Après avoir passé une excellente nuit, comme toujours en ayant les couilles vides, je me lève pour un brin de toilette.
Forcément, à penser à toutes les possibilités qui vont pouvoir se présenter dans la journée, malgré une érection totale je me préserve pour mon nouveau petit jouet.
8h pétante je sonne. La porte s’ouvre sur son joli minois, toute souriante mais comme embarrassé.
– Bonjour. J’avais peur que vous ne veniez pas finalement.
– Bonjour Julien. Pourquoi donc je ne serais pas venu ?
– Je ne sais pas… Mais, heu, vous voulez bien continuer à m’appeler Julie plutôt s’il vous plait ?
– Ho, bien sûr
J’entre donc et j’en profite pour la détailler un peu. Environ 1m65 je dirais, vraiment très fluette. sa petite tignasse blonde de cheveux légèrement long, un visage fin.
Des lèvres très fines (entre lesquelles j’ai hâte de me glisser). Sa peau est assez claire, limite blanche.
Elle porte un t-shirt blanc, rien d’exceptionnel et un jean que je trouve plutôt très slim. Les pieds nus.
– tu me fais visiter ?
– D’accord
– Mais avant, pourquoi tu n’enlèverais pas ton t-shirt ?
– Heu oui
Elle retire doucement son t-shirt, toujours avec ces gestes lents, réservé, un peu gênée je pense.
– Il est très slim ton jean dis-moi ?
– Oui… en fait s’en est un de ma sœur. J’ai pensé que peut-être ça vous plairait. Vous n’aimez pas ?
Je lui glisse alors délicatement la main au niveau du bas du dos, juste la lisière du jean, puis la descend sur ses fesses. Décidément, quel cul !
Ferme, rebondit, bien rond, un délice. en lui caressant le cul je sens quelque chose
– Mais dis donc, on dirais bien de nouveau un petit string la dessous
en rougissant et baissant les yeux elle me répond
– Oui… un autre de ma sœur
– Montre-moi donc ça
Elle déboutonne son jean et le fait descendre, dévoilant une très jolie pièce de dentelle noire, très raffiné.
Je la prend par la main, lui lève et la fait tourner sur elle-même. Décidément ce n’est pas le corps d’un mec, ce cul est délicieux, vraiment très peu de poils. Une peau blanche et lisse.
Je la met dos à moi, la colle contre moi et monte mes mains sur ses tétons que je pince tout doucement. elle pointe déjà que c’est pas difficile de les att****r.
– On dirais que tu es toute excitée ma belle
– Oui j’avoue.
– Et tu as les tétons sensible
Je la sens frémir sous me doigts tout en se collant contre moi. Elle frotte gentiment ma queue raide sous mon jean avec ses fesses.
Tout en la relâchant
– Aller fais-moi visiter
– Ok dit-elle en soupirant. (De déception ?)
Julie passe devant moi, en roulant son petit cul sexy. pour le coup elle en rajoute, mais quel délice.
On arrive sur une très grande pièce, cuisine ouverte sur salon et salle à manger. Vraiment superbe, de toute évidence ses parents ont les moyens.
Ensuite elle s’engage dans le couloir, me montre les WC, on passe devant la chambre de sa soeur
– On va repasser par ici tout à l’heure
– D’accord
on continu, sa chambre. Déco dépareillée mais malgré tout relativement neutre. On n’y sent pas la chambre de mec ni de nana.
Ensuite la chambre parentale, très grande, puis la salle de bain.
– Entrons là
C’est une très grande pièce. Cet appart est gigantesque par rapport au mien.
Je commence à ouvrir un placard, un autre, je farfouille un peu et trouve ce qui m’intéresse.
– Tiens, on va t’embellir encore plus
Je luis tend un tube de crème dépilatoire et un rasoir féminin.
– Ha, mais heu je n’ai jamais fait ça.
– T’en fait pas ça va aller. Entre dans la douche. On va te retirer ce surplus sous tes bras, sur tes jambes, et lisser autour de ton clito.
– Mais ça risque de se voir ensuite quand même
– Justement, ce sera bien plus beau
– Ok
Elle retire alors son string. la voilà nue comme un vers. Il y aura pas beaucoup à enlever, mais autour de son mini pénis ça sera mieux quand même.
Elle passe sous l’eau, se savonne légèrement, très sensuellement. Elle a un début de mini érection. Tout ça semble l’exciter.
Je lui redonne le rasoir et un peu de mousse.
– Commence sous les bras
En deux trois coups de rasoirs c’est réglé. Je lui caresse l’aisselle
– C’est tout doux, c’est mieux tu trouves pas ?
– Si c’est vrai
– Aller les jambes maintenant, mets la crème
Elle étale la crème sur les jambes.
– Pendant que ça agit on va faire le reste. Assied toi sur le banc.
Je retire mon pantalon pour pas le mouiller et rentre dans la douche avec elle en simple caleçon.
Je m’accroupi devant elle, lui fait écarter les jambes. Je l’att**** par les fesses pour la rapprocher du bord.
Je lui étale un peu de mousse sur ta petite toison. Je sens de suite sa respiration s’accélérer et sa mini érection se renforcer.
Même au plus fort, sa mini queue est minuscule.
– ton clito est tout dressée ma belle, ça t’excite tout ça on dirait
– oui, vraiment beaucoup
– en petite femelle que tu es, ne t’attends pas à ce que je flatte cette partie de ton corps
– non, je ne veux pas toute façon
Je commence donc à la raser. Le pubis, l’entrecuisse, puis je passe sur ses mini couilles. En même temps j’en profite pour les rouler entre mes doigts.
Puis je les lui serre, doucement pour commencer puis plus fort.
– haaa
– oui ?
Je lui tire un peu le paquet vers le bas et serrant sa petite bourse dans ma main. Sa crispation de douleur du départ semble se transformer en plaisir puisque je finis par remarquer qu’elle gémit plus qu’elle ne se plaint.
– Lève-toi maintenant et tourne toi. Penche toi en avant.
Ce cul, superbe ! et en plus pas le moindre poil, c’est parfait, moins à faire.
Je lui saisis ses deux globes, les masses puis les écartes. Je mord dans une de ses fesses, puis passe avec ma langue au même endroit.
Je fais glisser ma langue de sa fesse vers sa raie;
– C’est bien, tu sens bon ce matin, tu as fait ce que je t’ai demandé
– Oui, je me suis appliquée pour vous plaire. j’ai utilisé le savon intime de ma mère
Je passe alors ma langue sur son bouton. Je la sens se crisper, se raidir et soupirer. on dirait qu’elle aime ça.
Je continu de bien lécher son petit trou tout serré, j’en fais le contour de ma langue, descend jusqu’à la base de ses mini couilles, remonte.
J’insiste ensuite sur son trou, en pointant ma langue je la fais rentrer, doucement, la laissant se détendre, s’ouvrir.
Elle pousse ses fesses vers mon visage, de toute évidence elle en demande plus.
Son trou maintenant bien humide, je viens le titiller avec mon pouce. je le masse, guidant son ouverture pour qu’elle s’élargisse un peu.
L’ouverture s’élargit petit à petit, j’y glisse alors mon majeur, tout doucement, jusqu’à ce que la première phalange soit rentrée.
Je le ressort tout doucement mais son cul le suit, comme si elle ne voulait pas qu’il la quitte.
je lui le repousse donc dedans, plus profond, et commence de lent va et vient.
Je la voit soupirer, je l’entends gémir de plaisir. j’accélère le rythme, vais de plus en plus profond.
Je lui doigte le cul presque violement, plus j’y vais plus elle gémis quand soudain elle se raidit et au même moment a une ejaculation.
Même là, la qté est ridicule, une toute petite flaque crémeuse se forme sur le banc. Pas de giclée, mais ça coule comme si on vidait le fond d’un pot de crème.
Elle tombe à genoux, essoufflée, tout en gémissant encore.
– Lèche, nettoie tout
Pas besoin de me répéter, en deux ou trois lapées tout disparait. Et avec le plus grand des sourire qui plus est !
– Rince toi maintenant
L’eau coule sur son corps et emmène avec elle les dernier vestige d’une pseudo masculinité. Une fois rincée et totalement lisse de partout elle coupe l’eau.
– Agenouille toi
Dans cette position, elle a le visage à hauteur de ma queue. Elle sourit en voyant la bosse. Je baisse mon caleçon et fait jaillir ma queue.
Son sourire s’agrandit encore plus, cette petite est gourmande y’a pas de doutes.
– Suce moi
Ni une ni deux, elle empoigne ma queue, me branle doucement, des étoiles dans les yeux et commence le balai de sa langue sur ma queue. Comme hier tout y passe, ma queue sur toute sa longueur, mes couilles, qu’elles lèchent et gobent.
elle tète mon gland, lèche goulument la base de mon gland. N’empêche elle sait ou passer sa langue pour faire du bien.
Puis engouffre ma queue et démarre une lente descente jusqu’au trois quart, remonte, redescend un peu plus et encore et encore.
Sa bouche va et vient sur ma queue, tout en me branlant, elle me caresse les couilles également, me les massent délicatement.
Ses yeux me regardent souvent, ils pétillent, elle semble aux anges. Et elle est vraiment douée !
Elle mélange subtilement branlée lente avec sucée rapide, ou inversement, sucée lente avec branlée rapide.
A un moment elle sort ma queue de sa bouche, essoufflée, souriante, et tout en continuant de me branler
– J’aimerais pouvoir tout avaler de nouveau s’il vous plait
– bien sûr, je t’ai promis hier, fais toi plaisir
Elle se jette littéralement sur ma queue et c’est telle une furie qu’elle me pompe. j’ai l’impression qu’elle veut avalaer toute ma queue.
Elle l’aspire, se l’enfonce jusqu’au fond de la gorge et se découvre un véritable talent pour la gorge profonde. Elle me masse le gland avec le haut de sa gorge.
Puis tout en recommençant à me branler elle se remet à me sucer énergiquement.
Avec ce traitement évidement je ne peux pas tenir, et je lui gicle tout au fond de la gorge. Des giclées aussi puissantes que l’a été sa pipe atterissent au fond de sa gorge.
Elle ressort ma queue de la bouche et se prend de nouveau la dernière giclée en travers du visage, toute souriante.
Toujours en souriant elle ouvre la bouche pour me montrer sa récolte et avale en une fois le tout.
Avec un regard espiègle, toujours tout sourire, elle ouvre et me montre que tout a disparu.
Et racle le sperme sur son visage avec un doigt, puis d’un air vicieux et très coquin, le lèche et suce son doigt pour tout faire disparaitre.
Elle ressort son doigt, toujours aussi souriante
– Merci, j’adore, votre sperme est délicieux
– tu es vraiment douée, c’est sûrement la meilleure pipe qu’on m’ai jamais fait
en s’écriant
– Vraiment ?? hihih Alors je suis fière de moi
Quand elle se relève je remarque qu’elle a à nouveau fait sa petite flaque habituelle
– Tu n’oublies rien ?
– Oups, pardon
Et en s’agenouillant elle nettoie le sol de la douche
– c’est mieux, aller vient
– Vous voulez que je remette le string ?
– Oui tu peux
Pendant qu’elle sort de la douche je l’observe, son corps fluet, lisse est délicieux. elle ré enfile le string, toujours souriante.
Je sors de la salle de bain et me dirige vers la chambre de sa sœur, Julie me suit.
Cette chambre est immense, et le long d’un mur trône une armoire gigantesque. Il va y avoir du choix au moins.
J’ouvre la première des 3 portes farfouilles, pareil dans la seconde et la troisième en y ouvrant aussi les tiroirs rapidement.
dans les tiroirs, tous pleins de lingerie, toutes les pièces plus sexy les unes que les autres.
– On dirait que ta sœur est aussi salope que toi. Regarde-moi ces string, ces tangas, et tout ça
– Je crois oui. Je sais qu’elle a eu pas mal de mecs et pas que des longues durées…
– Tu aimes ton corps tout lisse ?
– Oui c’est étrange, mais agréable. Et puis ça à l’air de vous plaire aussi alors ça me plait hihi
Je me relance dans mes recherches dans les tiroirs, à la recherches des pièces les plus sexy que je peux trouver.
J’ai envie de transformer la petite en ce qu’elle est au fond, une petite catin.
– Elle a vraiment des fringues de pute ta sœur.
– Vous trouvez ?
– oui et j’adore. Et ça va t’aller à merveille. Tiens enfile ça.
Je lui tends un bustier guêpière porte jarretelle. il est en dentelle noir, finement brodé avec des surpiqures argenté. J’ai trouvé une paire de bas noirs toujours d’une grande qualité.
Il sont tel une fine résille à petite maille. Je lui tends avec le string qui est du même ensemble.
Elle commence à enfiler la guêpière puis veut enfiler le string
– non le string après
– d’accord
Elle prend les bas et essaye de les enfiler, assez maladroitement. Elle s’arrête, respire un coup et come un changement se produit.
ses gestes deviennent soudain plus souple, plus léger. je vois le premier bas remonter sa jambe qu’elle avait posé sur le lit. Puis le second pareil.
vient le string, qui vient se loger délicatement entre ses deux globes à merveille. Son clito ne se voit presque pas, c’est parfait.
– comment tu te sent
– c’est étrange, c’est doux, c’est soyeux, ça me donne des frissons agréables
Je m’approche d’elle, la tourne dos à moi. j’ai choisi cette tenue car la guêpière dispose d’un système de lacets dans le dos, permettant de régler le serrage.
Je serre donc un peu le lassage, tendant les liens petits à petits, de bas en haut. ca a pour effet d’affiner un peu plus sa taille et de serrer un peu son torse donne naissance à à une toute petite poitrine, très mignonne.
– parfait. Passons à la suite
Je reviens vers la seconde porte dans laquelle j’avais repéré toute une collection de robes. il y en a pour tout les gens, du classe au sexy, longues, courte.
J’en choisit une qui au premier abord parait sage bien que très courte.
– Enfile ca maintenant
– Ouiii
Pendant qu’elle l’enfile je retourne voir de plus près une boite que j’avais vu dans les tiroirs.
– ta sœur est effectivement une petite salope. Regarde ses petits jouets.
Il y a en effet un petite collection de gode, une dizaine. différentes matières, tailles, formes. J’y trouve aussi plusieurs rosebuds, très beaux en plus et un plug gonflable.
– Elle doit pas s’ennuyer la petite pute
quand je me retourne Julie a fini d’enfiler la robe. Incroyable, Julien a totalement disparut, seule subsiste face à moi, une jeune fille, frêle mais terriblement sexy.
La robe, d’un bleu marine assez foncé, lui arrive tout juste au-dessous des fesses, laissant juste apparaitre le haut de ses bas. Elle la cintre finement à la taille.
Ccette robe parait sage, mais des bandes de cuirs, discrète, passent de haut en bas. ce qui rend la robe plus raide que ce qu’elle semble et fait se relever le bas a presque chaque mouvement, dévoilant là vraiment les bas, ou bien plus selon les mouvements.
Julie me regarde, toujours le regard pétillant, souriante au possible
– Tu es terriblement bandante ma belle
– Je vois ça hihi
En effet, je n’avais pas remis mon caleçon et ma queue était fièrement dressée face à elle
– bandante et belle
– Merciii. Je me sens biien comme ça. j’ai l’impression de, d’être moi ! C’est merveilleux ! Je n’aurais jamais pensé
– Tant mieux, mais on n’a pas terminé ma belle
En lui montrant la coiffeuse de sa sœur, remplie de maquillage et autre
– On va encore plus t’embellir
– ho, vraiment ?
– Oui oui, aller vient t’assoir
– j’ai jamais fait ça
– On va commencer léger mais tu vas devoir t’entrainer, le plus possible
– ok.. si c’est pour vous plaire je veux bien
– telle que je te connais, je suis sûr que tu t’es déjà un peu intéressée a tout ça, tu dois avoir une idée des bases ?
– heu oui c’est vrai
– Alors fait ce que tu te sens capable
– D’accord, me dit-elle d’un grand sourire
Je la laisse faire et vais me promener dans l’appart. Je vais trainer dans la chambre des parents ou je remarque qu’il y a une pièces dressing accolée.
Je vais voir et de même je farfouille un peu partout. de ce que je vois la mère est pas moins coquine que les filles. De la lingerie sexy, très sexy même.
Ces filles aiment les jupes et robes courtes de toutes évidences !
En fouillant, plus profond, je trouve de la lingerie encore plus sex, culotte ouverte à l’entre jambe, culotte en perle, culotte avec gode incorporé, et tiens donc, tout au fond de l’armoire une boite aussi.
Je la prend et l’ouvre. Une collection de sextoy incroyable ! Des gods, des plugs, des pinces à lèvres ou à tétons, des menottes, des liens, et tiens donc, des god ceinture.
Décidément cette famille me plait, il va falloir que je m’intéresse aux autres femelles de la famille.
Niveau garde-robe, je survole, mais pas de doute, les surfaces en tissus sont rares !
Je reviens vers le couloir et voit un grand placard mural. Je fais coulisser la porte et je tombe sur peut être 50 ou 100 paires de chaussures féminines.
La aussi il y a de tout, sandales, mules, bottes, escarpins, bottines, toutes hauteurs de talons, de style etc…
les filles ne se privent pas ! Je regarde de plus près, il y a une seule pointure. Je choisis une paire de Salomé, a talon fin de hauteur moyenne, peut-être 7 cm.
je retourne voir ma petite poupée qui semble avoir terminé et se lève justement de la coiffeuse.
Et là le bluff total, maquillage raffiné, léger, touche coquine malgré tout. Eye liner, fard à paupière, mascara, une touche de fond de teint il smble, avec un coup de blush sur les joues;
Et un gloss roses à paillettes scintillantes. je remarque aussi qu’elle a mis quelques bagues, un collier raz du coup et boucle d’oreilles. je n’avais pas vu les oreilles percées…
– Tu es magnifique ma belle
– Merci, me dit-elle avec les yeux qui commence à se remplir de larme. Je me sens vraiment moi, et, sans vous, jamais je n’aurais ressentis ça.
– tu es faite pour ça ma belle. Julien n’existe plus comme ça, tu es Julie, sexy, ravissante, mignonne, bandante
Elle vient vivement vers moi, me saute au cou et m’embrasse à pleine bouche. sa langue est gourmande décidément.
Pendant ce long baiser, chaud et sensuel, j’ai remarqué que les boucle d’oreilles sont à pinces.
Je quitte sa bouche
– j’ai cru que tu avais les oreilles percées en te voyant avant
– Non…
– Encore une chose à corriger
– Ouii
– Tiens, enfile ça
– Oulala, mais j’ai jamais marché avec des talons…
– mets les, on verra
elle s’assoit à nouveau sur le lit pour les mettre
– En tout cas je vois bien que ça vous plait, dit-elle en regardant ma queue raide avec gourmandise.
Elle se penche un peu en la léchant de haut en bas, puis se penche pour enfiler ses chaussures.
Une fois enfilée, elle se lève, légèrement déséquilibrée, fais quelques pas et trouve rapidement l’équilibre.
– Tu es faite pour ça
– on dirait ouii. A part au début ou j’étais pas à l’aise, là j’ai l’impression d’avoir toujours marché avec des talons. Et j’adoooore ca !
Elle fait des vas et viens toute souriante, heureuse. On dirait un enfant qui vient d’avoir la plus belle surprise de sa vie.
– je sais pas comment vous remercier, grâce à vous j’ai l’impression de renaitre !
– Ne t’en fais pas, tu ne vas pas arrêter de me remercier de différentes manières ! Tu vas déjà encore beaucoup de fois me pomper comme tu le fais si bien.
– Ah mais c’est de la triche j’aime trop ça alors je devrais encore vous remercier lol
– Tant mieux, mais tu as encore des choses à découvrir aussi.
En disant ça je la prend dans mes bras et l’embrasse. je prends sa main et la pose sur ma queue. Elle ne se fait pas prier et se met a me branler doucement.
c’est tout naturellement qu’elle se retrouve à genoux, ma queue en bouche. Toujours aussi efficace !
– Arrête toi, on va passer à un peu de nouveauté. Je la guide vers le lit, la fait monter dessus, à genoux.
– Pose tes mains, mets-toi a 4 pattes
En se plaçant sa robe remonte et dévoile ce cul qui me fait tant envie depuis un moment. Je me penche au-dessus, écarte son string et me met à lui manger.
Ma langue la fouille complètement, s’enfonce dans sa petite rondelle étroite. elle s’ouvre un peu plus vite que tout à l’heure, j’y glisse donc le majeur, presque d’un coup.
– Haaannn, ouiii
Elle couine, elle gémit, se trémousse, pousse sur mon doigt.
Je continu mes vas et vient en elle, en accélérant. Je présente aussi mon index et le fait rentrer doucement. c’est donc à 2 deux doigts que je la doigte maintenant, par de long et ample mouvement
Elle soupire de plus ne plus fort.
Je retire me doigts
– reste comme tu es
Je quitte la pièce et vais dans la chambre des parents ou j’avais repéré quelque chose qui va être utile.
Je reviens dans la chambre, elle n’a pas bougé, ce cul de rêve tendu vers moi, qui m’appel. Elle tourne la tète et me sourit.
Je prends alors le tube de gel lubrifiant que je suis allé chercher, et en fait couler sur sa petite rondelle étroite
– Haa c’est froid
– Normale, chaude comme tu es ! Pour ta première c’est mieux, mais tu finiras par ne pas en avoir toujours besoin
– Je sais pas si je suis prête à ça
– Bien sûr que si, ton cul demande que ça, tout ton corps demande que ça
– Je sais pas
– laisse-moi faire
– d’accord
J’étale alors le gel sur sa rondelle et le fait rentrer avec mes deux doigts, je la graisse bien, l’élargit encore un peu.
Je mets un peu de gel sur ma queue et l’étale bien.
je viens ensuite présenter mon gland contre sa rondelle
– je vais faire de toi une vraie femelle à présent
Et je commence a pousser, en douceur. Je veux qu’elle en redemande donc inutile de brusquer sa première fois.
Je fais de petits va et vient contre son trou, il se détend petit a petit
– Relâche toi ma poupée, laisse toi aller
Le bout de mon gland passe la porte, et d’un coup mon gland est comme aspiré par son cul.
– Hannnnnnn….hummmm.. ouiii mais doucement
– relâche toi maintenant
Je pousse encore un peu et démarre de longs mouvements, poussant ma queue petit à petit plus profondément en elle
je l’entends et la sens haletante, elle couine, gémis d’un doux et puissant plaisir
– Et voilà, tu as maintenant toute ma queue en toi, te voilà presque femelle
– Vous arrêtez pas s’il vous plait, c’est trop bon, continuez
Je commence maintenant a faire de vrai va et vient en elle, elle est délicieusement étroite, son conduit enserre ma queue à merveille, c’est un délice.
Je varie les vitesse de bourrage, quand je vais vite elle couine un peu, pas encore totalement habituée, alors je ralentit, pour mieux reprendre mon rythme.
A un moment je m’arrête de bouger et c’est elle qui sans s’en rendre compte s’empale sur ma queue, elle se baise elle-même.
je reprends les chose en main, j’empoigne a deux mains son cul, reprenant le contrôle total
– Maintenant je vais te baiser comme tu le mérite ma belle, et je vais te féconder
Cette fois j’y vais vraiment, alternant des coup de butoir rapide, lui limant son fion à toute vitesse, ou au ralentit mais en mettant de puissant coup de bassin, pour aller au plus profond d’elle.
Comme à chaque fois elle mouille, son clito dégouline de nombreuses gouttes. C’est pas grave, elle nettoiera ça.
– Tu es prête à être totalement femelle ?
sous mes coup de rein puissants
– Han han han ouiii han faite han de han moi han votre han han femeeelle, je han han suis han àhann vouuus
J’accélère le rythme pour de bon. Au même moment, dans le coin de mon champs de vision j’aperçoit un petit mouvement, je regarde du coin de l’œil sans tourner la tête.
Je me reconcentre et la termine, je la ramone totalement, j’enfonce ma queue jusqu’à la base pour quasiment la ressortir au rythme maxi que je peux.
Je finis en m’enfonçant aussi profondément que possible pour l’inonder de l’intérieur. Je lui remplit le cul de longues giclée de sperme. Je crois n’avoir jamais giclé aussi puissamment, j’ai l’impression que ça ne s’arrête pas.
– han, ho ouiiiiiii. C’est trop bon ! Je sens votre sperme en moi…
Je me laisse tomber sur son dos, en veillant a bien garder ma queue en elle. Je veux débander dans son cul. Elle est a bout de souffle, et comme a chaque fois sourrit autant qu’elle peut.
Ma queue ayant presque retrouvé sa taille normale, je me retire d’elle doucement, je veux qu’elle reste pleine aussi longtemps que possible.
Je me lève me met a côté du lit lui présentant ma queue
– tu te rappel ? tout ce qui sort de ton cul passe par ta bouche
Bien qu’épuisée, elle saisit ma queue et l’embouche, la lèche. Elle avait fait une très bonne toilette car ma queue est totalement propre.
ca ne l’empêche pas de passer sur chaque millimètre. elle est très méticuleuse. je la sens pomper mon méat, pour récupérer quelque gouttes.
Pendant qu’elle termine je tourne la tête vers la porte de la chambre
– Alors, le spectacle t’a plut ?
Surprise, la sœur de Julie qui vient de nous mater discrètement en train de baiser ne sait pas trop quoi dire.
– Ben alors, dis quelque chose
– Mais heu, vous êtes qui ? et heu, Julien, c’est toi ?
– Non, Julien est partit un moment, voici Julie
– mais c’est quoi cette blague ? c’est dégeu et en plus sur mon lit !!
– Dégeu ? Vraiment ? Pourtant tu es resté un petit moment à me regarder défoncer la petite chatte de ta sœur
– Sophie, s’il te plait, t’énerve pas, je suis désolée
– Tais-toi Julie, laisse-moi régler ça
Julie commence à se lever, vouloir retirer la robe.
– Garde ça, et reste assise. Donc je disais, tu dis dégeulasse alors que tu as mâté un long moment et je ne me trompe pas en disant que tu as même laisser trainer tes doigts dans ta culotte !
– Sophie ! c’est vrai ?!
– Silence Julie, je t’ai dit que je gère ça !
– Oui pardon, me répond-elle d’une petite voix en se collant à ma jambe
– Alors Sophie ?
***A SUIVRE***
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