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au parc

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Au début du printemps, je traversai le parc municipal pour me rendre à mon rendez-vous amoureux…
Mon portable rivé à mon oreille, en pleine conversation avec mon mec de l’époque (un mec marié que je m’envoyai entre midi et deux, dans sa voiture, entre deux rendez-vous professionnels…).
Je devais traverser tout le parc à pieds pour mit rendre…
Pour éviter de se faire repérer, et d’attirer l’attention nous avions trouvés ce stratagème…
Mon appart se trouvait à l’opposé de l’entrée principale, où se trouvait un grand parking, là où il se garait pour que je lui vide les noisettes…
Je passais par l’allée centrale de ce parc qui était bordé de vieux bancs en bois de chaque cotés…
C’était un mercredi, il y avait plein de mômes qui jouaient avec leurs mères qui les accompagnaient…
Ces dames en profitaient pour discuter entre elles de familles et de gosses… Il y avait aussi, des vieux qui profitaient des premiers rayons de soleil du printemps…
J’étais vêtue d’une petite jupe courte et légère, mi cuisses… d’un petit haut moulant, à manches courtes, fin, et légèrement translucide, laissant deviner le dessin d’un soutif blanc en dentelles … son string blanc en dentelles assorti, d’ une paire de bas up fins, légèrement marron, me faisant un joli hale bronzé sur ma peau, et des jambes lumineuses avec de jolis reflets par le lycra(plus pratique pour baiser dans un endroit exigu comme une voiture…), une paire d’adorables escarpins à brides blanc qui me mettaient en valeur mon joli vernis rose fluo sur mes ongles de doigts de pieds,… et mon petit sac à main assorti blanc en bandoulière…
J’étais jolie comme un cœur, maquillée et parfumée à souhait pour être toujours aussi désirable…
Je venais de rentrer dans le parc, que mon portable se mit à sonner… c’était lui qui m’appelait pour me prévenir qu’il avait un empêchement de dernière minute, et qu’il ne pourrait certainement pas honorer notre petit rendez-vous galant…
J’étais furieuse… tout ce temps que j’avais passée à me préparer, et à me pomponner pour des clopinettes devant mon miroir avaient servi à rien…
Je pestais au portable… Il essayait de minimiser la chose en me proposant que l’on se rappelle plus tard pour se recaler un nouveau rancard…
Tout en lui parlant sèchement, je me suis assise sur le premier banc que j’ai trouvée…
Concentrée dans ma conversation houleuse, je ne me suis pas aperçu qu’à l’autre extrémité du banc était assis un vieux, seul, qui se reposait, qui profitait du calme de la nature…
Il se mit à raller me demandant d’aller plus loin, si c’était pour hurler de la sorte…
J’ai commencée par l’envoyer chier… et je restais assise sur mon banc en écourtant ma conversation avec mon amant…
Je lui ai raccrochée au nez … j’avais les larmes aux bords des yeux, pour éviter que cela ne se repère j’ai mis mes lunettes de soleil…
Triste et déçu, c’était silencieux… le vieux ne disait plus rien lui aussi, toujours assis à la même place…
Perdue, je ne savais plus quoi faire ; renter à la maison comme une conne et me faire jouir devant du porno… ou aller me balader dans le centre-ville toute seule, aussi comme une conne…
Puis j’ai réalisée que j’avais été incorrecte avec ce monsieur en l’envoyant bouler tout à l’heure…
C’était moi qui étais venue lui casser sa tranquillité…
Je me suis tournée vers lui pour lui présenter mes excuses…
Correct, il les accepta, et comprenait que c’était sur le coup de la colère que j’avais eu un tel comportement…
Il avait compris que je venais de me chamailler avec mon chéri au téléphone…
Pour être agréable avec moi, il essayait de me réconforter en m’expliquant, par son expérience personnel ce n’était pas si grave, et que ça ira mieux plus tard…
Calmée, Je me suis rapprochée de lui pour taper la conversation…
On discutait bien maintenant, me faisant rire pour me faire oublier mon chagrin d’amour… qui n’en était pas vraiment un…
Il m’apprit qu’il avait soixante-neuf ans (j’en avais pas trente…), qu’il était divorcé depuis longtemps, qu’il vivait seul, et qu’il n’avait pas souvent l’occasion de se brancher des minettes…
Il savait y faire le cochon… je le laissais faire, faisant l’ignorante…
Il croyait que je ne l’avais pas remarquée…
Au début de nos conversations, il me tapotait sur le genou, puis voyant que je ne relevais pas ses petites tapes amicales… laissait sa main en permanence sur mon genou… puis, la remontant en me caressant sur le tissus fin de ma jupe, vers le haut de ma cuisse, jusqu’au début de la jarretelle téfloné de mon bas…
Il avait bien senti sous ses doigts, que je ne portais pas un collant…
ça devait certainement l’exciter…
Ça m’excitais moi aussi, c’est pour cela que je ne relevai pas ses avances et que je le laissais faire…
J’avais pitiée pour lui, qui n’avais pas baisé depuis longtemps… Il devait avoir certainement les noisettes bien rempli …
Ma renommée de fille facile, n’allais pas le laisser comme ça…
Puis je le coupai dans sa conversation, pour lui avouer que je n’étais pas une femme, pour ne pas qu’il soit choqué en découvrant la suite…
Il n’était pas surprit, ni choqué… il l’avait remarqué rapidement, en m’avouant qu’une femme ne se serait pas comportée de la sorte en se laissant faire aussi rapidement sans se prendre une gifle…
Je l’ai rassurée tout de suite en confirmant que son comportement à mon égard me plaisait, et que ses caresses sur mes jambes m’excitaient terriblement…
Il me demanda si je voulais aller plus loin dans ces genres de jeux…
Ici, c’était infaisable… des gamins partout dans le parc…
De l’autre côté de l’allée, il y avait un kiosque qui était fermé à cet période de l’année, avec à coté un bosquet d’arbustes taillés, mais relativement dense et épais…
Parfais pour nous dissimuler pour autres choses que de gentilles petites caresses…
Je lui proposais mon petit lieu que je venais de repérer…
On se leva gentiment, et on se dirigea vers le bosquet sans attirer l’attention des mamans et des enfants…
Puis on disparut dans le paquet de buissons…
On s’enfonça jusqu’au fond, le plus loin possible de l’allée, pour être tranquille et éviter tout risque qu’un gamin nous aperçoive…
Imaginez si jamais un de ces gosses viennent chercher son ballon perdu dans les broussailles… et tombe sur papi branché dans le cul d’un trav…
Arrivés au fond des taillis, sous un arbre qui par son ombre nous masquait de l’allée, je me suis tout de suite accroupie face à lui, mon visage à la hauteur de sa braguette…
Je tournais le dos à l’allée, comme ça lui restait debout pour pouvoir surveiller que personne n’arrive dans notre direction…
J’ai d’abord caressée sa verge qui était déjà bien dure à travers le tissu de son pantalon, tout en approchant mon visage pour humer son odeur d’excitation à la descente de sa braguette…
Tout en lui frottant sa verge d’une main, et ses couilles que je commençais à malaxer au passage…
J’ouvris son froque en baissant sa fermeture éclair lentement…
Puis je déboutonnai son pantalon pour lui descendre jusqu’aux chevilles, entrainant son slip dans le même mouvement….
J’avais face à moi une belle bite bien raide, droite comme un perchoir, sa peau protégeait son gland…
Je l’ai vite décalottée, pour y trouver un joli gland violacé et humide de sperme d’excitation… avec une odeur que j’aime… l’excitation du mâle…
J’ai commencée par le branler gentiment, en le regardant perler en utilisant sa peau qui glissait bien sur son gland…
Quand il y eut assez de sperme translucide à la sortie de son petit trou, j’ai commencée à lécher de la pointe de ma langue, le liquide qui s’écoulait au fur et à mesure de son petit orifice…
C’est un vrai supplice pour un mec, mais un véritable plaisir pour une bonne suceuse comme moi…
J’ai évoluée mon avance sur son sexe, en lui faisant, maintenant, rouler son gland avec ma langue comme une bille…
Entre mes lèvres bien humide et ma langue qui jouaient avec son extrémité, mon papi était aux anges, me caressant les cheveux pour me remercier du plaisir que je lui offrais…
Je le regardais se mordre les lèvres souffrant de plaisir en clignant des yeux souligné d’un rimmel épais et aux paupières bleutées avec des reflets argentées…
Puis j’avalai sa verge en totalité, jusqu’ à buter ma lèvre du bas contre ses couilles…
En reculant ma tête en arrière, j’aspirais comme un aspirateur, toute sa tige… arrivant de nouveau sur son gland, je rejouai de la langue sur son gland comme au début de ma fellation…
On entendait mes bruits de fellations, les cliquetis métalliques de mon collier et de mes bracelets qui s’entre choquaient…
Papi ronronnait, me félicita du travail buccal que je lui donnais, que j’étais doué pour donner du plaisir aux hommes avec ma bouche…
Je sorti sa bite de ma bouche pour lui répondre que je n’étais pas doué seulement de donner du plaisir aux hommes par des pipes… mais aussi par mon petit tunnel…
Il me répondit qu’il voulait l’essayer aussi avant de jouir…
Je me mis à le branler d’une main, le temps de fouiller de l’autre, dans mon petit sac à la recherche de mon chapelet de préservatifs et de mon petit tube de lubrifiant…
Comme un manchot, il a fallu que je me débrouille pour déchirer avec mes dents, l’emballage pour sortir le petit chapeau…
Pendant ce temps-là, je continuai de le branler pour qu’il reste en érection… lui donnant quelques coups de langues au passage…
Je mis le préservatif entre mes lèvres, puis je rentrai de nouveau sa verge dans ma bouche, lui déroulant le caoutchouc coincé contre mes dents…
Sa bite habillée, je me relevai en lui disant que c’était à son tour de jouer avec mon cul à volonté comme il le désirait…
Je me retournai pour lui tourner le dos, me pencha vers l’avant, écartant les jambes en soulevant ma jupe l’envoyant sur mes reins, pour dégager mon petit cul rond et ferme mit en valeur par mon string blanc…
Le spectacle devait être à son gout, vu les commentaires flatteurs qui sortait de sa bouche…
Il me bouffa le cul…
Me lécha la raie, et me pointa mon anus de sa langue baveuse, en me massant et m’écartant les steaks…
Je fermais les yeux pour profiter du plaisir qu’il me donnait…
J’étais appuyée, les mains sur une branche d’arbre qui me servait de support qui se trouvait devant moi…
A travers les végétaux, je voyais les gens et les gamins qui passaient sur l’allée à quelques mètres de nous… c’était risqué… mais c’était tellement bon…
Puis je senti qu’il retira son visage, qui me piquais et m’irritais la peau de sa barbe naissante… pour sentir le liquide froid et gluant du lubrifiant qui le remplaçait…
Je le laissais faire à sa guise…
Je sentais ses doigts qui commençaient à me violer mon intimité, me dilatant mon anus que je relâchais et contractais pour lui montrer que j’avais du répondant…
Il rentra deux doigts, et me branla l’anus comme si c’était une bite, en les faisant tourner comme une vis qui taraude… le restant de sa main lui servant de buté…
Il me secouait comme un prunier, les remuant en moi à toute vitesse…
Je sentais mon sexe durcir, et se raidir de plaisir dans mon string…
A ce rythme-là, et si il continuait de la sorte, je n’allais pas tarder à jouir…
J’étais en pleine nature, pendant qu’il me secouait, j’en profitai pour sortir ma verge du string, j’arrachai ma capote et la laissa tomber par terre. Mon sexe pendouillait à l’air libre… elle coulait de sperme d’excitation…
Au bout de quelques minutes, il retira ses doigts d’un seul coup… pour, dans la foulé, sans quasiment que je m’en rende compte, m’empaler de sa verge, d’un coup sec, jusqu’au fond de mon anus…
Pour éviter d’hurler, je me suis mordue l’avant-bras à pleines dents…
J’ai étouffée mes cris du choc violant… pour les changer progressivement par des ronrons de plaisir…
Il me bourrinait sans aucunes retenus… en même temps, je lui avais donnée carte blanche de faire de moi ce qu’il voulait…
Je le payais bien…
J’ai jouis… balançant de grandes et longues saccades sur le sol aux pieds des plantes…
En donnant ses derniers coups de reins énergique, accompagné des râles typiques des hommes lorsqu’ils jouissent, Il remplit sa capote au fond de mon anus dilaté, irrité et endolori…
Il me laissait sa bite au fond, débander…
Tant qu’il était branché, je ne pouvais me redresser… j’en ai profitée pour déchirer un nouvel emballage, enfiler un nouveau préservatif, et remettre mon sexe à sa place dans son string…
Il finit par la ressortir… je lui demandai de me laisser son préservatif chargé en moi… j’adore ça… comme une femme qui garde la semence de son mâle dans sa chatte…
Il recula, se nettoya la queue avec son mouchoir qu’il sorti de sa poche… Puis remonta à sa place slip et pantalon…
En me redressant, ma jupe glissa naturellement sur mes fesses pour reprendre sa place…
Je passai une main entre mes jambes pour replacer mon string à sa place dans la raie de mon cul humide et gluant…
Il me remercia de lui avoir gentiment vidé ses couilles avec autant de savoir-faire et de plaisir…
Je lui répondis qu’il n’y avait pas de quoi, que c’était avec plaisir pour moi aussi, que j’étais faite pour ça, et que j’aimais ça…
Il était tombé sans le savoir, sur une vraie salope…
On sorti des buissons comme l’on était rentrés, avec discrétion, sans attirer l’attention…
Une fois sur l’allée, il me donna sa carte de visite, en me disant « quand tu veux, où tu veux…. »
On se sépara pour ce jour-là en partant chacun de notre côté…
Les jours d’après, J’ai continuée mes baises dans la voiture de mon amant commercial, comme d’habitude…
Et j’ai rappelée très rapidement mon sexagénaire qui était souvent dispo pour moi…
Bises coquines

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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