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Un doux rêve d’un monde gynarchique

Un doux rêve d’un monde gynarchique



Malgré les jours de jours fériés, mon mari est parti au travail tôt. Il n’a pas le choix, son patron décidait.
Je souriais et décidais ,moi, de profiter de cette belle journée à ne rien faire.

Je me prélassais dans mon lit et partis dans des songes bien agréables :

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J’avais invité mon amie Noémie. Elle a toujours de bonnes idées, parfois perverses je l’avoue. Ce qui n’est pas pour me déplaire…Elle m’a promis une surprise pour le weekend !

Nous nous étions quittées il y a une heure, fourbues. Les porteurs avaient les bras chargés de nos achats : escarpins, robes à paillettes, lingerie,…

Nous avions trainé les boutiques toute la journée pour nous choisir nos parures de soirée. J’avoue que j’ai toujours tendance à forcir des hanches et des seins. C’est le manque d’activité, j’en suis bien consciente. C’est pourquoi j’ai besoin régulièrement de renouveler ma garde robe.
Mon petit mari soumis travaille pour que je dépense cet argent, où est le problème ?

Évidemment, maintenant que nos petits hommes sont de vraies petites fées du logis, nous les Femmes passons notre temps à profiter de la vie et les tours de taille ne vont pas en diminuant ! Tandis que nos chers compagnons n’ont que la peau sur les os.

J’étais maintenant alanguie sur le canapé. Cochon m’avait préparé des moules marinières exquises et j’étais repue. Il avait attendu mon retour tardif de mes emplettes et, je ne sais comment il se débrouille, m’avais servi mon repas aussitôt : cuit à point.
J’avais retiré mes escarpins et attendait impatiemment que Cochon, mon compagnon de vie, finisse de débarrasser la table pour qu’il vienne me masser les pieds.
Je le regardais s’activer nerveusement (il sentait que j’étais d’humeur belliqueuse, ils ont l’instinct pour ça), nu excepté sa cage métallique, sa culotte jaune et ses mules à talon assorties. C’est vrai qu’il perdait du poids.
‘Cochon, mon verre de vin’. D’un geste précis mon verre de Sancerre se retrouva sur la petite table de salon.
Je devrais peut –être augmenter ses portions de nourriture ?
Ma vétérinaire m’a bien conseillé de surveiller son alimentation : pas plus d’un repas par jour, pas plus d’une gamelle de 0.5 l, avant le coucher de préférence. Mais je sens parfois qu’il manque de dynamisme. Sa longue journée commence à 5 h du matin et se termine…quand tout est rangé, lavé, nettoyé. La nourriture, m’a-t-elle précisé, chez un homminal comme tous les animaux domestiques est un temps de repos mérité (s’il s’est bien comporté bien sûr) et qui marque sa journée. Il faut lui inculquer un rythme et un but dans sa petite vie. Ça le maintient motivé. C’est un temps pour lui. D’ailleurs il faut le voir comment il se jette sur sa gamelle, quand le distributeur programmé de croquettes se met en marche.
Cochon, mon homme de compagnie, n’est pas castré, mais c’est tout comme…Sa dernière vidange remonte au 15 aout me semble t-il. Je me souviens encore de la scène. Il était en train de débarrasser mon repas et s’apprêtait à faire la vaisselle.

J’étais avachie sur le divan et choisissais mon programme télé, quand je tombais sur la petite nouvelle de la météo. Celle avec une grande bouche et une jolie courbure de reins. Elle portait une petite robe ravissante au dessus des genoux. Je sais que Cochon fantasme sur elle (je ne pas si on peut appeler encore ça un fantasme, quand le seul rapport qu’il ait avec une Femme est une gifle ou consiste à nettoyer un escarpin souillé).
Il fantasme donc.
Je l’ai remarqué à sa façon de rapprocher ses mains de son sexe emprisonné (un instinct d’ancien mâle sexué). Attention, rapproché mais pas touché ! Sinon le fouet prend du service. Bref, ce soir là je le voyais tourner la tête vers la télé dès qu’il entend sa chère animatrice marque un temps d’arrêt dans ses tâches ménagères (certains feront le rapprochement avec le labrador devant une perdrix qui s’envole). Je l’avais senti devenir nerveux, désordonné, troublé par cette belle personne. J’imaginais son petit sexe asséché tout en émoi en fin fond de sa prison métallique.
Je l’avoue, j’avais eu un moment de pitié à ce moment. D’un sifflement et du doigt je lui avais indiqué de venir aux pieds. J’avais ouvert le tiroir de la table de salon et sorti son vibromasseur. Avant qu’il ait pu comprendre, ce qui se passait, Je lui avais appliqué l’engin derrière son petit paquet de couilles. Sur la vitesse maxi, je l’avais fait coulisser rapidement entre ses couilles et son cul. Il n’avait mis qu’à peine une minute à éructer par deux fois, à 4 pattes les yeux exorbités devant la jeune femme annonçant une baisse des températures.
Cette fois encore son éjaculation spontanée, l’avait pris de vitesse. Pas de jouissance, à peine un râle de surprise.
Heureusement pour lui, il avait passé une culotte PVC rose transparente le matin. Le petit filet qui s’égoutta lentement de sa cage avait coulé sur le plastique et fini sa course sur la petite serviette hygiénique.
Il m’avait bien sûr remercié humblement d’avoir pris le temps’ de penser à son désir égoïste’, embrassa ma divine cheville et s’était remis au travail.
Avec l’expérience, je lui imposais en effet de porter une culotte spéciale incontinence au-delà de 2 semaines de sevrage. Il était répugnant de voir son excitation permanente, au bout de seulement 15 jours, s’exprimer en répugnantes coulures prostatiques incontrôlées, dès qu’une Femme sonnait à la porte ou lorsqu’il m’aidait à agrafer mon soutien gorge ou mes bas.
Il portait donc désormais nuit et jour dès les 15 jours après sa vidange, une culotte étanche transparent mais de couleur différente selon les jours de la semaine. Cela m’amusait aussi de le voir se trémousser dans ses culottes, accompagné du bruit caractéristique du pvc épais qui suivait ses mouvements. La serviette hygiénique absorbait les ‘débordements’ prostatiques et les odeurs insupportables. Je m’amusais à observer la condensation sur le plastique avec la journée qui avançait. La culotte qui flottait au petit matin, finissait toute moite et coulée à sa peau dès l’après midi.
Avec l’effet de serre, je me demandais vicieusement en moi-même si son excitation n’en était pas accentuée !

La nouvelle république Gynarchique préconise une vidange tous les 28 jours pour se coller sur le rythme Féminin. Le but était de rendre nos homminaux plus doux puisque tous les 28 jours seulement leurs couilles inutiles étaient vidées. Ainsi la routine s’instaurait, ces homminaux attendaient sagement leur bonheur mensuel, leur caractère de nature teigneuse et brutale était ainsi maté et cela rassurait la majorité de leur Propriétaire.
Pour ma part, j’avais adopté un rythme plus espacé, en général tous les trimestres s’il se tenait bien. J’aimais sentir chez mon homminal l’évolution de son comportement au cours des semaines. J’avoue que cela m’excitait de le maintenir dans cet état de manque, j’avais le sentiment de retrouver le côté a****l instinctif de l’homme primaire.
Passé 15 jours, je le surprenais à se caresser les couilles. Il devenait plus attentif aux ordres. Port de la culotte d’incontinence obligatoire.
Passé 1 mois, son regard changeait, ses caresses devenaient plus nerveuses. Il se prosternait souvent à mes pieds pour les lécher.
60 jours passés, les coulées prostatiques étaient quotidiennes, il devenait maladroit, impatient. Je devais le corriger au fouet pour des mains trop baladeuses, des coups de langues au dessus de la cheville sans en avoir reçu l’ordre, des supplications insupportables.
90 jours, malgré la cage métallique à picots, son petit sexe venait frotter douloureusement contre ses barreaux (des gouttes de sang perlaient parfois), la lessive à la main de ma petite lingerie lui était insupportable, ses couilles en permanence remontées et gonflées contre l’anneau le faisaient souffrir. J’avais même remarqué qu’il salivait énormément en nettoyant les tiges de mes bottes.
Alors je ne vous parle pas de son excitation quand il venait rendre hommage à mon Clitoris. Sa langue affolée parcourait mon corps sans relâche, je devais lui nouer les mains et les pieds pour le ‘tenir’. L’a****l m’arrachait parfois 3 orgasmes d’affilée.

Je sortais de ma rêverie quand Cochon avait enfin fini de faire place nette sur la table et me massait les pieds de ses mains gantées de gants jetables. Il avait délicatement détaché mes bas des jarretelles (il connaissait trop bien la sanction pour un bas filé !), les avait pliés et posés à côté de mon verre. Je fermais les yeux de bonheur et posais mon autre jambe sur son dos courbé.

‘Cochon, je suis fatiguée ce soir. Ma journée a été épuisante. Tu finiras tes tâches une fois que je dormirai’
‘Bien Melle Angèle’
‘Je finis mon verre et tu viendras me déshabiller et t’occuper de moi’
‘Bien Melle Angèle’
‘Tu penseras bien à tout préparer pour Noémie demain : nettoyage général, canapés pour l’apéritif, canard à l’orange, dessert, etc. Enfin, tu as suivis ma liste de commission ? Et ensuite tu me prépareras mes bottes rouges pour demain, ça fera plus fête . Je veux qu’elles luisent. Ma guêpière dentelle redresse seins rouge et mes bas couture 15 derniers Cervin que je viens d’acheter, ça ira bien avec ma nouvelle robe. Tu me la repasses ce soir.’

Il passait à mon autre pied, j’appuyais l’autre jambe sur son épaule. Je notais qu’il jeta rapidement un regard sur mon entrejambe. J’ignorais cette faute, son dernier sevrage depuis le 15 aout le rendait si sensible !

‘Ah j’y pense : exceptionnellement tu passeras une culotte satinée rouge, tu seras plus présentable auprès de mon invitée qu’avec tes culottes ridicules étanches, d’autant qu’elle viendra avec ses 2 homminaux. J’ai acheté la même pour moi en version string. Evidemment pour toi j’ai pris une version taille haute, tu placeras une serviette pour contrôler tes fuites.’
‘Merci Melle Angèle’
‘Tu n’auras qu’à mettre tes mules rouges à pompons pour l’accompagner. Celle avec les talons de 12 cm.’

Je le repoussais du pied et me dirigeais dans ma chambre, fourbue.
Il me suivi mes bas d’une main et mes escarpins Louboutins de l’autre.

Pendant que je passais à ma salle de bain, il rangeait mes affaires et préparait mon lit et m’attendait à genoux.
Le cérémonial pris fin lorsque je le repoussais son front d’un pied.
Sa langue avait longuement couru à l’intérieur de mes cuisses avant de venir honorer mon Clitoris. Il avait léché consciencieusement mes sécrétions abondantes en lapant bruyamment comme j’aimais qu’il fasse. Mon orgasme avait été apaisant.
Je lui avais un moment coincé le visage entre mes cuisses tétanisées puis l’avais laissé respirer à nouveau.

Il me souhaita une bonne nuit, le souffle court et le visage rougis et repartit silencieusement à ses tâches domestiques.

A suivre ?

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