiller, mon mari a commencé à me tripoter.
– Continue, n’arrête pas, fais-moi jouir, n’ai-je pas tardé à lui dire !
Il em masturbait et je sentais l’orgasme qui arrivait. D’habitude, quand il m’a fait jouir, il me traite de salope. Il m’a traité de salope. Il sait bien qu’il y a longtemps que j’ai arrêté de prendre la pilule et je sais qu’il n’aime pas mettre un préservatif, alors, je calcule. Maintenant je sentais sa bite entre mes fesses qui glissait et les couilles qui s’écrasaient aussi dessus. J’ai tourné la tête vers mon mari et je l’ai supplié de m’enculer et sa bite s’est enfoncée dans mon anus. La première fois, c’est moi qui lui avait demandé et pour la suite, je n’ai plus eu à le lui demander. La bouche, le vagin et l’anus. Quelquefois entre les seins. Je le branle aussi, et tout ça dans cet ordre ou dans un autre ordre. Je me contentais de le sucer quand nous étions fiancés et c’est comme ça que j’ai avalé son sperme. Il avait été si rapide. Il avait sa main sur ma tête. J’avais trouvé le goût du sperme dégoûtant mais j’ai fini par l’apprécier, pas comme quand il avait aussi uriné dans ma bouche. Je préfère qu’il urine dans mon vagin ou dans mon anus ou sur mes seins et encore plus quand ça se passe dans la douche ou dans une baignoire.
Je suis restée empalée ce soir-là quand mon mari m’a sorti de la salle de bains pour se coucher avec moi sur le lit. Quand il m’a enculée, il me traite de putain et il m’a traité de putain. Ça fait aussi quelques années qu’il aimerait bien qu’on fasse l’amour à trois avec une autre femme mais je lui réponds toujours que je préférerais que ça se passe avec un autre homme qu’il n’insiste plus.
– Tu n’as jamais vu ça, m’avait demandé une amie en me tendant un DVD !
Je lui avais demandé ce que c’était. Elle m’avait répondu que j’aimerai. En fait, c’était deux hommes qui se suçaient et s’enculaient aussi tour à tour. J’ai trouvé ça dégoûtant mais ça n’a pas calmé mon amie parce qu’elle m’a passé d’autres DVD jusqu’à ce soit une histoire entre deux femmes et c’est sans doute ce qui a fait que je finisse par aimer les lesbiennes. C’était même plus compliqué que ça parce que c’était deux amies d’enfance mais c’était peut-être aussi une histoire inventée. Deux amies d’enfance dont l’une était enceinte et délaissée par son mari. L’autre l’amène dans sa chambre et la femme enceinte découvre que les femmes peuvent se passer des hommes en utilisant des godemichés. J’en ai vu pas mal d’autres, de ces DVD et j’en vois de pas mal sur ce site mais c’était mon premier DVD de lesbiennes ou d’apprenties lesbiennes. Elles avaient honte en le faisant ensemble toutes les deux alors qu’elles aimaient aussi se masturber en l’absence de leur mari mais une fois désinhibées, les deux femmes se sont laissé aller. Ce qui me fait dire que ce n’est pas la vérité c’est que les deux femmes s’abreuvaient de « Ma Chérie » par ci et ma chérie par là.
Moi, je ne sais pas ce que je dirai quand je me ferais bouffer la chatte par mon amie d’enfance. Je l’imagine mais je ne me vois pas faire l’amour avec elle même si on s’embrassait innocemment sur la bouche quand nous étions gamines ! Je n’ai jamais parlé avec elle de ce qui me préoccupait, du fait que j’aimais me masturber, du fait que j’espionnais mes parents quand ils faisaient l’amour ou mon frère quand il se masturbait. Du premier garçon dont j’ai été amoureuses sans qu’il ne s’en doute un jour. Ma mère m’avait même imposé une cousine comme témoin quand je me suis mariée et j’ai aussi oublié de l’inviter, cette amie qui était ma meilleure amie, la meilleure amie que je n’ai jamais eue.
Ce soir-là, à l’hôtel, mon mari m’a prise par tous mes orifices et il a fini en éjaculant sur mes seins. Je l’ai laissé sur le lit pour aller me laver et quand je suis sorti de la salle de bains, il dormait. Je suis retournée dans la salle de bains et je me suis masturbée sur le coin de la baignoire. Je me suis vue dans le miroir qu’il y avait tout le long du mur. Je pensais à la femme que j’avais rencontrée au bar. Le lendemain, je l’ai croisée en sortant de l’hôtel. Elle s’est excusée de ne m’avoir pas demandé comment je m’appelais et c’est comme ça que Chloé est entrée dans ma vie. Chloé et Louise. J’habitais à Paris et elle à Bayonne et il ne s’est jamais rien passé entre nous. Elle m’avait donné sa carte de visite et je lui ai donné la mienne. Je me suis rendue compte que je l’aimais en secret. Je lui ai envoyé une carte de vœux et elle m’a répondu. Rien que de très banal et j’ai mis trois mois encore à me décider à lui écrire que j’étais amoureuse d’elle et peut-être que ça lui a fait peur que je lui expose tout ce que j’avais envie de faire avec elle. J’avais commencé par lui écrire que j’aimerais que nous voyagions ensemble, qu’on voit des expositions ensemble mais je me suis vite échauffée. Je n’avais jamais écrit de telles choses. J’ai continué en lui écrivant que nous ferions l’amour en soixante-neuf, que je la ferais jouir en la doigtant pendant qu’elle me doigterait. J’ai mis tant de détails que je pense que c’est ça qui l’a fait refuser mes avances. J’avais aussi écrit que je téterais ses mamelons et que je mettrais ma tête entre ses seins parce qu’ils ne pouvaient être que très doux.
Chloé m’a répondu que je m’étais emballée et qu’elle aimait son mari et qu’on ne serait jamais ensemble et qu’elle regrettait de m’avoir donné son adresse. J’ai attendu quelques semaines et j’ai pris le train. J’étais folle d’elle et je voulais la voir mais une fois arrivée devant sa porte, j’ai dit au taxi de me ramener à la gare et à partir de ce jour-là, j’aime écrire sur le sexe.
Louise
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