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Laurie (1)

Laurie (1)



Les jonquilles sont en fleurs. C’est l’aube d’un nouveau printemps et je suis venue passer quelques jours de vacances chez ma tante Claude et mon oncle Michel. J’adore les Vosges et Gérardmer. J’aime le calme rassurant du chalet de ma tantine et je suis heureuse de fouler leur grand parc où la vie éclot de nouveau. La sève qui nourrit tout, bouleverse plantes et arbres, et je suis fascinée par cet émerveillement, cet enchanteur réveil de la terre. Maman est la sœur de Michel. Nous ne nous voyons que trop peu à mon goût.

Alors je profite de ces vacances de mars pour venir passer quelques jours ici, avec eux. J’aime le calme de leur demeure, la douceur du temps de ce mois de mars et j’ai l’impression de revivre. Pour l’heure, ils sont tous les deux au travail et je me promène sur les berges du lac, le long de leur propriété. Je suis arrivée dans l’après-midi et j’attends le retour de Claude, nos relations sont excellentes, c’est une chouette femme et elle rend mon tonton heureux.

Je sais qu’elle me considère un peu comme sa fille, elle aurait tant aimé avoir des enfants. Ça ne s’est pas fait et je devine parfois au fond de ses regards tous les regrets du monde. Je me perds dans ces pensées nostalgiques quand j’entends le bruit de sa voiture qui dévale la petite pente qui mène à sa maison. De loin, je la vois remiser sa petite automobile dans le garage et je me presse pour revenir vers elle.

Elle m’attend sur le seuil avec son doux sourire. Sa quarantaine bien conservée, sa chevelure brune, frisée, et ses yeux verts attirent les regards. Je suis sûre que bon nombre d’hommes doivent se retourner sur son passage. Je la trouve éblouissante de fraicheur et de joie de vivre.

— J’ai rapporté des tournedos et nous pourrions faire quelques frites.

Quelques mots qu’elle me lance, après le bisou d’usage. Tel un tourbillon, elle pénètre dans sa maison et elle range ses quelques courses. Elle prépare un bon café, me demande si je ne me suis pas ennuyée, seule, dans cette grande maison vide. Je lui montre en pouffant de rire les vases dans lesquelles j’ai mis des bouquets de jonquilles fraichement cueillies. Elle me sourit et prenons notre café accompagné d’un biscuit sec.

— Nous allons préparer trois petites quiches lorraines pour les entrées, tu aimes encore cela, puis des pommes de terre frites, Michel en raffole, tu t’en souviens ? Une mousse au chocolat pour le dessert, cela te tente ?

À l’énumération de ce menu, je ne réponds pas, je me contente de passer ma langue sur mes lèvres et Claude et moi partons d’un grand fou rire. Nous avons encore deux bonnes heures avant que mon oncle ne rentre de son travail. J’aide donc aux tâches ménagères, dans une ambiance joyeuse, je vois bien qu’elle attend son homme avec la hâte de le voir rentrer. J’épluche les patates, les coupe en frites, pendant que Claude prépare la pâte pour la quiche. J’admire son adresse, sa dextérité et ses mains fines qui pétrissent le mélange farine, eau, œufs.

En deux temps et trois mouvements, les trois moules à tarte sont prêts, la pâte étalée, puis parsemée avec des lardons fumés grillés, du jambon et la mixture à base d’œufs battus est coulée sur l’ensemble. Elle parsème de-ci de-là, sur le dessus du gruyère qu’elle vient de râper et hop-là, voici ses chefs d’œuvre mis au four préalablement préchauffé. Elle sort d’un placard le grill pour les tournedos, puis dans un saladier, elle confectionne une belle salade de pissenlits, assaisonnée comme on dit dans les Vosges, « à la chaude meurotte ».

J’en ai déjà l’eau à la bouche et je suis presque impatiente que Michel rentre pour diner. Ensuite, elle termine par sa préparation de mousse au chocolat maison. Elle et moi remettons en état la cuisine, et elle me passe ses doigts pleins de farine sur le bout du nez, en s’esclaffant de sa bonne blague.

— Voilà, je vais prendre une douche alors surveille la cuisson de nos entrées.

Elle me quitte, se dirige vers la salle de bain et j’entends bientôt l’eau qui coule. Michel vient de renter et nous avons Claude et moi, dressée la table. Tout au long du repas mon oncle s’enquiert de ma santé, de celle de maman, il me pose mille questions sur ma vie maintenant, s’intéressant à tout ce qui me touche, de près ou de loin. Il est bien tard quand je me sens une envie de dormir irrépressible. Je les embrasse tous les deux et me rends dans la belle chambre spacieuse où je dors toujours, à chacune de mes visites.

J’ai un petit cabinet de toilette et je me rafraîchis enfin avant d’enfiler une jolie nuisette, puis je me glisse dans des draps mauves, en soie. C’est doux et j’adore cette matière qui glisse sur la peau.

Je plonge presque de suite dans le sommeil, repue de fatigue. La route et le bon air des Vosges ont eu raison de moi. Du fond de ce sommeil qui me prend, il me semble entendre des rires. J’ai dormi, mais combien de temps et mon oreille est aux aguets. Elle écoute les bruits de cette maison de bois qui respire de partout, qui craque aussi parfois dans la nuit, comme pour dire qu’elle aussi est vivante. J’ai aussi la sensation que l’odeur du pin ressort beaucoup plus dans le noir de la nuit vosgienne.

Venue d’une autre chambre, j’entends des chuchotements, de petits rires, comme des gloussements. Subjuguée par ces bruits insolites, je retiens ma respiration, comme si le fait de l’arrêter allait amplifier ces sons dont j’ignore la provenance. Plus j’écoute et plus je sais de quoi il s’agit, je suis sûre que Claude et Michel font l’amour, et je suis tendue comme un arc par ces soupirs qui finissent par me communiquer une vraie envie de sexe.

Ma tante geint doucement, et Michel soupire fort, me donnant une barre au fond des reins. Ma main part à la conquête de mon entrecuisse, soulevant de ses doigts agités ma petite culotte. Je commence à caresser doucement de bas en haut ma fente qui s’humidifie, guettant les petits cris de ma tante qui subit sans doute les assauts de son mari. Comme j’aimerais moi aussi avoir une belle queue à me mettre sous la langue, voir ailleurs si je le pouvais.

J’ai repoussé la couverture, puis les draps ont glissé sous l’action de mes mains qui montent et descendent le long de mon sexe gorgé d’envie. Mon abricot s’est ouvert et je mouille de désir, tout en continuant à espionner les deux amants qui n’en finissent plus de s’aimer. Je prends la décision soudaine de me relever, pour aller écouter de plus près, juste derrière leur porte, finalement le voyeurisme peut avoir du bon. Je suis dans le couloir, marchant sur la pointe des pieds, je fais le moins de bruit possible, je n’ai pas envie qu’ils me trouvent ou m’entendent les écouter.

Je ne me comprends plus, je ne sais pas pourquoi j’agis de la sorte. Je longe doucement le couloir, sans faire craquer le parquet. J’arrive à l’orée de leur chambre et je les entends mieux, même si je ne vois rien dans cette nuit de mars. C’est alors que je suis tout près que je vois une lumière qui se rallume et que je m’aperçois que leur porte est restée entrouverte. Ils continuent leur jeu, encore invisibles pour moi, et je n’ose plus avancer dans cet espace éclairé maintenant.

Au bout d’un long moment, alors que les soupirs et les gloussements féminins continuent de plus en plus, je ré avance un peu, juste pour essayer de voir quelque chose. La lumière est juste devant moi et je regarde timidement en espérant que ni l’un ni l’autre ne me verront. Je me mets à genoux et je laisse aller mon regard sur la pièce faiblement éclairée. Le spectacle est affriolant, ma tante est couchée sur le dos et je la vois enfouir son visage entre les jambes de Michel.

Dans sa bouche, elle tète un sexe qui me parait énorme, et je suppose que lui, lui fait un cunnilingus, mais je n’arrive pas à voir ce qu’ils trafiquent. En tous cas Claude a l’air d’apprécier la caresse qu’il lui prodigue, car elle glousse et secoue la tête en gémissant doucement. Ma main ne quitte plus ma chatte et je me masturbe devant cette scène surréaliste des deux amants. Ignorants de ma présence, ils multiplient les figurent érotiques et j’assiste avec un incroyable plaisir à ces ébats conjugaux.

Maintenant Michel tire les cheveux de Claude, gentiment, juste assez pour l’obliger à continuer sa fellation, ce qu’elle fait volontiers. Je regarde ébahie, mais avec envie cette tige de chair qui entre et ressort de la bouche de ma tante, je vois luire la salive qu’elle dépose sur la hampe de cette belle bite. Mon oncle a la tête en arrière, signe qu’il apprécie au plus haut point la pipe magistrale que son épouse lui prodigue. Mes doigts s’enfouissent dans ma jeune toison naturelle, et ils titillent un clitoris qui bande comme un mini sexe.

Je retiens mes plaintes de bonheur, je n’ai pas envie d’être découverte derrière la porte, en train de reluquer les assauts amoureux de l’un ou de l’autre. Je ne peux plus détacher mon regard de ce lit dans lequel le couple se donne du plaisir. J’aime cette vision particulière des choses, je me dis que c’est beau, qu’ils sont merveilleusement beaux. Maintenant Claude est en amazone passionnée sur le vit de son mari et je regarde son derrière qui monte et descend, je vois cette épée rose qui la pourfend à chaque fois qu’elle remonte sur elle.

Les bourses velues de mon oncle claquent sur les fesses de son épouse et il a posé ses mains sur ses reins, pour l’aider à faire les mouvements de montée et de descente. Le spectacle dure longtemps et je me branle comme une communiante, en regardant cela. Mon plaisir me surprend soudain, alors que je ne m’y attends pas. Je me mets à trembler sur mes jambes, le souffle court, comme si elles ne me supportaient plus. J’étouffe le cri rauque que je sens venir du fond de mon ventre, mais Dieu que c’est difficile de ne pas se laisser aller.

Je ferme les yeux et c’est comme si les couleurs de mars rejoignaient celles de tous les arcs en ciel du monde. C’est comme si un feu d’artifice intérieur éclatait brutalement, alors que je me mords les lèvres pour ne pas crier. Quand je rouvre les yeux, je vois avec stupeur que les deux amants ont la tête tournée dans ma direction. Ma tante a un grand sourire et c’est d’une voix égale que je l’entends me dire :

— Et bien entre, ne reste pas dans le couloir, tu seras mieux avec nous.

Je crois que je vais mourir de honte et je ne bouge pas d’un poil. Prestement, Michel saute à bas de son lit et vient vers moi. Il me tend la main, me prend le bras et je pénètre dans leur chambre. Je n’arrive pas à trouver une explication sur ma présence ici, derrière leur porte, et je vais pour bégayer quelques mots d’excuse quand Michel qui me regarde me devance.

— Tu es très belle, partage donc notre couche pour une nuit, Claude est d’accord.

Voilà, le rouge de la honte est inscrit sur mon visage, c’est sûr que tous les deux doivent s’en apercevoir. Je m’attends à une réaction peu aimable des deux amoureux, alors que c’est d’une main douce que ma tante me caresse les joues. Michel n’a pas débandé, son vit est toujours droit comme un bâton, remontant jusqu’à son nombril. Lui aussi me caresse la nuque, en me demandant de me détendre. Je ne sais pas comment j’en suis arrivée là, mais me voici maintenant étendue entre les deux amants, et chacun d’eux me tient une main.

Ma nuisette est bien remise le long de mon corps, mais je frémis quand même. Ce n’est pas le froid qui provoque cette chair de poule qui court sur ma peau. Je ne sais plus quoi faire de mes mains et je me sens comme une collégienne prise en faute. Je voudrais aller me cacher sous ma couverture, tout au fond de mon lit. Je n’ose plus faire un geste et la main de Michel qui est posée sur ma nuque me masse lentement. C’est étrange, mais j’éprouve une douce langueur sous l’effet de celle-ci. Claude quant à elle se contente de me tenir la main et son sourire est lumineux. Comme elle est belle dans cette nudité toute simple.

Dans mon dos, je sens la queue de mon oncle qui me touche les reins, sans malice et sans qu’il cherche encore à profiter de la situation. Elle me tient toujours la main et dans ses yeux, puisque c’est à elle que je fais face, je lis cette envie qui lui est restée, elle n’a pas totalement joui sans doute, à cause de moi. Je culpabilise un peu, mais elle me rassure et sa main me frictionne le bras alors que de ma nuque la main masculine elle est passée à mon épaule. Cette main roule maintenant le long de ma colonne vertébrale, sur le nylon de la nuisette, et elle continue de descendre. Je ne bouge pas, alors que Claude elle a approché ses lèvres des miennes.

Les voici toutes les quatre collées ensemble et sa langue qui passe entre mes dents, puis qui s’ouvre le chemin de mon palais, je ne sais pas pourquoi, mais j’apprécie ce baiser féminin au possible. Dans mon dos, les doigts que je ne vois pas sont arrivés à la lisière de ma petite tenue et ils glissent sur l’ourlet de mon déshabillé, longent le bord de celle-ci. Je me concentre plus fort encore sur le baiser que me prodigue l’amante dérangée par mon voyeurisme. C’est un doigt seul qui trouve le bord de ma culotte et je sens qu’il caresse maintenant ma peau, le long de mes fesses. Je soupire, d’aise sans doute, tant le baiser est bon, tellement aussi je suis rassurée par leur manière d’envisager les choses avec moi.

Voilà que ce doigt est rejoint dans ma petite culotte par ses congénères et qu’ils s’enhardissent. Aventureux ils avancent vers cet endroit qu’ils savent où trouver. Mes mains à moi tremblent un peu et celles de Claude viennent remonter doucement la petite chemise de nuit laissant apparaitre mes seins gonflés d’envie. Les tétons sont tendus vers l’avant et elle les a déjà remarqués. Sa bouche quitte la mienne pour venir s’intéresser à ces petites pointes brunes qui se laissent surprendre par son arrivée inattendue.

Derrière moi, les choses aussi s’accélèrent, et le dernier bastion de nylon qui masque pour quelques secondes encore le bas de mon corps commence, lui aussi à descendre sur mes cuisses. La main est parvenue à ses fins, je suis sans culotte, nue tout comme eux deux et je suis peut-être moins gênée que je ne l’aurais cru. J’ai chaud quand Michel commence à faire tourner son index sur les longs poils de ma toison pubienne. Puis le doigt passe entre sa femme et moi et revient à la cachette qu’il convoite. C’est mon sexe qui s’ouvre sous sa caresse. Il lisse doucement la fente verticale en prenant tout son temps, cherchant peut-être à ne pas m’effaroucher.

Mais c’est fini, je suis vaincue, je suis d’accord, j’ai trop envie d’être cajolée, d’être baisée aussi. Je souffle fort quand les phalanges écartent ma vulve gonflée de plaisir et mes seins sont eux pris d’assaut par la bouche aussi experte en fellation qu’en caresse de poitrine. Sous ces deux amants qui ne s’occupent plus que de moi, je suis remise en position allongée sur le dos et ma tante guide une de mes mains vers cette chose qui palpite, se cabre, se tend encore plus, vers ce sexe d’homme que je sens maintenant bouger entre mes doigts.

J’aime ce contact, j’adore cette sensation de bête vivante, serpent dans ma main qui se cabre. Je commence à avoir de plus en plus chaud et je perds mon âme à être ainsi dorlotée par ces mains qui ne demandent qu’à faire éclore ce plaisir qui se niche au fond de mes tripes. Ma tête part dans un sens, dans un autre, je ne maitrise plus mes gestes et maintenant j’écarte les cuisses largement pour que Claude accède encore plus largement au sanctuaire de mes envies. Michel roule lentement sur lui-même et je le retrouve avec toujours dans la main sa chose excitante, mais elle s’approche dangereusement de mes lèvres.

Instinctivement, comme sans vraiment m’en rendre compte sous les caresses buccales de ma tante, j’ouvre grand la bouche et le dard chaud entre dans l’orifice qui lui semble accueillant. Alors que je lui touche les bourses, je sens qu’il entame de lents va-et-vient, et qu’il soupire plus fort. J’apprécie le velours de ce gland qui me pénètre, Michel commence à me faire l’amour dans la bouche. Je le vois qui regarde Claude et ces deux-là s’embrassent à pleine bouche alors que je suis prise moi aussi par cet orifice qui ne sert pas toujours à cela.

Je ne suis pas une vraie fan des fellations, mais celle-ci me procure un étrange bonheur, une envie particulière. Je bouillonne dans mon bas ventre et mon bassin ondule sous les doigts féminins qui me parcourent le sexe. Ce sont deux doigts, puis trois, et enfin quatre qui viennent de se ficher dans cette fente qui n’attendait finalement que cela. La fine menotte commence elle aussi, un ballet d’avant en arrière et le plaisir est immédiat. Je ne vois plus ce qu’ils me font, j’ai fermé les yeux, pour avoir encore plus la perception des choses tendres qui me ravissent.

Je ressens juste une petite douleur et je crois comprendre que la main tout entière est en moi.

Elle navigue au fond de mon vagin, comme une grosse, une énorme bite qui me procure mille fois plus de plaisir qu’un sexe normal. Alors les mains de Michel sont posées sur ma nuque et il s’enfonce davantage en moi, je sens que son vit se tend encore plus qu’il est parcouru par des soubresauts que je n’analyse pas de suite. C’est quand un flot de sperme éclabousse l’intérieur de ma bouche, que je réalise, je tente vainement d’échapper au séisme qui me déferle dans le gosier.

Michel me cramponne et se raidit sur ma figure, ses couilles touchant mes lèvres, je ne peux pas faire ressortir la lance qui crache sa semence. Pour ne pas m’étouffer, je dois avaler le foutre épais qui m’arrive par saccades et j’ai l’impression que cela ne s’arrêtera jamais. Je garde tout, jusqu’à la dernière goutte, je bois jusqu’à la lie le calice alors que dans mon ventre la petite main elle, continue d’avancer et de reculer. Et je sens que monte une vague de je ne sais où, une déferlante qui me soulève toute entière.

Un incroyable voyage où je perds pied, où je suis tellement bien que je voudrais que cela dure, dure le plus longtemps possible. Je ne suis plus qu’un immense frisson de la tête aux pieds, qu’un corps électrisé qui ne peut plus rien faire d’autre que partir pour un voyage dans une mer sans fond, un océan de plaisir qui me submerge. Je suis repue de plaisir, ils sont encore en train de s’embrasser et je suis toujours entre les deux. Je me love contre ces deux amoureux nus, je me frotte contre eux. La recherche d’un autre câlin se fait pressante, je veux, j’exige qu’ils me fassent encore jouir.

Ils rient de concert en me touchant partout, ils s’en donnent à cœur joie et j’aime cela. C’est la première fois de ma vie que je fais l’amour ainsi, avec un couple et je ne suis pas déçue. Je réclame encore et encore qu’ils me fassent ces choses que d’ordinaire je rechigne toujours à réaliser. C’est moi qui vais au-devant de cette fente, de cette féminité qui m’attire, je n’aurais jamais cru que je pourrais avoir des attirances pour un autre sexe qui ressemble au mien.

Je débute un cunnilingus à Claude qui m’appuie sur la tête pour me faire savoir qu’elle aime cela et ses soupirs emplissent la chambre. Alors elle s’étend sur moi et elle aussi me lèche la chatte. Merveilleux soixante-neuf, que celui qui redonne une nouvelle vigueur à la queue de l’homme qui nous regarde faire. Et comme je suis sous Claude, qu’il a changé de position, je ne le vois plus. Mais je sens qu’il entre en moi alors que la langue de son épouse continue de me butiner l’abricot.

Il s’enfonce d’un coup sec, jusqu’à la garde, et j’apprécie la plénitude d’être remplie et léchée en même temps.

Comme je suis bien, je sens soudain que c’est moi qui me décharge de mon envie en petits jets qui doivent éclabousser le visage d’une Claude haletante, d’une Claude surexcitée. Le ramonage de ma cheminée n’en finit pas de m’embarquer vers un pays rose, vers des cieux d’une couleur indescriptible, vers un naufrage de tout mon être, une noyade que je désire plus que tout au monde. Le temps semble n’avoir plus aucune prise sur le trio que nous formons.

Elle et moi, à tour de rôle nous sommes servies par cette belle bite qui nous laboure le ventre, qui nous enfile de si belle manière. Comment peut-il résister autant aux deux furies que nous sommes, affamées de cette queue que nous partageons sans nous entredéchirer ? Quand elle pousse des cris qui me confirment bien qu’elle aussi prend du plaisir avec cette chose qui sous mes yeux entre et sort d’elle. Je suis presque jalouse que ce ne soit pas moi qui l’aie dans le ventre. La voilà repue de ce sexe qui ne veut plus se vider.

C’est à mon tour de l’accepter encore en moi. Ils m’ont fait mettre à genoux, et Michel est derrière moi. Je me prépare à ses assauts quand je sens que le chemin emprunté par le dard est différent.

Je me trémousse pour essayer de le dévier de sa trajectoire, mais c’est elle qui le maintient dans la direction optionnelle qu’il a prise. Et je frissonne de le sentir flirter ainsi avec l’œillet sombre qui est encore vierge de ce genre de chose.

C’est comme un chatouillis et voici que le muscle se distend, d’abord légèrement puis sous la pression il cède en totalité. Malgré ma peur, je sais qu’il est entré dans mon rectum et le voici qui avance, ma crainte n’y changera plus rien. Claude s’occupe en passant le visage entre mes cuisses de mon clitoris ce qui diminue un peu cette douleur de la défloration anale. Je sens maintenant que les couilles touchent mes fesses alors que je commence à mouiller de nouveau sous la langue qui m’ouvre la chatte en deux.

Pendant que mon oncle me baise, tout en douceur, je ne peux m’empêcher de penser que je suis désormais « une enculée » et je ne trouve pas cela si mauvais. Nous en avons fini de ces ébats parfois tendres, parfois houleux. Claude et Michel se sont de nouveau blottis contre moi. Leurs bras m’encerclent le corps et c’est ainsi que nous nous endormons. Dans mon crâne, les images de cette folle soirée de baise me reviennent et je pars dans les bras de Morphée, heureuse et comblée d’avoir été ainsi autant aimée.

Quelle heure est-il, je me réveille, bercée par un bateau qui tangue, par un roulis intense. J’émerge et mes yeux se posent sur la croupe magnifique de Claude. Elle se trouve saillie par un Michel plus bandant que jamais. Mon Dieu, mais comment fait-il pour avoir une telle santé. Couché sur le dos, il a sa tige enfoncée jusqu’à la garde dans la chatte de son épouse qui geint doucement en se trémoussant savamment. Et raide comme une barre de fer, il la prend tout en lui triturant les seins. Je ne bronche pas, attentive à ce spectacle enivrant.

Elle vient de s’apercevoir de mon réveil et elle me tire par le bras. Je suis son mouvement et me voici bouche à bouche avec lui. Nous nous embrassons à lèvres que veux-tu pendant qu’il baise son amazone. Elle s’époumone alors que son plaisir monte crescendo dans la chambre. Lui me donne un ordre dans l’oreille et je me sens obligée d’accéder à sa demande. Il veut que je lui passe la langue dans l’œillet alors que sa bite s’enfonce en elle ; il me dit qu’elle adore cela.

Quand elle comprend ce que je vais faire, elle se penche en avant, se couchant presque entièrement sur lui, lui qui écarte les fesses de sa dulcinée pour j’ai un accès facilité à l’endroit qu’il désire me savoir lécher. Encore une grande découverte, voici que j’astique de ma langue la rosette de la femme qui prend un pied d’enfer sous la queue qui la laboure. Et je m’aperçois que ma fente coule, oui… coule d’envie, sans que j’aie besoin d’être touchée par quoi où qui que ce soit. Nous sommes repartis dans la spirale folle d’une vraie partie de cul tous les trois. Je veux ma part du gâteau et je suis bien servie.

Entre fellation, cunnilingus et sodomie, je joue dans tous les registres et j’en apprécie chacun des chapitres. J’accepte tout, c’est demandé sans fioriture, sans arrière-pensée non plus. C’est de la baise non-stop qui dure jusqu’à quatre heures de l’après-midi avec un mâle qui résiste pourtant à nos envies, à nos assauts sans éjaculer, juste pour nous offrir le meilleur de lui-même. J’ai déjà connu d’autres amants, mais il surpasse tous ceux-là par une endurance hors du commun et j’envie ma tante d’avoir un pareil étalon dans son lit.

Finalement nous sommes obligés de faire un break pour nous restaurer et c’est à poils que nous partageons un repas rapide avant que Monsieur ne remette le couvert. La chambre est devenue un champ de bataille, bataille qu’il aura gagnée de haute lutte en nous enfourchant l’une après l’autre.

Pendant la semaine que je passe chez eux, pas une seule nuit sans baise, pas un seul mot plus haut que l’autre, mais des cris de bonheur en pagaille et surtout, surtout un immense respect pour toutes les deux.

Alors à l’heure du départ, je dépose sur vos lèvres un vrai baiser, un baiser de bonheur, plein de cette sensualité que vous avez si bien su m’offrir et je sais que je vais vite revenir pour que vous m’aimiez encore et encore…

À vous deux avec tout mon cœur…

Votre nièce.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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