Cette aventure m’est arrivée il y a quelques année. Mon cousin recevait chez lui, ce soir-là, quelques copains. Ses parents étaient en vacances, et j’avais été admise, pour une fois, à participer aux festivités.
J’étais la jeunette du groupe. Imbue de ma plastique, je me disais que j’allais bien les allumer. Aussi, je m’étais soigneusement maquillée et enfilée une petite robe qui mettait en valeur mes formes. Dessous, j’avais un string et un soutif en dentelles. C’est donc vêtue d’une courte robe d’été et perchée sur de hauts talons, que je rejoignais mon cousin. En me voyant, il me dit sur un ton de reproches :
« Mais tu t’es maquillée comme un camion volé et t’as pas trouvé plus court et décolleté comme robe ? »
Quand les copains de mon cousin arrivent, contrairement à lui, j’eu droit à de multiples compliments. Tous se souvenaient de moi dans d’austères jeans, pull, baskets .La métamorphose de la petite fille en jeune femme semblait leur convenir.
Rapidement, après quelques verres d’alcool à l’apéritif, les conversations sont devenues égrillardes. Ce n’était pas pour me déplaire. Ses quatre potes ne perdaient pas une occasion de me draguer. A la fin du repas, les mecs étaient passablement éméchés. A force de compliments sur mon corps de remarques grivoises et l’alcool aidant, je me sentais toute chose. Tout en débarrassant la table, je rêvassais que les mecs me prenaient sur la table à tour de rôle. Je sentais que mon string était humide et des papillons agaçaient mon bas ventre. Mes tétons pointaient à travers le fin tissus de ma robe.
La tension était palpable. A la moidre occasion, sous n’importe quel prétexte, ils me frôlaient et moi je me sentais de plus en plus chaude et humide. Mais aucun ne prenait d’initiative. C’est mon cousin qui me lance à un moment :
« Tu vois avec ta tenue et ton maquillage de pute les potes veulent te sauter ! »
Ils rient bêtement mais sont surpris quand je réponds :
« Et pourquoi pas ! »
Ils s’arrêtèrent instantanément de rire, ne sachant pas jusqu’à quel point je pouvais être sérieuse. L’un d’eux se s’approchât et se plaçât tout contre moi. Voyant que je ne me dérobais pas, il plaquât ses mains sur mes fesses. Tout en m’embrassant, il fit remonter ma robe sur mes reins dévoilant mes fesse à peine cachées par un string. Un long frisson me parcourût la colonne vertébrale. Là, une autre paire de mains vint se poser sur mes épaules nues. J’aurais pus encore tout arrêter, mais j’en étais incapable. Passive, je me laissais caresser les fesses, les épaules et les seins.
L’un d’entre eux fit glisser mon string à mes pieds. Leurs langues se succédaient dans ma bouche. Des doigts commençaient à entrer en moi. Ils se déshabillèrent et leurs corps nus se collèrent à moi. J’eu bientôt un pénis dans chaque main. D’un pression sur mes épaules, on m’invita à m’agenouiller. Levant la tête, j’admirais désormais mes trois assaillants, face à moi, le chibre dressé. Une queue se présentât devant ma bouche et je m’empressais de la gober.
Mon cousin qui ne participait pas jusqu’à présent, s’approchât de nous et se déshabilla à son tour. J’entrepris de le faire bander, aspirant son pénis encore à demi mou dans ma bouche. Il prit ma tête entre ses mains, marquant de légers va-et-vient avec son bassin. Mes lèvres glissaient le long de son pénis qui grossissait démesurément.
Ensuite mon cousin s’allongeât sur le sol la bite bien dressée. Je ne pus résister à cet appel et le chevauchais sans hésiter. Les autres me regardèrent m’empaler sur lui. Instinctivement, je commençais à balancer mon bassin. D’autres mains me caressèrent les fesses. Un doigt se glissa dans mon cul, puis une queue y pénétrât avec difficulté. Je criait de douleur. Mes cris étaient étouffés pa les queues qui se succédaient dans ma bouche et les garçons m’imposaient leurs rythmes.
Je n’avais jamais été prise comme ça. Je criais. Ils se retiraient, puis revenaient à la charge, s’enfonçant plus vite et plus fort. Je me sentais complètement remplie. J’avais la sensation d’être ouverte comme un fuit mûre.
Avec les coups de bites que je recevais, mes seins ballottaient à une cadence soutenue me faisant mal. le sexe engouffré entre mes lèvres atténuait mes gémissements. Je suçais comme je pouvais, malgré les coups de boutoires qui me secouaient.
Celui qui était dans ma bouche jouit le premier. Il m’envoya une grosse giclée de sperme au fond de ma gorge, puis la seconde s’écrasât sur mon visage. J’eu un peu de mal à déglutir. Celui qui m’enculait sortit de mon cul, puis y entrât de nouveau plus profondément pour se vider dans mon fondement dans un cri de bête blessée. Les éjaculations se succédèrent en moi et sur moi. J’eu à ce moment un orgasme délirant.
J’étais anéantie. Souillée, j’avais mal à la mâchoire et à mes trous intimes. Quand j’ai essayé de me relever, mes jambes ne me tenaient plus. Aucun répit ne me fut pourtant donné. J’avais oublié mon cousin qui n’avait pas jouit et qui avait filmé toute la scène. Il lâchât sa caméra et me saisissant par les hanches, il me prit debout enfonçant sa queue dans mon vagin aussi profondément que possible. Malgré mon état de fatigue, j’aimais beaucoup cette position. Parfaitement soumise, mon cœur battait à tout rompre quand je sentis mon cousin remplire mon vagin de son foutre.
Complètement étourdie, les garçons m’aidèrent à me coucher dans la chambre en me remerciant de mettre ainsi offerte.
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