C’était convenu comme ça. J’entends le moteur de la petite voiture de Marlène. D’un coin du rideau, je vois la jolie petite femme mûre, fine , élégante et raffinée, à l’expression sérieuse et intérieure, se diriger vers ma porte. Comme convenu, je me retire dans la salle de bain. Elle sonne, elle entre. J’entends la porte qui se referme, des bruits de pas, de petits froissements de vêtements qu’on enlève. Son corps fluet si souple de salope insatiable doit être découvert, maintenant. Toute nue, elle s’est sûrement déjà allongée sur le lit.
J’attends encore un moment, déjà dur. Pour être sûr de ne pas arriver trop tôt. Putain, j’ai envie de l’enfiler. Je vais l’enfiler. Dans une minute, je sentirai la douce chaleur de sa chatte autour de mon gland.
J’entre. Image passive, immobile, telle que prévue, mais qui éclate dans mon oeil et fait bouillir mon sang. Elle attend, les jambes écartées, yeux fermés. Sa chatte rose, son cul rose. Ses petits seins…
Je m’approche. Le lit est mou, je ne dois pas beaucoup me pencher pour que mon gland se positionne à l’entrée de son vagin.
tout se passe comme on avait dit.
« Et après, qu’est-ce que je devrai-faire? » m’a-t-elle écrit, sans doute en enfilant un index dans sa culotte pour toucher son clitoris.
« Rien. Tu reste ainsi. Tu ne dis pas un mot. Notre premier contact, c’est mon gland qui entre en toi ».
45 minutes de voiture, elle se déshabille, et dans un silence de plomb….elle attend.
Silence. Le gland rentre en elle.
J’aime baiser Marlène, ma pute comme elle dit. chérie pute.
Bien mouille, je suis déjà au fond. C’est pas comme la vieille Monique (histoire 1), toute sèche, si délicieusement difficile à bourrer (comme s’il fallait laborieusement bouleverser la normalité, la réalité d’une vieille dame aux gros nichons qui normalement ne devrait pas recevoir une jeune queue l’après-midi, cuisse écartées comme chez un gynécologue…comme si c’était un acte sérieux, utile, qui nécessite tant d’efforts et de patience…alors que justement cela sert juste à jouir, à spermer dans la mamie, et lui tapisser la chatte de jeune sperme. Du coup, mon érection est utile, elle fait du bien à une vieille dame qui sans cela ne se ferait plus enfiler. et je l’enfile, je l’enfile, joyeusement! )
Cette fois le rythme est amorcé. Je baise Marlène de plus en plus vite. Elle ouvre les yeux. Je crois qu’elle va me dire: viens mon fils, …tu fais du bien à ta maman, comme Solange (histoire 4 et 5)
Mais non, elle ne le dit pas, mais me reparle de Solange. La jolie petite dame autoritaire et chic, qui loue une chambre d’hôtel bas de gamme tout prêt de chez elle pour que je la tire. comme Marlène, des rendez-vous juste pour mettre la queue dans la chatte.
-Solange, je la baisais sans préambule, comme je te l’ai dit. Ce qui était agréable, les rares fois où je la léchais, c’était de rencontrer ses gros seins en tendant les bras, tandis que ma langue buvait, comme elle disait, « le jus de maman ».
Le plus excitant, c’était cérébral: le moment où on se déshabillait dans une de ces chambres modernes, anonymes. Le moment où elle se dépouillait de ses riches vêtements colorés, en contraste absolu avec ces dortoirs pour gens pressés, et où ses gros nichons s’offraient à mes yeux, bien gonflés. Gros nichons maternels, qui semblaient souligner ses mots provocants, entre deux halètements de plaisir: -Qu’est-ce que tu fais à ta maman…
Et puis surtout cela, que je ne t’ai pas dit: assis à côté d’elle, deux doigts dans la chatte, j’effectue de vigoureux mouvements ascendants, pour stimuler le point g. Jamais assez vigoureux pour elle…. Et ce spectacle inattendu, fascinant: la septuagénaire fontaine! Elle gicle, gicle en hurlant.
Magnifique!
Je baise toujours Marlène.
Je m’essouffle, la chaleur est moite, je suis excité mais je sens que la montée vers l’orgasme est en train de me tourner le dos. Sa chatte est moins serrée. On a envie de s’arrêter. Je crois qu’elle veut faire une pause, et se branler plus tard, en écoutant d’autres récits. Ou alors, peut-être voudra-t-elle se remémorer nos propres souvenirs, nos visites chez les putes, par exemple.
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