Alice se glisse hors de la cage sur ordre de son Maître. Près de son Maître, elle reste en position chienne. Karl en profite pour la baiser et Paul pour se faire sucer la bite par la bouche d’Alice qui se retrouve prise entre deux queues qui vont et viennent en elle. Dans la cage, Mathilde prend gout à Mickey qui la baise et la baise encore. Quand il se sent fatigué, il se couche devant Mathilde, sur le côté. Paul allait lui donné l’ordre de sucer le chien, mais Karl le devance. Amoureuse et obéissante, elle avance son visage près du sexe du chien. Après quelques secondes d’hésitation, elle donne un premier coup de langue et un second. La queue du chien sort alors, tout rouge et Alice encourage Mathilde qui commence une fellation sur Mickey. Alice jouit de ces qui la comble mais aussi à cause de la vision que lui offre Mathilde et Mickey.
Enfin, Mathilde sort de la cage. Elle n’a pas le temps de souffler que les deux dominateurs la baisent de partout. Alice se joint à ce qu’elle décrit comme ses Maîtres et se glisse sous Mathilde pour lui téter sa poitrine avantageuse. Cette fois, Mathilde est convaincue, elle est même déterminée à suivre les traces d’Alice. Si elle n’avait pas la bouche pleine du sexe de Karl, elle le crierait à la terre entière. Remplie de foutre, Mathilde jouit enfin et s’écroule sur Alice. Les deux hommes s’en vont, la nuit commence à tomber.
Après avoir chacun une douche, les deux hommes sifflent leurs soumises. Elles arrivent ventre à terre pour se prosterner devant eux. Les corps sales, les sexes pleins de sperme, les soumises ne sont pas très belle à voir. Sous le jet, devant la maison, elles sont rapidement débarrassées du plus gros de la saleté qui les recouvre. Enfin, Paul et Karl les poussent sous la douche et les lavent à grande eau en les frottant avec des éponges rugueuses. Si Mathilde cherche à fuir ce tourment, elle se ravise rapidement en voyant Alice subir cela en souriant.
– Je crois que mon Alice motive Mathilde.
– Je le crois aussi. Ce qui est un plus si elle veut lui arriver à sa hauteur.
– Crois-moi, le chemin sera long et douloureux pour elle. À propos, tu ne m’as rien dit pour ce qui est de la marquer ?
– C’est vrai, ben je n’y ai pas encore pensé, vois-tu. Mais comme Alice, ce n’est pas pour me déplaire. Par contre, je ne suis pas encore très chaud pour le marquage au fer.
– Et pourtant c’est toi qui as marqué Alice ?
Karl finit par se convaincre que sa soumise sera, elle aussi marquée comme Alice, au fer rouge. Pour faire sécher les soumises, rien de mieux que de les suspendre et la poutre de la terrasse s’y prête à merveille. Les corps face à face, attachées ensemble, les deux soumises se retrouvent avec les pieds à une dizaine de centimètre du sol. Paul préconise une durée d’une heure, Karl n’y voit aucune objection.
Il y a une chose que Mathilde ignore encore. Paul, Alice et Karl ont monté ce weekend autour de Mathilde. Elle est avec Karl depuis pas mal de temps et elle hésitait encore à se mettre en ménage avec lui, c’est chose faite maintenant. Pour convaincre Alice, Karl avait filmé ses ébats avec Mathilde et force fut de reconnaitre que Mathilde avait déjà une âme de soumise, mais de là à en faire une seconde Alice, il y avait de la marge. Dans le sens contraire, Mathilde avait vu Alice en vidéo. Une très courte vidéo qui montrait tout l’intérêt qu’elle avait pour la soumission. Paul l’avait filmée lors de l’un de leur nombreux rendez-vous, un mois avant le début de son stage.
L’un dans l’autre, tout cela avait convaincu Mathilde de céder à Karl qui se montrait des plus insistants en poussant Mathilde toujours plus loin dans leur relation. Il l’avait même durement fessée pendant une nuit et Mathilde, forte des insistances de son amant, de la courte vidéo d’Alice avait jouit et se disait prête à pousser plus loin sa soumission qu’elle croyait être érotique, du moins au début.
Dehors, sur la terrasse, deux femmes ne cessent de s’embrasser, de se lécher les visages. Quand les deux Maîtres les rejoignent, Paul caresse les corps déjà secs. Il fait nuit, il est temps pour Karl de laisser Mathilde au bon soin de Paul.
– Je passe demain avec ses affaires.
– Tu oublies juste qu’on se taille en vacances, mon ami.
– C’est vrai, et trois semaines. Ok, on les délivre et je l’embarque. Quand vous reviendrez, elle sera tatouée et annelée. Pour le fer rouge, je veux que vous soyez là tous les deux.
– Ça marche ! Aide-moi à les délivrer, s’il te plait.
Les pieds sur terre, Alice se prosterne aux pieds de son Maître qu’elle embrasse avant de faire de même avec Karl.
– Tu vois, depuis samedi, elle t’a adopté comme son second Maître.
– Et Mathilde a fait pareil. Bon, on vous laisse. File mettre tes fringues toi, on y va. Bonne vacances les tourtereaux.
Après leur départ, Alice veut continuer de mettre de l’ordre dans ce bazar. Paul l’arrête, estimant qu’elle en a déjà trop fait. Il l’emporte dans ses bras, heureux comme un pinson. Dans le lit, il lui saute dessus et tous deux font l’amour longuement.
C’est l’heure, il faut se rendre à l’aéroport. Alice, très classe, se la joue soumise dévouée en grimpant dans la cage à l’arrière de la voiture. Paul la fait ressortir.
– Pas de ça, comme moi, tu es en vacances, tu montes devant.
– Bien Maître.
Puis, à l’aéroport, leurs valises à la main, ils se dirigent vers l’enregistrement. Une heure plus tard, ils sont confortablement assis en première classe, près d’un hublot. Durant le vol, Paul cherche à faire jouir Alice en lui massant délicatement son sexe. C’est si discret que personne ne remarque leur petit manège, même quand Alice se risque à faire une fellation à son Maître.
Sur place, dans le taxi, Paul présente son programme à Alice. En gros, on ne fait rien, on profite du soleil et de l’océan. Pour Alice, partir si loin et si longtemps, c’est une première, elle est comme une gamine, excitée. Devant leur bungalow, Paul soulève Alice, telle une jeune mariée et lui fait franchir la porte sous le regard amusé du chauffeur de taxi.
– Ma belle, rien ne me ferait plus plaisir que pendant ces vacances, on se comporte comme un couple de jeune marié.
– Mais…
– Pas de mais. Je ne te punirai qu’en cas de faute grave. J’ai ce qu’il faut. Si je t’ai donné le programme de jour, voici celui de nuit, restaurant, boite, club et sexe. Ça te convient mon amour ?
– Oui Maître, beaucoup.
– Ah non, pas de Maître, Monsieur à la rigueur.
Alice voit bien que Paul n’a pas l’envie de soumettre sa petite salope. Il veut juste qu’elle prenne du bon temps pendant ces trois prochaines semaines.
Dès le premier soir, il l’emmène dans le plus grand restaurant de l’ile, produit de l’océan à gogo. Bien plus tard, le premier club que Paul avait vu dans une revue. Depuis l’extérieur, il ne paie pas de mine, mais une fois la porte franchie, c’est autre chose. Il semble dix fois plus grand que sur les photos. Plusieurs salles s’offrent à eux. Il en est une que Paul ne veut pas voir, la salle fétichiste, du moins pas tout de suite. Mais la salle échangiste les attire. Une fois le rideau passé, un vaste baisodrôme se présente à eux. Déjà de nombreux couples sont présents, des locaux pour la majorité. Les blancs sont vraiment très peu. Devant les yeux ébahis d’Alice, un grand black semble avoir une queue aussi longue que son avant-bras et la largeur de ce sexe impressionne encore davantage Alice. Prenant place, Paul commande une bouteille de champagne pour fêter leurs premières vacances ensemble. Alice n’a d’yeux que pour ces blacks sacrément montés. Après une première coupe. Paul fait lever Alice, il lui retire sa jupe, embrassant ses sublimes fesses. Il défait son chemisier, embrassant les seins en même temps qu’il défait le soutien-gorge. Il la pousse vers trois hommes qui en terminent avec une femme d’un âge certain. Très vite, les trois blacks changent de capote et voilà Alice prise par ces trois hommes. Elle va passer le plus clair de la nuit à se faire mettre de partout pendant que Paul s’occupe plus modestement d’une jeune femme de l’âge d’Alice. Pourtant, Alice se lasse vite de ces hommes aux sexes hors normes. C’est auprès de femmes qu’elle trouve le bonheur. Pourtant, quand une queue s’enfonce dans son anus, Alice se laisse convaincre par cet homme à la peau café au lait. Il semble plus attentionné, plus enclin à donner du plaisir qu’à en prendre. Entourée de deux femmes lascives et de cet homme, Alice va passer toute la nuit entre eux. Paul ne se lasse pas de cette jeune femme très entreprenante. Si elle sait donner du plaisir à un homme, jouir est sa seconde nature. Quand ils rentrent c’est fourbu, éreinté. Dans le lit, ils tombent comme des pierres, même pas la force d’un dernier câlin.
Quand ils émergent de leur sommeil, Paul regarde Alice s’étirer, lui sourire. Elle roule sur son Maître et amant, lui fait sa fellation matinale. Mais Paul veut son corps et la repousse et la retrousse une grande partie de cette fin de matinée. Alice se laisse très vite convaincre du bien fait du programme établi par Paul, son Maître et futur époux.
Ce soir, Paul emmène sa blonde dans un autre restaurant, nourriture locale à profusion. Puis c’est dans une discothèque qu’ils vont danser encore local. Alice se fait une amie, une jeune femme habitant non loin de leur bungalow. Très vite, Paul découvre que les deux femmes s’entendent bien. Des attouchements, des caresses suffisent pour que cette jeune demoiselle emmène Alice dans un coin tranquille. Un peu plus tard, Alice revient avec sa conquête, la présenter à son amant. Assise entre Paul et Alice, Sybile se sent vite à l’aise et se laisse convaincre par Alice que Paul est un amant merveilleux au lit. En fin de nuit, le trio se retrouve sur le lit. Paul et Alice font tout pour mettre Sybile sur orbite. Cependant, Paul ne prend pas le corps de cette jeune femme. Il attend qu’elle le lui demande. De son côté, Alice tente de lui forcer un peu la main en se faisant baiser pas Paul. Jouissant sans comme une mesure devant leur invitée, la belle se laisse convaincre. Paul n’est pas homme à aller vite. Avec cette demoiselle, il prend son temps. Pendant qu’Alice se glisse aux pieds de Paul pour les sucer et les lécher, la demoiselle est délicatement empalée sur le gourdin de Paul, même si ce gourdin n’est pas aussi long et épais que ceux vu la veille. Mais le savoir-faire de Paul remplace aisément cette petite différence de taille. Elle est vite convaincue par le savoir de Paul. Du reste, Alice arrive à la rescousse pour achever de la persuader en insinuant sa langue dans son œillet. À peine effleurer, cela déclenche une déferlante de spasmes dans son corps que cette jeune femme peine à contrôler. Paul se rend compte que cette jeune femme n’avait jamais joui avec une pareille puissance dévastatrice. Effondrée, elle regarde ses amants encore hébétée par ce qui vient de lui arriver. Alice et Paul lui font l’amour tendrement, ne lui laissant plus aucune chance d’échapper à des orgasmes démentiels. Au petit jour, épuisée, elle git sur le lit entre ses amants. Alice l’enveloppe d’un drap et se glisse contre elle. Paul caresse la joue de sa soumise et va dormir dans la chambre voisine. Alice le retient, se redresse, l’embrasse à pleine bouche en le remerciant de ce cadeau.
Dans le lit, sous ce drap, les deux jeunes femmes sont endormies. Paul, déjà debout, un café à la main, s’appuie contre le montant du lit pour admirer Alice et cette jeune demoiselle blottie l’une contre l’autre. L’odeur de ce café si fort ne tarde pas à réveiller Alice qui, dégagée de ce corps café au lait, s’étire telle une chatte.
– Venez Monsieur, que je vous suce.
Paul, s’approche, déjà la main d’Alice caresse sa cuisse. Des lèvres baisent ce ventre à peine velu, la langue longue ce pénis qui s’éveille. Alice veut prendre son temps. Elle sait que Paul adore ça. De ses mains, Alice masse les fesses de Monsieur Paul, sa bouche toute entière gobe ce pénis qui la fait si bien jouir. Près d’elle, une créature s’éveille, regarde cet homme, lui sourit. Près d’Alice, elle observe son savoir-faire. D’une main, elle caresse ce crâne lisse, sa bouche embrasse cette nuque qui va et vient. Puis, elle s’approche de la bouche d’Alice, joue avec le collier inviolable. Enfin, elle tord sa tête, la glisse entre les cuisses de Paul pour lui dévorer ses couilles. La belle se dévergonde, c’est la première fois qu’elle fait cela avouera-t-elle plus tard. Aussi étonnant que cela puisse être, elle découvre dans ce couple que tout ce qu’on lui avait dit sur le blanc était faut, du moins avec Paul et Alice. Très vite, sa bouche vient en aide à celle d’Alice. À elles deux, elles font cracher son sperme à cette queue qui les remplissait de bonheur cette nuit dernière.
– Tu vois, il n’est pas homme à être avar quand il s’agit de nous faire jouir. Ce n’est pas mon Maître pour rien.
– Alice !
– Pardon Monsieur !
Alice vient de commettre un impair. Paul, fâché, la couche en travers de ses cuisses sous le regard de leur invitée. Il la fesse durement. La jeune femme prend peur. Alice, lui crie de ne pas bouger, qu’elle n’est rien de plus que l’esclave de son amant qu’elle aime quand il la fesse. Paul y voit là une occasion de faire jouir sa soumise. Si une main fesse cruellement, l’autre joue avec l’anus et le sexe. Alice ne tarde pas à ressentir tous les bienfaits que lui procure Paul et hurle son bonheur devant le visage de la jeune demoiselle.
– Sybile, il ne faut pas avoir peur de moi ou de mon Maître. Nous ne cherchons que le plaisir de l’autre. Cela fait presque un an que je suis sa petite salope, sa chienne, son esclave.
– Je n’avais jamais vécu ça. Et tu dis que tu aimes quand il te punit ?
– Je ne la punis pas, belle Sybile, je lui donne du plaisir.
– Oui, je veux bien, mais cela fait mal.
– Non, pas quand on sait que l’orgasme est au bout. Viens vers moi, si Maître Paul m’y autorise.
– Bien entendu. Alice, je veux que tu te sentes libre, c’est clair ?
Pleine de douceur, Alice couche Sybile sur le lit, s’agenouille près d’elle et commence à la fesser en douceur. Paul découvre une autre manière de fesser, la manière Alice. Alice caresse et fesse en alternance. Et plus elle fesse, plus elle fesse fort et caresse avec amour. Paul se joint à Alice, de l’autre côté du corps. Lui ne fait que caresser, embrasser le corps de Sybile pendant qu’Alice la fesse toujours plus fort. Sybile est prise entre douleur et plaisir et elle ne sait pas encore qui des deux va l’emporter. Cela ne devrait plus tarder, son corps se soulève déjà, il est pris de convulsions, de spasmes et sa bouche peine à retenir ce râle qui sort en force. Les deux amants la regardent jouir, Sybile n’en est que plus belle encore.
– Vous êtes des fous, des fous qu’on veut connaitre, côtoyer et aimer.
– Mais tu viens chez nous quand tu veux, il nous reste encore plus de deux semaines à vivre sur ton ile.
– Et après ?
– Nous rentrons chez nous.
– Vous devez réellement repartir ?
– Il le faut ma douce amie. J’ai une maison, l’éducation d’une autre Alice qui m’attend au pays. Cependant, si tu veux venir nous rendre visite, on ne te refusera pas un lit et notre tendresse.
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