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Mon désir pour ma mère (17)

Mon désir pour ma mère (17)



Ce samedi là, mes parents sortirent ensemble faire des courses. Ils me demandèrent de rester à la maison, ce que je fis volontiers, car courir les magasins n’était pas vraiment dans mes loisirs. Ma mère insistait pour que mon père lui achète de la lingerie pour ce qu’ils étaient en train de plannifier. Mon père lui avait rétorqué qu’elle avait déjà beaucoup d’ensembles, mais ma mère se confortait dans l’idée qu’il fallait quelque chose de neuf pour l’occasion.
Ils allèrent aux Galleries Lafayettes et ma mère se mit à tourner autour du stand Yves St Laurent. Elle repéra un ensemble noir qui lui plaisait beaucoup. Le soutient gorge était simple et completement noir, avec le sigle YSL sur une petite chainette au milieu des deux seins, ne laissant rien voir en transparence. Et pour la culotte, c’était tout le contraire, la culotte était toujours noire, mais completement transparente, avec quelques motifs brodés sur le haut.
– Tu as vu le prix ? fit mon père en sourcilliant après avoir examiné l’étiquette.
– Tu n’aurais pas aimé que ta mère porte quelque chose comme ça, pour une telle occasion ? Je veux vraiment être mise en valeur pour lui.
Mon père, qui était d’habitude vraiment généreux, trouvait le prix vraiment excessif. Il voulut voir d’autres modèles. Il remarqua que le visage de ma mère commença à s’assombrir.
– Non mais cherie, quand même… C’est hors de prix !
– Je pense qu’on va oublier ce qu’on avait prévu pour ce soir. Moi je fais ça pour te faire plaisir, parce que c’est ton fantasme. J’ignore comment notre fils va réagir. Je suis sa mère, tu crois que c’est facile pour moi, ce que tu me demandes ?…
– Non mais c’est toi qui a abordé ce sujet…
– Tu ne penses qu’à ca depuis l’autre jour.
– Ah et bien ce n’est pas rien !
– Et tu ne veux pas que ca se passe dans les meilleurs conditions ?
– Oui, bien sur…
Mon père céda, et alla payer l’ensemble en caisse. Ils allèrent ensuite au sous sol, au niveau alimentation, dans les rayons gourmets. Ils prirent du fois gras, des toasts, des oeufs de saumon, ainsi qu’une patisserie, et du champagne. La carte bleue de mon père flamba à nouveau car tout cela n’était vraiment pas bon marché.
Dans la voiture, sur le chemin du retour, ma mère avoua :
– Je suis nerveuse.
– Je ne sais pas comment il va réagir.
Ma mère se fit songeuse, comme si elle commençait à regreter son choix.
– Ne me dis pas que tu ne veux plus le faire, avec tout ce que j’ai acheté.
– Je ne sais pas… Je pense que je me déciderai au dernier moment, ce sera en fonction de comment se passe la soirée.
Mon père s’enerva interieurement. Evidemment, il comprenait la nervosité de ma mère, mais qu’elle dise ça après tous ces achats, et en fin d’après midi, ça l’exaspera. Il était tellement excité par la situation, il était à la fois impatient, excité, et anxieux.

A 20h, la table était prête. Ma mère avait passé un long moment à la salle de bain. Elle avait pris un long bain, shampooing, s’était séché les cheveux, s’était un peu épilé la chatte pour que sa touffe fasse un parfait triangle, tout en restant bien fourni malgré tout. Elle se passa de la crème sur le corps, et se maquilla très légèrement. Elle mit une petite chaine en or, et des boucles d’oreille discretes, en or également.
Quand je les rejoignis, je vis bien que mon père était extremement nerveux, et que ma mère s’amusait à le faire douter. Elle avait mis sa chemise de nuit habituelle, et elle ne dit pas grand chose pendant le diner.
– C’est bon ? il y a une occasion à tout ça ? demandais-je simplement.
Mon père ne savait pas trop quoi répondre, et ma mère me dit :
– C’est pour se faire plaisir.
Quand ma mère apporta le dessert et commença à découper les parts du gateau, mon père me demanda :
– Tu as une copine… heu en ce moment ?
– Pas vraiment non, pourquoi ?
– Non rien… Ca se passe bien avec les filles ?
Ma mère vint derrière moi, posa mon assiette, et me fit une bise sur le front.
– Evidemment que ça se passe bien, c’est le plus beau.
Je fis un sourire à ma mère, qui alla servir mon père, et retourna s’assoir.
A la fin du dessert, ma mère posa sa main sur celle de mon père et lui dit : « je reviens ».
Mon père devint très nerveux. Il insista pour que j’aille avec lui dans les canapés. On discuta de choses banales pendant cinq minutes. Il balbutiait un peu. Je ne l’avais jamais vu ainsi auparavant. Il devint presque écarlate lorsque ma mère redescendit les escaliers et s’approcha de nous, simplement vétue de son ensemble Yves St Laurent.
On ne la lacha pas du regard, tandis qu’elle alla s’assoir à coté de mon père. Le regard était forcemment attiré par la culotte transparente qui laissait voir distinctement la chatte de ma mère.
Une fois assise, d’une voix douce, ma mère fit :
– Ton père a quelque chose à te dire.
Ce dernier voulut être plein d’assurance, mais il ne pouvait s’empêcher de balbutier sur certaines phrases.
– Voilà, tu es adulte depuis peu, on a essayé de t’éduquer du mieux possible, autant ta mère et moi, chacun avec nos sensibilités et nos convictions. Il y a par contre un sujet que l’on n’a jamais abordé, et qui est pourtant important.
– Oui ?, dis-je, assez amusé interieurement.
– On n’a jamais parlé de sexualité, et avec ta mère, on est d’accord pour te montrer certaines choses.
Je ne dis rien, ma mère non plus. Mon père se leva, et invita ma mère à en faire autant.
– Je vais te laisser me voir nue, fit ma mère. Et tu pourras me poser les questions que tu veux sur la sexualité, si je peux te renseigner sur certaines choses. Je ne sais pas si c’est l’éducation que doit donner une maman, mais autant que ce soit par une personne qui t’aime.
Je voyais que mon père avait une erection et était completement excité par la situation.
– J’en vois déjà beaucoup maman… Tu es sure que… ?
Je n’eu pas terminé qu’elle dégrafa son soutien gorge, me dévoilant ses seins. Elle passa ses mains dessous pour les carresser et murmura :
– Ca me fait bizarre de te les montrer…
– Ca me fait bizarre aussi.
– Ca te plait ?
Je ne répondis pas.
– Ta mère fait de gros efforts pour toi, réponds lui s’il te plait, fit mon père.
D’un ton sec, ma mère lui répondit :
– Ne viens pas tout gacher, c’est entre lui et moi.
Puis, se retournant vers moi avec un doux sourire, elle murmura :
– Tu aimes me regarder ? Pas trop intimidé ?
Je hochais la tête, toujours sans rien dire. Nous prenions notre temps dans ce jeu, dont l’intensité pesait le plus sur mon père, que je regardais regulierement. Ma mère ne cessait de le rabaisser et ou de lui dire de se taire. Elle me demanda si je me masturbais, si j’y prenais du plaisir, si j’avais déjà vu des magazines porno, si une fille avait été nue devant moi. Je mentais à peu près sur tout.
Elle conclut en faisant signe à mon père de s’approcher. Doucement, il saisit la culotte de ma mère des deux cotés, et la fit glisser vers le bas, dévoilant à son fils la chatte de sa mère.
– Oh maman, tu es belle…
– Merci cheri, je t’aime… Et regarde comme ton père m’aime aussi…
Assis dans un coin du canapé, mon père se masturbait discretement en serrant la culotte de ma mère autour de sa queue. C’était la première fois que je le voyais faire cela, et je pense que c’est la première fois qu’il le faisait devant quelqu’un.
– Montre moi combien tu m’aimes, fit ma mère.
Doucement, je retirai mon pyjama, dévoilant mon sexe erigé vers elle. Elle s’approcha de moi, s’accroupit doucement, me chevaucha, et laissa glisser ma queue dans sa chatte.
Mon père se redressa, abasourdi. Il croyait d’abord mal voir. Il ne pouvait pas en croire ses yeux. Il crut que ses désirs le faisait délirer. Mais non, il dut se rendre à l’évidence, en voyant sa femme faire aller et venir son bassin, assise sur son fils.
– Non cherie, c’est trop ! Arrete ! fit-il en se levant.
Le couple continuait de baiser, de plus en plus fort, devant lui. La queue de son fils tapait fort à l’interieur de la chatte de sa femme. Il ferma les yeux. Il se rendit compte qu’il ne s’était pas levé, qu’il n’avait rien dit, qu’il n’avait pas protesté. Il regardait, immobile, tout en se masturbant avec la culotte de sa femme.
Il se trouva pathétique, tandis que son fils se leva, et que sa femme se coucha sur le dos dans le canapé. Il s’installa entre ses jambes, et se mit à la baiser fort, tout en lui giflant les seins.
Mon père ferma les yeux. Il se masturba fort, ne sachant si ce qu’il se passait face à lui était un echec ou une réussite. Il songea aussi à sa propre enfance, à ses propres fantasmes. Ma mère l’appella et il réouvrit les yeux. A présent installée ventre contre le canapé, son fils lui écartait les fesses en grand. Il présenta son gland sur son anus, et glissa doucement à l’interieur, en prenant son temps. Puis, une fois bien à fond à l’interieur, il commença à aller et venir fort, sodomisant sa mère avec fougue.
C’était trop.
– Non, regarde, ne tourne pas la tête.
Mon père regarda son fils sodomiser sa femme. Il se sentit jouir, sans plaisir, dans sa culotte. Il regardait, blème, son fils sortir son sexe du cul de sa femme pour le replonger dans sa chatte.
Ma mère commenta en regardant mon père :
– Contente que ça te plaise autant qu’à moi.
Et tandis que son fils retournait dans ses fesses, elle repensa aux jeux qu’ils avaient partagé en vivant dans l’appartement. Elle se rappella ce qui avait tant plu à son fils. Alors, comme elle en avait également envi, elle le laissa lui culbuter les fesses, tout en poussant pour faire caca.

Mon père était endormi lorsque nos deux corps se séparèrent. Sans doute par la fatigue, mais aussi assommé par le choc de ce qu’il avait vécu.

Un juste retour des choses.

FIN

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