Histoires de sexe mobiles Histoires de sexe travesti Histoires de sexe viol

KIDNAPPING ET SOUMISSION

KIDNAPPING ET SOUMISSION



TOME II
I. Seconde épreuve
Dans l’autre aile du château, Sweet Pussy était dans sa cellule, sur son lit attachée au pied du lit par une chaîne reliée au collier de son cou. Un écran avait été installé dans sa cellule et elle devait donc regarder chaque matin les films qui étaient diffusés sur « la seule chaîne » que réceptionnait l’écran. Toujours des films SM à regarder.
Un matin après avoir déjeuné sa bouillie quotidienne et regarder trois heures de films, la porte de sa cellule s’ouvrit.
Maîtresse Aurore entra, suivie de deux esclaves totalement recouvertes de latex :
« Bonjour Sweet Pussy. »
« Bonjour, Maîtresse. » répondit Sweet Pussy.
« Apprécies-tu mes films ? »
« Certains sont beaux, d’autres non… »
« Tu apprendras à aimer, petite chienne. D’ailleurs, tu vas travailler maintenant, tu t’es assez reposée sur tes lauriers. Il est temps de refaire des épreuves. Amenez-la à la chambre 109. »
« Bien Maîtresse. » répondirent les deux esclaves.
Sweet Pussy arriva à la chambre 109. Cette chambre se trouvait dans la pénombre lorsque les deux esclaves et Sweet Pussy y pénétrèrent. Maîtresse Aurore entra à son tour. Maîtresse Aurore ouvrit la valise qui se trouvait sur la table au centre de la chambre. Maîtresse Aurore ouvrit la valise. Elle en sortit des cordes.
« A quatre pattes, chienne ! » cria Maîtresse Aurore, ce qui fit sursauter Sweet Pussy. L’esclave se mit à quatre pattes attendant son bondage. Maîtresse Aurore passa une corde autour du sein gauche et serra celle-ci. Sweet Pussy couina un peu ce qui fit réagir Maîtresse Aurore qui la fusilla du regard. Le sein droit subit le même traitement.
« A genoux maintenant. » Sweet Pussy s’exécuta. Une corde vint se nouer sur celles qui entouraient les seins et passa autour de son cou. Une autre corde fut fixée sur son sexe et son cul puis fit son tour de taille. Maîtresse Aurore tira vertement sur la corde autour du cou, ce qui fit tirer les seins de Sweet Pussy vers le haut. Une corde vint faire la jonction entre celle du cou et celle de la taille. Deux plugs de 10 cm furent enfoncés dans ses orifices, ce qui eut pour effet de distendre la corde lorsqu’elle fut placée sur les plugs pour éviter que ceux-ci ne sortent.
Un masque en latex lui recouvrit la tête, ouvert au niveau des yeux et de la bouche. Maîtresse Aurore retroussa les cheveux blonds de Sweet Pussy et posa deux pinces à seins pour terminer la décoration. Maîtresse Aurore les plaça derrière les anneaux et serra la vis de chaque pince. Sweet Pussy grimaça lorsque la pince commença à écraser son téton gauche, puis le droit. Mais sa complainte n’y fit rien.
« Bien esclave. Te voilà parée pour ton épreuve. »
Maîtresse Aurore prit le saladier qui se trouvait sur la table et l’apporta à Sweet Pussy.
« Tiens ça ! »
Elle partit dans le fond de la pièce et tourna l’interrupteur pour installer plus de lumière dans la chambre. Un rideau de velours noir était au fond de la chambre. Maîtresse Aurore tira celui-ci et une foule d’hommes nus et masqués se caressant la bite pour la faire grossir apparue à Sweet Pussy.
« Voici 50 hommes prêts à se faire traire la bite comme les pis d’une vache, et c’est toi qui va les traire et mettre leur jus dans ce saladier. Pas une goutte ne doit tomber sur le carrelage. Sinon cela te coûtera cher ! Allez messieurs, vous avez tiré chacun un numéro de passage. Que le numéro un se présente à la traie. Et toi branle ces bites. »
L’homme ayant tiré le numéro un s’avança, la bite bien droite et se positionna devant l’esclave au saladier. Sweet Pussy prit la bite dans sa main droite et la branla au-dessus du saladier. L’homme la regardait, fixant ses seins ligotés. Il commença à gémir et des spasmes se firent sentir sous les doigts de l’esclave. Le méat s’ouvrit et trois salves de sperme vinrent s’étaler dans le saladier.
« Numéro deux », cria une voix derrière Sweet Pussy. Le numéro deux arriva avec une bite pas encore tout à fait tendue. Sweet Pussy prit la bite et la branla pour la faire éjaculer. Le bal continua et Sweet Pussy commença à avoir mal au bras mais surtout à la main. Ses seins la meurtrissaient aussi car les pinces mordaient irrémédiablement ses tétons et les mouvements de son bras agitaient les pinces sur ses seins. Son visage était en sueur sous la chaleur du masque de latex et des gouttes de sueur coulaient sur son corps. Le saladier se remplissait de sperme. Au bout de 2 bonnes heures de branlette, tous les hommes étaient passés sous la main de Sweet Pussy pour se faire traire. Des hommes bedonnants à la bite noueuse, des blacks à la bite épaisse et turgescente se présentèrent devant l’esclave pour se faire traire.
« Numéro 30. » cria Maîtresse Aurore. Le numéro 30 se positionna devant Sweet Pussy et celle-ci branla la bite piercée et vit des couilles bien dimensionnées ornées de 10 piercings sur le scrotum et un ball-stretcher.
Le numéro 30 n’était autre que Manu. Maîtresse Aurore avait poussé le vice jusqu’à intégrer Manu dans les 50 hommes. Mais il ne put reconnaître Isa « Sweet Pussy » sous son masque comme Sweet Pussy ne put reconnaître son Mari et Maître sous son loup avec sa bite et ses couilles annelées et transformées. Sweet Pussy branla cette bite numéro 30 comme les autres et pourtant, celle-ci lui était bien connue. Mais comme les autres hommes, Manu fut trais comme une vache et gicla dans le saladier. Une grosse giclée puisque cela faisait plusieurs semaines qu’il n’avait pas joui. Pendant que Manu se faisait branler la bite, il regarda avec avidité ces seins annelés et cette bouche qu’il aurait bien voulu avoir sur sa bite. Le saladier n’était pas rempli mais la cinquantaine de giclée de sperme représentait une bonne dose. Sweet Pussy craignit qu’on l’oblige à boire ce mélange de sperme.
L’esclave en latex lui prit le saladier des mains de Sweet Pussy. Elle fut soulevée de terre et emmenée dans la cellule de soins que Sweet Pussy connaissait bien maintenant.
On la libéra de ses liens des pinces à seins et de ses plugs pour l’installer sur cette satanée chaise métallique, attachée par les chevilles, les poignets et le cou. La libération de ses tétons eut pour effet qu’une violente douleur traversa ses seins par le sang qui circulait de nouveau dans cette partie privée de vie auparavant. Le plug de 10 cm fut pointé sur son cul et il s’enfonça de nouveau dans son cul. On lui fit garder son masque mais l’esclave de latex vint lui placer une sorte de ball-gag percé dans la bouche fixé par une pression de part et d’autres de ses lèvres sur le masque. Ce ball-gag avait un tube noir en latex coudé qui allait vers le plafond. Ce tube, qui ressemblait à un tuba, se terminait par un raccord et avait une petite vanne juste au niveau du coude. Une poche fut vissée à ce raccord.
Sweet Pussy se demandait une nouvelle fois à quoi servait tout ce système. Elle ne tarda pas à le savoir lorsque Maîtresse Aurore vint se placer juste devant son esclave sexuelle. Elle la fixa droit dans les yeux et tourna délicatement la vanne du tuyau en latex. Un liquide froid, épais et âcre coula dans sa bouche. Du sperme ! Le sperme qui venait des 50 hommes. On lui faisait boire leur sperme. Sweet Pussy voulut ralentir le débit en serrant sa bouche et sa langue contre l’ouverture du tuyau mais rien n’y fit. Elle devait boire cet affreux liquide. Elle eut un spasme de dégoût et commença à s’étouffer. Elle s’agita car le liquide s’amoncelait dans sa bouche, elle en respira même, du sperme remontait par le nez et coulait par ses narines. Elle pensait étouffer quand Maîtresse Aurore vit que cela ne passait pas et que son esclave était en danger, elle ferma la vanne et ôta le tube de la bouche de Sweet Pussy qui toussa abondamment et vomit ce qu’elle venait d’ingurgiter. Du sperme coulait de sa bouche, ses seins étaient maculés de sperme qui dégoulinait lentement vers sa chatte puis le sol. Maîtresse Aurore vint la consoler car Sweet Pussy pleurait et hoquetait suite à cette peur de mourir étouffée par du sperme.
« C’est tout mon esclave, c’est tout, plus de peur que de mal. On s’arrêtera là pour aujourd’hui. Tu resteras ici jusqu’à demain pour te calmer. Demain sera un autre jour. »
« Pitié, laissez-moi, je veux voir mon mari, je vous en prie. »
« N’abuse pas de ma patience, mais pour te montrer ma bonne volonté, tu verras ton mari dans quelques jours. »
« Merci. » soupira Sweet Pussy.
« Merci qui, salope ! »
« Merci, Maîtresse Aurore. »
« Mais sache ceci, tout échec est sanctionné ici. Tu vas t’en apercevoir de suite. »
Maîtresse Aurore ôta le masque que portait Sweet Pussy. Mais à peine son visage retrouvait la liberté que Maîtresse Aurore en prit un autre et couvrit de nouveau la tête de son esclave. Celui-ci avait un trou sur le haut du crâne et Maîtresse Aurore prit un peigne et tira sur les cheveux de Sweet Pussy pour en sortir une grosse mèche aussi dense et épaisse que le trou du masque. La Maîtresse prit quelques élastiques, serra la grosse mèche à plusieurs endroits et inséra un fil de fer pour modeler la mèche en forme de queue de cheval, puis le masque fut retiré du visage de Sweet Pussy. Sweet Pussy se vit dans le miroir avec sa nouvelle coiffe, elle qui n’avait jamais fait de queue de cheval en était toute étonnée.
« Comme je te le disais, ici tout échec est sanctionné. »
A peine Maîtresse Aurore avait-elle fini de parler qu’elle prit à pleine main la grosse mèche, prit de son autre main une tondeuse placée derrière la chaise métallique et la passa sur la tête de Sweet Pussy !
« Non !!!! » cria l’esclave en voyant ses cheveux longs tombés sous les coups de la tondeuse. L’esclave voulut échapper à cette coupe mais Maîtresse Aurore maintenait ferme la tête de son esclave par sa queue de cheval. La tondeuse passa sur toute la surface du crâne sauf sur la mèche. Puis Maîtresse Aurore prit un rasoir et le passa délicatement pour qu’il n’y ait plus aucun cheveu disgracieux hormis la mèche.
Sweet Pussy pleurait à chaudes larmes en regardant sa Maîtresse la raser de près, elle qui avait toujours eu les cheveux longs !
« Te voilà belle maintenant ma jument ! Je vais te programmer quelques séances d’épilation laser pour qu’il n’y ait pas de repousse. »
Sweet Pussy fut reconduite dans sa cellule, elle pleurait toujours de la perte de ses cheveux.
De l’autre côté du château, Manu avait subi aussi des épreuves.
II. Maître-Esclave Manu
Pendant ce temps, du côté des hommes, le Maître esclave Manu suivait son entraînement. Son cul était bien dilaté et avait même surpris Maîtresse Aurore car son anus acceptait des plug de 12 cm de diamètre sans forcer ! Ses piercings avaient été stretchés aussi pendant ces semaines de dilatation anale. Manu arborait maintenant des anneaux de 4 mm d’épaisseur aux seins. Son scrotum pendait comme une outre vide à cause du poids des coques qui entouraient ses couilles. Mais un autre traitement de Maîtresse Aurore avait augmenté la dimension du scrotum. Après la cicatrisation de la peau, Maîtresse Aurore avait posé quotidiennement un ball-stretcher d’un poids conséquent. Puis une fois la peau distendue, Maîtresse Aurore avait ajouté une bague supplémentaire au ball-stretcher pour étirer le scrotum. Manu devait le porter 24h00 sur 24 et 7 jours sur 7 pour que l’effet escompté soit rapide.
Chaque matin, Manu avait la même bouillie que Sweet Pussy. Puis des films SM étaient diffusés sur un écran. Il suivait des cours de bondage et devait réaliser ses travaux pratiques sur des esclaves. Lorsque Manu n’arrivait pas à reproduire les bons nœuds, il était puni. La première fois que Manu se trompa, Maîtresse Aurore, qui portait une combinaison rouge en latex avec des cuissardes rouge aussi, emmena Manu dans sa cellule, couché sur son lit pieds et poings liés aux pieds du lit par de solides bracelets, genre hôpital psychiatrique. Puis Maîtresse Aurore appuya sur une commande qui fit descendre trois câbles du plafond. Elle attacha chacun des câbles à un des anneaux que Manu portait aux seins et au pénis. Puis Maîtresse Aurore appuya de nouveau sur la commande. Les câbles remontèrent, ses anneaux furent tirés au plafond et ses tétons tendus comme si des seins lui poussaient de la poitrine, son sexe, ou plutôt son gland fut étiré. Manu gémissait pendant la montée des câbles. Un autre câble fut fixé à l’aide d’un petit palonnier au ball-stretcher qu’il portait toujours et un poids y fut fixé. Ce câble pendait entre les pieds du lit à une poulie et son scrotum fut grandement étiré.
« Tu apprendras qu’ici, on ne tolère pas l’échec, tu vas l’apprendre à tes dépends. »
Maîtresse Aurore prit une tondeuse qui se trouvait sur une étagère et commença à raser Manu.
« Si certaines femmes aiment les hommes à poitrine velue comme Tom Selleck ou Sean Connery, ce n’est pas mon cas. »
Elle passa la tondeuse sur la poitrine velue de Manu. Son pubis fut rasé, ses jambes et ses bras. Seule la tête fut épargnée de la lame de la tondeuse. Puis patiemment, elle tapissa le corps de manu de mousse à raser et passa le rasoir sur son corps, elle termina par un nettoyage.
« Au prochain écart, je te rase la tête. Manu acquiesça de la tête en signe de soumission.
Maîtresse Aurore prit une tablette et l’avança vers elle. Elle sortit des étuis plastiques. Maîtresse Aurore en prit dans ses doigts et tira sur le bout de plastique rose devant les yeux de Manu. Une aiguille apparut. Avec un sourire sadique, la Maîtresse avança l’aiguille vers le téton droit de Manu et transperça celui-ci dans son milieu juste au bord de l’auréole. L’aiguille ressortit de l’autre côté du téton au bord de l’auréole. Manu cria sous la douleur de l’aiguille.
« Si je t’entends encore une fois, je ferme ta petite gueule avec un ball-gag. Compris esclave ! »
Manu lui fit signe de la tête pour acquiescer.
Maîtresse Aurore reprit une aiguille et transperça cette fois-ci le téton gauche. Manu soupira et voulut exprimer sa douleur mais il se ravisa sachant ce qui l’attendait s’il ne se taisait pas.
Une seconde aiguille vint piquer la peau du téton droit mais sur le côté du téton, une autre sur le gauche à la même position. Une troisième aiguille vint transpercer les deux tétons du côté gauche de ceux-ci. En tout six aiguilles transpercèrent sa poitrine. Puis Maîtresse Aurore prit une autre aiguille et vint se positionner devant son sexe. Elle transperça le gland sans aucune pitié. Manu gémit en silence… Une seconde aiguille transperça son gland.
« Bien, maintenant tu vas lécher de la chatte, esclave bon à rien. Comment veux-tu devenir un Maître si tu ne sais même pas faire un nœud ! »
Une esclave habillée de la tête au pied de latex rouge entra dans la cellule.
« Déshabille-toi, esclave. Tu ne gardes que tes gants. »
« Oui, Maîtresse. »
« Tu vas mettre ta chatte sur sa bouche et avec tes mains tu joueras avec les équipements que je viens de mettre sur les seins et la bite de cet esclave. S’il gémit, tu l’étouffes avec ta chatte bien compris ? »
« Oui, Maîtresse. »
L’esclave ôta sa combinaison de latex et remit correctement ses gants de latex rouge. Elle monta sur le lit à califourchon et plaça sa chatte juste sur la bouche de Manu. Manu vit arriver une chatte annelée. Les petites et grandes lèvres étaient percées par 10 anneaux d’au moins 8 mm d’épaisseur. Ces lèvres pendaient comme les babines d’une chienne. Cette chatte se colla à la bouche de Manu. La bite de Manu grossit à la vue de cette splendide chatte.
« Lèche, esclave et bois son jus si elle jouit. »
Manu ne put répondre car l’esclave faisait glisser sa chatte sur sa bouche et son visage. L’esclave de latex jouait de temps à autre avec ses tétons et faisait glisser les aiguilles pour les extraire du corps de Manu mais les enfoncer aussitôt jusqu’à la garde. Parfois elle tirait vers le haut les aiguilles. Du sang perlait déjà sur le téton droit. Elle s’attaqua ensuite au gland qu’elle touchait avec ses mains gantées de rouge. Elle tirait sur le prépuce et branlait cette bite annelée et piercée d’aiguilles. La bite ne mit pas longtemps à gonfler. Le souffle de Manu remplissait la pièce même si celui-ci était étouffé par la chatte de l’esclave. L’esclave, quant à elle, gémissait de plaisir et laissa sa jouissance s’exprimer. Un flot de cyprine coula dans la bouche de Manu qui ne put que boire ce liquide. Il jouit presqu’en même temps. Sa bite étirée laissa gicler le sperme qui retomba sur son bas ventre. L’esclave se décolla de la bouche de Manu et vint avidement lécher le sperme de Manu.
« Maîtresse, j’ai envie de pisser. » dit l’esclave aux gants rouges.
Maîtresse Aurore prit un ball-gag spécial qui se terminait par un entonnoir.
« Ouvre la bouche, mauvais élève en bondage ! »
Manu ouvrit la bouche et Maîtresse Aurore lui posa un entonnoir finit par un tube sur la bouche, deux courroies furent serrées derrière sa tête. L’esclave remonta sur le lit et positionna son sexe au-dessus de l’entonnoir. Manu vit alors couler l’urine du sexe annelé. Celle-ci se déversa dans l’entonnoir et Manu dut boire sa mixtion. Le déversement du liquide se tarit.
« Tu as bu pour ta soirée. Bonne nuit. »
Maîtresse Aurore enleva le ball-gag. Manu resta dans sa cellule avec ce gout d’urine dans la bouche et les aiguilles plantés dans ses seins. Il s’endormit facilement après ce traitement.
Le lendemain, Manu fut libéré de ses aiguilles et liens par l’esclave qui lui avait donné « à boire ». Il fut emmené en salle de cours pour continuer son apprentissage.
« Aujourd’hui, tu joueras au Maître et tu apprendras à donner des ordres aux esclaves. Elles te suceront la bite et tu leur intimeras différents ordres pour qu’elles sucent selon les ordres du maître. » dit Maîtresse Aurore.
« Oui Maîtresse ». fit Manu.
Une première esclave, habillée d’une combinaison de latex noir mais aux seins apparents, gantée et chaussée d’escarpins se présenta devant Manu.
« Suce ma bite esclave ! » lui intima Manu.
« Bien, je vois que tu comprends vite. » fit Maîtresse Aurore.
L’esclave emboucha la bite du « Maître » et commença à sucer le sexe tendu.
« Lèche-moi les couilles, salope. »
L’esclave prit cette bite dans la main et lécha les couilles tout en branlant lentement le chibre.
« Assez, chienne. Lèche-moi la bite de nouveau et avale mon foutre salope ! »
« Oui Maître, fit l’esclave. » L’esclave goba la bite tendue et fit aller et venir sa bouche sur toute sa longueur. Manu sentit venir le plaisir et sortit son membre de la bouche de l’esclave.
« Ouvre ta gueule de suceuse, je veux me voir jouir dans ta petite gueule de pute ! »
L’esclave ouvrit la bouche et reçut les giclées du sexe de Manu. Elle laissa sa bouche ouverte pour que son « Maître » voit son palais tapissé par cette jouissance puis sur ordre avala.
« Très bien. » fit Maîtresse Aurore.
« Je vois que pour les ordres tu apprends vite. Mais il faut que tu laisses le désir monter lentement, que ton esclave soit avide de la bite de son Maître. Il faut qu’elle sache que ce n’est pas elle qui commande mais toi. Tu dois jouer avec ta bite sur sa petite gueule. » En disant cela, Maîtresse Aurore joignit le geste à la parole et prit le sexe de Manu pour le faire glisser sur les joues de l’esclave. Elle le fit passer sur ses lèvres, son cou, son nez. L’esclave ouvrait la bouche avidement pour happer le sexe mais comme il se promenait sur son visage, l’esclave cherchait désespérément à emboucher la bite.
« Tu vois, cette bouche de suceuse cherche la bite comme un bébé qui cherche le téton de sa mère ! Elle est là l’envie irrémédiable de satisfaire son Maître. »
Pendant que Maîtresse Aurore donna les derniers ordres à son élève, une esclave s’approcha discrètement pour lui donner un message. Elle l’ouvrit et à la lecture du pli, elle se précipita hors de la pièce. Maîtresse Aurore entra dans son vestiaire et se déshabilla rapidement. Elle mit des sous-vêtements en dentelle blancs, une jupe droite en tissu et un chemisier blanc légèrement transparent, des escarpins noirs vernis.
III. Une visite impromptue
« Aurore » entra dans les pièces à vivre du château et se rendit au salon. Alexandre la vit entrer.
« Ah ma chérie, te voilà. Ces messieurs sont de la police. »
« Brigade des mœurs, monsieur. »
« Pardon, brigade des mœurs. Ils enquêtent sur la disparition d’un couple depuis plusieurs semaines. Ce n’était qu’une simple enquête sur une disparition jusqu’à ce que l’on découvre au domicile des disparus tout un assortiment de vêtement latex, de godemichés et autres ustensiles pour des séances sadomasochistes. »
L’inspecteur montra deux photos.
« Auriez-vous aperçu ces deux personnes madame ? » demanda le commissaire en regardant le chemisier d’Aurore qui laissait transparaître son soutien-gorge.
Reconnaissant Isa et Manu sur les photos, « Aurore » répondit d’un ton terne:
« Non, je n’ai jamais vu ces personnes dans les environs, peut-être à mon cabinet qui sait. »
« Votre cabinet ? »
« Je suis chirurgien esthétique dans une clinique près de Lille et ces personnes auraient pu me consulter. Il faudrait vérifier sur les registres électroniques, mais je m’en souviendrai. »
« Ces personnes ont dîné au ‘Val saint esprit’ à Gosnay, il y a environ 6 mois. C’est la dernière fois qu’on les a vus et d’après le directeur du restaurant, vous êtes les dernières personnes à les avoir vus car, toujours d’après le directeur, vous êtes partis ensemble du restaurant. »
« Il est vrai que nous allons souvent à ce restaurant mais je ne peux vous dire si nous avons vu ces personnes, non vraiment, désolé de ne pas vous être d’une grande utilité dans votre enquête. »
« Peut-être avez-vous remarqué leur véhicule, ils conduisaient un Porsche 996 cabriolet bleu lavande. »
Après un moment de réflexion, Aurore répondit :
« Ahhh, mais à y repenser, je me souviens d’un couple qui est sorti en même temps que nous. Une très jolie dame d’ailleurs. Comme nous quittions ensemble le restaurant, nous échangions des politesses pour passer la porte d’entrée. »
« Bien madame, monsieur, je vous remercie pour vos informations qui me seront très utile pour mon enquête. Nous piétinons sur cette enquête et ces personnes laissent un fils de 20 ans derrière avec une maison sur les bras. »
« C’est malheureux, je plains ce garçon. Je vais vous raccompagner, si vous avez besoin de nous recontacter, n’hésitez pas. » Dit Aurore.
«Merci madame. » dit le commissaire en regardant de nouveau l’ombre du soutien-gorge d’Aurore au travers de son chemisier.
Les agents de la brigade des mœurs montèrent dans leur véhicule et quittèrent le château.
« Il faut se débarrasser du véhicule, c’est trop dangereux. » Dit Aurore.
« Tu as raison, nous devons nous en séparer, il est beaucoup trop voyant. Je vais affréter un camion pour l’emmener en Belgique, et l’incendier là-bas, près d’un club privé. Cela orientera leur enquête loin d’ici. Procure-toi quelques gouttes de leur sang.»
« Tu es machiavélique, mon amour ! »
« Tout comme toi. »
IV. Le deal
Sweet Pussy fut réveillé de son sommeil par Maîtresse Aurore elle-même, qui venait s’enquérir de la santé de son esclave.
« Tu vas bien Sweet Pussy ? Aujourd’hui, nous allons sortir prendre l’air ! »
Sweet Pussy fut détachée de sa chaise et le plug enlevé. On lui mit une laisse à son collier et elle suivit sa Maîtresse. Elle vit pour la première fois le parc du château en pleine journée. Elle traversa nue la pelouse qui lui caressait les pieds. Le contact de l’herbe lui fit un bien fou et sentir l’air et le vent glisser sur sa peau la revigora. La petite bise qu’elle sentit sur le visage et la tête lui rappela qu’elle n’avait plus qu’une mèche de cheveu sur le crâne, elle passa sa main sur la tête pour savoir si elle ne rêvait pas à cet instant. Mais non, Maîtresse Aurore lui avait bien tondu la tête la veille.
Elle vit dans le parc des esclaves qui étaient allongées sur la pelouse attachées à des pieux. Une des esclaves, allongée sur le ventre avait les bras liés dans le dos fortement serrés et les jambes recourbées au-dessus du dos et liées aux pieux qui se trouvait devant sa tête. Une maîtresse lui mettait un plug dans son cul. Une autre était pendue par les pieds à une branche d’arbre, les seins entourés de cordes, cordes attachées au pied de deux arbres plantés non loin du premier. Les cordes étaient fortement tendues car les seins de la pauvre étaient déformés du fait de leur poids mais aussi par l’angle d’attache des cordes. Pour couronner le tout, un plug était planté dans chaque orifice. Ces plugs se terminaient par un manche de balai.
Sweet Pussy vit une autre esclave dans une fâcheuse posture, ce qui lui fit écarquiller les yeux. L’esclave était pendue par les seins à un arbre. Ses pieds se trouvaient sur un bloc de glace. Celui-ci fondant avec la chaleur des pieds de l’esclave et la chaleur du soleil. Ses seins étaient de plus en plus tendus et devenaient bleus. Sa langue dépassait de sa bouche et une pince spéciale l’empêchait de la rentrer. De la salive coulait de ses lèvres sur son corps.
Sweet Pussy suivait toujours sa Maîtresse. Elles arrivèrent à un portail qui donnait sur une pâture. Des vaches y broutaient tranquillement de l’herbe. Une mangeoire en forme d’ovale se trouvait non loin des vaches. Maîtresse Aurore ouvrit le portail et marchèrent jusqu’à un petit enclos oblongue délimité par des bordurettes béton. Cet enclos se trouvait à l’intérieur de la mangeoire. Maîtresse Aurore ôta le collier et enleva aussi les piercings au nez avec la barre qui lui traversait les narines et le septum de Sweet Pussy. Elle lui mit un ball-gag en forme d’anneau avec deux courroies qui portaient chacune deux anneaux et serra son ball-gag derrière la tête.
« Allonge-toi là. Je vais t’attacher à ces piquets. Tu pourras prendre l’air de la campagne tranquillement aujourd’hui. »
Sweet Pussy acquiesçât d’un signe de la tête ne pouvant parler. Elle s’allongea non pas sur de l’herbe mais sur une membrane noire en plastique. Maîtresse Aurore lia les pieds de Sweet Pussy à des anneaux et ses mains aussi furent attachées. Sweet Pussy était attachée près de son corps et la bouche grande ouverte. Elle prit deux bouts de chaîne et relia ceux-ci aux anneaux du côté gauche du ball-gag et fit en sorte que les chaînes soient tendues. Elle fit de même côté droit du ball-gag.
« Tourne la tête Sweet Pussy » ordonna Maîtresse Aurore. Sweet Pussy voulut tourner la tête, mais ne le put. Maîtresse Aurore sortit de sa poche deux fins tuyaux en latex transparents. Elle en prit un des deux et l’enfonça délicatement dans une des narines de Sweet Pussy. Puis elle fit de même avec le second tuyau. Sweet Pussy couina pendant ce traitement. Puis Maîtresse Aurore sortit de son champ de vision. Sweet Pussy voyait un beau ciel bleu dans lequel traversaient quelques oiseaux. Mais aussi les mouches qui volaient autour d’elle. Maîtresse Aurore disparut de la vue de Sweet Pussy. Elle entendit les vaches meuglaient. Ces meuglements se firent entendre plus fortement comme si les animaux se trouvaient à ses côtés. Maîtresse Aurore avait conduit les animaux de la ferme autour de la mangeoire. Les vaches entouraient donc le petit enclos dans lequel se trouvait Sweet Pussy. Elle voyait parfaitement les pis, la queue des animaux qui se balançait pour enlever les mouches de leur pelage, du moins des animaux qu’elle pouvait voir dans son champ de vision. Sweet Pussy prit peur. Elle avait peur qu’une de leurs pattes ne se perde dans l’enclos et vienne écraser sa jambe, son bras ou son crâne.
Les minutes passaient, l’air de la ferme lui faisait un peu de bien. De temps à autre, une mouche venait se poser sur le visage de Sweet Pussy. L’insecte marchait sur la joue et venait parfois sur ses lèvres distendues par le ball-gag. Sweet Pussy soufflait pour que la mouche n’aille pas dans sa bouche. Subitement, une vache leva la queue et meugla. Sweet Pussy sentit un jet de liquide qui mouilla ses jambes. Elle tenta de lever la tête mais elle ne le put. La vache venait de lui pisser dessus. L’urine coula sur la membrane plastique noire et vint s’étaler sur toute la surface de la bâche et toucher le corps de Sweet Pussy. Quelques minutes plus tard, Sweet Pussy vit dans son champ de vision une vache lever la queue. De la bouse sortit de son croupion. C’était donc cela son épreuve ! Sweet Pussy servait de latrine ! La bouse vint s’écraser sur le haut du crâne fraichement rasé et la mèche de cheveu de Sweet Pussy. La bouse puante empestait l’atmosphère environnante de l’esclave. Elle essaya de tourner la tête pour la nettoyer mais elle était bloquée. De l’urine coula sur le visage de la suppliciée, sa bouche ouverte reçut un peu du jet d’urine bestiale qui lui donna un goût horrible dans la bouche. Elle tenta bien de recracher l’affreux liquide mais elle ne put que l’avaler. La vache qui venait de lui pisser dessus péta et de la merde a****le coula de son orifice anal. Sweet Pussy reçut la bouse en plein sur le visage. Cette merde fit un tas sur son nez et sa bouche. Puis par son propre poids, un fond se forma et la merde coula dans sa bouche ouverte. Sa bouche reçut la bouse comme un réceptacle. Le contact de la bouse avec sa langue lui donna un goût nauséabond dans la bouche. Elle poussait avec sa langue piercée cette merde mais seule une infime partie sortit de son orifice buccal. Elle se résigna à garder la merde dans la bouche. Des larmes coulaient de ses yeux. Elle respira par les tuyaux enfoncés dans son nez. Elle bloquait sa gorge et avalait en la serrant pour ne pas avaler la bouse dans sa bouche mais au bout de quelques minutes à serrer sa gorge pour avaler, elle dut se résigner et avala la merde bovine !
Une des vaches positionnée près de sa tête se soulagea à son tour. Et Sweet Pussy reçut la totalité de la bouse sur le front et ses cheveux blonds. Le liquide qui s’échappait des matières fécales coula sur son front et vint dans ses yeux. Elle cligna alors rapidement les yeux afin d’extraire ce liquide qui lui piquait les yeux. Les vaches se soulagèrent une à une. Sweet Pussy reçut urine et merde bovine tantôt sur les jambes, tantôt sur les seins ou sur les mains. Elle enlevait la merde de ses mains et sentait la texture de cette masse visqueuse qui se trouvait entre ses doigts. Le niveau d’urine monta lentement dans son auge et le corps de Sweet Pussy baignait dans ce liquide putride.
Puis Maîtresse Aurore apparut et conduisit les vaches dans la pâture. Elle détacha son esclave qui se releva et cracha de suite la merde qui restait dans sa bouche pour ôter ce goût nauséabond, elle enleva aussi la bouse qui maculait son visage.
« Pourquoi m’avoir fait subir un tel affront ! C’est horrible ! »
« Tu avais recraché le sperme que je te donnais à boire. Je veux te montrer en douceur, sans v******e, ce qui peut arriver lorsque l’on ne réussit pas une épreuve. Tu préfères manger les produits de la ferme ou du sperme? »
« Ni l’un ni l’autre ! »
« Ce n’est pas la réponse que j’attends d’une esclave, petite pute. Tu as bien dû avaler le sperme de ton mari pendant vos petites séances SM ! Et là, lorsqu’il y en a un peu plus, on fait la fine bouche. Veux-tu retourner en salle de soins ou tu veux peut-être rester dans la fange et être complètement recouverte de bouse de vache ? »
« Non Maîtresse, je suivrai vos ordres, c’est promis. Je vous obéirai.»
« Bien, je préfère cette réponse. Va prendre une douche car tu pues la merde et la pisse ! »
Maîtresse Aurore fit un signe de la main et deux esclaves accompagnèrent Sweet Pussy à la douche. Celle-ci fut vraiment réparatrice pour Sweet Pussy. Elle laissa l’eau couler longuement sur son corps pour ôter toute la bouse de vache et laissa aussi sa bouche se remplir du jet d’eau sortant du pommeau et cracher régulièrement pour ne plus avoir le goût de la merde dans la bouche.
Au moment où Sweet Pussy sortait pour retourner à sa cellule, une alarme retentit au château. Sweet Pussy vit alors Maîtresse Aurore courir et se rendre vers la porte d’entrée avec plusieurs hommes. Elle reconnut parmi eux, Alexandre, le mari de Maîtresse Aurore. Maîtresse Aurore et Alexandre donnèrent des ordres aux hommes qui se dirigèrent dans plusieurs directions après avoir ouvert le portail d’entrée.
V. Visite au parloir
Comme tous les matins, Sweet Pussy fut réveillée à 08h00 et mangea sa bouillie. Maîtresse Aurore entra dans la cellule alors que son esclave attendait sagement en position d’inspection au milieu de la pièce.
« Aujourd’hui, ton vœu est exaucé Sweet Pussy. Tu vas pouvoir rencontrer ton cher petit mari. Mais n’oublie pas une chose, tu respectes les règles que je t’impose. »
« Oui Maîtresse, merci beaucoup. »
Maîtresse Aurore sortit de la pièce et Sweet Pussy attendit de longues minutes avant que l’on vienne la chercher. Sweet Pussy s’impatienta et fit les 100 pas dans sa cellule avant que Maîtresse Aurore n’entre de nouveau dans la pièce.
«Allez Sweet Pussy, il est temps d’aller au parloir. »
« Mais, je ne m’habille pas ? » demanda l’esclave.
« Je vois que tu as du mal à comprendre. Je t’ai dit tu peux voir ton mari mais il y a des règles à respecter. Alors tu vas voir ton mari comme je veux ou tu restes ici ! »
« Oui, Maîtresse, j’obéirai à vos ordres. »
« Puisque tu es récalcitrante et que tu ne comprends toujours pas que tu n’es qu’une esclave, qui n’a donc pas son mot à dire, tu vas me suivre et je vais te parer pour être présentable ! »
Maîtresse Aurore tira Sweet Pussy par le bras et elles pénétrèrent dans le couloir. Sweet Pussy ne savait pas du tout où elle pouvait se rendre mais comprit vite lorsqu’elle pénétra dans la salle de soins et vit la chaise métallique.
« Assied-toi sur la chaise ! »
A cet instant, le pierceur pénétra dans la cellule…
«Non, Maîtresse pitié……Pardonnez-moi, je ne dirai plus rien ! » Cria Sweet Pussy.
Les piercings de ses seins, son sexe au niveau des lèvres et le capuchon et ses lobes d’oreille furent de nouveau stretchés. L’épaisseur était maintenant de 4.5 mm. Mais cette fois-ci, Maîtresse Aurore demanda au pierceur d’ajouter des piercings.
« Te souviens-tu que tu me dois 3 piercings ? Et bien j’ai trouvé l’endroit pour chacun d’eux ! Et tu en auras un prime sur le nombril»
Toujours attachée sur sa chaise, Sweet Pussy entendit dire :
« Pierce lui la base des seins, il faut que les barres les traversent de part en part ! » dit Maîtresse Aurore s’adressant au pierceur.
Sweet Pussy ne comprenait pas pourquoi elle allait de nouveau être piercée. Le pierceur prit un feutre noir et pointa à la base latérale des seins, là l’endroit où la peau du sein rejoint celle qui recouvre les côtes. Et il fit de même de l’autre côté. Il mesura avec un pied à coulisse en forme de pince la longueur du sein à traverser. Puis il prit une aiguille et se retourna vers Sweet Pussy. Lorsqu’elle vit la longueur de l’aiguille et surtout son épaisseur et l’ombre noire du vide intérieur de l’aiguille, elle comprit ce que voulait dire la base des seins, elle faillit s’évanouir mais elle reçut une paire de gifles sur les joues pour lui remettre l’esprit bien en place. Et à cet endroit, il n’était pas question de serrer avec une pince le sein donc, c’était à l’aveuglette.
Le pierceur prit dans sa main le sein de Sweet Pussy pour le tirer vers lui. L’esclave se crispa sous la douleur. Puis le pierceur pointa son aiguille sur le côté droit du sein droit.
« Prête, chienne ? » lui dit-il en la fixant droit dans les yeux avec un rictus sadique.
Il enfonça l’aiguille dans le sein et dirigea celle-ci pour qu’elle ressorte le plus près possible du point marqué de l’autre côté du sein. Sweet Pussy sentait l’aiguille lui rentrer dans la chair, elle beuglait comme une bête tant la douleur était intense, ses yeux étaient exorbités. L’aiguille ressortit 3 mm au-dessus du point indiqué. Mais cela convenait à Maîtresse Aurore. Puis une barre de 2 mm d’épaisseur fut enfoncée dans son sein pour remplacer l’aiguille. Et deux boules de 10 mm de diamètre furent vissées à chaque bout.
« A l’autre maintenant. »
Sweet Pussy subit une nouvelle fois la volonté de sa Maîtresse. Une aiguille lui traversa le sein gauche de part en part.
« Maintenant, on va garnir ton clitoris. On va lui mettre une belle petite clochette comme les chattes ! »
Le pierceur prit une seringue qu’il plaça sur le clitoris de Sweet Pussy et tira sur le piston pour l’aspirer. Après quelques minutes, il ôta la seringue, le bouton était bien gonflé. Le pierceur prit une fine aiguille et pierça Sweet Pussy. Le sang qui coulait fut nettoyé avec des compresses. Une clochette finie par un anneau fut fixée sur son petit bouton.
Le pierceur finit par le nombril.
L’homme prit son matériel et quitta la pièce, Maîtresse Aurore s’activa autour de Sweet Pussy pour la préparer personnellement. Maîtresse Aurore passa tout d’abord un coup de rasoir sur la tête de Sweet Pussy afin qu’elle soit fraiche et nette, puis elle enfonça le pommeau de douche à lavement dans le cul de son esclave qui reçut 5 lavements. Sweet Pussy vit Maîtresse Aurore prendre un harnais avec deux plugs métalliques de 10 centimètres de diamètre. L’esclave sentit qu’on appliquait du gel sur son anus et son vagin. Puis les deux plugs vinrent forcer ses deux orifices et la sangle fut fixée à sa taille. Maîtresse Aurore choisit sur la table un collier en acier avec quatre anneaux qu’elle fixa à son cou. Elle « coiffa » ensuite Sweet Pussy en retouchant sa tresse et posa sur son crâne un morceau de tube perforé en latex pour que sa tresse soit comme une queue de cheval et se dresse sur une bonne dizaine de centimètres. Avec sa nouvelle coupe, on voyait ses oreilles arboraient chacune leurs 10 piercings et les gros anneaux qui distendaient les lobes. Maîtresse Aurore prit deux fils à linge de couleur bleue qu’elle déroula. Elle en prit un et commença à entourer le sein gauche de Sweet Pussy tout en faisant attention de ne pas toucher le nouveau piercing. Elle fit 10 tours pour que son sein soit bien comprimé. Puis l’autre sein subit la même opération. Les deux fils furent reliés à l’anneau du bas de son collier. Maîtresse Aurore fit une manucure aux mains et aux pieds. Sweet Pussy avait de longs ongles d’au moins deux centimètres aux mains parés d’un vernis noir. Ceux des pieds furent coupés ras et colorés du même vernis. Elle maquilla aussi le visage de son esclave par des couleurs flashy pour faire ressortir ses yeux et ses lèvres. Maîtresse Aurore ôta les cadenas qui maintenaient les bracelets sur la chaise. Sweet Pussy pouvait se lever. Maîtresse Aurore prit alors les deux morceaux de chaînes qui pendaient de part et d’autres du harnais et les relia à ses poignets. Elle prit les lèvres intimes de Sweet Pussy et les disposa de chaque côté de la sangle pour bien les faire apparaître et fixa des poids de 100 grammes à chaque anneau, ce qui fit grimacer Sweet Pussy. Les mêmes poids furent accrochés aux tétons.
« Tu es magnifique comme cela. Tu es présentable pour ton mari. On y va.»
Sweet Pussy marchait difficilement avec les deux plugs dans ses orifices. Elle avait une démarche de canard. Mais c’était plus la douleur dans ses seins qui la meurtrissait lorsqu’elle marchait et le balancement des poids aux lèvres de son sexe. Elle arriva dans une salle peu éclairée toujours escortée de Maîtresse Aurore qui alla vers un mur et prit une chaîne qu’elle attacha au collier de Sweet Pussy. Un bruit se fit entendre derrière elle et une cloison se leva. Elle vit apparaître son mari de l’autre côté de la cloison amovible, nu, avec le même collier au cou, des poids aux tétons, son scrotum piercé de 10 anneaux et distendu par le ball-stretcher. Un harnais entourait son sexe et sa taille. Manu n’avait plus un poil sur le corps.
Ils vinrent à la rencontre l’un de l’autre. Manu et Isa purent se toucher pour la première fois depuis bien longtemps.
« Comment vas-tu mon amour ? » dit Manu.
«Regarde-moi, on m’a mutilé. J’ai des piercings sur tout le corps et des plugs, elle m’a rasé la tête, mes beaux cheveux ont disparu. »
« Je suis désolé de t’avoir mis dans cette galère ma chérie, si j’avais su… »
Ils s’embrassèrent tendrement.
« Que t’ont-ils fait ? » Dit Isa en regardant le sexe de son mari.
« Elle m’a augmenté les testicules en mettant des coques et je dois porter cela tout le temps. » dit-il en montrant le ball-stretcher. »
Elle se souvint de son épreuve lorsqu’elle branla 50 bites mais elle se dit que ce ne pouvait pas être possible. Manu n’aurait certainement pas pu participer à cette épreuve sexuelle.
Ils se serraient très fort l’un contre l’autre lorsque Maîtresse Aurore entra pour les interrompre.
« Terminé, les tourtereaux ! Vous vous reverrez prochainement si vous travaillez bien ! »
La cloison amovible descendit du plafond pour séparer de nouveau la pièce en deux mais aussi Manu et Isa l’un de l’autre
« Je t’aime ! » fit Isa avant que la cloison ne bouche leur vue.
« Moi aussi ma chérie, je t’aime ! »
Maîtresse Aurore détacha Sweet Pussy du mur et la reconduisit dans sa cellule après avoir ôté tous ses équipements.
Fin du tome II

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire