Ce texte n’est pas une incitation à la débauche mais relate de façon résumée, un passage de ma vie. Je ne veux en aucun cas entraîner et pousser qui que ce soit à faire de même.
Je m’appelle C. Je suis étudiante sur Bordeaux. J’ai toujours été une fille timide et réservée. Je n’ai jamais fais quoi que soit qui puisse être qualifié de grandiose ou de totalement fou. J’ai , où du moins, j’ai eu, comme beaucoup je pense, une vie commandée par la routine. J’ai rencontré mon mec, il y a trois ans et pour lui j’aurai fait n’importe quoi. Mais un jour, j’ai appris qu’il avait rencontré une fille sur internet et qu’il avait couché avec. J’ai pu apprendre tout ce qu’ils avaient fais ensemble en fouillant sur son ordi pour lire les historiques de conversations msn. Il m’a trahi pendant près de deux mois. En faisant comme si de rien n’était et me disant qu’il m’aimait droit dans les yeux chaque soir au couché.
Nous habitions dans des tours pour l’essentiel habitées par des étudiants. Quand il est rentré le soir où j’avais tout appris, une violente dispute a éclaté. J’étais anéantie. Il niait tout, malgré les preuves. Puis après avoir reconnu, il a tenté de me dire que c’était de ma faute car je ne le satisfaisais pas, et qu’il en avait marre de la routine sexuelle dans laquelle je l’avais plongé.
En pleurs je m’habille puis descend les étages de la résidence. Il faisait nuit et il pleuvait un peu. Je marchais sur le parking qui séparait les tours quand un homme s’est approché de moi et m’a demandé si tout allait bien. Je lui répond que non, et il m’invite à se mettre au chaud chez lui et boire un café. Il s’appelle Romain et habite la tour juste en face de la notre. Je me disais que je ne risquais pas grand chose. Puis sous l’effet de la colère, j’étais prête à faire n’importe quoi. Nous montons plusieurs étages. Dans l’escalier nous croisons un homme qui serre la main de Romain. Il me dit en me regardant, « vous êtes charmante ». Je le remercie et, je ne sais pourquoi, prend la main de Romain, la pose sur ma poitrine et la fait glisser sur mes fesses. Il esquisse un sourire et reprends les escaliers.
Romain me dit que je l’ai surpris pour une fille qui venait d’apprendre que son mec la trompait. Je lui répond, « ben j’espère que tu n’es pas choqué, parce que moi, je n’ai plus rien à perdre »… Gêné,tout autant que moi il se tait.
Nous continuons à monter, puis au 4ème étage; nous empruntons un couloir jusqu’à un studio. Je lui demande si c’est chez lui. Il me répond que c’est l’appartement d’un pote. Il frappe à la porte. Un gars nous ouvre et me scrute de bas en haut. Après m’avoir présenté et raconté un peu mon histoire, le gars dit à Romain: « Elle a l’air toute triste cette petite; c’est dommage, elle a du potentiel ». Pour ne pas perdre la face, je lui répond que je suis une pute de première. Romain fut autant surpris que je ne l’étais en prononçant ces mots. Je ne sais pas ce qu’il m’a pris. Cependant il souriait. L’autre aussi. Il nous fit rentrer en disant: « des putes j’en amène souvent ici. Mais toi tu es juste à coté. Tu prends combien? »
A ce moment là, je ne savais pas dans quoi je venais de m’embarquer. Je voulais rentrer chez moi. Je me sentais dépassée par les événements. Mais chez moi, il n’y avait rien qui m’attendait à part l’autre con… qui devait déjà programmer sa prochaine séance de baise.
Je réponds avec une voix cassée par la timidité: « le double de ce que tu payes habituellement ». Il rétorque « Ben dis donc, j’espère que tu as du savoir faire. Pour se prix là, même la pire ne se laisse pas sodomiser!! ». Romain, jusqu’ici effacé et décontenancé par ma façon de me comporter, rentre dans le jeu: « Et pour deux mecs c’est combien? ». Je réponds presque aussi tôt un prix en souriant « sodomie comprise; tarifs d’amis ». Jamais je pensais que ce jeu irait plus loin. Pourtant, le gars sort son porte monnaie et en retire la somme. J’étais perdue. Il commence à défaire sa braguette et me dis « Montre nous ça! ». Soudainement j’ai repensé à mon mec qui m’accusait de l’avoir enfermé dans la routine sexuelle. Je décidais de me venger en m’exécutant. J’étais totalement effrayée. Je n’avais jamais trompé un homme, jamais tenté la sodomie et n’ai jamais imaginé un jour me faire payer pour du sexe.
Je pris les billets dans la poche arrière de mon jean puis en me laissant glisser entre ses jambes, je commence à sucer celui dont je suis l’invitée malgré moi, comme pour le remercier de son hospitalité. Je ferme les yeux et je sens sa queue grossir dans ma bouche au fur et à mesure de mes va et vient. A coté j’entends Romain défaire son jean et s’approcher de moi. Il me dit: « Je vais enlever ton pantalon, tu sera plus à l’aise ». Sans même le regarder, trop impressionnée par la situation, je le laisse faire. Je sentais que je devenais rouge de honte. J’étais avec deux inconnus dont un me déshabillait et l’autre que je suçais sans même ouvrir les yeux. Comme si j’y étais obligée, je restais concentrée sur mes mouvements afin de faire grossir de plus en plus la bite que j’avais dans la bouche. Je pensais « si maman me voyait… Si elle savait que je fais la pute!»
Pendant que Romain finissait d’enlever mon jean et mon string, l’autre dit : « Elle suce vraiment comme une pute. Souris un peu!!C’est grâce à ton mec que t’es là. Il n’a pas su en profiter. Nous on va le faire ». Cette parole provoque un frisson qui me parcoure l’échine. J’avais peur de ce qui pouvait arriver. Je continuais pourtant à le sucer et à l’aspirer de toute mes forces comme pour évacuer le stress. Je n’ai jamais sucé avec autant de ferveur, de rapidité et en essayant d’aspirer le fond de ses couilles comme le fond d’un verre avec une paille.
Je sens Romain me caresser les fesses. Ses doigts titillent mon clitoris puis me caressent de temps à autre l’anus. Tout en étant anxieuse, je sentais que je me détendais. Les caresses salasses de Romain commençaient à m’exciter. Je commençais à pousser des petits gémissements d’un ton étouffé en raison de la queue que j’avais dans la bouche.
Après quelques minutes, j’ouvre les yeux et m’aperçois que le gars est en train de me filmer. Je suis devenu rouge. Je me sentais humiliée. J’ai pris conscience que, de l’extérieur, tout ce qu’on pouvait voir de moi était une fille qui suce un gars pendant qu’un autre la tripote à l’arrière. Je n’ose même pas articuler un mot. Je ne savais plus quoi faire. J’imaginais la vidéo sur internet et tout ceux que je connaissais allant la voir. Je voulais arrêter mais j’étais lancée. J’étais devenue une fille facile que l’on film pour montrer la vidéo à ses potes comme une sorte de trophée.
Pendant que je nageais dans mes pensées, j’ai senti soudainement rentré Romain en moi. J’ai poussé un petit cri. J’étais prise de part et d’autre. Mes bras tendus, mains au sol, ma tête effectuant désormais seule le mouvement de bas en haut. Mes hanches étaient sévèrement tenues par Romain qui commençaient des va et vient de plus en plus rapides. Je commence à gémir. Mieux, je commence à prendre du plaisir. Je sens une chaleur diffuse m’envahir. Je suis au centre de tout et j’aime ça. Mes peurs s’envolent et je commence à apprécier tout ce qui se déroule. J’étais soumise et j’adorais ça.
Romain et l’autre échangent leur place et dans un moment prêt de l’orgasme je glisse « Au tour de mon petit cul maintenant. C’est dans le forfait ». Le gars ne se fait pas prier et me déchire l’anus d’un coup. Je pousse un grand cri de douleur. Je n’imaginais pas la douleur que ça pouvait être. Il commence à me pilonner et voyant que c’est la première fois que je me fais sodomiser, me dit: « Je vais te dépuceler le cul p’tite salope ». Je commençais à échapper quelque larmes mais les mouvements rapides de ses doigts sur mon clito procuraient un plaisir qui additionné à la douleur anale, n’était pas désagréable du tout. Pendant ce temps Romain avait pris ma tête dans ses mains et lui faisait faire les mouvements sur sa bite. Je sentais l’orgasme arriver et sans que je ne prévienne je mouilla la main de celui que me caressait. « On a fait jouir une pute Romain ». Sous l’effet de l’extase, je demande : « Alors je mérite moins ou plus?? ». Romain répond « Si j’éjacule dans ta bouche, je te donne une rallonge ». Prise au jeu, j’accélère les mouvements de ma tête et regarde droit devant la caméra qui est désormais sur une petite table non loin de nous.
Pendant presque une heure et demie, je me suis faite sauter dans tous les sens. J’étais leur objet qu’ils mettaient comme ils désiraient, et qu’ils baisaient de la façon dont ils le désiraient.
Lorsqu’ils eurent éjaculé chacun leur tour dans ma bouche, j’eus le droit à ma rallonge.
J’étais ravagée. Mon cul, ma chatte, ma mâchoire, tout était en feu. Mais j’avais pris un pied immense. J’étais vidée, détendue et même heureuse. En me rhabillant, je leur donne mon numéro de téléphone en leur demandant de m’appeler pour remettre ça quand ils voulaient. Puis je suis rentrée chez moi joyeuse, tremblante comme une feuille, des marques de mains partout sur le corps.
En entrant dans l’appart, mon « mec » dormais déjà. Je n’en n’avais plus rien à foutre de lui. Je ne ressentais plus rien sauf l’envie de le faire passer pour un con. C’est ce qu’il a été pendant le temps que je me faisais sauter par les deux autres. Question routine sexuelle, il ne pouvait pas du tout imaginer tout ce que j’avais pu faire en l’espace de quelques heures. Je décide donc de rester avec lui et de faire comme si je lui pardonnais.
Le lendemain mon téléphone sonna alors que j’étais au boulot. Je travaille le weekend dans un centre commercial. Au bout du fil, un homme qui a eu vent de mes exploits de la nuit dernière et qui me demande quels sont mes tarifs. Par réflexe, je fus choquée et outrée. Je lui raccrocha au nez. Puis, à ma pause, je l’ai rappelé en m’excusant d’avoir eu ce comportement.
« Alors c’est quoi tes tarifs? J’ai entendu beaucoup de bien de toi. Paraît que t’es une pro?»
J’étais choquée par sa façon de parler mais cela m’excitait d’autant plus qu’il y avait encore une sorte d’interdit à franchir.
« Ça dépend tu veux quoi? Je suis novice encore, je fais ce que je peux »
« Oh ben t’inquiète pas, je veux juste une pipe pendant le match de foot à la télé ce soir »
« Tout le long du match? »
« Ben quoi t’es une pute non? »
A ces mots je compris que j’étais à la fois esclave de ce que j’avais fait hier mais d’un autre coté, maitre de la situation. On m’appelait pour moi. Pour mon corps, mes services. J’avais l’impression d’avoir plus d’importance que lorsque j’étais la petite étoile de mer de mon mec.
« Ok je viendrais ce soir. Dis moi où tu habites? »
« Ben dans la même tour que Romain. Un étage en dessous ».
« A quelle heure tu veux que je vienne? »
« Vers 21h ».
« A ce soir alors ».
En sortant de mon boulot, je claquais des genoux en me demandant ce que j’étais en train de faire et ce que je devenais. Hier encore je pleurais l’infidélité, aujourd’hui je me donne au premier venu. J’appelle mon soit disant copain pour le prévenir que je rentrerais un peu plus tard pour rester avec les collègues. Il s’en fout. Tant mieux. Si il savait…
J’arrive en bas de la tour en question. Je regarde la lumière de mon studio et je constate qu’elle est éteinte. J’en déduis qu’il est parti retrouver furtivement sa nana comme moi je rejoins mon « premier client ».
Je tape à la porte et un homme d’un trentaine d’années, une bière à la main m’ouvre.
« Je m’impatientais. J’allais t’appeler. »
« Ben tu vois je suis là. »
Il avait un gros ventre. Habillé en short et avec un maillot des girondins. « Qu’est-ce que je fous la? » me disais-je. Puis après tout si je l’avais fait une fois, je pouvais le refaire. Il suffit de fermer les yeux.
« Déshabille-toi. Mets toi en string sur le canapé, je vais me chercher une autre bière. »
« Je peux en avoir une s’il te plait? »
« Aah j’aime les femmes comme toi. Allez, je reviens, déshabille toi ».
Pendant que je me mettais en string, le coup d’envoi est donné. Il revient la queue à l’air, toute poilue et un peu mince. Il s’assoit prêt de moi et commence a me caresser les seins. Une fois encore, je me sens honteuse. Je rougis.
« Tu es bien timide pour une pute; on me l’avait dis, mais j’aime bien. J’aime bien soumettre. Maintenant suce moi salope!! T’aura ta bière à la mi-temps. D’ici là tu ne quitte pas ma queue une seconde. »
C’est ainsi que pendant 45 minutes j’ai sucé ce type qui rotait et qui bandait parfois dur, parfois mou. Il a du boire 3 bières et me tripotait de partout. J’avais mal à la mâchoire. Très mal même. Au dos aussi. J’étais dans une mauvaise position. A la mi-temps, j’eus le droit, comme promis, à ma bière. Pendant que je reprenais des forces, je l’ai vu se diriger vers une petite commode.
« Pour la deuxième mi-temps faudra donner plus de toi même. Faut que j’éjacule au coup de sifflet. Je vais t’aider un peu ».
La, il sort d’un des tiroirs une plaquette de viagra. A la reprise du match j’étais à genoux entre ses jambes, un coussin en dessous. Il bandait dur. J’en pouvais plus. Ma tête ne cessait daller de bas en haut. Je faisais glisser ma langue de temps en temps sur le long de son sexe pour me reposer un peu. Pendant les arrêts de jeu il ma demandé de le masturber très rapidement, puis soudainement j’ai reçu tout son sperme en plein sur mon visage.
« Continue de me sucer petite pute!!».
Son sperme était amer, j’ai failli vomir.
« Lustre moi, j’ai pas envie de me lever chercher des mouchoirs. Ne laisse pas une seule goutte ».
Quand j’eus fini, je me suis refaçonné comme je pouvais. Je ne sentais plus ma mâchoire. Il me proposa une cigarette que j’ai refusé; j’ai pris mon argent et suis descendue à toute vitesse en me disant que c’était fini. Que j’étais tombée bien bas. J’allais commencer à pleurer quand le téléphone sonna. Un sms de mon « mec » qui me dit qu’il fait une sorte de troisième mi-temps au bar. Lui aussi avait du regarder le match. S’il savait que pendant qu’il rigolait avec ses potes, je suçais un mec. Il peux même pas imaginer que je lui fasse une pipe plus de 10 minutes ni que je puisse penser à aller voir ailleurs.
Sous l’emprise de mes vieux réflexes, je désespérais encore plus à l’idée de me retrouver seule dans l’appart. Après ce que j’avais fait ces deux derniers jours, j’étais confuse. En pleurs. Je suis remontée chez le gars et lui ai demandé si je ne peux pas rester un peu avec lui.
« Quoi? Je suis pas assistante sociale. Tu n’as qu’à faire les trottoirs. Tu seras moins seule ».
Puis il referma la porte sur mon nez.
Désespérée et effondrée, je suis rentrée comme folle chez moi. J’ai enfilé une mini-jupe que m’avait offert mon mec pour la saint Valentin mais que je n’avais jamais porté. J’ai mis des bottes et des gants qui remontent jusqu’au coude. Après avoir eu l’attitude, j’avais désormais tout l’attirail. Toujours en larmes, je me suis mise du rouge à lèvres, du vernis et après avoir cessé de pleurer, j’ai maquillé mes yeux à outrance. Puisque je n’avais plus personne, j’allais assumer ce que j’étais désormais.
J’ai pris ma voiture et me suis garée pas loin des quais. Une attitude de somnambule. Je marchais sans savoir où aller, totalement à l’ouest; déboussolée. Soudain, une voiture s’arrête à mon niveau. La fenêtre s’ouvre et une voix sortie de l’intérieur me demande: « C’est combien? ». Aux bords des larmes, j’annonce un prix.
« C’est pas cher. T’es nouvelle toi? ». J’acquiesce de la tête. « Allez, monte ».
Je me retrouve dans une voiture avec un homme d’une cinquantaine d’années, mal habillé, mal rasé, et qui sent l’alcool. J’ai peur. Je ne sais pas où il m’emmène. Il se gare sur un petit parking sans éclairage. Il défait sa braguette et me demande de n’enlever que mes dessous. Il descend ma banquette et se place sur moi. Il commence à me pénétrer, puis à me baiser. Je lui caresse timidement les cheveux. En trois minutes, pas plus, il éjacule. Il sort son préservatif. Le noue, me le donne et pendant que je remets mon string, il me ramène la où il m’a trouvé. Il avait l’air habitué. Moi je ne savais pas quoi faire de la capote. En sortant de la voiture, il me lança un « bon courage » puis sa voiture s’enfonça dans le noir.
Je ne voulais pas rentrer chez moi. Je décidais donc de marcher encore un peu. Il devait être 1 heure du matin et j’étais en mini-jupe sur le trottoir. Je craignais de croiser des personnes que je pouvais retrouver à la fac, ou à mon boulot. Je n’étais pas fatiguée. Bizarrement, je me sentais mieux. Chaque fois que j’imaginais une voiture s’arrêter, je me trouvais légère. Je ne me prenais plus la tête. J’avais un coté chienne qui se réveillait. Comme si je ne devais faire que ça où comme si j’étais faite pour ça.
Le téléphone sonne:
« Salut, on m’a dit que tu te sentais seule ce soir. C’est un pote qui aime le foot qui me l’a dit. Ça te branche de venir t’occuper de moi? ».
« Qu’est-ce que tu veux faire? »
« J’ai juste envie de baiser un coup pardi. Comme tout le monde!! »
« C’est tout? »
« Ben ch’ai pas. T’es ok pour la sodomie toi? »
« Oui mais c’est plus cher! »
« Je me doute bien; T’as quel age? »
« 23 »
« Ok! J’en ai 20! Ça te dérange pas? »
« Non, non, du tout. Tu veux que je vienne maintenant? »
« Clair, j’en peux plus là ; J’habite à la tour numéro 2. Deuxième étage. Appart 207 »
« J’arrive aussi vite que je peux »
Encore un qui est dans les tours étudiantes. Je vais finir par avoir une sacrée réputation me dis-je. Mais, toutefois, j’étais excitée. Je me demandais qui il allait être? A quoi il ressemble? Comment ça allait se passer? J’appréciais être demandée et que l’on m’accorde de l’importance, même si ce n’est que pour me baiser. J’existais.
Je suis arrivée devant sa porte en trépignant d’impatience. Je frappe, il ouvre, je rentre.
« ‘Tain, t’es vraiment sapée comme une pute.Tu m’excites dans cette jupe ».
« Je prend ça pour un compliment! ».
« Tu peux! Déshabille toi que je te vois nue ».
« Si tu veux! »
Une fois nue, il commence à me tripoter les seins, puis le cul et passe quelques doigts sur ma chatte. Il me place sur le canapé et commence à retirer son pantalon. Il amène ma tête vers son sexe.
« Suce moi comme t’as jamais sucé un mec ».
J’avais auparavant, quelque heures plus tôt, sucé un gars pendant 90 minutes. Ma mâchoire encore douloureuse tentait de satisfaire ses exigences. Après quelque minutes, il m’allongea sur le dos, la tête dans le vide, à l’envers. J’ai d’abords cru qu’il voulait faire un 69. J’ai compris par la suite qu’il avait d’autre projets. Il commença à enfoncer son sexe dans ma bouche, et a me le rentrer comme si il baisait normalement. J’ai cru que j’allais étouffer. Je ne pouvais pas bouger. Le sang me montait au cerveau, et chaque fois qu’il sortait sa bite de ma bouche, un filet de bave coulait sur mon visage.Il me l’enfonçait de plus en plus profondément, jusqu’à ce que j’ai envie de vomir. C’est la première fois que je sens une queue frotter contre ma gorge. Il allait de plus en plus vite. Je gémissais de plus en plus. Mes yeux pleuraient naturellement. Il arrêta puis étala toute la bave et les glaires sur mon visage avec son sexe.
« J’ai vu ça sur internet. Je voulais trop le faire. C’est trop bon »
En me disposant à quatre pattes sur son sol, je me suis retrouvée nez à nez devant un psyché. Toute ma face était rouge, mes yeux aussi en plus d’être gonflés. Mon maquillage avait coulé partout, je voyais dégouliner sur mon menton, tout ce qu’il venait d’étaler. Par le miroir, je le vis mettre une capote et s’approcher de mon cul. Il commença à me pénétrer l’anus. Il me le baisa sauvagement regardant tout le long mon visage et ses mimiques dans le miroir. De temps en temps il plaçait ses mains sur mes joues et écartaient mes lèvres sur le coté. Il s’accrochait à la commissure et regardant mes dents; il me dit « On dirait une jument qui se fait bien monter ». Il continua de m’enculer, parfois en m’agrippant par les hanches, d’autres fois par les cheveux. Mon cul était si dilaté qu’a la fin je ne sentais presque plus ses mouvements. Au moment décisif, il retira sa capote et éjacula sur mon dos qu’il essuiera par la suite avec ma jupe noire qui était juste à coté par terre. Il me caressa encore le temps de bien débander puis parti dans sa chambre. Il revient, me paye et dit:
« Tu peux revenir demain après-midi? ».
« Le dimanche, je mange en famille chez ma grand-mère. »
« Ben passe après. Il y aura un pote. Tu fais à plusieurs? »
« Oui, je peux!! »
« Bon je t’appelle demain ».
Une fois dehors, j’étais satisfaite. Libérée. Je voulais continuer et ne plus rentrer chez moi. Sur le parking des tours, la lumière de mon appart était toujours éteinte.
Un mois plus tard, j’avais des habitués. 80% des mecs de la résidence savaient ce que je faisais et j’avais deux téléphones. J’étais dispo principalement le jour. Certains m’appelaient quand leur copine s’absentait. D’autres, parce qu’ils étaient seuls, moches, puceaux, pervers, ou laissés par leurs femmes. Il m’est même arrivé de faire une passe dans l’appartement voisin du mien. Je module mes tarifs en fonction de ce que l’on me demande et de la façon dont c’est fait. J’ai déjà donc participé à un gang bang; me suis brossée les dents au sperme; fais des films amateurs; fais des anulingus… De temps en temps, je reviens sur les quais afin de faire des gâteries dans les voitures, ou dans des rues sombres. Le plus vieux avait 58 ans. C’est le gardien de l’une des tours. C’était assez rapide avec lui. Je ne fais pas cela pour l’argent mais parce que ça me libère et que j’aime ça. Puis je préfère recevoir un peu que de passer pour une vraie salope.
Je suis restée avec mon « mec », à faire l’étoile de mer et la fille réservée. Un jour, il rentre et me dit d’un air jovial: « paraît qu’il y a une pute dans les tours, si on l’appelait pour qu’elle nous apprenne quelques trucs. Apparemment elle fait des choses torrides!! ». J’ai pris un offusqué… Puis un jour, sur mon téléphone « professionnel », j’ai reconnu son numéro. Il avait laissé un message. Alors que j’avais inventé une soirée pour m’adonner à mes activités, il avait décidé d’en profiter pour appeler « la pute des tours » comme on me nomme. Sur son message il avait laissé toutes les coordonnées. J’ai répondu positivement par sms, en confirmant l’heure. J’ai annulé mon rendez vous prévu pour me rendre à notre appart voir sa tête quand il aura compris que la pute c’est moi. Moi qui l’ai enfermé dans la routine sexuelle.
Je suis arrivée à la porte, habillée comme il se doit. Je frappe, il ouvre…
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