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Confession

Confession



J’étais installée à Libreville, au Gabon depuis quelques mois. Mon mari cadre de direction dans une grosse entreprise de commerce de la place, passait beaucoup de temps à son travail, moi à la maison à m’occuper de deux enfants en bas âges, aidée par une ménagère africaine qui ne venait que le matin. Nous avions un logement agréable, loin du bruit et de l’agitation de la ville, notre vie intime était réglée, rien d’exceptionnel à 30 ans, après 7 ans de mariage. Je voyais la routine s’installer, mon mari aussi car un jour il me demanda de coucher avec d’autres types. Sur le coup je dis non ! J’étais contre ce genre de choses. Nous en étions restés là.

Un jour que mon mari faisait des courses avec moi chez le petit épicier libanais que nous avions en dessous de la maison, il me fit remarquer que je devais être au goût de ce dernier, vu les regards qu’il me jetait. En effet Issam, c’était son nom, était toujours déférent à mon égard. Je n’y avais pas porté plus d’attention que çà, non pas que l’individu soit insignifiant, mais il avait une réputation de coureur dans le quartier et se vantait facilement de ses conquêtes. Ce qui est désagréable dans certains cas, une de nos voisines en avait fait la triste expérience quelques mois avant, son mari en découvrant sa liaison avec Issam, et l’avait virée. Issam, pas mal de sa personne, devait avoir la quarantaine, très brun, libanais chiite, marié, couvert de bijoux en or, très ostentatoires ! . Je descendais souvent faire des compléments de courses seule dans la journée, comme je n’étais pas loin de la maison, j’étais habillée léger compte tenu du temps très chaud et humide. Ma tenue était souvent un tee-shirt que ma poitrine encore agressive après deux allaitements, tendait généreusement et un short sexy(qui plaisait à mon mari, me voyant très excitante dedans) en éponge très réduit, mais avec un petit slip en dessous. Un soir que mon mari n’était pas encore rentré, j’avais laissé les deux enfants chez la petite voisine qui servait parfois de nounou et etais partie chez Issam acheter quelques bricoles.

Il était dans le magasin, un de ses parent à la caisse, lorsqu’il me vit il me salua et je remarquais son regard sur ma tenue. Je passais dans les rayons, il me suivit et pendant que je me penchais pour prendre une boite dans une rangée basse, montrant mon cul, mes fesses bien séparées par le peu de tissus éponge, je le sentis derrière moi.

Très vite il se colla contre moi, ses mains englobant mes seins et les pétrissant, sa bouche dans mon cou, chuchotant :

-Ne bouge pas j’ai envie de toi depuis longtemps ! Tu es belle ! Je ne bougeais pas, surprise par l’attaque et de peur que son parent nous voie.

Je sentais son sexe gonfler à force de se frotter sur mes fesses. Il m’attira vers son bureau en lançant un ordre en arabe à son parent. Une fois dans son bureau il entreprit de m’embrasser, je le repoussais et lui dis que je ne voulais pas que tout le quartier soit au courant ! Il me promit que l’exemple de l’autre fois lui avait servi de leçon. Il revint à la charge cette fois ci je participais. Ses mains se glissèrent sous le tee-shirt qui gicla en un tour de main au sol. Il entreprit d’éliminer le short et le slip qui suivirent le même chemin que le tee-shirt : Le sol!

J’étais nue entre ses mains, il parcourait mon corps de caresses légères, ses doigts s’insinuèrent entre mes cuisses, forçant mon intimité et écartant mes petites lèvres, j’entendis mon sexe « chanter » tellement ma mouille etait abondante, gênée par cet accord et aveu de mon plaisir. Je décidais de participer un peu plus en commençant à le déshabiller, je lui fis glisser sa chemise sur un torse velu, puis dégrafer son pantalon et sortir de son slip un sexe long et épais très brun, au gland énorme, rose turgescent. Il me pousse aux épaules pour me mettre à genoux, je comprends la caresse qu’il attend et prend sa bite déjà dure dans ma bouche jouant avec la hampe et ma langue, le branlant d’une main, l’autre caressant ses couilles.

N’en pouvant plus il éclate dans ma gorge, retenant ma tête je n’ai pas le temps de me reculer et doit tout avaler.

Il me fait lécher et sucer encore un moment pour rendurcir son membre. Lorsqu’il est à point il me couche sur le canapé de son bureau et plonge sa tête dans mon entrecuisses, écartant au maximum mes jambes profitant de cette vision intime et pénétrant sa langue dans mon con. J’agite mon bassin, heureuse de la caresse, mouillant de plus en plus, geignant, offerte à l’Arabe.

-Je lui dis viens ! Prend moi à fond !

Il s’exécute, présente son gland à l’entrée de ma chatte et d’un magistral coup de reins s’introduit en moi.

Je pousse un long feulement de satisfaction et réponds par une agitation de mon bassin aux coups de boutoirs qu’il m’administre.

Je m’accroche à son cou, l’embrasse profondément et violemment, encercle ses reins de mes jambes.

Je crie ma satisfaction.

-Ouiii ! Encore, j’aime ta queue, elle fouille bien !

-Vas y crache ton jus.

Isam n’est pas en reste :

-Tu es une chienne ! Salope, tu vas m’appartenir !

-Oui, je le veux, tapes fort, je vais être à toi !

Excité par mon attitude aussi coopérative, il ne peut résister plus longtemps, je sens ses fesses se crisper et de longs jets de sperme brûlant inonder généreusement mon ventre.

Il reste fiché en moi quelques instants et se retire, m’octroyant une caresse sur les seins. Il me passe une broîte de kleenex pour nettoyer mon vagin dégoulinant de son jus.

Le canapé étant étroit je me mets « en grenouille », les talons sous les fesses et les cuisses écartées, livrant mon sexe encore humide et rouge de l’assaut au regard d’Issam. Il ne peut résister et tend la main pour caresser ma chatte et ses petits poils encore englués, il titille mon clitoris, je ferme les yeux et agite doucement mon bassin. Avec sa deuxième main il entreprend d’agacer mes seins, je gémis de plus en plus fort, lorsque je rouvre les yeux je constate que l’Arabe a reprit une virilité digne de ce nom !

Il me demande de me mettre à quatre pattes. J’obtempère de suite lui présentant au bord du canapé mon cul, les bras croisés sur le dossier. Il me passe sa main dans la raie culière, active ses doigts autour de mon petit trou qu’il pénètre, et agrandit. Il s’installe ensuite derrière moi et entreprend de faire glisser son gland à travers mon sphincter. Il y arrive vite et bientôt je pince mes lèvres pour ne pas crier mon plaisir qui monte. Il att**** mes hanches dans ses mains et donne de grands coups de reins, ses cuisses claquants sur mes fesses et ses couilles battant sur mon con encore turgescent depuis tout à l’heure. J’agite de plus en plus vite mon bassin et mes reins. Je crie.

-Oui vas y tapes fort, à fond !

Nous explosons en même temps notre plaisir et Issam m’inonde les intestins de son jus, fiché de toute sa longueur en moi. Après quelques instants de calme il se retire avec une petite claque sur mes fesses.

Je me rhabille en vitesse, il m’embrasse encore une fois et je sors sans payer mes courses devant son parent goguenard.

En rentrant je trouve mon mari de retour de son travail, je me fais chatte, imprégnée encore des odeurs de cet accouplement rapide, je sens dans mon ventre la chaleur de la pine d’Issam et de sa liqueur. Ce soir je vais baiser avec mon mari et lui dire qu’il peut être content de moi, j’ai fais ce qu’il voulait. Mais je suis bien décidée à profiter encore d’Issam, avec ou sans son accord.

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