Contribution pour femalexxx
C’était l’été dernier, par un matin ensoleillé qui suivait un samedi soir coquin. Le soleil faisait glisser ses chauds rayons sur ton corps dénudé pour te réveiller avec douceur. Tu étais lovée entre deux hommes endormis dont les jambes entremêlées avec les draps témoignaient de la torpeur nocturne. Tu te levas sans faire de bruit et les regardas un instant avec un sourire en coin avant de sortir de la chambre pour te diriger vers la pièce à vivre.
Tu ouvris en grand la porte-fenêtre t’exposant impudiquement aux regards égarés, pour profiter du calme et de la fraîcheur matinale pendant que tu préparais ton petit-déjeuner. Alors que tu étais assise mangeant des tartines, un des deux hommes, encore un peu nébuleux, entra dans la cuisine avec une légère ardeur matinale. Il passa nonchalamment devant toi après t’avoir salué, t’offrant à la vue son membre qui tanguait de droite à gauche à chacun de ses pas. Tu le suivais du regard en continuant de déjeuner, et appréciais le spectacle qui t’était offert ; ses fesses lorsqu’il prit une tasse dans le haut du placard, les mouvements de son pénis à moitié levé, l’extrémité de son gland émergeant timidement de son prépuce. Un autre appétit naissait en toi. Pendant qu’il était occupé à se servir en jus de fruits, tu pris une attitude aguicheuse en posant une jambe sur la table et en t’appuyant sur le dossier de ta chaise, puis tu l’appelas pour l’aider à se réveiller. Tu lui demandas en le regardant dans les yeux :« tu me prépares un petit café au lait ? ». L’homme sourit et s’approcha de toi pour se laisser faire. Tu poussas ta tasse au bord de la table et attrapas son sexe pour commencer à le caresser au dessus de ton café. Tu le regardais droit dans les yeux en gardant toujours tes jambes ouvertes pendant que tu effectuais des mouvements d’avant en arrière avec ta main. Tu la faisais glisser sur sa verge pour tendre son frein avant de la ramener jusqu’à buter sur son gland en le serrant un peu plus fort, comme si tu voulais traire son lait. Lorsque son pénis commença ses contractions de plaisir, tu arrêtas tes mouvements pour laisser couler les gouttes blanches sucrées dans ta tasse. Pour le remercier, tu embrassas l’extrémité de son gland du bout des lèvres puis tu touillas ton café. Tu le bus avec délectation en regardant ton amant droit dans les yeux. Lorsque tu finis d’avaler la dernière goutte, tu passas malicieusement ta langue sur tes lèvres puis te levas pour aller prendre une douche.
L’eau coulait sur ton corps et tu caressais tes formes généreuses pour te laver. Tu savonnais tes fesses et glissas un doigt songeur dans ton anus encore ouvert par les folies d’hier. Ton second amant pénétra dans la salle de bain, il te salua joyeusement et sans même te demander la permission, entra dans la douche. « J’ai besoin de me laver aussi, te dit-il. Tu veux bien me savonner ? » Amusée, tu lui caressais son corps, son torse, et arrivée à son sexe tu commenças à lui masser les testicules avant de faire des mouvements de bas en haut sur son pénis qui gonflait dans ta main. Alors qu’il commençait à se durcir, ton « laitier », entra également sous la douche, tout ragaillardi. Tu étais coincée entre tes deux hommes qui manifestaient leur intérêt en collant contre toi leur désir. Il s’amusait autour de toi en caressant ton corps avec leur membre recouvert de savon. Mais trop à l’étroit, tu préféras leur proposer de continuer dans le canapé du salon où la fenêtre était toujours grande ouverte.
Tu t’assis entre tes deux amants qui t’assaillirent de baisers dans le cou et de mains baladeuses. Ils t’attrapèrent chacun un sein et titillèrent les boutons de tes tétons joliment dessinés tandis que tu les encourageais à te lécher ensemble en leur caressant la tête. Et puis un homme approcha de ton visage, sa queue tendue en avant tandis que l’autre glissait sa tête entre tes jambes. Tu attrapas le manche dressé devant toi par les testicules, l’embrassas et le chatouillas du bout de la langue, avant d’engloutir en pleine bouche son gland gonflé. Tu sentais entre tes jambes, caresses et baisers, puis une langue glisser dans ta fente pour écarter tes lèvres et venir chatouiller ton clitoris. Après un moment de douces sussions, il se redressa la trique endurcie par l’excitation et tu te mis à quatre pattes bien cambrée pour lui offrir ton derrière magnifiquement rebondi. Il commença par agripper tes jolies fesses à pleine main et à tirer dessus pour t’ouvrir les trous et il se caressait la bite en faisant des mouvements lents dans ta raie. Il frotta son gland sur ton clitoris en le ramenant à l’orifice de ton con, et il commença à glisser sa pine en toi. Tu sentais les parois de ton vagin s’écarter et ta chatte se remplir progressivement. Il était dur d’excitation et tu mouillais d’avoir sa rigidité si loin entre tes jambes. Il te tenait par la taille et accélérait ses mouvements en t’enfonçant de plus en plus loin sa bite qui frottait délicieusement les plis de ton vagin. L’autre homme te tenait la tête par les cheveux et ressortait sa bite pour jouer avec ta bouche en esquivant ta langue avide, et frottait son manche contre ton visage avant de te la laisser reprendre goulûment. « Hmmm, tu me suces bien, te fit-il les yeux mi-clos, tu fais bien gourmande avec ta bouche pleine de ma bite. Vas-y, avale moi bien le gland, pompe moi le jus de mes couilles… ouais, prends moi bien la bite avec ta bouche de suceuse ! Ahhh ! Tu sais y faire ! ». Après un moment, l’amant qui te prenait en levrette commençait à manifester un vif intérêt pour ton anus. Tout en continuant à te baiser, il étirait ton petit trou avec ses deux pouces, te massait l’entrée avant d’y plonger un doigt pervers qui gigotait de curiosité. L’idée de te faire prendre le cul par une grosse queue pleine de vigueur n’était pas pour te déplaire, et tu décidas de satisfaire sa demande en changeant de position.
Tu attrapas à pleine main la bite que tu suçais et lui indiquas de s’asseoir sur le sofa. Tu passas à califourchon dessus pour te l’enfiler avidement sur toute sa longueur. Et avec un air coquin tu t’écartas les fesses avec tes deux mains en regardant ton second amant pour qu’il vienne t’enculer. En approchant sa bite il te dit : « C’est dans le cul que tu veux ma grosse queue, hein ? Tu sens mon gland juteux rouler à l’entrée de ton cul ? » Il pressa son pouce sur son gland pour forcer ton petit trou qui ne tarda pas à se laisser ouvrir par cette bite hargneuse. « Ah chienne ! S’exclama t-il en te pénétrant, tu prends ma bite jusqu’aux couilles, t’es vraiment une bonne petite salope, on voit que aimes ça ! Tu me serres bien la queue avec ton petit trou, j’adore !» Alors qu’il te montait sur les fesses pour aller bien au fond de toi, tu t’abandonnais à leurs deux queues ravageuses en te couchant sur ton amant, tes seins contre sa poitrine. Tu étais coincée entre ces deux bites qui glissaient comme des pistons, tu les sentais se frotter l’une contre l’autre en toi, leur gland s’enfoncer loin pour te remplir jusqu’au fond. Tu étais prise entre deux amants qui s’activaient tant et si bien qu’ils finirent par cracher leur foutre en toi au même moment. Tu sentais leur bites vibrer à chaque contraction de plaisir et leur gland cogner à chaque expulsion de sperme dans tes orifices. Ils se retirèrent et tu te relevas. Tu passas ton index sur un filet de crème qui s’écoulait entre tes jambes et après l’avoir sucé malicieusement tu déclaras que tu allais finir de prendre ta douche, seule cette fois-ci.
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