On ne choisit pas toujours la façon dont va tourner une relation.
Je l’avais rencontrée sur le forum des BDSMeurs Invisibles, nous avions très vite sympathisés et j’ai vite eu le statut de Bonne Copine à Couilles.
Au fil des discussions, j’en savais long sur sa vie, son couple, y compris ses soucis et ses problèmes… dont un important : son mari la rêvait porn star, il voulait la voir se faire prendre par d’autres hommes etc et cela lui pesait.
Elle n avait jamais été fidèle mais l idée de se faire sauter par un inconnu devant son mari ne lui convenait absolument pas.
Après plus d’un an de demandes incessantes, elle n’en pouvait plus et, sans m’en souvenir exactement, nous en étions arrivés à la conclusion que le plus simple serait qu’elle me présente à son mari et que l’on laisse la Nature faire.
J’avais tenté d’en faire ma soumise au début puis avais renoncé vu que je ne correspondais pas à ses attentes, mais être ainsi un amant officiel pouvait être amusant à vivre, surtout qu’après 2 ans à se parler et se rencontrer nous étions intimes.
Le jour du souper, j’avais reçu des consignes assez vagues : je pouvais être entreprenant, elle dirait non si besoin…
L’apéro s’est passé de façon la plus traditionnelle qui soit, prise de contact, boissons légères et chips variés.
Après l’entrée avalée, je lui demandais si elle était toujours sûre d’elle et devant son acquiescement, j’avais débuté un flirt qui s est montré fort agréable.
Retour à table et après un moment d hésitation, j’ai dit au mari que sa femme était fort belle et que puisqu’il savait pourquoi j’étais là, j’avais envie d’en voir plus.
Je me suis levé et placé derrière elle, j’ai commencé à caresser ses cheveux puis glissé les mains sur sa poitrine et finalement lui ai retiré son pull.
Je l’ai un peu pelotée, j’avoue avoir été tellement occupé à tenter de décrypter leurs réactions que j agissais totalement mécaniquement.
J’ai finalement fait tomber le soutien également, les tétons étaient gigantesques m a t il semblé et j’ai repris ma place à table.
Un ange est passé, difficile de briser ce silence et c’est elle qui m’a pris la main et m’a dit qu’elle avait envie.
Ses yeux disaient non mais je reste convaincu qu’elle voulait se libérer d’un fardeau.
Je me suis relevé, ai sorti une paire de menottes de ma poche et me suis dirigé vers le mari.
Il s’est laissé attacher sans broncher, il avait l’air perdu dans ses pensées.
A son tour maintenant
Mise debout, le jeans retiré entraînant la culotte dans la foulée, elle a fait de son mieux pour se montrer excitée, lascive, prête…
Je savais que la sodomie était l étape clef, qu’il fallait la passer avec succès et que j’allais devoir assurer
À genoux sur sa chaise, j’ai profité de sa mouille pour lui lubrifier la rondelle et enfoncer les doigts.
Je n’étais toujours pas convaincu par ce que je faisais, étais toujours habillé 2 doigts dans son cul et une main sur ses seins…
Partir ou rester…?
Je me suis bien dit 20 fois « quelle situation merdique » puis ai vu l état du mari
Il avait éjaculé, à en croire la tâche de son pantalon et était écarlate.
Il était temps de prendre ses responsabilités.
J’ai glissé à l’oreille de mon amie qu’elle avait un cul superbe et ai entrepris de lui doigter cul et chatte
Son 1er orgasme fût… décevant, comme il fallait s’y attendre. Un micro frisson, un soupçon de soupir…
Je lui ai demandé si elle se sentait prête pour une autre tentative et lui ai mise sa main sur la chatte.
A 2 c’est toujours plus facile.
Mes doigts dans son cul se sont multipliés, passant à 4 et en mettant 4 autres en miroir…
Elle se détendait et cela se sentait
Le 2ème orgasme fut libérateur, le 3ème assourdissant et j’ai eu peur qu’elle ne se blesse toujours à genoux sur la chaise.
Un moment de câlins dans mes bras, passer par la salle de bain pour nous rincer et retour à table pour libérer le mari.
Je n’ai pas eu le courage de terminer ce repas, et je pense qu’ils ont apprécié de pouvoir être seuls aussi vite après.
J’aurais peut être dû rester car j’ai trouvé le moyen de me perdre sur les 10km me ramenant chez moi. Trop de pensées sans doute.
Le lendemain son 1er message n’a même pas été bonjour mais « t’as même pas pu jouir tu t’es branlé au moins en rentrant? »
^^’
Non et non, bonjour comment vas tu…?
En résumé sa nuit avait été un sacré rodéo au lit et elle était contente de l effet produit sur son mari.
Parfait pour moi
Les semaines ont passé et il est apparu que le mari en voulait plus.
Nous avons alors entamé une relation suivie.
Un 1er rdv où elle m’a fait jouir, en mode suceuse de combat, je faisais des photos pour le mari pendant qu’elle officiait et l ai renvoyée chez elle sans culotte et couverte de sperme séché (elle a détesté rentrer ainsi, son mari était fou d excitation, le début des avis divergents)
Nos rencontres se faisaient soit à l improviste, le mari recevant un message ou une photo ou encore une enveloppe compromettante au travail, soit planifiée, son mari la déposant chez moi et attendant
Soit chez eux, le mari attaché et regardant.
Cela aurait pu durer longtemps si le mari n’avait exprimé ses désirs profonds : il voulait participer.
Je n’ai jamais pratiqué le triolisme et n’étais pas.chaud du tout mais quand il a dit vouloir être enculé ou me sucer, j’ai su que notre histoire allait en rester là
Je n’ai jamais renouvelé l’expérience, n’étant pas demandeur même si la femme en couple a mes préférences, mais garde un bon souvenir, surtout des jeux sur le comment faire saliver le mari ou la surprendre
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