Jour 3
La soirée de la veille m’a fait comprendre à quel point je pouvais être une telle salope avide de sexe mais on ne se refait pas. Donc ce matin je n’ai aucune honte de me présenter au petit déjeuner.
Ne connaissant pas les autres gars m’ayant vu le cul à l’air dans les toilettes sur le téléphone d’Hervé je me dis qu’ils doivent savoir qu’il m’avait baisée comme une pute hier soir en sachant que j’étais à sa merci.
Le reste de la matinée étant libre les jeunes ont le choix d’une découverte de la région avec Paul le conducteur ou flâner dans le camp.
Suite à la légère entorse de la cheville d’Hervé les responsables des équipes sportives doivent réorganiser les groupes de joueurs avec Louis le directeur. Un jeu de « chaises musicales » s’en suit et une fille volontaire remplacera un garçon au hand ball et moi je me retrouve propulser dans l’équipe mixte de volley, seule discipline sportive que je connais un peu.
Lors du repas le directeur annonce les changements :
« Anne a accepté de remplacer Hervé blessé et jouera au volley, Claire au hand masculin et Hervé jouera au photographe pour les différentes rencontres »
« Je pense qu’il reste un jeu de maillot pour Anne qu’il faudra lui faire parvenir »
« Oui Hervé ? »
« Je lui donnerai en récupérant l’appareil photo »
« Ok bon app et bon sport sans blessure car je ne suis pas sportif donc plus de remplaçant et je dois me rendre à la mairie cette AM pour donner un mot au maire de la part du notre!!!!»
Le repas se termine dans la joie d’en découdre avec l’adversaire et chacun part se changer, je récupère l’appareil photo et j’attends Hervé sur le pas de la porte.
En me donnant l’équipement maillot rouge et short blanc:
« J’ai choisi le short assez court et échancré car je te veux à poil en dessous et ne discute pas »
Dit-il en tournant les talons.
Je me change rapidement car le temps presse, j’hésite un moment pour mon string mais je me dis que cela ne change pas grand-chose de ne pas en avoir. Un rapide tour au miroir des toilettes pour m’apercevoir qu’il est tout de même un peu court mais rien d’indécent. Je rejoins les autres sous les sifflets d’admirations.
Hervé comme un coq en pâte explique :
« Comme c’est moi le photographe et que le directeur est absent je vous demanderai de laisser les deux sièges derrière le conducteur libres pour Anne notre mascotte et moi»
Un tollé s’en suit mais l’embarquement se passe bien, les glacières sont posées sur les sièges avants de l’autre côté de l’allée et Hervé ayant terminé de prendre quelques photos dans le car me repousse contre la paroi en s’installant à mes côtés.
Au bout de quelques instants il me chuchote à l’oreille :
« Ne bouge pas je vais vérifier ta tenue » tout en posant sa main sur le haut de ma cuisse pour s’y engouffrer vu l’échancrure vers ma chatte dénudée.
« C’est bien ma salope je savais que tu le ferais mais écarte un peu tes jambes ».
Comme tétanisée j’accepte de libérer l’ouverture ce qui a pour effet immédiat que son doigt vienne se coller à hauteur de mon clitoris et effectuer un doux va et vient sur celui-ci. C’est vraiment un sacré salaud cet Hervé mais que c’est bon. Il humidifie son doigt avec la cyprine qui commence à couler pour accentuer la pression et le rouler comme j’aime.
Heureusement le trajet n’est pas long et nous arrivons sur la zone de loisir ce qui me permet de ne pas jouir. Je suis encore tremblotante à ma sortie du car pour rejoindre le terrain. Tout le monde se disperse pour les matchs et nous arrivons sur le terrain de volley en même temps que les espagnols. Je me débrouille tant bien que mal dans mon rôle de remplaçante sous les encouragements de mes partenaires.
Au loin je vois Hervé qui prend son rôle très au sérieux en faisant le tour des stades en boitant pour prendre des photos. Notre match étant le dernier à se terminer nous sommes encouragés par nos amis mais les espagnols font de même pour les leurs.
Foot et hand gagnés et volley perdu pour les résultats d’aujourd’hui et nous nous saluant en se donnant RV le lendemain. J’ai même droit à quelques bises d’espagnols sous le charme.
En démarrant certains veulent voir les photos prises, ce que je faisais toujours la veille en laissant circuler l’appareil. Je ne peux pas laisser faire sachant que des photos de la veille au soir y étaient et j’en fais la remarque à Hervé qui me rétorque:
« Ok mais à toi de te débrouiller pour les calmer »
Je me retourne et à genoux sur le siège je tente de les calmer en leurs promettant que je les mettrai sur le forum ce soir. En me rasseyant Hervé me passe une feuille pliée en me demandant de lire le contenu. En dépliant la feuille sa main s’engouffre à nouveau vers ma chatte pendant la lecture:
« Ce soir quand le calme sera venu tu te dirigeras vers les anciennes toilettes qui servent maintenant de remise en laissant la lumière allumée, tu m’enverras un SMS avec des mots crus après avoir mis ton cul à l’air que tu veux que je vienne t’enculer, cela te rappellera les chiottes de notre rencontre, tu as mon numéro dans le dossier. S’il est fermé le soir débrouille toi pour la clé et n’oublie pas la capote»
Tout en lisant, j’avais écarté mes cuisses et il en a profité pour réessayer de me doigter. J’offre le passage à sa main sur ma peau moite de transpiration mais par crainte d’être surprise j’aperçois en me retournant deux têtes par-dessus le dossier derrière nous à nous mater.
« Ne t’en fait pas ce sont eux qui ont vu les photos »
J’aurais dû m’en douter en les voyant souvent ensembles.
En arrivant je récupère l’appareil photo et je me dirige vers la chambre pour prendre une bonne douche. Lors du repas du soir je croise souvent le regard des deux voyeurs qui me fixent à présent sans sourciller.
Le repas terminé le directeur s’enquiert des résultats et des impressions car :
« Lors de mon entretien avec le maire il m’a proposé et j’ai accepté que demain soir nous faisions une petite fête en commun sous forme de barbecue en bas de notre camp ». Un applaudissement nourri s’en suit. Prétextant la mise en ligne des photos je regagne ma chambre en passant par la fameuse remise.
23h30 le calme semble revenu, je récupère le numéro de téléphone dans le dossier j’active le mien et je prépare le SMS que j’enverrai plus tard. Je remets mon jeans et reboutonne un peu mon chemiser blanc en oubliant volontairement le SG.
Je quitte la chambre et je me dirige vers la remise. Je me sens vulnérable devant la maturité de ce gamin de 18 ans qui me manipule à souhait et dont je suis devenu sa chose. Le moment est venu de me débarrasser de mon pantalon en vérifiant que la porte se ferme bien de l’intérieur.
Je sais que ce message va encore me rendre plus vulnérable mais j’aime ce sentiment de soumission provoquant une envie de sexe et en posant le préservatif sur un carton, j’envoie mon message :
«Je veux que tu viennes m’enculer et ramoner mon cul de chienne à ta guise, je suis prête le cul à l’air, la chatte trempée en pensant à ton doigt titillant mon clito dans le car. »
L’attente semble une éternité, la tête penchée sur une barre de maintien, le cul en position d’attente quand enfin arrive la délivrance.
« Ne bouge surtout pas d’un centimètre jusqu’à mon retour, j’ai oublié mon téléphone pour immortalisé ce moment par quelques photos, penche toi plus en avant que je vois cette rondelle que je vais éclater à mon retour. »
Je reste là dans cette position humiliante à souhait, ma chatte est trempée car j’aime ce sentiment d’impuissance face à un ordre.
Il revient enfin :
« C’est bien ma salope, j’aime te voir dans cette position et tu vas devoir encore attendre que je me foute à poil pour bien cogner mes burnes contre tes fesses et sentir ta peau contre la mienne »
J’entends le crissement du papier du préservatif qui s’ouvre, je prends plusieurs claques sur mes fesses, il écarte bien mes cuisses pour accéder à ma rondelle. Je suis prête, je sens sa queue se promener sur la raie de mon cul, encore quelques claques et tout d’un coup sans ménagement il enfonce son pieu entre mes fesses. Le temps de prendre sa direction il s’enfonce jusqu’à la garde en me faisant échapper un cri de douleur. Le va et vient devient de plus en plus facile et je pense que c’est à ce moment qu’il prend les photos.
Je suis aux anges et il remarque que j’ai envie de me branler pour jouir mais il me l’interdit :
« Tu n’es qu’un trou à bite et je ne t’ai pas venir ici pour ton plaisir de jouir mais pour t’enculer comme une vulgaire salope, alors tu restes tranquille en attendant que je me vide et je te laisserai là telle une merde. Si le cœur t’en dit tu pourras te branler après mon départ mais pas maintenant »
Je suis frustrée mais il a raison je dois me contenter de me faire limer pour son plaisir. Et en plus il tient bon et longtemps avant qu’il n’explose en moi.
En remettant son survet :
« toi ne bouges pas en attendant que je sois sorti et sais-tu pourquoi je t’ai demandé de laisser la lumière allumée ? »
« Non pourquoi ? »
« Pour que tu ne vois pas mes deux potes la haut derrière la vitre du vasistas et qui ont assisté à ton enculade en direct »
J’en suis soufflée et sans voix en levant la tête vers eux pour tenter de les distinguer.
« Bonne nuit salope, je t’enverrai les photos pour te rappeler à mon bon souvenir et si par hasard un de mes potes en a prises je te les enverrai aussi »
Sur ce la porte se referme, je remets mon jeans et je regagne ma chambre, je m’écroule sur le lit, vidée, honteuse, humiliée mais je l’ai bien cherché et ma rondelle toute éclatée me fait souffrir.
Demain sera un autre jour et l’envie de me branler a disparu avec cet aveu de voyeurisme de ses potes.
Le réveil
Un message d’Hervé sur mon téléphone en réponse du mien lui demandant de m’enculer :
« Voici des photos de ma bite dans ton cul de salope et en plus une de mes potes prise d’en haut ».
Je suis vraiment salope dans cette position mais j’aime être sous son emprise et pilonnée par sa queue de jeune mec mature. Il sait maintenant que je suis sa chose…………………
Mot de passe de « l’escapade suite » sous forme de devinette : derrière quelle vitre suis-je matée par ses potes ?
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