Une histoire prise sur un site et que j’ai bien aimé, alors la voici,
Je t’attends depuis longtemps, et maintenant que tu sonnes à ma porte, je sens une boule dans mon ventre. Je respire un bon coup, et me dis d’arrêter de me poser ces tonnes de questions, et je t’ouvre.
Ca y est, tu es là, tu te dresses devant moi. Je t’observe quelques secondes, puis le trac de la première rencontre passé, je t’invite à rentrer, tout en jetant un coup d’œil dans le couloir pour être sûr que personne ne regarde.
Je bafouille des commodités, histoire qu’il n’y ait pas de blanc si gênant, et te propose de passé dans le salon. Je t’offre un verre, et je m’ouvre une bière, ce qui a le mérite de nous détendre et nous commençons à discuter. Tu me dis que c’est la première fois que tu as envie d’aller plus loin avec quelqu’un, que je correspond parfaitement à tes attentes, aussi que je t’ai prouvé plusieurs fois mon envie et ma confiance et, tous ces ingrédients additionnés ont fait que notre rencontre aie put se faire.
Tu me dis aussi que je suis encore plus mignon et attirant en réalité que sur les photos ou les vidéos que l’on s’est déjà échangé.
Je rougis un peu, et t’avoue secrètement que je m’attendais pas à un si beau discours, et je te retourne ces compliments.
J’étais déjà sous le charme mais là, je suis conquis. Je me rapproche un peu de toi, nos genoux se touchent et ma main, glisse de mon canapé à ta cuisse.
Je sens monter en moi se pourquoi nous sommes réunis et, le fait que je sois nu peut y aider, te le montre.
Et c’est à ce moment précis que j’ai réalisé que je t’avais accueilli en tenu d’Adam, comme je te l’avais soumis lors de nos précédents mails. Mais le stress et l’euphorie de ta venus me fais oublier ce détail, si érotique!
Donc, oui je te montre de la plus simple des façons que je te désir. Et le fait de bander pour toi, a l’air de te faire de l’effet, et quel bel effet.
Nous continuons quand même à discuter, pour mettre en place notre aventure, qui débute réellement, après tant de semaines virtuelles. Pour nous connaître un peu mieux, nos attentes, envies, besoins et surtout fantasmes. Ma main caresse ta cuisse et remonte doucement vers ton entre jambes. J’aime ces moments où on est excité, où le temps passe trop vite. J’aime cette sensation de tension dans mon corps qui se raidit de partout, sentir mon sexe raide, humide près à en découdre avec toi. Où le réel s’efface et ouvre la porte des fantasmes. Je sens sous ma main ton érection, ce qui provoque chez moi une envie. Avec ma main droite je te caresse au-dessus de ton pantalon, pendant qu’avec ma main gauche je fais de même sur moi, en récupérant ma mouille, avec laquelle je viens enduire mes lèvres.
Tu es excité, tellement, que ta respiration s’accélère et je te sens près à partir dans ce monde si voluptueux du plaisir sexuel. Et je ne me fais pas prier…
Je dégrafe ton bouton, ouvre ta braguette et extrais ton pénis. Il est tout humide, humm, je me penche et viens lécher se précieux nectar qui s’écoule de ton gland. J’en profite pour le gober un peu, puis-je descend du canapé, je t’enlève ton pantalon, ton caleçon et je t’écarte les jambes pour voir tes attributs qui me font plus que bander. Je m’installe à genoux devant toi et commence à jouer avec tes boules, ensuite je descends un peu vers ton anus mais reviens vite sur ton chibre. Je commence à le branler, doucement, je te regarde et dans tes yeux je vois le désir et l’envie s’installer. Je continue mes caresses, j’empoigne fermement ton sexe à deux main, ou plutôt je frôle légèrement ton gland gonflé qui m’attire, ou encore je dessine avec mes doigts toutes ces veines qui parcoure ton pénis et te font frémir de plaisir. Puis ni tenant plus j’enfourne ta bite dans ma bouche, d’abord le gland puis le reste. Je commence doucement des va et viens, je te sens dans ma bouche ou je joue a tourné ma langue autour de cette sucette au goût d’amour. Je fais glisser ton gland sur ma glotte, puis tout en accélérant mes mouvements, je me cambre de façon à pouvoir faire rentrer cette tige au plus profond de la gorge….
Je te sens dur comme jamais, et ça me plais.
Mon cul en l’air t’invite à me caressé, la tête puis le dos, tu descends le long de ma colonne vertébrale, et j’en frémis de partout. Tes mains arrive sur mes fesses et se sépares pour att****r mes hanches, je me redresse encore plus mais garde ton fruit défendu entre mes dents, tu me caresse le bas ventre puis mon pubis avant d’arriver sur ma bite en feu. Tu commences à me branler d’une main et à me titillé le trou de l’autre. J’adore .Je t’allonge, pivote un peu et me retrouve à quatre patte au-dessus de toi. Je présente mon gland juste au-dessus de tes lèvres, que tu ouvres pour l’avalé d’un coup. Et nous sommes partis tous les deux dans un tourbillon de plaisir charnel. Aller-retour rapide, des gestes plus lents, nous nous délectons de nos liquides prés séminaux qui nous remplissent de bonheur. Je savoure se moment, qui m’a fait fantasmé pendant des nuits entières et maintenant, je le vis à fond. Toute cette excitation nous fait oublier le temps et la cohérence ou la raison n’a plus lieu d’être. Alors je te suce encore et encore, je veux goûter à se divin breuvage que seul les hommes produisent. Alors j’accélère, j’enfonce ta bite au plus profond de la gorge, te branle, te suce encore et encore. Tu frémis doucement, puis de plus en plus. Je sens ta verge se gonflée encore, prête a explosé, j’accélère mes va et viens. Tu te retiens, je ressens les spasmes avant-coureur du bonheur, ça y est je suis enfin a quelques secondes de mon rêve. J’affaisse mon bassin pour enfoncer ma bite dans ta bouche pour que quand tu vas jouir, je puisse sentir cette délivrance sur mon sexe. Ca y est ça vient, tu ne peux plus te retenir, vas-y lâche toi. Enfin.
Je profite de chaque seconde de ce moment, je vis chaque giclé comme autant d’orgasme, sentir se divin liquide chaud, s’épandre dans ma bouche et couler dans ma gorge, me comble au plus haut point. Je me délecte de ton nectar et garde en bouche tout se jus que ton membre m’a offert. J’avale tout, puis continue de branler ta bite avec ma bouche pour ne pas oublier une seule goutte. Après ce moment d’extase où tu as totalement lâché prise et pensé seulement à ta jouissance, tu recommence à téter ma verge. Et il ne faut pas très longtemps pour que je jouisse à mon tour. L’orgasme, que je trouvais le plus beau ressenti de mon corps, a été chamboulé. D’abord frémissant et hésitant, puis de plus en plus puissant, mais que cette montée est bonne, jusqu’à devenir violent. Puis d’un coup, mon sexe qui devient dur comme une bite en fer, une chaleur qui provient de mon ventre, de plus en plus torride et de plus en plus enivrante. Un premier soubresaut, une tension maximale, et là, quand est arrivée cette première giclé, j’ai compris que je n’avais jamais vraiment jouis. Que la course à redécouvrir cette première sensation que l’on découvre par hasard au moment de l’adolescence est enfin terminé. Et là, nos bouches occupées à sucer nos bites, me fait partir sur un nuage, je me libère en toi, je sens chaque poil, chaque parcelle de mon corps qui en redemande à chaque giclé. Et ça dur encore et encore, j’ai l’impression d’être au paradis. Que c’est bon!
Nous profitons de cet instant magique qui n’appartient qu’à nous, en prenant soin de se caressé mutuellement tous ce que nos mains peuvent toucher. Moi je t’embrasse cette extension qui, après m’avoir donné autant de plaisir, a bien mérité un peu de repos. Et toi tu dessines, du haut de la raie de mes fesses jusqu’à les boules, des allées et venues qui ne me laissent pas indifférent.
Je me relève et nous nous asseyons, je vois dans tes yeux une lueur magnifique de plénitude qui me rend encore plus heureux et je te le dis.
Je n’ai jamais ressenti de pareilles émotions et je me sens tout bizarre, comme si je venais d’avoir une révélation. Je sais déjà depuis longtemps que j’aime le sexe de l’homme.
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