Hier matin, à peine remis de ma soirée d’Halloween, je suis allé faire des courses. quand je suis arrivé devant l’ascenseur, la porte était en train de se fermer. Je me suis avancé le plus vite possible pour glisser empêcher la fermeture de la porte. La porte a grincé en se rouvrant un peu brutalement et j’ai pu entrer dans l’ascenseur.
La cabine n’était pas vide. A l’intérieur il y avait ma voisine mutine qui m’avait rendu visite déguisée en sorcière et m’avait gratifié d’une pipe des plus agréables.
Pendant que la porte se fermait je lui ai fait un grand sourire qu’elle m’a rendu avec un petit pétillement dans le regard en prime.
« Bonjour »
« Bonjour »
L’ascenseur a démarré et quelques secondes plus tard s’est immobilisé. La porte s’est ouverte sur un mur en béton puis s’est refermée.
Ma voisine s’est mise à appuyer sur le bouton de son étage avec une lueur d’angoisse dans les yeux. Mais rien n’y a fait, la cage n’a pas bougé.
Voyant que ma sympathique voisine commençait à se trouver mal et qu’elle allait faire une attaque de panique, j’ai pris la situation en main.
« Ne vous inquiètez pas, je vais appeler le gardien et un dépanneur nous délivrera en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Et en plus je suis là , rien ne va vous arriver. C’est promis. »
Malgré le fait que la communication était de très mauvaise qualité le gardien pris bonne note de notre situation et m’assura que les secours arriverait le plus vite possible.
Ma voisine semblait s’être calmée en entendant cet échange et s’était appuyé contre la paroi de l’ascenseur. J’en profitais pour la regarder de la tête aux pieds pour la première fois depuis que j’étais entré dans la cage. Elle portait un t-shirt qui moulait sa jolie poitrine et une jupe légère avec des imprimés printaniers. Je ne sais pas qui remercier pour ce temps si doux à cette période de l’année mais je le fais ici. Merci.
Je m’approche d’elle et pose mes mains sur ses hanches. « Je ne vous ai pas remercié pour hier soir et je tenais à vous présenter mes excuses. »
« Vos excuses ? Mais pour quoi donc ? »
Je l’attire contre moi, elle se laisse faire et la chaleur de son corps m’envahit.
« Je vous ai laissé partir sans m’assurer que vous aviez joui… »
Ma main gauche caresse ses fesses tandis que la droite retrousse sa jupe et glisse vers son entrejambe.
« Mais enfin on pourrait nous surprendre… » dit elle en écartant les jambes.
Pour couper court à cette discussion je l’embrasse, sa bouche s’ouvre tout de suite et sa langue cherche la mienne. Cette sensation du premier baiser est sans doute ce qu’il y a de meilleur dans la vie, bien au delà même du meilleur orgasme. Hélas c’est extrêmement fugace et impossible à reproduire.
Pendant que nos langues se découvrent ma main droite est arrivée au bord de la culotte et se fraye un chemin jusqu’à ses lèvres qu’elle trouve complètement trempées.Avant d’aller plus loin je baisse la culotte jusqu’à mi-cuisses et entreprend ensuite de caresser sa fente et de tourner du clitoris qui ne tarde pas à se dresser fièrement.
Manifestement elle apprécie ce traitement car elle presse son bassin contre le mien et redouble d’ardeur dans son baiser.
Je me laisse glisser le long de son corps jusqu’à pouvoir la lécher goulûment. de mes deux mains sur ses fesses je m’assure qu’elle ne soit pas en mesure de se dérober et suce, lèche, mordille tout ce qui est à portée de ma bouche. Elle ouvre ses jambes encore un peu pour me donner plus de place et tient s’agrippe à moi en me tenant par les cheveux. Je l’entends haleter de plus en plus fort. Son corps frissonne, tremble ce qui m’indique que je suis sur la bonne voie. Je continue donc à lui manger le sexe tout en pétrissant ses fesses. D’un coup, brutalement tout son corps se tend alors qu’elle expire bruyamment tout en essayant de m’arracher le cuir chevelu.
Je me redresse, elle s’abandonne sur mon épaule et me serre contre elle. Elle me chuchote à l’oreille d’une voix encore faible. « Je vous pardonne… »
« Madame est trop bonne »
Nous nous embrassons à nouveau mais avec moins d’urgence, en prenant plus le temps de savourer la sensation.
Elle vient tout juste de remonter sa culotte et de se rajuster quand l’ascenseur se remet en mouvement.
Quand il s’immobilise à son étage, elle me glisse avant de sortir, « Il faut que nous arrêtions de nous voir comme ça… »
« Vous avez raison, il ne faut plus. Il nous faut plus de temps pour que nous puissions jouir tous les deux, que nous puissions explorer nos corps tout à loisir. »
« Avec plaisir » Et la port de l’ascenseur se referma.
Je suis rentré chez moi et je n’ai pu venir à bout de ma douloureuse érection qu’en me caressant en repensant à la scène que je venais de vivre.
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