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ELLE FAIT COCU SON MARI LORS DU DEFILE DU 14 JUILL

ELLE FAIT COCU SON MARI LORS DU DEFILE DU 14 JUILL



LU SUR LE NET :

Chaleur de cette après-midi d’été, jour férié, peu de bruit, ville étouffée par le plomb de ce soleil provençal : José se traîne jusqu’en haut de l’immeuble pour aller étendre son linge sur les étendoirs de la terrasse brûlante. Il entend quand même, loin, par-dessus les rumeurs diffuses que produit sa ville, les hymnes nationaux du dernier 14 juillet de ce siècle. Monsieur Laurena doit y assister puisque, faisant partie de l’équipe municipale, il a rejoint le défilé et a du y retrouver les militants de son parti. C’est du moins ce que se dit José en voyant la femme de ce dernier étendre un grand drap blanc, les bras levés, le cul rebondi, tout le corps en tension pour aller chercher, là-haut, sur le fil, les deux ou trois pinces à linge nécessaires. Elle ne l’a pas entendu arriver, et lui reste scotché sur l’avant-dernière marche de l’escalier, béat, jouissant simplement du spectacle de cette longue chevelure brune frôlant le haut d’un fessier plantureux. Et encore une pince à mettre ! Et les talons se lèvent un peu, le bas de la robe remonte de quelques centimètres et laisse apparaître le début de deux belles grosses cuisses un peu blanches, les fesses vibrent (mais ça n’est peut-être pour José qu’une impression), et de chaque côté du dos de madame on peut voir déborder, au gré de ses mouvements, deux mamelles à pétrir, à malaxer, à consommer de suite. Elle a pivoté et se penche maintenant pour prendre le petit linge : non, José ne va pas tenir longtemps, il devrait y avoir des lois qui interdisent des décolletés comme ça, la police devrait intervenir pour empêcher toutes les Sophie du monde de bouger de cette façon et …
 » Bonjour Madame « 
 » Bonjour José… « 
 » ..fait chaud, hein ?… « 
Il a quitté l’escalier et rejoint la terrasse, mine de rien, avec sa bassine. Et il se sent ridicule, lui, tout jeune homme de vingt ans qui se sait un peu gracile, presque efféminé. Oui, il se sent ridicule parce qu’il a une érection du feu de dieu et que Sophie Laurena, cette belle femme de quinze ans de plus que lui va évidemment s’en apercevoir. Alors il trouve refuge dans la parole, il lui demande si ses enfants vont bien, elle lui répond qu’ils sont en colonie de vacances, il lui parle de sa vie, elle lui parle de la sienne, elle se laisse aller et se plaint de son mari tyrannique, de cette ville cadenassée … Et lui il n’entend pas tout, il place de temps en temps un  » oui  » un peu décalé, une remarque qui tape à côté… Mais elle, tout en lui parlant de choses importantes, elle a bien vu l’émoi du jeune homme. Emoi auquel elle n’est pas insensible. Elle s’est surprise à bouger autrement, à se courber différemment, Elle a mis alternativement de la langueur et de la fébrilité dans ses gestes. Et puis en prenant les draps elle s’est débrouillé pour que ses gros seins remuent… Quant au trop d’humidité qui démange le haut de ses cuisses elle sait bien que ce n’est pas que de la sueur.. Elle a bien compris que ce petit jeune était mûr, à point, prêt à lui donner du soleil, du vrai. Alors elle n’hésite pas un instant, c’est maintenant ou jamais : son mari va suivre le défilé avec ses copains militants et ensuite il ira certainement se saouler dans les bars de la rue Chevalier Paul. Il lui a juste demandé d’être à sa fenêtre et de lui faire un petit bonjour lorsque la fanfare militaire qu’il accompagne avec ses amis passera dans la rue Ettore. Dans sa rue.
 » José..j’aimerais vous inviter à boire quelque chose.. « 
Le jeune homme bredouille un truc qu’elle prend, de toute façon, pour réponse positive. Il ne veut pas croire ce qui lui arrive. Il pense que le cul superbe de madame Laurana n’est pas pour lui, en même temps qu’il descend l’escalier derrière elle. Il estime ne pas mériter pas le déluge de rondeurs qu’il espère. Et quand elle le fait rentrer chez elle et l’invite à s’asseoir sur le canapé, il la voit déambuler, se dit qu’il rêve, que ce rêve est beau, et qu’il va en sortir très vite…
Elle est partie remplir deux verres de menthe à la cuisine. Il fait chaud, très chaud. La pièce est sombre, presque obscure : une tenture un peu minable, pendue devant l’unique fenêtre, arrête le soleil terrible. José s’est relevé, se réveille, autre. Il réalise, enfin. Il trique comme jamais et quand Madame revient pour servir, elle fait un pas dans la pièce avant de s’arrêter net : le jeune blondinet un peu maigrelet est complètement nu et on ne voit de lui qu’une bitte splendide, agressive, presque verticale, semblant ne pas correspondre au bipède qui lui sert de support. Alors le sang de Sophie Laurena ne fait qu’un tour. Elle enlève son slip très vite, sans grâce. Elle va sur lui, le pousse, elle le bouscule presque, elle évite les préliminaires qui ne feraient qu’humidifier encore plus sa chatte trempée, elle soulève sa robe à deux mains puis s’accroupit au-dessus du chibre que José tient pour mieux guider la pénétration qui va suivre. Lui, allongé sur le carrelage frais, ne bouge plus. Il n’est plus qu’une bitte qu’un fourreau paradisiaque absorbe lentement. Le plaisir est si fort qu’il en a presque peur, qu’il se demande même s’il ne va pas disparaître complètement, happé par les belles et grosses cuisses. Madame a arrêté sa progression, ne bouge plus. José en profite et attribue d’autorité une main à chaque grosse mamelle qu’il fait sauter violemment hors de la robe. Enfin il essaye. Car leur volume est tel qu’il n’y réussit pas complètement du premier coup. Et en même temps qu’il joue des mains pour avoir à disposition les appâts de sa belle, elle, gourmande, lubrique, commence des mouvements du bassin. Très lents, très progressifs, mais très amples ; en rapport avec la taille de la grosse bitte qu’elle a engloutie. Alors José relève la tête qu’il plonge dans l’amas de chair qui lui est offert, il embrasse, il palpe, caresse, étreint aussi. Il n’arrête pas. Il quitte parfois la somptuosité des seins lourds de son amante pour rejoindre ses lèvres pulpeuses. Mais il n’oublie jamais, au plus fort de son étreinte, d’honorer avec ses mains les globes somptueux.
Et Madame fait du bruit, beaucoup, trop : elle gémit, crie presque, en même temps qu’elle fait beaucoup d’efforts pour ne pas baiser son amant trop vite, pour ne pas quitter le rêve commun, pour qu’il dure le plus longtemps possible. Sa chatte distendue monte et descend toujours avec beaucoup de régularité mais elle accélère le rythme et son ami n’y peut rien. Lui il ramone sans bouger, la tête et les mains perdues dans l’éden mammaire et la bite dure comme jamais, servant inexorablement la foufoune trempée qui vient régulièrement taper son pubis. Et voilà qu’elle se met presque à crier maintenant. Mais c’est qu’elle ameuterait le quartier ma parole ! Et lui n’est pas en reste… il s’y met aussi ! José ne peut pas bander plus que ça, il ne peut pas la pénétrer plus loin et plus fort qu’il ne le fait en ce moment. D’ailleurs il a déjà craqué, ne l’a pas laissée faire, il s’est libéré. Il l’embrasse fort, très fort, sur la bouche, en même temps qu’il commence à donner des coups de reins que la belle brune pulpeuse qui est au-dessus de lui subit comme des coups de boutoir. Et elle aime ça, elle aime beaucoup ça. Elle jouit de cette brutalité surprenante, elle en redemande, il l’a surprise le petit. Déjà tout à l’heure elle ne croyait pas aux dimensions de cette bitte qui maintenant la fait jouir à répétition et lui fait balancer ses gros seins de tous côtés quand son amant veut bien les laisser libres. Elle jouit aussi, elle, la vaginale, d’être pénétrée aussi profondément qu’elle ne l’a jamais été. Et elle jouit de la maigreur de ce jeune homme qui s’imbrique, qui lui donne l’impression d’être transpercée, qui répond à son fantasme. Et qui est à mille lieux de ce qu’est son mari.
Mais les amants s’arrêtent brusquement. Ils entendent, venant du bout de la rue, la fanfare militaire qui s’approchent. Sophie se lève aussitôt, replace tant bien que mal ses gros nichons, fait un bisou à son amour, et va à la fenêtre comme le lui avait demandé M. Laurena le matin même, en partant. José lui reste un moment par terre, encore choqué par cette douche froide. Puis il se lève et ce qu’il voit est pour lui le deuxième nirvana de la journée : Sophie est donc bien à la fenêtre, penchée, le bas de la lourde tenture qui cache l’intérieur de la pièce lui retombant maintenant sur le dos et sur les côtés. Et comme le rebord de la fenêtre est à l’ancienne, un peu bas, elle a écarté quelque peu les jambes… José se remet alors à bander comme jamais et c’est en tenant son bel engin qu’il se dirige droit vers la cible offerte. Il ne voit plus qu’un gros cul superbe qui devient magnifique une fois que, ayant relevé complètement la robe de la plantureuse Mme Laurena, s’offre à lui un fessier blanc immaculé. Il vient doucement faire buter son sexe au bord de la chatte de sa douce. Elle, elle tressaille. Non. Il ne va pas oser faire ça. Et en même temps qu’elle le refuse, elle ne désire qu’une chose : que cette grosse bitte vienne la fouiller au plus profond. D’ailleurs ça n’est pas lui qui commence à bouger. C’est bien elle. C’est bien elle qui a reculé un peu pour grossir encore plus son arrière-train, pour se cambrer mieux, à la recherche du chibre qu’elle désire comme jamais. Et voilà que la fanfare fait de plus en plus de bruit, qu’elle va dans une minute ou deux passer sous la fenêtre.
José n’a toujours pas bougé, même quand elle a commencé à reculer. Mais dès qu’il a senti les bords de la foufoune trempée lui masser doucement la verge, il n’a tenu quelques secondes. C’est tout juste s’il n’a pas pris son élan. Il lui a mis son gros engin très vite. Et maigre comme il est, il s’est inséré, il est allé comme elle le désirait : au plus profond. Là il est encore resté un petit moment sans bouger. Juste le temps pour lui d’agripper les fesses splendides de Mme Laurena qui commençait à faire des petits bonjours aux gens qu’elle connaissait et qui se trouvaient dans la rue. Et en même temps elle mettait beaucoup d’énergie à essayer d’être immobile. Toute folle qu’elle était. Toute trempée.
Ca y est. José s’est décidé. Il l’a bien pénétrée, comme il fallait. Et maintenant il entame un puissant mouvement de va et vient, lent, régulier, inexorable. La fanfare est presque sous la fenêtre, Mme laurena râle mais personne, dans le vacarme des cymbales et du reste, ne l’entend. Son mari et ses amis sont encore loin, derrière. Elle veut encore jouir, jouir, jouir. Comme elle est d’ailleurs en train de le faire. Bousculée par derrière, arc-boutée sur le rebord de la fenêtre, tenant tant bien que mal un position immobile difficile. Elle jouit encore et encore de ce merveilleux petit jeune homme et de son braquemart d’acier qui la défonce. Elle regrette. Ô oui. Elle regrette qu’il ne puisse pas, là, lui prendre ses gros seins à pleines mains comme il le faisait il y a peine un quart-d’heure. Elle ferait presque une bêtise tellement elle en a envie. Elle irait presque jusqu’à les lui enlever de ses fesses pour les placer, maintenant, elle-même sur sa poitrine. Maintenant la fanfare est vraiment sous la fenêtre. Dans un vacarme assourdissant.
Le mouvement du chibre de José est toujours aussi régulier mais il s’est très accéléré. Et il reste toujours aussi inexorable et appliqué. Mme Laurena en est presque à crier maintenant. Les yeux révulsés elle fait un vague signe à son mari qui est maintenant à une cinquantaine de mètres et qui, prenant le visage grimaçant de sa femme pour une tentative de communication, porte la main à son oreille. Comme s’il voulait lui faire comprendre que de là où il se trouve, il n’entend rien…
José s’agrippe maintenant aux belles poignées d’amour de sa maîtresse adorée. Il la lime maintenant de plus en plus vite, de plus en plus fort. La fraîcheur des grosses fesses blanches qu’il vient régulièrement percuter ne fait que rajouter de l’intensité à son plaisir. Et c’est au plus fort d’une marche militaire très enlevée qu’il conclue enfin, aux cris de son amante, cette fête du 14 juillet

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