Lorsque je m’éveillai, complètement nu, étendu sur la pelouse près de la piscine, je cherchai du regard mes vêtements mais je ne vis rien, sauf Sylvain qui m’observait de la terrasse. Il était assis et sirotait un café. Il me sourit, avant de m’inviter à le rejoindre. Bien qu’il m’ait vu nu quelques heures auparavant, je ressentis une certaine timidité de me présenter à lui la queue pendante.
– Je crois bien que les gars t’ont dérobé tes vêtements, me dit-il en me désignant une chaise. Attends, je vais aller te chercher une robe de chambre. Je ne refusai point son offre, sachant en plus que Denis viendrait nous rejoindre dans peu de temps. Il revint donc en me tendant une superbe robe de chambre en satin (quoi que je ne porte jamais ce genre de tissu) mais je dois avouer qu’elle était jolie. De toute façon, j’aurais accepté n’importe quoi pour me cacher le cul. Alors Etienne, tu as apprécié ta soirée? me demanda-t-il en me versant du café.
– Je dois avouer que ce fut très amusant cette chasse aux flags mais encore plus d’avoir perdu, répondis-je en riant. Tous ces supers mecs… Vous les avez bien choisis.
– Disons que Denis et moi avons l’oeil pour les mecs et notre réputation aidant, c’est plutôt facile d’attirer des mecs dans votre genre. Il y avait un bout qu’on t’avait remarqué au bar mais nous attendions le bon moment. Lorsque nous avons décidé de faire ce weekend de bûcherons, nos nous sommes aussitôt dit que tu étais le mec parfait.
– Merci, c’est gentil.
– C’est tout simplement une vérité, rien d’autre. Je ne dois pas être le premier qui flanche sur ton body. Les occasions de baiser ne doivent pas te manquer.
– Je dois avouer que de ce côté, je n’ai pas à me plaindre, répondis-je avec un sourire intimidé avant de prendre une gorgée de café. Ce mec me rendait nerveux et je ne savais trop pourquoi. Peut-être craignais-je qu’il veule me baiser alors qu’il ne me plaisait nullement. Nous discutâmes pendant quelques minutes, surpris de ses propos; il me proposait quelque chose que je ne savais si je devais accepter. L’offre était alléchante, je dois l’avouer et je me décidai à accepter. L’important était que je n’aie pas à coucher avec lui. J’avalai mon café avant de rejoindre la gang au camp, la queue pendante entre les jambes. Il n’était pas question que je me présente avec cette robe de chambre satinée, ayant été à coup sûr la risée des mecs, ce que je fus tout de même lorsqu’ils me virent arriver nu comme un ver.
– Très drôle, très drôle, leur dis-je en entrant dans le camp pour y enfiler un jeans, trouvant un mec couché sur son lit en train de se masturber. Il avait une queue énorme et je me souvenais très bien l’avoir sentie me fourrer le cul bien à fond la veille. Il me regardait, un sourire aux coins des lèvres comme pour m’inviter à le rejoindre. Je m’appuyai contre une colonne de bois, bien décidé à l’exciter. Je me mis donc à me caresser la poitrine d’une main et à me tripoter la queue par dessus mon jeans, le fixant droit dans les yeux. Il accéléra le mouvement de sa main sur sa queue. Doucement, je dégrafai mon jeans pour en sortir ma queue déjà bien dure.
– Approche que je te suce, me dit-il. Je demeurai sur place, trop heureux de le voir si excité sans qu’il puisse me toucher. Il insista à quelques reprises mais je ne bougeai point, me contentant de me masturber, glissant ma langue sur mes lèvres que j’avais envie d’ouvrir pour y engloutir sa grosse queue mais je ne devais pas si je désirais faire durer mon plaisir. J’ai toujours aimé voir un mec me regarder avec envie et là, j’en avais pour mon argent. Il en bavait tant il me désirait et peut-être se remémorait-il lorsqu’il m’avait enculé à grands coups avant de me remplir le cul de son foutre chaud et gluant. Moi, de mon côté, je me souvenais très bien de sa bite longue et large qui m’avait transpercé la rosette d’un seul coup brusque en me disant: « Prends ça ma salope et profites-en au max ». Et je dois avouer que j’en avais tellement bien profité que le suivant, je ne l’avais que très peu senti. Par chance, il avait jouis à toute vitesse, laissant la place à quelqu’un qui savait fort bien se servir d’une verge.
Jetant un oeil à la fenêtre, j’aperçu deux mecs qui nous observaient. Je les ignorai, augmentant tout de même mon excitation d’avoir des spectateurs. J’accélérai donc le mouvement sur ma queue, y joignant les deux mains en me balançant le bassin d’avant en arrière. Lentement, je m’approchai du mec qui changea de position, s’assoyant sur le matelas. Je m’arrêtai lorsque je me trouvai à quelques centimètres de sa bouche déjà entrouverte. Je crachai dans la paume de ma main pour ensuite la glisser sur mon gland. Le mec se rapprocha et je reculai aussitôt, continuant à lui montrer ma bite bien dure qu’il aurait bien voulue au fond de la gorge mais je persistais dans mon bonheur de le voir ainsi, à ma guise de la lui donner ou non. Et je décidai de terminer le petit jeu, enfouissant ma bite dans mon jeans. Il était temps que je prenne une douche et je sortis donc du camp, saluant les deux mecs à la fenêtre d’un signe de tête. Il fallait que je me prépare pour le déjeuner et je savais que vers dix heures, il y avait une compétition de sciage de bûches. Ce genre d’activité me laissait froid mais je me devais d’y participer, comme tous les autres. Ça pouvait être amusant de regarder tous ces muscles en action.
Donc, comme entendu, à dix heures exactement, le contremaître nous invita à se rassembler autour d’un chevalet sur laquelle une énorme bûche y avait été déposée. La compétition se ferait à deux, devant utiliser une scie à triangles équilatéraux, les duos étant formés par une pige. Je me retrouvai avec un mec dont on ne s’était pas encore adressé la parole. Nous avions exactement deux minutes pour scier la grosse bûche, ce qui nous obligerait à opérer à toute vitesse. Nous étions les premiers sur la liste. Nous prîmes donc place, chacun de notre côté de la scie. Au coup de sifflet, nous commençâmes à opérer et ce, le plus vite que nous le pouvions. Bien entendu, nous étions penchés vers l’avant et soudain, je sentis une pression contre mes fesses. Un mec se plaisait à me tripoter le cul, sans doute pour me distraire. Je n’en fis pas de cas jusqu’au moment où il tenta de déboutonner mon jeans. Je m’arrêtai aussitôt et lui flanquai un coup de poing au visage, outragé par cette façon de vouloir me déstabiliser. Le mec se retrouva par terre. Je tentai d’apercevoir le contremaître pour lui expliquer les faits mais il n’était plus là. Le mec se releva et me fit face en me fixant sévèrement. Je lui rendis son regard pour l’informer qu’il ne devait pas me faire face car la colère aidant, je me savais fort capable de lui briser la mâchoire. Il s’approcha tout près. Je pouvais sentir son haleine. Il pointa son index sur ma poitrine avant de me dire que je venais de faire la pire erreur de ma vie. Tout à coup, il fit un signe de tête à deux mecs qui s’empressèrent de se jeter sur moi. Les bras tenus par derrière, le fameux mec me sourit avant de poser sa main sur mon jeans, là exactement où se trouvait mon sexe.
– Et puis, tu crois toujours que tu peux me flanquer une baffe sans que je réagisse? me dit-il en pressant sa main. Tu n’as pas aimé que je te tripote le cul ou quoi? Pourtant, tous savent ici que tu es une belle salope et que ton cul appartient à qui le veut bien. Tu nous l’as bien montré la nuit passée. Ose dire que tu n’as pas aimé avoir toutes ces grosses bites dures dans ton petit postérieur de chienne en chaleur, poursuivait-il en ouvrant mon jeans. Et bien, et bien, ça semble t’exciter car ta queue se durcit. Est-ce moi qui te fais de l’effet ou bien c’est de te retrouver au milieu de nous tous, sachant que nous t’avons tous fourré comme une dinde, te remplissant au max de notre sperme? Allez les mecs, placez-le sur la bûche de sorte à ce que nous puissions voir son petit cul de salope.
Je me retrouvai donc, contre mon gré, la poitrine étalée sur la bûche. Sans attendre, le mec baissa mon jeans et je sentis aussitôt sa queue qui glissait entre mes fesses. Je ne parvenais nullement à me déprendre des bras de deux mecs qui me tenaient bien fermement contre la bûche. Mais où se trouvait donc ce maudit contremaître? Je suis certain que tu aimes te faire prendre de force et comme je suis un gentil garçon, je vais te donner satisfaction, me dit le mec en m’enfonçant sa queue bien à fond. Regardez les mecs comme il aime ça se faire planter. Sans doute apprécierait-il si l’un de vous lui remplissait la bouche. Et je me retrouvai avec une queue au visage. Je tentais de me débattre mais je ne parvenais nullement à contrôler mes gestes. Il me semblait que je me retrouvais seul dans mon camp, tous les autres mecs se plaisant à regarder la scène avant d’y participer. On me défonçait le cul avec v******e, m’obligeait à sucer les queues qui entraient et sortaient de ma bouche et personne ne me venait en aide. Soudain, une chaleur se propagea sur mon dos et je sus qu’on me pissait dessus. Je tentai de tourner la tête pour voir lequel agissait de la sorte mais on me la tenait bien ferme pour que je suce toutes les queues qui se présentaient à moi. Que pouvais-je faire d’autre? Je n’avais nullement l’intention qu’ils me violentent alors que je ne pouvais me défendre. Je savais que tous ces mecs profiteraient de l’occasion pour me sauter et sans nul doute le fait que je n’étais point consentant augmentait leur excitation. Je ne pouvais dire combien de mecs m’avaient pénétré pas plus combien de queues j’avais sucées. Ils étaient tous autour de moi, attendant avec impatience de pouvoir assouvir leur désir de me violer. Je le vis, ce mec, s’approcher de mon visage, tenant sa queue entre ses mains. Je savais ce qu’il désirait et surtout, je ne doutais nullement qu’il le ferait avec plaisir. C’est alors qu’il se mit à me pisser au visage. Son urine dégoulinait dans mes cheveux, glissant sur mon front pour atteindre mes lèvres. On m’obligea à ouvrir la bouche et sans attendre, il pointa sa queue entre mes lèvres. Son urine forte suivait la trajectoire de ma gorge et je ne pouvais faire autrement que de tout avaler et un autre suivit, et un autre, et un autre. Ils se plaisaient tous à me pisser dans la bouche en me giflant, me traitant de pute, de chienne, de salope tandis que d’autres m’enculaient de toute leur force, jouissant de grands cris virils pendant qu’ils me venaient dedans. Et la totale arriva. Le fameux mec du début m’enfourna et je sentis son urine couler dans mon cul. Il me pissait dedans. C’était bien le seul endroit de mon corps qui n’avait pas été arrosé et là, il se plaisait à me remplir de sa pisse en riant comme un démon tout en me claquant les fesses de sa large main. Il se retira et je m’empressai de faire en sorte de me débarrasser de ce liquide qui coula le long de mes cuisses. Je croyais que c’était la fin mais non, le mec s’agenouilla et se mit à lécher son urine sur ma rosette avant de se retirer pour laisser la place à une autre queue qui m’embrocha bien à fond, elle aussi. Et ça recommençait. C’est alors que je me dis qu’ils jouiraient tous et qu’ils me foutraient la paix mais non, ça ne se passa pas comme cela. Bien entendu, aucun ne manqua de me remplir au max de leur foutre. Ils me relevèrent, me giflant de sorte à m’humilier. Je relevai mon jeans, sans rien dire, et je me dirigeai vers la douche extérieure pour me débarrasser de toute cette urine. Je les entendais rire, tous, sans exception, me disant qu’ils n’étaient que de la vermine. Comment avaient-ils pu participer à cet acte bestial et avec autant de plaisir? Pas un n’était venu à son secours, trop pris par leur fantasme de viol qu’ils pouvaient enfin vivre au grand jour.
Sous les jets de la douche, je vis s’approcher le mec, ce fameux mec qui avait tout commencé. Il me sourit. Je lui souris.
– Tu n’y as pas été de main molle, lui dis-je en riant quelque peu.
– Je savais bien que tu pouvais en prendre et pourquoi me serais-je gêné?
– Tu les as vus? Ils étaient tous fous d’excitation de te voir me violer. Ils sont malades ou quoi?
– Tu dois avoir un don pour exciter les mecs, peu importe la situation, dit-il en riant avant de m’embrasser tendrement. Je suis bien content que tu aies accepté l’offre des patrons. Je t’aime bien tu sais. Je pourrais fort bien tomber en amour avec toi.
– Tente de ne pas tomber de trop haut car je désire rester célibataire.
– Et pourquoi donc?
– Je ne crois pas en la fidélité. Et tu t’es sûrement aperçu que j’adire baiser mais le faire toujours avec le même mec, pas pour moi.
– Alors, tu me briseras le coeur.
– Et toi, tu serais prêt à cesser de baiser tous les mecs baisables pour un seul mec?
– Pour un mec comme toi, n’importe quand, me répondit-il en m’embrassant à nouveau.
– Je ne te crois pas. Tu peux avoir tous les mecs que tu veux.
– Je ne crois pas, non, dit-il en rebroussant chemin
Je terminai donc de me doucher, ressassant cette idée que des mecs puissent avoir participé à un viol avec autant d’ardeur et de plaisir. Comment se sentaient-ils maintenant?
La journée se passa sans autre incident et le contremaître refit surface lors du grand dîner offert par les hôtes, encore une fois sur leur terrasse. Je ne peux compter les regards des mecs qui me dévoraient tout au long de l’après-midi. Je ne parvenais pas à croire qu’ils étaient encore excités à la seule pensée de ce viol. Je me plaisais à croire que certains me fixaient en éprouvant des remords mais au fond de moi-même, je savais fort bien que ce n’était nullement cela. Ils étaient tout simplement encore excités et en redemandaient. Comment pouvait-on être aussi bestial? Comment pouvait-on se laisser contrôler que par ses pulsions qui faisaient de vous des êtres ignobles et sans moral?
Dix-sept heures arriva enfin. C’était le temps de quitter le domaine, du moins pour la plupart. Quatre d’entre nous, dont moi, demeurèrent sur place, invités pour un souper léger par Denis et Sylvain. Je me retrouvai donc autour de la table en compagnie de nos hôtes, du mec qui m’avait enculé dans le bois à mon arrivée, de celui que j’avais enculé dans la chambre et non le moindre, du mec qui m’avait violé… et qui m’avait quasi fait une déclaration d’amour pendant que je me douchais. Nous étions quatre… quatre employés de Sylvain et Denis. Et oui, j’avais accepté l’offre de Denis de me joindre au groupe qui agrémentait les soirées et les weekends au grand domaine. Dorénavant, je n’aurais plus aucune invitation car je participerais en tant qu’employé et mon job avait commencé le matin même alors qu’on me violait ou du moins, qu’on croyait me violer. Tout n’était que théâtre et rien d’autre. Un simple scénario qui pourtant, me restait dans le fond de la gorge comme une abomination. Bien entendu que j’y avais pris plaisir, sachant que mes trois comparses contrôlaient la situation mais les autres, tous les autres mecs qui n’étaient au courant de rien, avaient bien participé à ce supposé viol et c’est ce qui me mettait en colère… ou triste, je ne savais plus trop.
Je quittai donc pour retourner à Montréal, attendant avec impatience le téléphone de Denis ou Sylvain pour m’aviser que je devais me rendre au domaine pour y travailler.
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