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Payer le loyer Ch. 01

Payer le loyer Ch. 01



Traduction d’un récit de Craig88.

Ceci est une FICTION avec chantage, humiliations et contrainte d’une jeune femme. Certains passages étant très « crades », ils peuvent choquer. Si vous n’aimez pas ce genre, arrêtez de lire.

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Nous avons 6 mois de retard pour le loyer et nous ne trouvons plus d’excuses pour expliquer notre manque d’argent. Le loyer est de 400 euros par mois, charges comprises. Nous vivons dans un vieil immeuble qui a connu des jours meilleurs. Il est couvert de graffitis, des détritus traînent dans les parties communes. Mon mari et moi vivons au 3ème et dernier étage de l’immeuble avec quatre appartements par niveau. Notre propriétaire vit ailleurs, sûrement dans un endroit plus agréable.

Notre propriétaire s’appelle Phil, ou M. ALLEN comme il aime être appelé. Tout le monde dans l’immeuble le déteste. Il se sent supérieur et son égo est plus grand que son estomac. C’est un gros bâtard, d’environ une quarantaine d’année, chauve, avec des dents jaunes affreuses. Il sent toujours la sueur. Je déteste quand il vient car il me regarde comme si je ne suis qu’un morceau de viande. Il me rend malade, il est repoussant. Il vient toujours le dernier vendredi du moi et j’essaie toujours ce jour-là de me couvrir le mieux possible. J’ai une grosse poitrine et ce n’est pas facile de la cacher.

Mon mari Steve essaie de trouver des petits boulots. Nous sommes mariés depuis deux ans. Steve est le seul homme avec qui j’ai dormi, mais en raison du stress du à notre manque d’argent, notre vie sexuelle est presque inexistante.

« Toc Toc ».

Je regarde Steve. Nous savons que c’est le propriétaire et que nous n’avons pas d’argent pour le payer. Steve ouvre la porte pour laisser entrer ce sale bonhomme qui se laisse tomber sur notre canapé.

Il lève les yeux vers moi et sourit avec ses dents jaunes. Il me demande une tasse de thé. Je me précipite dans la cuisine et d’une oreille, j’écoute mon mari dire à M. ALLEN que nous n’avons toujours pas l’argent.

– Steve… Steve… Steve… Vous me devez près de 2400 euros et jusqu’ici j’ai été indulgent…

J’entends mon mari lui répondre mais notre propriétaire l’interrompt :

– Je ne veux plus entendre vos excuses, je les ai toutes entendues. Je devrais vous jeter à la rue avec les poubelles!

– M. ALLEN, Nous aurons votre argent, il nous faut juste du temps pour…

Ce gros bâtard interrompt de nouveau mon mari :

– je ne crois pas, nous allons nous revoir bientôt.

Sur ces mots, il se lève et quitte notre appartement.

Le lendemain, alors que Steve est au travail, un petit job qu’il vient de trouver, je nettoie l’appartement quand j’entends deux coups forts à la porte. Je pense savoir qui est là et mon intuition est confirmée quand j’ouvre la porte et je vois M. ALLEN me fixer avec son sourire jaune.

– Bonjour Hélène, est-ce que votre mari est à la maison?

– Euhh… Non, il est au travail jusqu’à ce soir. Que puis-je faire pour vous? Dis-je en bégayant.

– Eh bien, si vous me permettez d’entrer, nous pourrons discuter de la question.

Nerveusement, j’ouvre la porte en grand et il passe devant moi. Je referme et je me retourne. Je le vois qui me déshabille du regard. J’ai complètement oublié que je ne porte qu’un grand tee-shirt de Steve qui cache à peine mes fesses. Je ne porte pas de soutien-gorge alors mes gros seins pointent contre le fin tissu du tee-shirt.

– Comment puis-je vous aider? Demandé-je.

Il sort de ses rêves fantasmagoriques et me regarde dans les yeux. Il me dit froidement :

– Ce soir, vous êtes tous les deux à la rue.

Je commence à sangloter, car je sais que nous n’avons nulle part où aller. Je le regarde et je commence à le supplier de nous laisser rester. Comme il ne veut pas, j’ajoute ces mots que je regretterais pour le reste de ma vie :

– S’il vous plaît, je ferai n’importe quoi!

Son sourire jaune réapparaît et il réfléchit. Puis il dit :

– N’importe quoi?

Je me contente de hocher la tête.

– Bon alors je crois que nous pouvons arriver à un accord.

J’ai soudain un mauvais pressentiment. Il continue :

– Viens ici et agenouille-toi devant moi!

Je lui obéis et je m’agenouille devant lui. Il descend la fermeture de sa braguette et att**** sa petite bite. Ça pue. Je vomis presque lorsque je sens l’odeur horrible de son sexe. Il me dit :

– À mains que tu ne fasses ce que je dis, quand je le dis, toi et ton mari, vous serez à la rue. Est-ce que tu comprends Hélène?

Je ne peux que hocher la tête une fois de plus.

– Maintenant, je veux que tu suces ma bite. Je ne veux entendre aucune plainte, tu fais ce que je te dis.

Je penche ma tête en avant et je place mes lèvres autour de sa queue. Quand son sexe touche ma langue, le goût est abominable et j’ai un frisson qui parcoure ma colonne vertébrale. Je crois que je vais vomir. Mais je me retiens et je commence à le sucer. Sa queue grossit dans ma bouche. M. ALLEN a placé sa main sur le dos de ma tête et me force à le sucer plus fort et plus profondément.

– C’est ça salope, suce, suce bien…

Il tire ma tête en avant et en arrière sur sa bite et de temps en temps il la sort pour me gifler le visage avec, avant de la remettre. Je veux juste que ça se termine, mais je dois le faire pour Steve et moi.

Après ce qu’il me semble une éternité, M. ALLEN qui baise ma bouche avec ses 10 centimètres, se met à gémir. Je comprends qu’il est proche de jouir. Il sort sa bite de ma bouche et commence à gicler son sperme sale et épais sur tout mon visage. Je sens des rubans de sperme fouetter mon visage et j’ai un bref moment de bonheur en sachant qu’il a éjaculé.

– C’est bien Hélène, toi et ton mari vous ne serez pas expulsés… Pour l’instant. Et si vous ne voulez pas que votre mari découvre ce que nous venons de faire, je vous conseille de faire ce que je dis, quand je le dis.

Je suis son esclave sexuel maintenant. Et je ne peux rien y faire. Si je continue à lui obéir, mon mari et moi aurons un toit au-dessus de notre tête. Sinon, nous serons à la rue.

– A bientôt Hélène!

Sur ces mots il part. Je me précipite dans la douche pour me laver. Et je pleure. Je pleure jusqu’à ce que Steve rentre à la maison ce soir-là. Je passe toute la nuit dans ses bras, Steve ignorant que je suis devenue l’esclave sexuel de M. ALLEN. Que va me faire cet ignoble personnage demain?

Je pleure à cette idée.

À suivre…

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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