– Tout va bien, m’a dit mon gynécologue en me raccompagnant à la porte de son cabinet ! Encore quelques semaines et le bébé sera là !
Je commençais à avoir besoin de mettre mes mains sous mon gros ventre pour me soulager quand je marchais et mon ventre commençait aussi à m’encombrer tout comme ma poitrine qui avait doublé de volume et s’étalait dessus. J’avais découvert avec horreur que mes seins disparaissaient sous mes bras quand je m’allongeais sur mon lit et pour tout compliquer, mon mari n’osait plus me toucher depuis quelques mois malgré mes supplications.
J’allais pousser la porte qui donne sur la rue quand elle s’est ouverte. Devant moi, un couple qui voulait entrer et le ventre de la femme encore plus gros que le mien.
– Je n’en peux plus, m’a dit la femme en passant devant moi ! Faites des gosses, qu’ils disent ! On voit bien que c’est pas eux qui les font !
Son mari m’a tenu la porte et je suis sortie et j’avais soif. Heureusement, en face, il y a ce café où j’étais allé après chaque échographie. Je me suis assise à une des tables sur le trottoir et j’ai attendu que le garçon se dérange. Il n’a pas tardé et j’ai bien vu son regard amusé.
– Vous devez en voir souvent, lui ai-je demandé
– Vous êtes vraiment belle, m’a-t-il répondu ! Les femmes enceintes sont vraiment les plus belles !
– Vous êtes marié, lui ai-je demandé ?
Il l’était et je lui ai répondu qu’il devrait demander à son épouse si c’était agréable d’être enceinte.
– Bah, si, elle veut, m’a répondu le serveur ! On fait ce qu’il faut pour ça !
Je lui ai commandé un thé et il n’a pas tardé à me servir puis il est rentré. Mon bébé donnait des coups de pied et même si je n’avais pas voulu savoir, j’étais maintenant persuadée que ce serait un garçon. J’ai plongé mes lèvres dans la tasse et j’ai soulevé les yeux et j’ai vu le couple qui sortait du cabinet du gynécologue et ils ont traversé la rue en venant vers moi.
– On peut s’asseoir, m’a demandé la femme ? Je n’en peux vraiment plus !
Je ne comprenais pas pourquoi ils tenaient tant à s’asseoir à côté de moi vu que toutes les autres tables étaient libres mais ils se sont assis à ma table et la femme à côté de moi. Elle a posé ses mains de chaque côté de son ventre et elle a ajouté qu’elle était énorme.
– Oh, ces seins, j’ai de vrais pis de vache !
Il fallait bien que je lui réponde quelque chose et je lui a dit que je n’avais imaginé que ma poitrine deviendrait aussi grosse.
– Vous allez allaiter, a insisté la femme ?
Ma mère essayait encore de me convaincre mais je n’étais toujours pas persuadée que je devais allaiter mon enfant et alors que je n’avais pas encore répondu, la femme a continué en disant qu’elle n’aurait pas assez de ses deux seins pour allaiter ses jumeaux.
-Vous attendez des jumeaux ?
La femme m’a certifié qu’elle attendait deux garçons et ça expliquait tout mais d’un autre côté, ça m’avait glacée parce que si le gynéco ne m’avait pas dit si c’était un garçon ou une fille, il ne m’avait pas non plus dit combien il y en avait dans mon énorme ventre.
– Oui, a fait la femme en plaquant sa main sur la cuisse de son mari, ce cochon a mis le paquet !
Mon visage est devenu écarlate.
– Si vous n’avez pas besoin de votre lait, je le veux bien pour mes enfants, a ajouté la femme !
Son mari faisait semblant de ne pas nous entendre et regardait ailleurs. La femme s’est penchée vers moi elle m’a glissé un papier dans la main et elle a refermé mes doigts dessus.
– Je suis chez moi demain ! Venez et on se mettra d’accord !
Je ne savais plus où j’en étais mais le lendemain matin, je suis allée à l’adresse qu’elle m’avait indiqué et quand j’ai sonné à l’interphone, la femme m’a dit que c’était ouvert. J’ai poussé la porte et j’ai traversé le jardin. La porte de la maison était ouverte.
– Je suis là, au bout du couloir, m’a fait la femme !
J’ai avancé dans le couloir. C’était coquet sans être riche. Arrivé au bout du couloir, une porte était ouverte et la femme était nue au milieu de la salle de bains. Elle s’est tournée vers moi :
– C’est monstrueux d’en arriver là, m’a-t-elle dit ! Ma sœur a eu deux fois des jumeaux et coup sur coup !
C’était stupéfiant parce qu’elle avait beaucoup moins de vergetures que moi et sa peau était presque lisse mais ses seins avaient des aréoles énormes.
– Vous avez fait des photos en souvenir, m’a demandé la femme ?
Je n’en avais pas fait ou plutôt mon mari n’avait pas eu l’envie d’en faire et je n’en avais jamais parlé.
– Là, c’est des garçons, a continué la femme mais quand ce sera une fille, je suis sûre que ma fille voudra savoir comment était sa mère quand elle la portait !
– Vous allez recommencé, me suis-je étonnée ?
– Oui, tant qu’il faudra, m’a répondu la femme en me faisant un beau sourire ! Mon mari veut absolument une fille et ça ne me gêne pas… Vous me faites voir comme vous êtes belle ?
Je ne voulais pas comprendre mais indiciblement je voulais me déshabiller devant cette femme.
– Allons, a insisté la femme, on est entre femme ! Je vous le jure ! Il n’y a personne derrière les miroirs !
Je ne mettais plus de soutien-gorge depuis que ma poitrine avait pris du volume et je ne portais plus de culotte parce qu’elle me glissait le long des cuisses. J’ai rougi et j’ai retiré ma robe. La femme continuait à me regarder et une fois nue, elle m’a dit que mon ventre avait la forme d’une sphère et je ne sais pas pourquoi je me suis un peu penchée pour dégager ma poitrine et la femme a dit que j’étais vraiment belle.
– Vous voulez que je vous prenne en photo, c’est ça, a-t-elle ajouté, vous n’osez pas…
J’étais incapable de répondre. Elle m’a pris la main et je l’ai suivie dans les couloirs jusqu’à ce qu’on se retrouve dans le garage qui avait été transformé en studio photo. Un grand rouleau de papier bleu descendait du plafond jusqu’au sol et il y avait un appareil sur un pied et une caméra sur un autre trépied.
– Je vais te prendre en photo, m’a dit la femme et après je te ferais voir mon album !
La femme m’a fait prendre des pauses mais la plupart du temps elle restait près de moi et actionnait sa télécommande et elle m’a dit ensuite qu’on allait poser ensemble toutes les deux. Elle m’a fait asseoir sur une chaise et elle a pris une photo avec elle debout à côté de moi puis on a fait des photos allongées sur un canapé.
– Tu as peur qu’on voit ta vulve, m’a demandé la femme ? Moi, je trouve que c’est ce qu’on a de plus beau !
Le flash crépitait et quand elle m’a embrassée, je me suis laissée emporter et quand elle m’a demandé si je voulais qu’elle me fasse jouir, j’ai accepté. Elle s’est agenouillée entre mes cuisses et elle a d’abord commencé avec ses doigts puis elle a continué avec sa langue puis elle s’est relevée et la femme s’est assise sur le bord du canapé et ses doigts ont repris leur danse et quand la femme m’a dit que ça venait, j’étais bien incapable de mentir. J’ai explosé et c’était magnifique car il y avait longtemps que ça ne m’était pas arrivé. Quand j’ai repris vie, la femme observait mon visage et elle m’a demandé si c’était bien. Pourquoi mentir ?
– Tu veux que je te le fasse, lui ai-je demandé ensuite ?
J’avais proposé à des garçons de les sucer quand j’étais adolescente mais le jour où j’ai dû avaler le sperme, j’ai arrêté. Bien sûr, la femme voulait bien et je lui ai fait l’amour. C’étai la première fois que je faisais ça avec une femme et quand elle a joui, elle m’a pissé dessus. Une fois encore j’ai un moment à me reprendre puis j’ai demandé si la caméra avait filmé.
– Tu vas faire voir ça à ton mari, lui ai-je dit ?
– Je vais te faire voir mes photos, m’a répondu la femme ! Après, tu décideras !
– Je déciderai quoi ?
Elle ne m’a pas répondu et je l’ai suivie dans le salon où elle m’a montré un album. C’était des photos de sa grossesse…
– Depuis la saillie, a précisé la femme alors que sur la photo elle se faisait prendre en levrette !
J’ai tourné les pages et son ventre et sa poitrine prenaient de plus en plus d’ampleur.
– Ma parole, vous faites des photos tous les jours, lui ai-je dit !
– On se filme aussi quand on fait l’amour, a ajouté la femme ! Il y a plein de DVD !
La femme a posé la main sur l’album puis elle m’a demandé si je baisais avec mon mari. J’ai hésité à lui répondre.
– Tu baises plus depuis que tu es enceinte, a ajouté la femme ! J’ai raison ?
J’ai opiné de la tête.
– Maintenant, je vais te montrer la suite, a repris la femme ! Tu me diras ce que tu en penses !
Elle a retiré sa main et elle a tourné la page de l’album photo. C’était des photos de son mari en pleine érection et son pénis était aussi gros que mon avant-bras. Il était monstrueux.
– Je lui en ai parlé, a insisté la femme ! Si tu veux bien, il est d’accord pour te faire plaisir!
– Si je veux bien quoi, me suis-je étonnée ?
En disant ça, j’avais compris.
– Tu veux que je fasse l’amour avec ton mari ?
Elle a opiné de la tête puis elle a ajouté qu’elle n’était pas jalouse et que du moment que son mari lui faisait l’amour quand elle en avait envie…
– Mais, il te l’enfonce entièrement, ai-je ergoté ?
– Au début, c’était difficile mais je me suis faite, a continué la femme !
Elle caressait son ventre et passait aussi sa main entre son ventre et ses seins et des gouttes de sueur perlaient sur son front.
– J’ai chaud, m’a dit la femme !
J’avais chaud moi aussi.
– Il me l’enfonce même dans l’anus, a ajouté la femme, mais rassure-toi, je ne lui demanderai pas de te le faire !
– C’est toi qui décide, ai-je demandé ?
Elle m’a répondu qu’elle voulait me faire plaisir et qu’elle me devait bien ça parce que j’avais accepté de faire l’amour avec elle. J’hésitais entre m’enfuir mais je n’en avais plus la force et accepter mais… J’ai refoulé mes scrupules et j’ai dit que j’étais d’accord. La pendule sonnait six heures et la femme m’a dit que son mari n’allait plus tarder et nous l’avons attendu, assise côte à côte, épaule contre épaule et cuisse contre cuisse. J’ai dit à la femme que jamais je n’aurais imaginé qu’un jour… Elle m’a répondu qu’elle croyait qu’elle était amoureuse de moi. La porte du pavillon s’est ouverte et la femme a mis son doigt sur mes lèvres pour me faire taire et quand le mari nous a vues, sa femme lui a dit de se dépêcher.
– C’est pour toi, a ajouté la femme !
– Ne lui fait pas mal, a dit la femme à son mari quand il m’a pénétré ! Il faut juste qu’elle s’habitue !
Le pénis forçait mon vagin et bientôt son gland s’écrasait sur mon utérus.
– C’est bien ma chérie, m’a dit la femme !
Elle caressait mon ventre et mes seins et elle avait posé son autre main sur la hanche de son mari.
– Doucement, ne lui fais pas mal, a ajouté la femme !
Le pénis se retirait doucement et revenait en force et m’arrachait les petites lèvres.
– Baise-moi ! Baise-moi ! Fais-moi jouir, me suis-je écriée !
Puis j’ai supplié tout bas mon amie de venir m’embrasser et elle m’a embrassée tout en caressant mon ventre puis elle a posé sa bouche sur mes mamelons et elle les a tétés. Pendant ce temps, la bite de son mari s’enfonçait et se retirait et m’arrachait les chairs puis j’ai senti que j’allais avoir un orgasme et j’ai joui et la femme s’en est aperçu et elle a dit à son mari qu’il pouvait aller jusqu’au bout et il a continué sa saillie jusqu’à ce que j’ai un nouvel orgasme et que son sperme envahisse mon vagin.
Quand il s’est retiré, le mari s’est dressé à côté de moi et je lui ai demandé s’il voulait que je le nettoie. Je savais bien ce que je disais. Il m’a enfoncé sa bite dans la bouche et j’ai avalé tout le sperme qui s’écoulait encore.
– Tu reviens demain, m’a demandé la femme quand son mari est parti ?
Je ne pouvais pas car je devais aller chez ma belle-mère mais la femme a insisté et j’ai prétendu que j’étais fatigué pour pouvoir revenir chez ma nouvelle amie. On a fait plein de photos dont j’ai honte encore vingt ans après quand je les regarde mais je ne les regrette pas. Mon mari ne les a jamais vues. Je suis restée avec la femme et son mari m’a à nouveau fait l’amour
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