Ce petit récit vécue lorsque j’etais étudiant est d’abord pour mon épouse à qui j’avais raconté ce qu’il mettait arrivé sans lui donner de détails. Je pense même qu’elle imagine que c’est le fruit de mon imagination, un fantasme que j’aimerais réaliser. Il n’en est rien. Cette histoire est parfaitement véridique.
J’avais 18 ans à l’epoque, en 2ème année de fac de droit à Clermont Ferrand (avec un peu d’avance donc sur mes camarades de promo) et pour la première fois célibataire après une relation assez longue qui fut d’ailleurs ma première expérience sexuelle l’annee de mon bac puis quelques relations avec des copines étudiantes, certaines très axées sur le sexe, d’autres ce limitant à des flirts un peu poussés. Bref, je profitais bien de ma liberté d’etudiant et comptais bien ne pas en rester là.
Comme toutes les semaines , un journal gratuit était distribué dans les boîtes à lettres. Ce journal d’annonces disposait d’une rubrique rencontre que je m’amusais parfois à consulter. Ce jour là, une annonce attira plus particulièrement mon attention. Elle disait à peu près ceci: « couple elle 34 ans, lui 40 ans recherche jeune homme pour rencontre. Envoyez motivation et photo au journal qui transmettra ».
Intrigué, je pris ma plume (pas encore d’internet a l’epoque, nous sommes en 91) rédigeai un descriptif rapide et mis une photo de vacances où j’etais évidemment à mon avantage). 2 enveloppes fermées (1 pour le journal ou je glissai l’enveloppe contenant la réponse à mes inconnus et la référence de l’annonce).
Une dizaine de jours plus tard, je recevais un coup de telephone d’un homme m’indiquant que son épouse et lui souhaitaient me rencontrer. Coup de chance énorme, ils habitaient à 15 mn à pieds de mon appartement d’etudiant, à proximité d’une résidence universitaire (Lebon pour ceux qui connaissent).
je me présente donc devant leur porte le soir convenu, habillé le plus chic possible (jean noir et chemise blanche) histoire de me vieillir un peu.
Je sonne. C’est monsieur qui m’ouvre avec un grand sourire, la quarantaine, brun, des petites lunettes, 1m75 (je fais 1m80), pas mal de charme. Je me présente et Marc m’indique « nous t’attendions, suis moi ». Je rentre dans ce bel et grand appartement bourgeois, parquet, cheminée, ça change du mien. Je suis rassuré pour le moment, rien de glauque, l’accueil est chaleureux.
Je découvre enfin Corinne, très jolie femme, 1m65, yeux verts, brune avec des reflets roux. Sa tenue, jupe noire chemisier blanc la met en valeur. Je remarque tout de suite qu’elle doit avoir une jolie poitrine. Ses fesses sont bien galbées dans sa jupe moulante. Elle se lève de son canapé et vient m’embrasser sur la joue. Mon cœur bat la chamade mais la situation me plait beaucoup.
Nous nous présentons rapidement, ils m’expliquent qu’ils sont mariés depuis 10 ans, très amoureux, s’adonnent à ces petits jeux de temps en temps et comprennent très vite que c’est ma première expérience de ce genre. Un verre puis deux, la glace est très rapidement rompue.
Corinne est assise entre Marc et moi’. A un moment, Marc m’invite du regard à poser ma main sur la cuisse de Corinne qui frémit et plonge ses yeux dans les miens, me faisant comprendre que je peux aller plus loin. Je remonte alors l’interieur de sa cuisse, caressant ses dim up pour arriver sur sa peau. C’est doux et chaud. Je dois être un peu maladroit et ne vais pas assez vite à son goût parcequ’elle finit par me prendre la main et la guider vers son sexe que je vois pas encore.
Je caresse tout son sexe délicatement, descendant de son mont de Vénus vers ses lèvres. Elle est intégralement épilée. Seul son pubis est recouvert d’un léger duvet très doux. Je suis maintenant détendu et la situation m’excite au plus haut point. Corinne ne tarde pas à remarquer la bosse qui déforme mon jean, me sourit, défait ma ceinture, les boutons et plonge sa main sur ma queue turgescente. Elle commence par me flatter les couilles pendant un bon moment pendant que je découvre avec les doigts les premiers seçrets de son intimité trempée par l’excitation.
Pendant ce temps, Marc nous observe en souriant, Corinne en a profité pour caresser son homme avec son autre main. Ouf, sa queue est bien plus petite que la mienne mais je vois qu’il bande très dur.
Corinne se penche sur moi et engloutit la mienne telle une morte de faim. C’est la première fois que je ressents un tel ’plaisir. Elle sait vraiment s’y prendre, alternant des caresses profondes avec sa bouche et de grands coups de langue sur ma hampe. Je ferme les yeux et profites de cet instant.
Je commence à lui caresser les seins à travers son chemisier. Ils sont lourds mais ce tissu me gêne. Je défais délicatement, un à un, les premiers boutons. Marc vient à mon aide et dégrafe son soutien-gorge puis lui retire. Je découvre alors une magnifique poitrine, bien galbée, gonflée par l’excitation. Je caresse ses tétons tout durs et ne peux m’empêcher de lui mordiller. Elle sursaute avec un petit cris et me dit de continuer plus fort. Je m’execute avec plaisir, mes doigts parcourant d’une main sa poitrine avec ma bouche excitant ses tétons, l’autre s’occupant de son intimité’ deux doigts fourrant sa chatte tandis qu’un autre caresse son clitoris. Marc fait de même de l’autre côté avec le sein gauche de Corinne puis se lève et se déshabille complètement, le sexe toujours aussi tendu pointant vers le plafond.
Corinne se lève à son tour, face à moi. Marc fait glisser sa jupe jusqu’au sol et finit de lui retirer son chemisier. Elle est en bas et string seins nus, toujours face à moi. Je la regarde puis att**** son string que je prends du temps à faire descendre le long de ses jambes. C’est à ce moment précis que je prends vraiment conscience de la situation. Ce couple ravissant, inconnu il y a moins d’une heure, partagent avec moi leur intimité. Je suis aux anges.
Corinne se demande de me lever et commence à me déshabiller également. Pas particulièrement pudique, j’apprecie ce moment. Une fois nus tous les trois, Corinne m’allonge sur le canapé, se mets à quatre pattes sur l’accoudoir et me lèche de la queue jusqu’à mon anus qui découvre un plaisir jusque là inconnu. Pendant ce temps, Marc, positionné derrière elle doit être en train de la lécher. Elle commence à jouir. Elle se relève, me fait assoir, et vient s’empaler sur ma queue. Quel pied! Marc se positionne derrière et lui enfonce la sienne dans son cul. Je la sens aller et venir à travers cette fine paroi de chair. Corinne ne mets pas longtemps à décoller. Elle a plusieurs spasmes, les yeux fermés, elle croit. Marc aussi jouit en elle pratiquement en même temps. Moi je n‘ai pas le temps. Elle m’embrasse langoureusement puis se lève, me,prends par la main et m’emmene dans leur chambre.
Je me rappelle la lumière tamisée de la pièce, nos odeurs enivrantes. Je me sens complètement hors du temps. Nos ébats sont de plus en plus chauds. Nos langues et nos doigts n’oublient aucune partie de nos corps. Sur elle, sous elle, Marc et moi la comblons de caresses. Elle jouit trois, quatre fois peut être. Je voudrais que cet instant dure toujours.
Corinne se redresse, me présente ses fesses. Marc me demande de la prendre. Je ne l’ai jamais fait avec mes ex petites copines, j’en rêvais.
Apres avoir remis un préservatif, je me présente vers son fourreau étroit que Marc avait déjà bien préparé. Je n’ai aucune difficulté à introduire ma queue qui se retrouve délicieusement comprimée. Après plusieurs minutes, je n.en peu plus. Corinne a déjà pris son plaisir et décide de se dégager. Elle se retourne, retire le préservatif et engloutit de nouveau ma queue qui finit par exploser. De longs jets de sperme atterrissent dans sa bouche, son visage et ses cheveux. Elle prends le soin de nettoyer mon gland avec application jusqu’à la dernière goutte.
nous nous écroulons tous les trois sur le lit. Nous nous enlaçons tendrement pendant quelques minutes.
Puis Corinne souhaite aller prendre une douche. C’est moment de m’eclipser.
Nous nous embrassons. Je leur dit que j’espere bien les revoir.
Je sors de leur appartement, il est 1 heure du matin, je ne me suis pas rendu compte du temps qui passait. Mes jambes tremblent un peu.
Je rentre à pieds. Il fait froid dehors et je marche des images plein la tête.
Je n’ai jamais revu Marc et Corinne qui ont déménagé de Clermont Ferrand. quelques semaines plus tard. Peut être l’iront-ils ce récit de notre rencontre.
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