Julie était étendue sur le lit, entièrement nue, le regard dirigé vers l’objectif du caméscope, exécutant les devoirs donnés par ses professeurs. Elle posa ses mains autour de la taille, les remonta vers sa poitrine avec une infinie lenteur, puis fit rouler la pointe de ses seins entre le pouce et l’index. Dès lors, elle se mit à gémir doucement. Elle descendit vers son ventre, s’attarda sur son nombril un moment, essayant de reprendre son souffle. Julie écarta les cuisses, glissa un doigt entre ses petites lèvres et le fit coulisser de façon très délicate. Elle évita tout contact avec son clitoris gorgée de plaisir, devenu très sensible depuis ses séances quotidiennes de masturbation.
Julie, les yeux mi-clos, la tête rejetée vers l’arrière, se mordilla la lèvre inférieure. Elle éprouva des frissons sous le poids de ses caresses, faisant des va-et-vient à l’intérieur de sa chatte qui mouillait de manière très abondante. Puis, elle retira son doigt pour le porter à sa bouche. Elle écarta les lèvres, savoura son jus intime et manifesta son plaisir en laissant échapper un gémissement plus fort que les précédents. Finalement, elle attrapa le godemichet qui se trouvait à ses côtés, le glissa dans son vagin et se branla après avoir guidé son autre main vers sa poitrine. Elle lorgna la caméra un moment quand une décharge la souleva du lit, lui ravissant un petit cri de plaisir, à peine audible mais qui sembla durer une éternité. Elle venait de goûter à son premier orgasme. Le premier d’une longue série car la leçon ne faisait que commencer. Elle ramena les genoux contre sa poitrine, lécha le godemichet sur toute sa longueur et le glissa à nouveau dans son vagin…
La jeune adolescente passa une nuit relativement courte, réveillée par le son du réveil posé sur la table de chevet. Elle poussa un long bâillement, quitta le confort de son lit et s’en alla vers la salle de bain pour faire sa toilette. Durant cet intervalle, elle reçut un message du proviseur. Il s’agissait des dernières instructions avant de partir pour le lycée. Elle ouvrit le tiroir de la commode, laissa choir la serviette de bain et saisit les vêtements approuvés par ses maîtres. On avait jeté son ancienne garde-robe à la poubelle. Cela faisait bientôt deux semaines mais le souvenir d’une quarantaine de bites la prenant aux quatre coins de la maison était encore très présent. Julie termina l’habillage. Puis, elle observa son reflet dans le miroir. Elle portait une jupette qui moulait parfaitement son petit cul rebondi, un tee-shirt dont le tissu très fin laissait entrevoir la pointe de ses seins, des bas résilles qui mettaient en valeur ses longues jambes fuselées et des talons hauts. Julie, pute de l’école. Elle se détourna de la glace, honteuse.
Julie n’avait plus beaucoup de temps pour se rendre au lycée. Elle remonta la mini-jupe autour de la taille, écarta les fesses et enfonça un sex toy à l’intérieur de son fondement sans même avoir besoin de lubrifiant. Cela faisait un moment que le proviseur la contraignait à cet exercice. Pareillement, on lui avait interdit le port de sous-vêtements. Et c’est sous une pluie torrentielle que la petite lycéenne franchissait les barrières de l’établissement scolaire, trempée jusqu’aux os. Elle se présenta devant le bureau du proviseur, frappa à la porte et patienta jusqu’à ce que ce dernier daigne la faire entrer.
– Tu as l’air frigorifiée, déclara le proviseur, installé derrière son bureau. Je vais jeter un coup d’œil à tes devoirs pendant que tu prends ton petit-déjeuner. Viens te placer entre mes jambes… et plus vite que ça !
– Oui, maître. Tout de suite.
Julie se glissa immédiatement sous le bureau du proviseur, baissa le pantalon et pompa le gourdin avec une docilité surprenante. De son côté, le proviseur visionnait les devoirs de son élève, laissant échapper un râle satisfait quand une main experte lui caressa les testicules. Soudain, le téléphone sonna. Le principal prit l’appel sans éprouver la moindre gène, se fichant complètement de son élève.
– Lycée Condorcet, que puis-je pour vous ? fit-il d’une voix ordinaire. Ah, monsieur Jouannot. Quel plaisir.
Julie cessa toute activité mais le proviseur s’en rendit compte, la forçant à continuer son ouvrage. Elle ne tenta pas de se dégager quand une main la saisit par derrière, sentant la bite de son bourreau glisser lentement dans sa gorge, les yeux emplis de larmes. Pendant ce temps, le proviseur avait activé le haut-parleur.
« Je me fais beaucoup de soucis pour Julie. Elle a un comportement très étrange ces derniers temps… »
La jeune fille avait du mal à se concentrer sur la voix de son père, tâchant de conserver son souffle alors qu’on lui baisait la bouche.
« Je l’ai encore entendu l’autre soir… elle s’adonnait à des choses. Vous voyez de quoi je parle… »
Le principal écoutait d’une oreille, sans attention soutenue.
– Je vois très bien… J’ai moi-même une fille, vous savez. Je suis confronté aux mêmes difficultés.
« Je ne sais plus comment la gérer… »
– Il n’y a vraiment pas de quoi s’alarmer, monsieur Jouannot. C’est normal à son âge de se livrer à des expériences. Vous devriez la laisser faire… Pour son propre bien. Faîtes-moi confiance.
« Vous avez raison, monsieur le directeur. Vous êtes de bon conseil. Toujours. Je tiens à vous remercier.
– C’est très naturel. Nous sommes pères, tous les deux. Au-revoir, monsieur Jouannot.
Le proviseur raccrocha.
– Tu arrêtes que si je te l’ordonne, dit-il en la tirant par les cheveux. C’est bien compris ?
– Oui, maître.
Il la plaqua contre le bureau, écrasa sa poitrine sur les dossiers répandus sur la surface de travail et retroussa la mini-jupe sans la moindre délicatesse. Il avait tout le temps pour admirer ce petit cul.
– Je vois que tu es très appliquée dans ton apprentissage, continua le proviseur en voyant le plug enfoui dans son anus.
Julie ne put retenir un gémissement quand elle sentit l’objet bouger à l’intérieur de son fondement. Le proviseur réagit aussitôt, lui envoyant une décharge dans le collier.
– Je ne veux pas un seul bruit. On consomme en silence.
La jeune fille serra la mâchoire très fort, la douleur encore présente. Elle ne dit rien quand le principal lui adressa un coup de pied pour écarter ses jambes.
– Je vais t’apprendre les bonnes manières. Pas comme ton abruti de paternel. Remercie-moi.
– Je vous remercie, maître.
Le proviseur la saisit par la taille, plongea à l’intérieur de son vagin et la pilonna sans vergogne. Julie encaissa les coups, le souffle court, muette. Elle pouvait sentir les couilles de son précepteur claquer contre ses fesses, toujours plus fort. Finalement, il se retira des entrailles de la fillette. Il continua de se branler de façon énergique, poussa un grognement satisfait et arrosa copieusement le postérieur de sa soumise.
– Relève-toi.
Julie s’exécuta. Elle en profita pour ajuster sa jupe, les fesses complètement trempées.
– Tu vas mettre ça dans ta chatte, expliqua le proviseur, en sortant un objet qui ressemblait beaucoup à un œuf.
L’adolescente croisa le regard du principal mais n’insista pas plus longtemps, sans doute par crainte d’une nouvelle décharge électrique. Elle écarta les jambes et glissa l’œuf dans sa fente, surprise par sa texture à la fois lisse et souple.
– Tu donneras également ce pli au professeur de biologie, ajouta le proviseur. Et maintenant file rejoindre tes petits camarades.
Julie attrapa la grosse enveloppe, fit demi-tour et quitta le bureau du directeur.
La jeune lycéenne se dirigeait vers la classe de biologie, baissant les yeux quand elle croisait un élève. Et malheureusement pour elle, le couloir était bondé. Elle pressa le pas pour ne pas subir cette humiliation plus longtemps, les jambes ruisselantes de sperme. Les moqueries fusèrent de partout.
– Tu vas sucer qui aujourd’hui ? demanda une fille sur un ton méprisant.
– On laisse vraiment entrer n’importe qui dans cette école, railla un garçon de terminale.
Julie tourna au croisement suivant pour se réfugier dans la classe de biologie. Elle se présenta devant le bureau du professeur de SVT et lui confia le pli.
– Tu peux aller à ta place, dit-il après avoir lu le mot du proviseur, affichant un sourire narquois.
Julie rejoignit son poste de travail alors que la sonnerie retentissait dans les couloirs. Les élèves firent leur entrée, rejoignant leur table sans lui prêter la moindre attention. Le professeur de SVT leva les mains pour avoir un peu de calme.
– Le cours d’aujourd’hui portera sur la disparition des reliefs. Veuillez sortir votre manuel. Page quarante deux.
Le professeur se plaça devant le bureau de Julie.
– Commence la lecture.
Elle inclina doucement la tête. Puis, elle prit la parole :
« Les chaînes de montagnes anciennes ont des reliefs moins élevés que les plus récentes. On y observe à l’affleurement une plus forte Oooh !… »
Julie tressaillit quand une décharge de plaisir satura son bas ventre, risquant de la faire tomber de son tabouret. L’œuf. Il émettait des vibrations.
– Poursuis la lecture, s’il te plaît.
Elle adressa un regard apeuré au professeur, le suppliant de ne pas continuer. L’enseignant glissa une main dans la poche de sa blouse, attrapa la télécommande et augmenta le niveau au maximum. Julie reprit la lecture alors que les vibrations se faisaient plus fortes.
« …proportion de matériaux transformés et… et formés en profondeur. Hmmm ! »
Julie avait beaucoup de mal à ne pas gémir, sachant pertinemment qu’elle ne pouvait pas lutter avec cet œuf coincé dans son intimité.
« Les parties superficielles… aaaaah ! Je veux dire… les… les reliefs tendent… Oooh ! »
Penchée en avant, elle se servait du tabouret pour calmer sa chatte en chaleur, faisant lentement onduler son bassin sur la surface en bois.
« Les produits… sous forme solide… Je… Hmmm ! Des phénomènes tecto… tectoniques AAAAH ! »
– Julie !
Elle leva yeux vers le professeur de SVT, revenue soudain à la réalité. L’œuf ne vibrait plus. Depuis combien de temps ?
– Nous devons parler. Suis-moi dans la réserve.
Julie se redressa lentement, le regarde vide. Elle se dirigea vers la pièce voisine, manquant de perdre l’équilibre à plusieurs reprises. Les autres élèves ricanaient à voix basse.
Le professeur de SVT la laissa entrer en première. Il ne ferma pas complètement la porte pour que toute la classe puisse entendre leur entretien. Julie attendait au fond de la réserve, sachant parfaitement ce qui allait suivre.
– Ce comportement est inadmissible, dit-il en s’approchant de la jeune fille. Je vais devoir en référer au proviseur.
Le professeur abaissa son pantalon, saisit la jeune fille par les cheveux et la tira en avant.
– AAAAH !
Julie posa sa langue sur le membre en érection, avala les testicules et remonta lentement vers le gland. Elle effectua des va-et-vient avec sa bouche, lui titillant le bout avec la langue. De son côté, le professeur de SVT sentait qu’il n’allait pas tarder à jouir.
– C’est bon, tu peux lâcher ma bite, finit-il par dire, bien décidé à ne pas en rester là. A présent, je vais casser ton petit cul. Penche-toi en avant.
L’adolescente tourna le dos au professeur, se posa contre le meuble le plus proche, redoutant la suite des évènements.
– C’est un joli jouet que tu as là, déclara-t-il une fois le plug extrait. Tu dois vraiment être une grosse salope pour te promener avec ça dans le fion.
Il l’a pénétra d’un seul coup, peu disposé à lui faciliter la tâche. Et puis, ce n’était pas la première fois qu’elle se faisait enculer à sec.
– Je veux t’entendre crier, lui dit-il à voix basse. Que toute la classe puisse profiter.
Le professeur la sodomisa encore plus fort, la traitant de tous les noms. Il lui donna même des claques pour la rendre plus coopérative. Julie essaya de résister mais cet effort ne dura qu’une fraction de secondes.
– Oh, mon dieux ! Oui ! OUI ! dit-elle à voix haute, ballotée dans tous les sens.
Elle cria si fort que tout le lycée devait être au courant de ses agissements. Le professeur de SVT en parut satisfait car il quitta son petit trou pour lâcher son jus sur le visage de Julie. Elle en avait partout. Les vêtements. Les cheveux. Mais il refusa qu’elle s’essuie. Il l’a raccompagna dans la salle de classe.
– Ton argumentation plaide en ta faveur, Julie. Je fermerais les yeux pour cette fois.
Le professeur caressa une dernière fois les fesses de son élève, la laissant retourner à son poste de travail.
Julie profita de la récréation pour se rendre aux toilettes. Elle venait de finir son affaire quand il lui sembla entendre des bruits provenir du compartiment voisin. Intriguée, elle s’approcha de la cloison pour satisfaire sa curiosité. Il y avait un trou un peu plus bas. Et quelle ne fut pas sa surprise quand le sexe d’un homme en émergea. Elle poussa un petit cri.
– Tu en as vu d’autres, déclara le garçon situé de l’autre côté. Mais tu n’as pas encore goûté à la mienne.
– Pas question, répondit la lycéenne.
– Mais je ne t’ai rien demandé, dit-il en retour. Pas encore.
Il s’écoula un moment avant que l’occupant de la cabine voisine ne prenne à nouveau la parole.
– Tu vas faire tout ce que je dis… ou je te balance sur Internet.
Julie resta de marbre. Le lycée était déjà au courant mais les professeurs faisaient en sorte que l’information n’aille pas au-delà des murs de l’établissement. Cependant, ils n’avaient aucun contrôle sur Internet. La nouvelle ferait l’effet d’une bombe. Elle serait la risée du pays. Et même plus. Le monde entier saura.
– J’ai la bite qui me démange… si quelqu’un pouvait me la branler.
A contrecœur, elle saisit la verge en érection, puis dans un mouvement de va-et-vient elle le masturba. Le garçon grogna de satisfaction.
– C’est pas mal. Mais ça ne vaut pas une bonne pipe.
Julie entreprit de lécher le bout du gland gonflé par le sang. Continuant ses mouvements de va-et-vient elle glissa le sexe dans sa bouche, avalant les dix-neuf centimètres de chair. Elle pompa son dard durant cinq bonnes minutes, se demandant à quel moment il lui enverrait son jus pour que cette histoire prenne fin.
– A présent, je me paierais bien ta chatte.
Julie ne dit rien. Elle remonta sa jupe, puis se prépara à recevoir le membre de son maître chanteur. Le gland se faufila entre ses lèvres, allant jusqu’à effleurer son clitoris gonflé de plaisir. Et finalement, elle s’empala complètement sur la tige.
– Aaaaah !
– C’est assez confortable, ajouta le garçon d’une voix rauque. Un garage à bites de première classe.
Julie ignora les louanges de son partenaire, remuant le bassin pour mieux sentir son engin frétiller à l’intérieur de son vagin. Pour tout dire, il n’avait pas besoin de faire quoique ce soit. Elle s’occupait de tout.
– Je vais pas tarder à jouir…
Julie se balançait toujours d’avant en arrière, laissant échapper des petits cris excités. Soudain, elle sentit le sexe se contracter, puis lâcher une grosse quantité de semence dans son ventre.
– Je me suis bien vidé, conclut le maitre chanteur avant de quitter les toilettes. On remet ça quand tu veux.
Julie resta à l’intérieur du compartiment, assise dans une flaque de sperme. Elle avait du mal à avoir les idées claires. Finalement, elle réalisa. Elle n’était plus uniquement la cible des professeurs. Les élèves s’y mettaient aussi.
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