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Dans la voiture

Dans la voiture



La nuit nous sert de complice. Je t’ai donné rendez-vous dans ce lieu que j’ai découvert il y a plusieurs semaines. J’espère que le plan aura été assez précis…

Une fois sorti de la voiture, j’inspecte une dernière fois le lieu pour voir si nous pourrions être surpris. Cela se pourrait, mais peu probable. Je prends toutefois la peine de ne pas claquer trop fort la portière.

Je passe derrière et je m’allonge sur le dos. Je défais mon ceinturon et je baisse juste un peu mon pantalon et le boxer. Les yeux rivés sur la lumière du plafonnier qui commence à s’éteindre, je commence à attendre. Je guette le moindre bruit au travers de la circulation de la rocade proche.

Quelques minutes après, des phares viennent fendre l’obscurité dans laquelle je me suis habituée. Ma respiration s’arrête : un doute. Est-ce toi ? La voiture se gare à priori à côté. Je ne peux pas la voir. J’entends une portière. Je tends l’oreille pour entendre des pas et tenter de me rassurer en les reconnaissant… En vain.

Une silhouette se dessine au travers de la vitre du côté de ma tête. La porte s’ouvre. Pas un mot. Mes sens sont en éveils. Je n’ai d’autre indice que ce que l’ombre me laisse deviner.

Les bras le long du corps, je la vois onduler puis se baisser. Ce qui semble être une veste, s’écarte. Enfin, l’ombre grossit au fur et à mesure que je te devine t’avancer dans le voiture.

Un genou se pose sur le rebord de la banquette puis le second. Mon visage est plongé dans le noir de ton entre jambe. Je le découvre, comme je te l’avais demandé, nu. Tu t’avances dans la voiture, tant bien que mal en t’appuyant sur les sièges. A mi parcours, jugeant certainement la position adéquat, tu consens à replier tes jambes.

Prisonnier entre tes cuisses, ma seule échappatoire est d’espérer que les attentions auxquelles je pense sauront amadouer mon geôlier. Je pose les mains sur tes fesses et j’avance mon visage de quelques centimètres vers ton entre jambe. Mes baisers laissent vite la place à la langue curieuse. Je fouille, m’infiltrer en toi…

Tu te tiens aussi droite que tu peux dans l’espace exigu de la voiture. Ton bassin trahit maladroitement ton désir de me sentir plus en toi… J’avoue en profiter…. Jadis prisonnier, maintenant, bourreau… Tu pensais me tenir ?

Mais tu n’as pas dis ton dernier mot… et j’avais oublié un peu ce que je t’avais proposé… Tu t’en aies rappelé à bon escient. Tu t’abandonnes sur mon corps. Ton visage se pose sur mon bas ventre que tu inondes de baisers. Autant de baisers que tu as du retenir au gré de mes tortures.

Ta main se hasarde sur mon sexe. Trop absorbé par ma tâche, j’avoue qu’il a perdu un peu de son ardeur ! La joue sur mon ventre, je sens ta bouche s’entrouvrir et ta langue vient titiller mon sexe. Tu pourrais le rapprocher, mais tu n’en fais rien. Tu nous fais languir encore quelques instants. Enfin, tu fais un compromis et tu approches ton visage tout en le dirigeant vers ta lèvres.

Désormais, nous nous goutons mutuellement. Chaque initiative de l’un trouve écho dans les attentions de l’autre. Tes lèvres glissent sur mon sexe. Je trouve un plaisir décuplé en m’introduisant en toi. Qui de nous deux cèdera le premier ? Peu m’importe. Ma seule préoccupation est ton plaisir. Mes mains écartent tes fesses pour profiter au plus de ton intimité. De ton côté, tu explores mon membre et ses alentours. Tu le découvres comme si c’était la première fois. Je ne soupçonnais même pas que certaine zones puissent me donner autant de plaisir.

Soudain, tu redresses la tête. Je sens tes cuisses se contracter :

– Oh non, arrête, je sens que je viens

Ta respiration est saccadée. Je te sens chercher une position improbable. Tes fesses pointent et ton visage vient se poser sur mes cuisses dans un long rale. Je n’ose bouger devant une telle avalanche de sensations que j’imagine parcourir ton corps. Où est ma place ? Tu reprends tes esprits, doucement. Ta main vient à nouveau se poser sur mon sexe. Tu as compris ma prostration. Tes doigts sont câlins, mais ils trahissent tes intentions intimes. Tu avances sur mes jambes couple_chandelle jusqu’à ce que mon sexe vienne heurter le tien. Tu les plaques l’un contre l’autre et les caresses mutuellement. Ma verge passe entre tes doigts. Puis, tu l’appuies fortement tandis que tu te redresses. Guidé par ton sillon, je m’introduis en toi. Cramponné à la poignée de la porte, tu montes et descends sur moi. Ton ardeur ne semble d’avoir d’égale que le plaisir que tu as ressenti, frustrée d’être certainement venue avant moi. Mes mains libres ne peuvent que se poser sur ton fessier que j’aide dans ta manoeuvre. Dans cette position, il ne me faut pas longtemps pour me sentir venir. Ta main plonge entre nos jambes et tu me saisis pour bien me sentir, pour te rassurer de mon plaisir imminent. Devant tant de sollicitude, je ne peux que te donner satisfaction. Je pointe mes reins autant que je le peux, quitte à te soulever. Je m’abandonne à toi à ta plus grande satisfaction, rassurée.

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