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Ca va, ça vient – Première partie

Ca va, ça vient – Première partie



Je suis Diam, ou Diamant… Mes parents avaient des goûts de luxe, surtout maman…
J’ai 35 ans, je suis mariée à Phil depuis une dizaine d’année, et j’ai commencé à le tromper 3 ans après mon mariage…

J’avais alors un petit garçon de deux ans, je travaillais dans le village, en tant que coiffeuse…
Phil avait été mon premier amour, premier amant, premier à m’ouvrir au monde du Sexe…

J’avais pris ce goût des soirées d’hiver, devant la cheminée, cet abandon qui menait au plaisir de la chair, il était brillant, enjoué, tendre, il savait me mener à l’extase, lentement, jusqu’à l’explosion finale…
L’été, j’aimais le faire dans le jardin, après une journée bien remplie, une détente merveilleuse qui me faisait du bien pour toute la journée suivante…

C’est lors d’un réveillon chez des amis, que je rencontrais Joël…

Ce fut une révélation…
J’étais en stand-by, Phil ayant fait le tour de mes trésors, il ne les regardait plus que de temps en temps…
Ce 31 décembre, nous nous rendions à pieds chez mes parents, où nous laissions notre grand bébé…
Une amie nous avait invité, elle était de notre âge, mariés, célibataires, je revis des anciennes copines perdues de vue, revenues pour l’occasion, et cet homme, Joël, un instituteur que j’avais croisé en ce temps…

Lorsque mes yeux tombèrent sur Joël, je le revis dans ma mémoire…
Blond, bronzé, il aimait la montagne, le ski, les mamans en étaient folles, leurs ados aussi…
Moi j’étais en stage de coiffure… Sage et amoureuse de Phil…

Ce rassemblement des anciens du village, devenait de plus en plus intéressant au fur et à mesure que la soirée avançait…
Joël était assis pas très loin de moi, je pouvais entendre ses propos, tout en conversant avec mes voisines et mon mari…

C’est en dansant que je sentis de l’attirance pour lui…
Plus grand que Phil, il me serrait contre lui en évoquant nos soirées en ce temps…
Fêtes de village, repas du Printemps, et les fêtes de l’école…

Nous bavardions au centre le piste, je croisais quelques regards envieux de mes copines…
Je revenais sagement à ma place, aux côtés de mon époux, qui me gratifia d’une remarque, au sujet de cet homme avec lequel j’avais dansé toute une longue série de slows…

Je répondis l’avoir connu il y a quelques années, nous avions des souvenirs de fêtes de villages, de l’école, qui ont marqué cette époque…
Il était mon cousin par alliance, éloigné certes… J’avais plaisir à évoquer nos souvenirs en commun…
Je croisais son regard, j’eus envie de recommencer une série de slows…

J’allais sur la piste avec ma voisine, pour du disco entraînant, j’y côtoyais des parents d’élèves, des collègues, je le cherchais du regard, je le trouvais solitaire, près de la sono…
Je le vis sortir par la porte fenêtre… J’en profitais…

Il entra dans le garage… Je le suivis… Je me retrouvais nez-à-nez avec lui…
– Tu cherches les toilettes ?
Je tombais dans ses bras, sans hésiter, sans réfléchir …
On s’embrassa debout, derrière la porte…

Le baiser s’éternisa, s’enflamma, devint tornade, ses mains glissaient dans mon dos, dans mes reins, elles s’arrêtèrent honteusement sur mes fesses, pour appuyer mon pubis contre le sien…

Je sentis ma vulve picoter, le désir faisait son effet… Son sexe battait la mesure…

– Les coups de foudre, cela existe ? Je t’avais remarquée autrefois, mais tu étais si occupée avec ton mari…
– Ce n’est plus le cas, je m’intéresse aux autres hommes depuis 5 minutes…
Et surtout, tu sais passer des messages, sans ton portable et sans équivoque…
– J’avais peur de perdre le réseau…

Je m’ouvrais malgré-moi à ses caresses, de plus en plus précises…

– Chut !… Je… On peut venir…

Ultime avertissement, mais ma décision était actée…
Sa main s’engagea sous ma robe, remonta mes cuisses… Elle se nicha dans mon intimité, et commença à œuvrer…
Mes cuisses s’ouvrirent naturellement, pour lui laisser de la place…
J’avais envie de ce flirt… Et du reste…

Je passais en mode actif…
Je tâtais son entrejambe… Je m’emparais de son sexe… La main venait de passer sous ma culotte et ses doigts découvraient mes trésors…
Que faire contre cela ?

– Tu ne peux rien me cacher… Tu es trempée de désir…
– J’ai bien reçu ton message et je réponds… Je me souviens avoir rêvé de toi alors… Elles te regardaient toutes… J’avais un goût amer dans la bouche… Une occasion ratée…
– Dans tes rêves, on faisait l’amour ?
– On flirtait… Comme maintenant…
– Viens…

Il prit un escalier, on descendit au le sous-sol…
Il ouvrit une porte… Quelques anciens meubles de secrétariat, une chaise, un lit d’ado rétro, genre cosy… Il tourna la clé en refermant la porte…

Il dézippa ma robe, dégrafa mon soutien-gorge et embrassa mes seins…
Il déboucla sa ceinture et le sexe apparut…

Je m’asseyais au bord du lit qui sentait l’humidité…
Je pris son sexe dans ma main, et le porta entre mes lèvres pour le déguster, il se laissa faire, en massant mes seins…
Son pénis brûlait de désir, raide et long… Mes lèvres glissaient, il pénétrait ma gorge en cadence…

Ça va, ça vient…
Quelques paroles oubliées, qui résonnent dans ma tête, que je remets au goût du jour, dans un contexte nouveau…

Il m’imprimait son rythme…

Il m’arrêta et ouvrit mes cuisses… Agenouillé au pied du lit, j’étais à sa portée…
Il me masturbait, triturant mon clitoris…

Ses grands coups de langue me firent pousser mes premiers râles… Je jouissais…
J’accompagnais sa tête d’une main en fermant les yeux…

Il me butina un long moment, puis il replia mes genoux, souleva mes cuisses…
Mon bonbon était détrempé, son sexe démesuré, tendu comme un I lui faisait face…
Et il lécha ma chatte de nouveau, après un long baiser…
J’attendais… Tremblante… Je n’osai gâcher ce prélude…

Il saisit mes chevilles et guida son membre vers les profondeurs du port…

Le gland glissa le long de mon sillon, écartant mes longues lèvres fines, savoura la tiédeur de ma vulve, barbota dans la rivière qu’il déclenchait…
Il fit quelques aller-retours insupportables… Je griffais le lit…

Je feulais de plaisir… Il poussa sa découverte jusqu’au bout…

Il arriva devant ma grotte ouverte par le désir, béante et ruisselante ; il s’y engagea, je gémis un « oui » libérateur…
Il franchit la porte, je montais sur un nuage…

Son rythme s’accentua et je tombais dans un trou noir…
Un orgasme soudain, inouï…
Mes jambes tremblaient, il me transperçait, me clouait sur cette couche…

Il m’emporta dans son monde, il m’embrassa en même temps qu’il me burinait…
Son sexe se plantait si profondément que j’avais l’impression de découvrir cette sensation de prendre un sexe dans mon vagin et d’en jouir…

Nous nous fondions l’un dans l’autre, pris de frénésie…

Alors je répondis, agile, j’enserrais son dard, emprisonnant son organe.
Il grogna, et avança sa main vers mon anus… Il pénétra une phalange, assouplissant mes chairs… J’allais me révolter, ce n’est pas très correct pour une première fois…
Je ne suis pas une catin qu’on sodomise sans rien demander…
D’autres auraient refusé catégoriquement cette pratique… Mais…
Le désir était là, la curiosité de pouvoir comparer, avec les quelques fois où mon mari me l’avait fait…
Je criais de plaisir en sentant mes orifices lui obéir…

Son gland ouvrit ma rondelle, passa la porte avec précaution, puis plongea dans mon sphincter…
Je massais mes seins, j’étais à lui… Il m’enculait sans honte…
Le temps d’un orgasme, je pris mon pied…
Aucun rapport avec ce que j’avais connu…

Il inversa sa main, et trois doigts plongèrent dans mon vagin béant et détrempé…

Je distinguais les deux orgasmes, anal et vaginal, et je tombais de plaisir, écartelée, pourfendue, épuisée…

Il me reprit en levrette, honteusement exposée à ses assauts, ma vulve connut un moment intense…

Ça allait, et ça venait…

Joël agrippait mes hanches pour mieux me posséder…
Plus vite, plus fort, plus loin, plus torride, plus macho, et moi, soumise, je bêlais mes orgasmes à tour de bras, j’avais de nouveau 20 ans, et le désirais en lui ouvrant mes fesses…

Sa semence gicla dans mon vagin, je sentis cette tiédeur se répandre dans mon ventre, envahir mon corps du plaisir si féminin d’être inséminée…

Son sperme suinta sur le couvre-lit, qui en avait sans doute connu d’autres…
Il me tendit des kleenex…

Je remis ma culotte, me levais, il agrafa mon soutien-gorge, j’enfilais ma robe…

Je venais de baiser dans une pièce obscure avec mon premier amant, rattrapant quelques mois d’abstinence…
Je sentais la sueur, le stupre et la fornication… Je me sentais femme… Libre de mon corps…

A table, quelques minutes plus tard, je tombais sur un regard inquisiteur, noir, mais les brumes alcoolisées dissipèrent ses soupçons… Pas de remarque désobligeante…

Le reste fut agréable, j’avais son numéro dans mon calepin, en sténo…
Je fis une série de slow avec mon cocu, me reposant dans ses bras…
En rentrant, il me voulut, me caressant dans la salle de bains, puis m’entraîna dans notre lit… Je me laissais faire, simulant honteusement une envie irrésistible, jusqu’à ce qu’il explose en ahanant, ce qui ne prit que deux minutes…

Heureusement, il n’avait envie que de se vider, sans préliminaires, comme chaque fois maintenant… Je n’avais pas eu le temps de me laver et sentais le sperme de Joël…

Phil venait de partir pour la semaine…
Lundi soir, en rentrant, j’appelais Joël.
Un échange de bienséance, courtois, à mots choisis…
Puis j’en vins au fait…

– Je suis seule chez moi, et surtout je le suis jusqu’à vendredi…
– L’adresse ?
– Tu… D’accord, après tout…

Je la lui donnais avec quelques indications. J’appelais mes parents, racontant des salades, heureux de récupérer mon ange…
Lorsque je revins chez moi, mon cœur battait… Jeune fille en mode rendez-vous…
Je fis une longue toilette, me parfumais, puis passa un peignoir…

Phil me prévenait chaque fois de son emploi du temps, j’étais tranquille, c’était un accord tacite depuis des années, par sécurité, pour que je débloque la porte du garage…
Mais je pris mes précautions et préparais la chambre d’amis…
J’avais déjà songé à une stratégie de replis, présentant Joël comme un cousin avec lequel je venais de passer la soirée au restaurant, il était là pour quelques heures, je lui ai offert cette chambre…

Quand la sonnette résonna… Je courus presque…
Avant toute chose, je refermais la porte d’entrée, la bloquais, et fis pareil avec celle de l’accès au garage…
Notre maison était sécurisée, je nous enfermais avec l’alarme. Si quelqu’un entrait, je le saurais et aurai le temps d’agir en conséquence…

Il sirotait le whisky que je lui avais servi…
Son regard amusé me fit rire, je lui expliquais mes craintes…

Assis sur le canapé, les volets baissés, je fis de même avec la lumière et me glissais dans ses bras…

Le baiser nous enchaîna…
Le reste était du nanan… Peignoir ouvert, puis ôté, il était nu et je montais à califourchon sur lui…
Son dard était magique, je l’avais léché, puis sucé, puis je m’apprêtais à me prendre avec…

J’adore cette position, face à face ou assise sur lui, tournant le dos, mais il pouvait masser mes seins à loisir, et bien d’autres gâteries…
J’étais ouverte et ce ne fut qu’un long plongeon que je lui offris…
Sa bite ne d’arrêta qu’au bout, poussant quelques organes, utérus en particulier…
Je délirais…

Je me prenais en cadence, il savourait, tendre et actif, voyageant ça et là, seins, chatte, clito, tout y passait…
Je le sentais durcir, la fin était proche…
Pas question d’écourter mon plaisir et le sien, je descendis, et vint le prendre en bouche…
Une fois dégoulinant de salive, je me sodomisais…

Il ne supporta pas que je triture ses bourses pendant ce temps…
Il m’installa en levrette, et fondit dans mon petit trou à la vitesse de l’éclair…
Sodomisée par un dard actif, je jouis jusqu’à ce qu’il se retienne à son tour…
J’avais eu trois orgasmes anaux…

Je me lovais dans ses bras, attendant le suite…
Nous recommencions par le début…

– J’ai faim de toi, de ta chatte, de tes fesses, j’ai rêvé que je te prenais sur la table, je le ferai plus tard, j’aime quand tu mènes le bal, on s’entend super bien…
– Oui chéri, j’ai faim aussi de ta queue qui me procure tant de sensations merveilleuses… J’aimerais être tout le temps dans tes bras, sentir tes mains me fouiller, me caresser, me donner du plaisir sans cesse…
– Il suffit d’être ensemble…
– A qui le dis-tu !!! Tu ne m’as pas sucée ce soir… J’aime tes grands coups de langue, sentir mon ventre réagir, pleurer, grogner de désir…

Allongée sur la table de la cuisine, je me laisse envahir, écartelée, offerte, je jouis…
Il est doux et si tendre, si attentif à mes réactions… Il est parfait…
Il pose mes deux cuisses de part et d’autre de sa tête, son dard me transperce, je jouis comme une chienne en chaleur… Ça va, ça vient…

Il me transporte sur le lit et me reprend en levrette, côté pile et côté face…
Puis j’ai une idée…

C’est Joël qui monte sur moi, je prends sa bite et la pose entre mes seins, et masturbe ce bout de chair magique… Il est aux anges, cette masturbation est un cadeau, il jouit sur ma poitrine…

La nuit s’étire, entre la cuisine, le salon, la salle de bains, je visite ma maison d’une autre façon…
On appelle cela le tourisme sexuel ?

Honteusement investie par surprise, alors que je préparais une collation, courbée sur le plan de travail, tablier relevé, il baise mon minou sans ménagement…
Mes gémissements enjoués me trahissent, alors il continue à me lutiner sans vergogne, il me dépose sur la table, change d’orifice, et je brame mon orgasme anal, écartelée, les jambes pendantes, la table en émoi donnant sa démission…

A la salle de bain, c’est l’inverse, c’est moi qui viens prendre son sexe dans la main, puis accroupie, je le besogne suavement, lui faisant une pipe d’anthologie…
Ma main s’attarde sur les orphelines, elle les cajole tendrement, puis je passe ma langue pour parfaire ma caresse…
Lentement, il se laisse convaincre, revient aux affaires, je ne peux m’empêcher de me masturber en même temps sans qu’il me voie, ressentant cette verge reprendre vie, avec cette envie de la sentir de nouveau explorer mes entrailles…

Je me colle contre lui en me relevant, sa bite frôle mon minou, remonte sur mon pubis, mon ventre, et glisse entre mes seins…
Je lui accorde une cravate de notaire, un doux étui avec mes deux seins entre lesquels je le masturbe, tandis qu’il plaque sa main dans ma chatte, doigts ouverts, qui commencent à me délirer…

Le salon n’est pas très loin, le sofa nous accueille, après une dure lutte…

Il baise ma bouche, pour assouvir ses fantasmes, pour me forcer et me dominer, je le subis sans me manifester, acceptant le va et vient brutal, jusque dans ma gorge…
Puis il m’assoit sur lui en me serrant dans ses bras, et sa chose investit de nouveau ma grotte surexcitée, je m’empale avec frénésie, tandis qu’il masse mes seins, excite mon clitoris, revient sur mes tétons…

Son jus gicle sans prévenir, je continue à me prendre, et la semence déborde, blanche, coule sur ses cuisses, traces blanches éparpillées, avec le dernier orgasme de cette série…

Je suis folle de lui, de ce sexe, de ses yeux vicieux qui me veulent encore…
On s’allonge sur le canapé, j’att**** un plaid et m’endors dans ses bras, nos épidermes soudés…

Il partit après une séance de baise douce et tendre, je m’endormais pour la journée…

Ce qui se passe, c’est qu’il devient mon fond d’écran, je le vois partout, je l’imagine, me prenant là où je me trouve…

Ce fut cocasse au bureau, entre deux dossiers, je le vis sur une couverture, notifiée ‘Urgent’… La teneur n’avait rien à voir avec lui, juste le prénom du client, Joël…
Il m’en a fallu peu, pour sentir sa main se glisser sous ma jupe ; je sentis ses doigts passer sous ma culotte et atteindre ma vulve…
Je sentais la moiteur s’installer, ma respiration devenir rauque…
J’étais seule, et regardais par la fenêtre, jouissante, écartelée sur mon fauteuil, ma main s’activait machinalement, glissée sous mon slip, je me branlais jusqu’à jouir…
Le téléphone me tira de mon rêve…
J’en souris…

Phil rentra vendredi soir, et quand il me fit l’amour, c’est le visage de Joël que je voyais, son sexe qui me prenait, alors je réagis, j’ouvris mes cuisses, passa mes jambes autour de la taille de mon époux, et je me donnais en jouissant de son dard, comme prise de frénésie sexuelle, ce qui l’étonna vivement, je répondis que j’en avais envie, sans doute mes hormones…

Il se déversa avec force, prouvant qu’il ne m’avait pas trompée…
L’eau chaude me fit du bien… La porte de la salle de bain s’ouvrit…

– Tu m’as étonné ce soir, on aurait dit que je t’ai manqué ?
– Sans doute que oui, c’est si rare que j’en ai envie comme ça… Une deuxième jeunesse…
– Ou un regain de passion ?
– Hum, 3 fois par trimestre… Il faut attendre…
– Tu as un amant ?
– Pourquoi ?
– Je t’ai sentie absente au début, puis ensuite tu as explosé ta libido, me prenant comme une cougar…
– Des fantasmes… je ne suis plus sollicitée… Tu me baises pour vider tes couilles… Ca n’engage pas à faire des efforts pour quelques secondes de plaisir, le temps que ça vienne…
– Tu pourrais en faire, me sucer comme avant, me séduire, me caresser, chercher d’autres positions… Nous redonner envie l’un de l’autre….
– On vieillit… Notre couple se meurt… Je sais que tu me trompes en voyage, loin de moi… Tu as une maîtresse attitrée ?
– Pas du tout… C’est juste en passant si l’occasion se présente… Cliente ou fournisseur, un coup d’un soir, mais je choisis… J’aime le propre, le sain, le classique… Pour moi c’est de l’entretien, et je ne t’en veux pas si tu fais pareil… Tu pourrais aussi te laisser aller… Tiens ton pseudo-cousin que tu badais l’autre fois… A la fête… Je ne t’avais jamais vue comme ça, on aurait dit que tu étais tombée sous son charme… Tu l’as revu ?
– Oui, au marché… Il était avec son amie… Il m’a dit bonjour, m’a présentée, on a bavardé quelques minutes… Joël est instit, mais je ne sais pas dans quelle école.
– Il t’intéresse ?
– Il a toujours été très entouré et courtisé… C’est un tombeur. Je l’avais croisé plusieurs fois dans des fêtes de famille, avant toi… Puis dans les fêtes votives, la dernière fois, nous étions ensemble… 3 ou 4 ans après notre mariage… Nous avions bavardé, c’est tout…
– Oh, je sais que tu le sais… Mes incartades sont rares, tu les as acceptées… Et ce n’est pas tromper… Malgré les apparences, je suis bien avec toi… Juste ce côté sexe que l’on a laissé en friche… Comme tu dis, je baise en coup de vent, pour me vider… On a plus le même ressort, l’envie, la passion, les échanges… Plus d’attirance sexuelle… Mais tu sais, pour les autres non plus, je le fais à l’occasion. Si tu veux, on peut chercher à nous émoustiller… Vidéos, ou mieux, avec un couple, regarder, échanger…
– Tu aimerais booster notre couple en assouvissant des fantasmes en commun ?
– Tu en as certainement aussi… Te laisser aller dans une soirée, me voir et te voir avec quelqu’un. Avec ton cousin, j’ai été jaloux de te regarder lui parler en dansant… Tu souriais, tu ondulais contre lui, tu mouillais sans doute… Un homme comme ça doit être excitant… Et au lit performant…
– Sans doute, si tu le dis… Mais bof, je n’ai pas le même désir… Mais pourquoi pas ? Au moins tu ne baiserais pas dans mon dos… Enfin c’est une image…
– Tiens ça aussi… Te sodomiser… Ca fait longtemps…
– Tu les sodomises tes maitresses ?
– Parfois, oui, si elles veulent… Tu sais les femmes sont autant salopes maintenant, elles aiment conduire le couple, en vrai, comme en amour… Elles osent tout, sans complexe…
– Je n’ai que peu d’amies pour parler de ça… Juste mes clientes… Mais elles exagèrent… C’est vrai qu’elles racontent des trucs parfois… Même avec leurs enfants… Elles sont friandes de choses qui choquent, et pour les orgies, ça y va… Echangisme entre amis, en club, elles aiment les aventures, se donner à des inconnus, à des couples… Y en a une qui aurait aimé m’inviter…
– Tu aurais dû !…
– Avec toi ?
– Pourquoi pas ?…

Je ne le vois pas dans un jeu sexuel, mais connait-on bien celui qui vit à nos côtés ?

Le lendemain, je vais faire des courses au supermarché…
Ce qu’il m’a dit, je l’ai ressassé toute la nuit…
Phil est mon mari et me connait… Ressent-il de la jalousie ? Est-ce qu’il tient à notre couple au point de proposer des jeux sexuels ?
Est-ce la bonne solution ?
Le lendemain c’est lundi, Joël est au courant que je ne suis pas seule, je lui ai envoyé un SMS… Le lundi, mon salon est fermé, on en profite…
Mardi, Phil est encore là, réunions au bureau, réorganisation, plan d’action…

Comme par hasard, Mme Lévèque, Irène je crois, se pointe dès le matin…

– Alors on a un amant ?
– Quoi ? Non ! Pourquoi ?
– Pour rire, je tâtais le terrain… Vous avez marché… On peut se tutoyer… Samedi soir c’était super, trois couples chez nous… On a baisé toute la nuit, il y avait un black, c’est dément… Ca ne te dis toujours pas ? On peut commencer par s’inviter à l’apéro, juste nous, et on continue si nos hommes s’entendent… Passez ce soir à l’apéro, tu sais, je suis 24 rue des Lilas, oui, au coin, portail bleu…

Elle me donne sa carte, son portable, je lui laisse le mien…
Elle me donne un long baiser en partant… J’ai ressenti mon ventre grogner…
Je vais le dire à Phil en rentrant…

Le midi, j’appelle mon mari et le mets au courant… Il sera là vers 20h00, ce n’est pas trop tard ?
J’envoie un SMS à Irène, elle me rappelle, non cela ira…
Elle est contente de nous avoir, il y aura un apéritif dinatoire… Donc on peut espérer une aventure ensemble… Son mari est excité comme un puce, il nous connait, de vue, dans les fêtes… C’est lui qui lui a parlé de moi…

– J’ai aimé notre baiser volé…
– J’ai ressenti quelque chose… C’est une première avec une femme…
– J’ai eu ma première amante vers 30 ans… J’étais folle amoureuse… Mon mari aussi…
– Oh !…
– J’aime l’amour tendresse… Si tu veux, on commencera… Tu verras comme c’est doux… Les mecs adorent nous regarder nous embrasser, nous caresser, ça les fait bander…
– Je dois aller ouvrir, j’ai un rendez-vous… A plus…

Première expérience… Je n’ai jamais pensé à l’amour au féminin, jamais attiré par une cliente, du moins sexuellement… Parfois leurs propos m’émoustillaient, mais en parlant de ce qu’elles ressentaient… Certaines se retrouvaient au salon pour bavarder, j’en ai surpris en train de se caresser… J’ai fermé les yeux, les ai laissés à leurs ébats… Femmes délaissées, femmes divorcées et perdues, abandonnées, trompées… Les cas sont légion, même dans nos campagnes…
En ville, on peut sortir, ici, il n’y a rien, il faut faire plusieurs dizaines de kilomètres pour se mêler à la foule, draguer dans les bars spécialisés, les clubs, les plages…

Phil est prêt, ça me fait drôle de monter en voiture avec lui… J’ai mis une robe courte, décolletée, un manteau léger, des escarpins… Je me sens belle, Joël ne m’a pas appelé, j’ai faim de sexe…
Je vais découvrir le mari d’Irène, Phil me donnera son jugement. Nous avons convenu d’un code… Si l’un de nous parle de Thomas, notre fils, on s’en ira… Sinon, c’est feu vert…

Quand Irène nous fait entrer, le regard de Phil sur ses seins et sa croupe en disent long…
Son mari, Marc est amène, et il sourit dès que je lui abandonne ma main…

Apéro au salon, on discute de nos moments ensemble, du salon, Phil et Marc discutent sport, l’alcool nous donne des ailes…

Elle apporte des verrines, des plateaux de salades, de pains et de cakes délicieux…
Le tout sur la table de la salle à manger c’est plus pratique…
Après un copieux repas, elle nous invite à nous délasser sur le canapé…
Elle met de la musique, nous dansons en couples, puis elle vient me chercher, et me présente à son mari… Elle se colle alors contre le mien en toute simplicité…

Danse douce, pas léger, il me parle de son travail de leurs enfants, grands et indépendants, de leur solitude, maintenant et glisse sa main dans mes reins…

– Tu es belle, Diam, une liane…
– Ta femme est agréable, elle m’a parlé de vos loisirs… Nous sommes ici car nous avons les mêmes problèmes de couple, lassitude, perte d’appétit…
– Exact, on a commencé l’an passé avec des copains, en vacances, puis ici avec un couple de voisins, puis le cercle s’est agrandi. On se voit tous les mois…
– Et c’est bon pour vous, je veux dire ça va mieux, vous vous êtes rapprochés ?
– Oui, le plaisir d’un côté, notre couple et notre jardin secret de l’autre, l’un alimente l’autre… Pour l’instant c’est super…
– On va les laisser faire connaissance, je te propose de digérer dans le jardin, il fait bon ce soir…

Nous les laissons et il m’invite dans les méandres du jardin… Un banc isolé, une table, un baiser langoureux, je sens son sexe se réveiller… Le mien savoure notre premier contact, sa main fait l’état des lieux, il me monte sur la table, libère mes seins et les lèche…
Je me saisis du sien, le sort, j’écarte mes cuisses, il vient contre moi…

– J’ai envie de sucer ta chatte…

Je me laisse aller sur le dos et lui ouvre mes cuisses… Il retire ma culotte et sa tête plonge dans mon intimité…
Je sens la langue vibrer, ses doigts investir mon capuchon, je pars doucement, commence à feuler…
Il me suce, c’est divin, l’air frais me fait frémir…
Je descends de la table, écartelée…

Son doigt est entré, il me doigte, puis deux et trois…
Je coule, je pleure, je gémis, je me penche sur lui, le prend dans ma bouche…
Je le masturbe avec mes lèvres, dans ma gorge, il grogne à son tour……
Il devient dur, long, raide, rouge… Le gland énorme est prêt…

Il me courbe sur la table, ma robe roulée sur mes hanches…
Il me prend d’un seul coup de rein…
Je crie de plaisir, et il m’étreint, bien planté au fond de mon ventre…
Puis, il accélère et pilonne mon vagin, je me tords, je m’offre en relevant mes fesses…

– Oh, oui, tu es bonne… Viens te faire baiser… Empale-toi sur ma bite, que je défonce ta chatte béante… Tu aimes ça, la bite, jouis, viens, ouvre-toi, là ! Tu la sens ?…
– Oh, oui, tu es bon… Prends-moi comme une catin sur la table du jardin, enfourne ton dard dans ma chatte et fais-moi jouir, j’adore me faire baiser…
– Tu sais, on va rentrer, je pourrai mieux te faire jouir, dans un lit…

Je me rajuste, il remet tout à sa place… On repart, on s’arrête, on s’embrasse…

On entre dans la maison par la porte de derrière, on entend sa femme gémir, jouir…

– Ton mari se régale… Elle adore faire l’amour, elle jouit plus qu’avant avec nos incartades…
– Viens me donner le LA ; je suis d’accord, prends-moi, baise-moi, sodomise-moi, je suis tienne, soumise, j’ai envie de ta queue…

Ma robe tombe à mes pieds, il est déjà tout nu…
Il enlève mon soutien-gorge, il se penche pour les lécher, les masser, exciter mes tétons, et m’entendre gémir…
Je m’agenouille et coince sa bite entre mes seins…
Puis ça va, ça vient, entre mes doudounes, douces et tendres qui bercent son phallus érigé, temps de branlette qu’il semble adorer, alors il me positionne en levrette, pour un premier assaut de délivrance…
Il me baise avec fougue, me retourne, partage, se soumet à l’amazone que je deviens, me prenant avec hardiesse, avalant sa bite sans complexe, me fouillant, m’extasiant, et jouissant longuement de ce dard destructeur…

Nos conjoints s’en donnent à cœur-joie, elle rugit, ahane, vocalise un orgasme rauque, il sourit… Elle s’offre encore, on entend des « Viens ! », des « Oui !… », des geignements, des « Heu !… », faisant une litanie qui me prend aux tripes et me donne envie de ce dard que je regarde reprendre forme, devant moi…

– Elle adore jouir d’un inconnu…
– Je pense que l’on se ressemble… Prends mon cul maintenant, j’ai envie de subir tes assauts de mâle en rut…

Caressée avec patience, mon anus s’est ouvert à lui, mes sucs l’ont préparé, je sens le gland forcer le passage, puis s’arrêter…

– Viens, c’est doux et tendre, encule-moi chéri, baise ta nouvelle amante, cette salope de coiffeuse qui dévoile ses seins en été, et parfois en hiver, sous sa blouse, même les femelles en raffolent, et viennent se gousser…
– Vrai ? Ma femme a une amante ?
– Oh, non, elle est sage, elle parle quand nous sommes seules, me raconte parfois vos soirées, s’empourpre en dévoilant certains détails, ses fantasmes, j’écoute sidérée par tant de libertinage… Elle paraît si sage, juste un peu aguicheuse quelquefois, je l’adore…
– Tu l’as baisée ?
– Pas eu encore le loisir de le faire, on s’est promis de tenter l’expérience, car je suis néophyte… Oh, j’aime ce que tu me fais… Continue à me prendre au cul !
– T’as jamais fait l’amour avec une fille ? Irène adore ça, je la regarderais des heures… J’aime quand elle se frottent l’une à l’autre, sexe contre sexe, en vociférant leur plaisir…
– Oh que c’est bon, jouis en moi, viens, lâche ta semence dans mon cul de salope…
– Tiens, oui, je viens en toi, tes fesses me font un doux coussin, et ma bite transperce tes entrailles, je te donne mon jus…

Il me mitraille, ouvre ma rondelle, son gros dard me prend jusqu’au fond, m’arrachant un orgasme sourd et puissant…
Un peu sonnée de tant de sexe, ivre de ses caresses et de ses baisers… On se repose…
Irène reprend du service et se lâche en feulant, demandant de la prendre comme une chienne…

– Viens, on y va… Tu as déjà vu mari baiser une autre femme comme une chienne ?
– Non…
– Irène sait y faire pour les prendre dans ses filets et les amener au paradis… Et elle ne fait jamais semblant…

Dans la position du poirier, elle se fait baiser par une queue énorme, qui plonge en cadence, sans effort, la faisant jouir doucement, le prenant à fond, les couilles venant battre son cul ouvert…
Phil ressemble à un cosaque matant un cheval sauvage, il la baise avec force, fougue, et jouit en elle, sans ménagement juste après son orgasme, les seins branlant, les cuisses à 180 degrés…
Elle tombe en tremblant de tout son corps, épuisée par mon mari en rut !

Je m’allonge auprès d’elle, invitant les hommes à aller boire une bière au salon…

Irène cherche ma bouche et se love contre moi, ses seins contre les miens, son baiser est merveilleux de douceur, ses mains prenant mes seins, et la machine se met en marche, je sens ses doigts dans ma chatte, mon clitoris commence à se lever, je coule de désir, les images de cette femme se faisant prendre dans cette position soumise, me poussent au scandale, et je salive sa chatte, au propre et au figuré….

Nos premiers échanges me plaisent, j’y retrouve les effluves de nos mâles, un peu de sperme accroché, coulant de son vagin élargi…
Elle se laisse découvrir, fermant parfois les yeux, comme si je lui apportais le nectar qui coule de ma grotte…
Elle me guide aussi, puis m’offre sa chatte ouverte, se plaque sur mon sexe, qu’elle investit de ses doigts et donne un récital lesbien d’une masturbation en commun, s’emportant l’une et l’autre au bord de l’extase, devant les yeux attendris de nos conjoints…

Phil se régale de voir cette femme me combler, me faire jouir, lécher ma chatte, m’embrasser, titiller mes tétons dressés, et faire de moi sa complice dans une étreinte finale à 4 partenaires…

Lui, elle, nous, et on baise, on se donne, on se laisse prendre par les deux hommes, jouissant de leurs membres dans nos deux puits d’amour, brâmant nos orgasmes anaux et vaginaux, chacune à notre tour, remplies de leurs spermes, devenant des poupées de chiffons entre leurs mains…

Que de sexe, que de sourires, que de plaisir, Irène je te remercie…
Marc tu es un seigneur de la baise…
Phil j’ai vu un autre Phil, inconnu, doté d’une ardeur inventive, prenant Irène comme tu ne me l’as jamais fait… Fruit de tes incartades parisiennes ?…

Justement, nous terminons en couple… Chacun le nôtre, et ce que je ressens au matin de cette nuit merveilleuse, c’est beaucoup d’amour de mon mari, version orgie, qui me défonce pire que mes amants, me laissant détruite, recroquevillée dans cet immense lit…

Irène a semble-t-il joui du même sort, les yeux tirés, les cernes immenses, les seins rougis, la démarche ondulante, on s’embrasse une dernière fois, comme deux amantes…

– Ils m’ont désarticulé… Je suis enflée de partout, ils ont été au-delà de ce que j’attendais… Nos maris sont des taureaux de combat, je les adore tous les deux… Merci d’avoir partagé, en espérant vous revoir souvent…
– Oui, j’ai aimé notre soirée, cet abandon, ce respect, Phil m’est apparu différent, il te faisait jouir comme jamais il ne me l’a fait, te poussant vers des extases dantesques… Oui, j’ai aimé m’abandonner dans des bras inconnus, jouir de ses caresses, le sentir me prendre, me donner à lui, pleinement, profitant de son exceptionnel sexe et de vos expériences… Oui, j’ai perdu pied, oui, j’ai aimé nos échanges lesbiens, oui, je te veux encore, tous les deux aussi…

Irène se refait une apparence décente, passe un peignoir, puis m’attends en me regardant…

C’est nouveau… Une femme qui me mate pendant ma toilette intime…
– Tu es belle… Tu vas lui plaire… J’ai adoré aussi me faire baiser par Phil, il est doux, il est respectueux, attentif et inventif, il m’a comblé…
– On va être amoureuses de nos amants d’un soir ?
– Et si on le devenait, nous ?
– Oh !… Je ne sais pas… J’aime ce que tu fais, tu me regardes, je ne pensais pas le supporter, mais cela m’excite…

Elle me sourit, se lève et ses mains viennent traîner entre mes cuisses, elle ouvre son peignoir et se plaque contre moi… J’ai chaud, je sens mon sexe couler, je caresse sa chatte qu’elle m’a ouverte généreusement…

On s’embrasse comme deux folles en se masturbant réciproquement… Nos doigts excitent nos clitoris, pénètrent nos vagins, on jouit sans gêne, elle ondule son bassin sur ma main, s’empalant comme moi, me donnant son rythme et moi le mien…

L’orgasme arrive, j’ai chaud, je tremble, je jouis, je tombe dans ses bras, debout dans la douche…

– J’ai envie de te lécher encore, d’aspirer ce suc qui imprègne mes doigts, de m’en repaître…
– Moi aussi j’ai envie de faire l’amour avec toi encore, de te découvrir… J’ai envie de te revoir… Viens au salon demain vers midi…
– Oui, je veux bien, je suis seule…

Lorsqu’on ressort de la salle de bains en peignoirs roses, ils nous matent en riant…
Nos hommes sont décontractés sur le canapé et boivent un verre de whisky…

– Je remercie ma femme d’avoir œuvré pour vous rencontrer. Je suis heureux de vous avoir reçu et nous sommes à votre disposition pour recommencer. J’ai apprécié, comme Irène, vous rencontrer dans ce contexte particulier. Vous correspondiez exactement à nos critères, nous n’avons pas été déçus et je souhaite que vous aussi.
– Merci pour votre soirée qui nous a ouvert les yeux sur ces pratiques de sexe en couple. Vous êtes adorables tous les deux, et j’ai apprécié, au-delà du sexe, votre capacité à nous aider dans notre démarche de couple. Oui, j’ai eu des rapports intimes avec vous deux, oui, j’en ai joui, oui, je recommencerai et oui, pourquoi pas avec d’autres personnes partageant nos critères de sélection… J’ai aimé mon mari, qui m’a fait l’amour, enfin, j’allais dire, boosté par ce qu’il vient de partager, cette excitation sexuelle supplémentaire que l’on espérait, et que l’on va garder précieusement en nous remémorant ces heures avec vous 2… Merci mes amis, merci Irène, merci Marc et à bientôt….

Dans la voiture, Phil me regarde conduire, il est 7h00 du matin, on a passé la nuit en baisant tous les quatre, une soirée qui va me marquer…

– Tu en dis quoi ?
– C’était géant, je n’ai pas menti, ce que j’ai ressenti dépasse ce que je pensais. Ils sont tous les deux adorables et performants sur le plan sexe, mais amicalement, je les ai trouvés riches, proches de nous, simples et directs…
– Oui, je pense aussi comme toi… Je t’ai vu te coller à lui, accepter ses caresses en dansant, accepter et lui rendre ses baisers, avoir envie de faire l’amour avec lui, accepter ses caresses, te donner à lui, jouir sans tricher, jusqu’à délirer tes orgasmes sans te cacher… Oui, tu as été toi, celle que j’aime, celle qui partage ma vie… Oui, je t’aime, j’ai senti ce petit picotement de jalousie en t’entendant crier ton plaisir sous lui, te faire baiser et atteindre l’extase du plaisir et en redemander en t’offrant à lui, puis en le faisant jouir, le prendre comme amant sans rechigner, sa bite entre tes fesses, plongée dans tes entrailles en beuglant de plaisir anal… Il jubilait en te sodomisant, en t’entendant jouir de lui, soumise à ses fantasmes et ses coups de bite qui te démontaient le cul…
– J’ai baisé ce soir comme une salope, en pute, en cougar, en femme, en garce, en nymphomane, en sac à foutre… Oui, je le concède… J’ai aimé ce délire des sens, surtout sachant que tu étais là, me regardant faire l’amour, m’entendant jouir, sous le joug d’un étranger… J’ai été salie par ce type, comme profanée, mais consentant à le faire pour mieux jouir de toi…
– J’ai vu et ressenti ton attirance pour elle… Tu veux la revoir seule ?
– Pour la première fois j’ai ressenti une attirance sexuelle avec une femme… Elle m’a amenée à la caresser, naturellement et j’ai senti mon désir arriver, et c’est allé très vite, les points de jouissance, je les connais, ce sont les miens, ce qu’elle attend, je l’attends aussi, on peut donc vivre des instants d’abandon plus intenses grâce au partage et cette tendresse innée aux femmes dans ces instants de découverte… Oui, j’ai été conquise, et oui, je la reverrai pour parfaire mon initiation…

Les semaines qui ont suivi ont vu un Phil plus empressé, même parti, il m’appelle, s’inquiète de moi…
D’autre part, j’ai reçu Irène au salon et ce fut magique…
Je trouvais une femme changée, timide, regardant autour d’elle, pas rassurée de se retrouver dans un endroit inconnu…
Il a fallu une bouteille de blanc et quelques amuse-bouche, puis elle s’est déridée…
Quand nous sommes montées dans mon studio, elle était un peu partie…

On avait trois heures devant nous, on en a profité…
Nous nous sommes embrassées, debout, dans la pénombre de cette pièce aux volets fermés…
Je l’ai déshabillée, j’ai retiré ma blouse, puis le reste, nous nous sommes assises sur le lit…

Elle me fixait des yeux, sans arrêt…

– Je suis contente de te revoir…
– Moi aussi, je… J’ai pensé à toi souvent…
– Tu as fait de l’effet à mon homme… Il n’arrête pas de me demander quand on se revoit tous les 4… Et les jours qui ont suivis, il m’a sautée 2 fois par jour…
– C’est pareil, Phil est plus présent, même en déplacement, il me téléphone, ou me SMS… On a baisé comme des fous le lendemain, je l’ai retrouvé comme avant…
– J’avais raison de te pousser…
– Oui… Viens…

On se colle l’une à l’autre, elle me propose un 69 que j’accepte avec plaisir… On se lape la chatte, on se gouine avec tendresse, sa langue me fait partir très loin, vers mon premier orgasme… Mes doigts l’entraînent vers des sommets, et nos sexes emboités attisent nos libidos, nous font délirer notre plaisir, je me sens bien, et feule ses caresses…. Ses seins deviennent plus gros, les tétons dressés plongent dans ma chatte et m’emportent vers des délires…

Plus tard, je me prends à frotter ma vulve sur sa cuisse, elle devient folle de plaisir et on baise encore, nous partageant nos sexes béants de désir…

Elle me masturbe avec tendresse et déclenche ma fontaine… Je coule entre ses doigts, elle vient me lécher en 69, m’offrant sa vulve détrempée…
Je la doigte et arrive aussi à la faire jouir, une phalange dans son anus prépare sa sodomie…

Elle se laisse manipuler, écarteler, et jouit intensément, se libérant complètement…
Son orgasme anal est entier, réel, et j’en jouis aussi…

A mon tour de connaître l’extase de mon derrière, je me donne, ouvrant mes fesses, vibrant sous ses doigts qui plongent dans mes entrailles…
C’est un délire de nos sens en commun, j’investis sa chatte, et pousse son clitoris à exploser sous ma langue… Elle suce mon derrière, puis vient y poser sa chatte, la frottant tendrement, en feulant sa caresse…

Il n’y a pas un centimètre de sa peau que je n’ai pas caressé, léché, excité…
Elle n’est pas en reste, ses baisers me font fondre, sa langue est douce et on partage ces instants de tendresse, d’excitation et d’amour lesbien…

Je suis trempée de sueur, nous roulons l’une sur l’autre, combat de femelles, de tigresses, laissant nos fantasmes prendre de l’altitude…. On jouit sans complexe, je ne lui refuse rien…
On se calme, enlacées, embrassées, enchevêtrées, heureuses et ravies…

– Tu es un ange, je t’adore. Je n’avais jamais aimé faire l’amour à ce point avec une femme… Même mon égérie… Tu es si délicate, naturelle, tu me fais délirer, m’évader, jouir sans cesse, j’ai besoin de te sentir contre moi, je t’aime…
– Ton corps est un livre ouvert, le livre de la vie, le livre de la femme, de l’amour et du sexe… J’apprends vite de toi, car te manger et te boire me suffit à escalader les sommets du plaisir féminin… Oui, je vis des moments intenses, nouveaux, inespérés, oui, je me donne à toi, prends-moi, je t’aime aussi…

Pendant toute cette semaine, nous nous sommes revues, devenant deux amantes, secrètes et assoiffées de sexe, d’être serrées l’une contre l’autre en explorant nos corps et nous menant au plaisir… Ivres de caresses, trempées par nos nectars et sécrétions diverses, variant chaque jour positions et postures, nous laissant dominer, puis dominant à notre tour…
Ce fut un déclic que de ressentir mon bien-être en soirée, dans mes nuits solitaires, je ressentais cette plénitude qu’elle m’avait apporté dans la journée…
J’étais bien, j’étais femme, je la cherchais dans mes draps, cherchais ses seins, sa bouche, son pubis et sa vallée, et son fourreau pour y plonger mes doigts, et l’entendre feuler à mon oreille, puis jouir doucement, en me rendant ma caresse, ses doigts pénétrant mon vagin et commençant leur ronde enivrante, jusqu’à nos orgasmes simultanés…

– Oh, oui, viens aussi, jouis de moi, jouis avec moi, contre moi, ouvre-toi, oui…

Même mes délires nocturnes me surprenaient, je devenais dingue d’elle, de son corps, de son sourire, de ses baisers francs et si intenses…

Quand Phil revint le vendredi soir, il me fit l’amour directement au salon, sans attendre, me baisant avec fougue, me faisant jouir longtemps, puis ajoutant la tendresse…
Je la voyais, elle commentait mon plaisir, m’accompagnait, elle me caressait en même temps que lui et je jouissais, écartelée, abandonnée à leurs mains, leurs lèvres, leurs sexes m’apportant le summum de l’extase…

Je criais, les voulais encore, en sentant le sperme de Phil, s’échapper de mon vagin et couler le long de mes cuisses…
Des images de notre soirée ressurgirent de ma mémoire, Marc me prenait avec Phil et je jouissais de leurs sexes en moi… Symbole fort d’un moment que je n’avais pas imaginé, très intense, que je n’oublierai jamais…

Je dormais comme un loir jusqu’au matin du samedi…
Au petit déjeuner, il me parla un peu…
Que cette fois, je lui avais manqué… Notre soirée l’avais remis sur le chemin du sexe…
Il s’excusa de m’avoir délaissée… Il aimerait refaire une soirée avec eux…
Je lui avouais que j’avais eu des rapports intimes dans mon studio avec Irène…

– Ah !… Tu l’apprécies aussi ?
– Plus que cela, elle me manque, tu n’étais pas là, j’avais envie d’elle… On s’est vues tous les jours de la semaine…
– Tu deviens lesbienne ?
– Je ne sais pas, en tous cas tu vois, j’ai aimé hier au soir… On refait l‘amour comme avant, je te sens, tu m’excites avant, tu fais monter mon désir, tu me prends quand ça devient insupportable, et tu me fais l’amour longuement, jusqu’à l’extase…
– C’est mieux qu’avec elle ?
– Je jouis autant avec elle, ce ne sont pas les mêmes sensations, mais le résultat est identique. Elle aussi jouit de moi, de ma bouche, de mes doigts, de mon sexe…
– Tu me donnes envie…
– Justement, viens avec moi, lundi, on a rendez-vous, j’aimerais que tu sois là et que tu nous fasses l’amour à toutes les deux ensemble, te partager, la voir jouir, la regarder, la sentir vibrer, ressentir ses orgasmes, déclencher les miens… Me donner à toi devant elle, sans tabou, partager ton sexe avec elle, nous caresser devant toi, pour toi, avec toi…
– D’accord, je partirai après dans l’après-midi, je… Oui ça me tente, je l’adore cette femme, et tu me permets de te tromper avec… De la sodomiser en la faisant crier de plaisir devant toi…
– Je deviens folle de sexe… J’ai tout le temps envie…
– Tu rêves d’elle ?
– Oui, de toi aussi et de Marc, des images défilent dans mon esprit, et je me masturbe…
– Je suis là, tu n’as plus à le faire… Si tu en as envie, dis-le-moi, on baisera n’importe où… Comme avant…
– Je pense à lundi, j’ai hâte… Je vois sa chatte, j’ai envie de la lécher… Tu n’as pas de chatte… Moi oui… Alors je me rentre deux ou trois doigts, et j’appuie, je les glisse dedans, j’ouvre mes doigts et je me fais jouir longtemps, écartelée… J’ai même essayé l’autre trou… J’ai aimé…
– Tu sais… J’aimerais te regarder faire un soir… Que tu le fasses devant moi… ça m’excitera… Je te prendrai comme un fou… Je plongerai mon dard en érection dans ta chatte ouverte par tes doigts…
– Miam… Oui… Je te dirai…
– Même au tél si je suis en déplacement…
– Oh !…

Le lundi, nous l’attendons, et quand elle arrive, on s’embrasse, Phil est monté et a mis la table, un déjeuner rapide, pizzas, fruits… Café…

Quand elle passe le pas de la porte, elle est surprise de voir Phil… Elle va l’embrasser immédiatement, comme si elle n’attendait que ça…

Oh, oui, tous les deux… J’adore… Oui, Phil, prends-moi, caresse-moi avec ta femme que j’adore, faites-moi l’amour tous les deux…

Elle le suce avec application, quittant le reste de ses habits, cherche mes cuisses et introduit sa main… Je me mets à la désirer, elle coule déjà de désir, elle s’offre à lui, fesses en l’air, la chatte dégagée, en massant mes seins, et m’embrassant…
Elle me dit quand il est proche de la pénétrer, puis quand elle le sent entrer, et enfin part en feulements ininterrompus, en jouissant de son dard qui la lamine….
Je coule à mon tour en l’entendant prendre son plaisir, Phil se dégage d’elle et ma prend sans précautions, me baise, en missionnaire, elle nous regarde et m’offre sa chatte humide des sucs de leur étreinte…

Je jouis rapidement, et lui laisse la place, il se rue sur elle et la fait monter sur lui, fière amazone, elle ouvre son sexe avec ses doigts et se pénètre de la bite tendue de Phil…

– Oh, oui… Que c’est bon… Encore les amis, viens contre moi ma chérie, j’aime sentir ta peau contre la mienne pendant qu’il me baise comme une salope que je deviens…

Je m’agenouille sur son visage, elle arrive à placer sa langue dans ma chatte, humide et chaude, dégoulinante de cyprine…
Elle jouit doucement, mais continue à investir mes entrailles, masturbant ma chatte avec tendresse, et me portant à l’extase, en même temps qu’il accélère en elle, à grands coups de bite, la pourfendant comme un soudard…

– Oh, oui, Phil, encore, baise ta salope, c’est divin… J’aime aussi comme ça, je me sens violée… Oui, je vais jouir…

Elle s’applique dans mon vagin, arrive à m’exciter et déclenche ma fontaine…
Phil est surpris et regarde ma vulve éjecter ce liquide clair, ce nectar…
Irène jouit, elle a un orgasme, moi aussi, Phil éjacule dans le vagin détrempé de mon amante…

C’est dément… On râle, on se tourne, elle me laisse la place, je m’empale sur la bite encore valide… Je suis désolée d’avoir trempé mes draps…

Irène embrasse Phil avec passion, puis moi, avec tendresse…

– Viens Irène je veux ton derrière, j’ai envie de te sodomiser…
– Oui, Phil, j’en ai envie aussi, et elle aussi, tu crois que tu peux nous baiser toutes les deux ?
– Je pense, caressez-vous, jouissez en lesbiennes pendant que je vous sauterai, ça m’aidera… Diam, je vais t’éclater aussi…
– Oh, chéri, j’aime… Oui, prends-nous pendant qu’on se gouine, on va te faire bander de désir comme jamais…

Le tableau est parfait, nous commençons par le début promis, au centre du lit, Irène et moi, baisers juteux, caresses sur nos seins, nos tétons dressés que nous suçotons, une main entre les cuisses de l’autre… Puis nos désirs s’expriment, et nos corps s’enflamment…
On se lèche, on se gousse, on se bouffe le minou, écartelées, en 69, nos chattes grandes ouvertes… Un doigt dans l’anus pour nous préparer… On se masturbe devant lui, puis on se met en levrette pour lui offrir nos culs…
Il nous sodomise chacune à notre tour, commençant avec patience et tact, attendant de nous avoir pénétrées, pour nous enculer avec hargne, en parfait macho, jusqu’à ce qu’on jouisse sous ses coups de queue… Chacune à notre tour, puis changeant plusieurs fois jusqu’à ce qu’il nous insémine, dans un orgasme anal délirant… Je vois mon amie, révulser les yeux, se tendre et s’écarteler, le membre dilatant sa rondelle devant mes yeux, en l’accompagnant dans son extase…
A mon tour, ensuite…
Et mes vocalises témoignent de mon plaisir à ce jeu à trois, sa bite venant me pilonner l’anus, déclenchant un orgasme anal impressionnant, dans lequel je perds connaissance, emportée par la fougue de mon amant, et la masturbation douce de mon amante…

– Oh, oui ! Ca va, ça vient… Viens ! Explose ta semence… Je jouis de nous trois…

Que de tendresse partagée ensuite, enlacés tous les trois après avoir joui comme 3 ados…

Irène en redemande, je lui donne, je reprends le membre dans ma bouche, pour lui redonner vigueur, et la force à le partager, ce sexe qu’elle adore, celui de son mari, qui vient de nous baiser, nous emporter dans deux heures d’intense copulation, 2 femmes d’expérience, surexcitées, se donnant sans répit à un ténor de la baise !…

Sensations bizarres sous ma blouse, j’ai eu du mal à tenir mes ciseaux et mes peignes, l’air hagard devant mes 3 clientes de l’après-midi, dont deux commençaient à se caresser chaque fois que je me tournais vers la troisième…

Celle-ci étant d’accord, je les laissais faire, les encourageant à une libido débridée, dans ce lieu saint, mon salon de coiffure…

J’installais peu de temps plus tard, pour la nouvelle année, une nouvelle enseigne :

« Ici, ça va, ça vient… On coiffe tout le monde »

Ces messieurs vinrent se donner bonne conscience, profitant de cancans et de ragots…
Puis je vis des couples se former le temps d’un coup de peigne, d’une mise en pli, et se glisser discrètement dans l’alcôve prévue à cet effet, pour tromper leur ennui, leur mari ou leur femme, en toute sécurité… Ils repartaient chacun de leur côté…
J’augmentais mon chiffre, elles sortaient réjouies, ils venaient plus souvent, elles changeaient de partenaires, devenaient sexy, osaient des regards directs, ils choisissaient sur pied…

Certains laissaient un large pourboire en partant, qui passèrent dans l’aménagement du salon et des alcôves, pour le confort de mes clients…

Finalement, une grande partie du village prit un abonnement « coiffure au choix », certains préparaient leur rendez-vous sur Internet, en notant les pseudos des clientes inscrites pour s’envoyer en l’air…
Le salon devint un lupanar, car j’avais cédé à la demande d’ouvrir le studio du premier…
J’arrêtais après un été dément…

La boulangère que j’avais souvent coiffée, vint me demander conseil, pour reprendre cette activité…
Une de ses copines ouvrit un espace Sauna – Bien-être…

Les massages complétèrent l’offre du début, avec une piscine intérieure réservée aux abonnés…
Suivirent une pièce handisport avec un ou une coach…
Puis un restaurant compléta l’offre, permettant des rendez-vous discrets…

La vie ? Ça va, ça vient…

Je vois toujours les amis Irène et Marc, Phil passe plus de temps avec moi, m’évitant de faire des bêtises…

Oui, la vie va et vient, comme mon cœur…

FIN de la 1ère Partie

Marika842010
Janvier 2020

A propos de l'auteur

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