Suite du dimanche matin.
Je suis allongée,bâillonnée et attachée par des sangles sur le plancher en bois qui me sert de lit.
Mon maître et les hommes qui sont présents dans le chalet, qui est mon lieu de captivité, m’ont affublée de pinces,sondes et d’électrodes qu’ils branchent à des boîtiers de commande.
La torture va commencer, avec la peur mon corps se raidit, je crains qu’emportés par leur désir de me voir souffrir et de se servir de moi comme jouet ils n’aillent trop loin.
De voir la tête que je fais les amuse.
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Mathieu ajoute son avis
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D’entendre leur conversation ce n’est pas fait pour me rassurer.
Ils ont décidé de transformer des gadgets érotiques en objets de torture pour mon malheur.
Un homme manoeuvre les touches d’un boîtier de commande et au début je ressens des picotements et des sensations agréables sur les tétons de mes seins.
Voyant mon manque de réaction, tout en me regardant il manipule les touches de commande et augmente progressivement la puissance du courant émis par l’appareil, petit à petit les sensations que je ressens deviennent de plus en plus fortes jusqu’à ce que cela se transforme en douleur. Je me crispe.
Je commence à gigoter pour montrer que j’ai mal ce qui les fait rire, encouragé par ses partenaires il augmente encore l’intensité et les élancements ressentis dans mes tétons deviennent intolérables. Je fais ce que je peux pour supporter la douleur en mordant dans la boule du bâillon.
Ils poursuivent leurs expériences.
C’est au tour des pinces fixées sur les lèvres de ma chatte d’être parcourues par un courant électrique. De sensations agréables qui pourraient me donner du plaisir cela devient vite très douloureux quand celui qui tient la commande en mains s’amuse à jouer avec les touches. Mon corps se soulève et tressaute, j’ai envie de hurler mais mon bâillon m’en empêche.
Ils s’occupent maintenant des sondes qu’ils ont introduit dans ma chatte et mon anus et y font passer le courant, j’apprécie les sensations jusqu’à ce qu’ils augmentent progressivement l’intensité pour arriver au delà de ce que je peux supporter.
Ils m’observent pour voir dans quel état je suis mais n’éteignent pas les appareils.
Les deux appareils d’électro stimulation sont maintenant en fonction et le courant qui passe entre les électrodes notamment sur mes seins, mon ventre et entre mes cuisses devient de plus en plus fort et vite beaucoup trop fort.
Je remue et sursaute de plus en plus car les douleurs sur mes seins et tétons, sur mon ventre et dans mes orifices intimes deviennent intolérables. Si je pouvais j’arracherais les sangles qui me retiennent prisonnière. Je les maudis eux et leurs jeux stupides.
Je pleure et essaye de crier mais le bâillon étouffe mes cris. Je ferme les yeux essayant de penser à autre chose mais c’est peine perdue les douleurs sont bien trop importantes.
Ils commentent et rient amusés par les incessants mouvements désordonnés de mon corps.
Le supplice dure un bon moment pendant lequel ils s’amusent à faire varier la puissance du courant qui passe dans les parties de mon corps ou ils ont mis des pinces, électrodes et sondes, en la baissant ce qui me donne des moments de répit puis en l’augmentant progressivement jusqu’à ce que je supporte difficilement la douleur.
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Installés à la table ils boivent un verre sans se soucier de moi et de ma souffrance car ils ont laissé leurs appareils en marche.
Après ce qui m’a semblé une éternité, leurs verres sont vides, ils se soucient de nouveau de moi et baissent l’intensité des gadgets sans les arrêter de ce fait ce que je ressens redevient agréable.
Enfin ils coupent le courant de tous les gadgets, je respire.
Ils écartent les lèvres de ma chatte pour dégager mon clitoris qu’ils masturbent un peu pour le faire saillir puis ils appliquent dessus une pompe vibrante que l’un d’eux tient fermement, pendant qu’elle fonctionne mon ventre n’arrête pas de se soulever.
Un autre applique sur mon intimité un vibromasseur de massage externe qui fait vite monter le plaisir dans mon ventre.
Tout cela me fait énormément d’effet, mon corps se déplace sans que je puisse le maitriser, je ne tarde pas à être secoué par des spasmes et à atteindre l’orgasme ce qui les encourage dans leur entreprise.
Amusés par le résultat obtenu, surtout par la vue des jets de cyprine qui sortent de mon vagin, ils continuent à torturer mon clitoris et mon intimité et me font jouir un certain nombre de fois avec des intervalles de plus en plus courts.
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Ils sont trop excités pour continuer à me torturer.
Ils retirent leurs appareils qu’ils posent sur la table, mon maître me détache et libère ma bouche puis il bascule le plancher/lit pour en doubler la surface.
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Mon maître quitte la pièce me laissant aux mains des trois compères.
Impatients les trois hommes se ruent sur moi, je me retrouve à genoux avec une queue dans la bouche.
Un homme s’allonge sous moi et me pénètre la chatte qui est bien gluante et le troisième à genoux derrière moi enfonce son pénis dans mon anus.
Très excités ils n’ont pas besoin de remuer longtemps avant d’éjaculer.
Ils restent en place et ils continuent à me défoncer pendant un moment puis chacun leur tour ils se soulagent dans l’orifce qu’ils pnt investi.
Avec ma bouche et mes mains je fais ce qu’il faut pour qu’ils soient de nouveau en érection.
Je me retrouve de nouveau avec un pénis dans la chatte et un dans l’anus, de temps en temps ils arrêtent de me défoncer pour échanger leurs places.
Ils s’acharnent et leurs queues font des aller-retour dans mon orifice anal et vaginal pendant un bon moment.
Le plaisir monte dans mon ventre, prise de spasmes j’atteins l’orgasme ce qui les motive car leurs coups de reins deviennent plus violents et plus rapides, je ressens plus fortement le coulissement des queues car il y a peu d’épaisseur de chair entre mon cul et mon vagin et la sensibilité est exacerbée.
Je jouis encore avant que le premier d’entre eux n’éjacule arrosant mes intestins puis quelques temps après un deuxième laisse son sperme dans mon vagin mais reste en place sous moi pendant que sa verge ramollie et sort de mon intimité car le troisième qui a pris la place du premier me défonce le cul dans lequel il finit par se soulager.
Ils en ont assez et ne cherchent pas à poursuivre les ébats.
Avant de sortir ils m’att****nt, me soulèvent et je me retrouve les bras écartés, les poignets attachés aux sangles fixées sur le mur.
Ils me lâchent sans précautions, je crie de douleur car le poids de mon corps étire brutalement mes bras. Du coup ils me bâillonnent pour ne plus m’entendre.
Ils partent me laissant en pleurs.
Au sol une tache s’élargit car le sperme s’écoule de ma chatte et de mon anus défoncés par les pénétrations.
Quelques temps plus tard mon maître apporte mon repas. Il libère mes poignets et ma bouche mais attache à mon collier la chaîne qui est fixée à une cloison.
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Je fais ce qu’il me demande puis j’attends assise sur un tabouret en regardant par la fenêtre qui est munie de barreaux.
L’après-midi je ne suis pas déçue car je reçois d’abord un groupe de quatre hommes et j’apprends qu’un autre groupe viendra plus tard.
Au début c’est la folie dans le chalet, ils se bousculent pour me peloter et me posséder.
Puis un participant prend autoritairement les choses en main et instaure un ordre de passage.
Pour commencer ils s’assoient sur le lit et je fais une fellation à chacun d’eux avalant le sperme quand ils éjaculent dans ma bouche.
Ensuite je me mets à genoux sur un participant et avec une main je présente sa queue à l’entrée de mon intimité pendant qu’un autre s’est positionné derrière moi et il cherche à mettre sa verge dans mon anus, avec une main je l’aide ensuite les deux hommes me défoncent jusqu’à ce qu’ils m’arrosent de leur semence. puis leurs deux autres amis les remplacent occupant les mêmes orifices qu’ils défoncent à leur tour.
Avec les mains et la bouche je les remets en forme une fois qu’ils ont éjaculé.
Du coup, pendant un long moment, ma chatte et mon cul sont occupés en permanence et bien arrosés de sperme.
Les quatre compères m’ont honorée chacun trois fois, deux veulent continuer et après que je les aie masturbés et sucés leur queue se dresse de nouveau.
Je m’allonge sur le dos et replie les jambes en les écartant. Il se relaient et me pénètrent indifféremment le vagin ou l’anus.
Ils me défoncent très longtemps et le plaisir qui couve dans mon ventre augmente jusqu’à m’amener à l’orgasme plusieurs fois.
Enfin l’un des deux jouit dans ma chatte, l’autre investit mon anus dans lequel sa queue fait des aller-retour pendant un bon moment avant qu’il n’arrose mon cul et s’écroule sur moi fatigué.
Ils rajustent leur tenue et partent en commentant les ébats qu’ils viennent de vivre avec « une drôle de putain ».
Je me lave et allongée je récupère en attendant mes partenaires suivants.
Cinq hommes pénètrent dans le chalet, je me lève pour les accueillir.
On se croirait à la ruée vers l’or vu la façon ou ils se précipitent sur moi, je laisse passer l’orage pendant qu’ils me pelotent partout, triturent mes tétons et introduisent leurs doigts dans ma chatte et mon cul.
Je me mets à genoux sur le sol, je suce les verges qui sont à proximité de ma bouche et j’en masturbe d’autres que mes mains peuvent atteindre.
Enfin ils sont un peu calmés, je réussis à me dégager.
Je prends l’initiative et me place sur le lit.
J’invite l’un des participants à s’allonger, je me mets sur lui et enfonce son pénis dans ma chatte.
Je demande à un autre de se mettre derrière moi et de me sodomiser.
Les va-et-vient de leurs membres dans mes orifices commencent, c’est surtout celui qui a pénétré mon anus qui donne les plus forts coups de reins. Ils ne tardent pas à éjaculer dans l’orifice qu’ils occupent et sont remplacés par deux autres participants qui eux aussi arrosent rapidement de sperme mes intestins et mon vagin.
Tant qu’ils bandent sans difficultés dés que l’un s’est soulagé en moi un autre le remplace et me défonce ce qui fait monter le plaisir dans mon ventre et enfin j’ai un premier orgasme arrosant de la cyprine qui gicle de mon vagin celui qui est sous moi..
Je commence à ranimer les queues ramollies en les masturbant pendant que ceux qui bandent toujours occupent ma chatte et mon cul.
Mon calvaire dure encore longtemps et je jouis plusieurs fois.
Au bout d’un moment il n’y a plus que mon anus qui est occupé, les pénis s’y relaient sans forcément y laisser leur sperme.
Je suis épuisée par les nombreuses pénétrations et plus très lucide, c’est à peine si je remarque qu’un dernier homme vient d’éjaculer dans mon cul et que plus personne ne me pénètre.
Pendant que les hommes se rhabillent je reste inerte, je suis trop fatiguée à cause de ce que j’ai subi cet après-midi.
Suivant les directives que Mathieu leur a données les hommes me prennent par les bras et les jambes, ils me soulèvent et me portent. Ils sortent du chalet et se dirigent vers le local ou se trouve l’engin qui a été construit pour laver les putains comme moi.
Je me trouve attachée au cadre métallique qui se met à tourner dés que le moteur électrique est mis en marche.
Une personne ouvre un robinet et les rampes d’arrosage envoient sur mon corps des jets d’eau que je trouve glacée.
Comme cela les amusent je me fais laver pendant un bon moment, je grelotte de froid.
Ils arrêtent enfin la machine, me détachent et me ramènent dans mon lieu de détention de la même façon qu’ils m’ont amenée.
On m’amène un repas puis je suis bâillonnée et sanglée sur les planches qui me servent de lit.
Je ne tarde pas à m’endormir sans penser à ce qui m’attend le lendemain.
Et pourtant ce qui va se passer c’est ce pourquoi Mathieu m’a obligée à revenir chez lui.
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