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ma belle mere2

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Quelques temps après ce week end, nous avons repris nos vies sans qu’il se passe quoique ce soit avec ma belle mère, j’allais presque tous les soirs voir ma fiancée, j’allais la chercher à son travail pour la ramener chez elle non sans m’arréter parfois soit pour la baiser ou me faire sucer dans la voiture! je partageais souvent leur repas en compagnie de la grand-mère et du beau-père, puis la soirée télé avant de regagner mes pénates. A l’époque je ne travaillais pas le samedi et je passais souvent le week end chez eux, mon beau-père avait un métier qui le prenait toutes les fins de semaines du vendredi soir au dimanche soir, donc un vendredi soir nous avons dinés tous ensemble et il est parti, je suis resté avec les trois femmes pour une soirée familiale. Le lendemain ma chérie devait amener sa grand-mère chez le médecin, elle s’est levée plut tôt que moi pour se préparer puis elles sont parties toutes les deux. Quand je me suis à mon tour sorti du lit ma belle-mère n’était encore pas levée, profitant d’une rare grasse matinée, je me suis donc fais un petit café et me suis installé au salon, juste vétu d’un caleçon pour le déguster quand le téléphone a sonné, sortant ma belle-mère de son lit, elle est à présent dans le petit couloir vétue tout simplement de sa culotte et de son soutif, le tout en dentelle blanche assez transparente! évidemment je ne me prive pas de la reluquer, elle est vraiment bien foutue, sa peite culotte lui moule bien son cul, je vois bien sa chatte brune en transparence, ses nichons ont bien du mal à tenir dans son soutif et les pointes sont tout autant visibles que sa toison, assis dans mon fauteuil je ne tarde pas à durcir, ma queue s’allonge à tel point que le gland passe la tête par l’élastique du caleçon, et elle discutant apparemment avec son mari d’après ce que j’ai compris continue à se trémousser devant l’appareil,me montrant tantôt le côté face,tantôt le côté pile, je n’en perd pas une miette, soutenant même parfois son regard. Ca dure, ca dure et j’ai besoin d’aller aux toilettes qui sont au fond du couloir, aprés avoir ajusté mon caleçon , remis mon chibre en place, même s’il déforme le tissu, tant pis il faut que j’y aille je me lève et me dirige vers elle la queue en avant, elle me regarde surprise, un regard noir, je ne sais pas si c’est de colère ou d’éxcitation, mais je suis obligé de passer près d’elle pour aller aux wc, le couloir est assez étroit et évidemment je la frôle en passant, un vif instant sa peau chaude contre moi me fais triquer encore plus, j’entre vite dans la petite pièce en fermant la porte, ma queue est toute raide j’ai du mal à pisser, j’ai envie, est ce que je me branle pour faire retomber la tension, je suis tenu de m’asseoir et obliquer ma bite vers le bas pour réussir à m’épancher, je ressors certes soulager mais toujours aussi dur et il va refalloir que je passe à côté d’elle, elle s’éternise au tél et je ne vais pas passer ma matinée ici, tant pis j’y vais, et je repasse près d’elle on se frôle une nouvelle fois, mais cette fois ci j’ai bien l’impression qu’en passant sa main me touche l’aine,je penche la tête et vois effectivement qu’elle rabat sa main je n’ai pas révé, je file m’asseoir et reprends ma place de voyeur, elle me regarde en souriant doucement, et sans me lacher des yeux se passe la langue sur les lèvre la pointe vers le haut, je veux être sùr, alors j’écarte légèrement les cuisses offrant mon caleçon tendu à son regard, elle opine de la tête comme pour dire oui, je commence à doucement caresser ma bite à travers le tissu, en me regardant droit dans les yeux elle joue avec les bonnets du soutif, les écarte pour me faire voir ses tétons foncés qui de loin ont l’air tous durs, elle les lâche et sa main descend, elle tapote sa chatte à tavers la culotte, c’est sur cette fois ci elle en veut, je sors ma queue et je m’astique, elle me mate en gigotant, je me lève et quitte mon caleçon, la queue tendue devant moi je vais vers elle, j’approche je m’accroupis et lui caresse les cuisses je remonte jusqu’à la culotte que je vais faire descendre, elle voudrait peut être m’en empêcher mais elle n’a qu’une main et elle ne peut rien dire sans que son mari puisse entendre au tél, alors je continue, la culotte est sous les genoux sa chatte est devant mes yeux, je vois que depuis la dernière ois elle s’est épilée, il y en a encore mais beaucoup moins, les lèvres sont maintenant toutes lisses, idéal pour un bon cunni sans bouffer du poil, de mes deux mains je force un peu pour qu’elle écarte les cuisses, je dépose des bisous, puis de petits coups de langue sur sa chatte, quand j’ouvre la fente du bout de langue c’est déjà tout mouillé , il y a donc un moment que je l’excitais!! je me relève, passe les mains dans son dos et dégraffe son soutif, elle passe les pieds par dessus sa culotte, la voilà nue devant moi, elle est encore vraiment belle, je m’empresse de lui bouffer les seins pendant que mes doigts jouent dans sa chatte, elle se trémousse mais ne peut pas réagir sans alerter son mari, elle a pris ma queue dans la main me branle , pour le coup je bande à fond et elle a l’air d’apprécier ses yeux ne quittent pas ma bite, elle m’embrasse dans le cou entre deux paroles, il faudrait qu’elle raccroche maintenant mais ca s’éternise, je veux accélérer la cadence, et puis si sa fille et sa mère arrivait!!! je la laisse toute chaude au tél et vais me rasseoir sous son regard désapprobateur, un air interrogateur qui me dirait  » ben alors quoi tu me chauffes et tu te casses » je lui fais signe qu’elle n’a qu’a raccrocher et venir me rejoindre sur le canapé…………les minutes paraissent une éternité mais quand même elle réussit à mettre un terme à sa discussion et elle vient au salon ou je continue doucement à branler ma bite
« salaud, ca te plais de me chauffer et de te barrer te branler sur la canapé »
 » ben le couloir est pas très conforable, et puis c’est mieux là! non? » je me caresse bien de bas en haut et de haut en bas, elle est omnibulée par ma queue, elle approche sa main enléve les miennes, commence son va et vient en s’accroupissant, elle m’embrasse puis me lèche le gland avant de ma prendre dans sa bouche, elle commence à pomper, à chaque descente elle essaie d’aller plus profond, je suis aux anges quand elle remonte elle m’enveloppe le gland de sa langue ,elle tournoie, elle joue avec le frein, là ou on aime puis redescend jusqu’au moment ou elle arrive à m’avaler en entier, plus de 20 cms dans la bouche, c’est super elle arrive même à sortir la langue et lécher mes couilles rasées, excellent, elle suce drôlement bien cette salope, quand elle me lâche la queue c’est pour me rouler une pelle, mes mains sont partout sur elle, ses seins, son cul, sa chatte, je l’oblige à monter sur le canapé, sa chatte à hauteur de ma bouche et je plonge ma langue en elle, je lèche bien les lèvres, enfoui bien ma langue dans sa fente sans oublier de lui bouffer le bouton, mes doigts pincent ses tétons, elle se trémousse sur moi, elle coule de plaisir, parfois je fais glisser ma langue sur son oeillet, jsuqu’au moment ou elle jouit, j’ai tout le bas de la figure trempé, elle est heureuse
« wahou, on ne m’a jamais bouffé la chatte comme ça, c’est bien la première fois qu’on me fais jouir avec la langue »
« et ce n’est pas fini….. »
je la prend dans mes bras et la tourne je l’assoie sur moi etn dirigeant ma queue dans sa fente elle est bien ouverte et bein mouillée, je suis au fond d’un seul coup, elle passe ses mais sous elle et me pelote les couilles en commençant a bouger, c’est trop bon de sentir ma queue enserrée comme ça dans sa chatte, quand je sens que ça monte je sors
« non reste continue »
attends, et je la mets à genoux sur le canapé, ses gros seins sur le dossier, les cuisses genre grand écart et la prend de nouveau, je la lime energiquement allant au fand et la ressortant entiérement à chaque aller retour, elle ahane en criant
« oh oui vas y défonce moi salaud, vas y »
tout en la baisant je mouille mes doigts de salive et lui tripote l’oeillet, je pousse toujours un peu plus loin, je l’élargis je le prépare et j’entends à ses cris que ça lui fait pas de mal, le bout du doigt passe, puis la première phalange je resoors je mouille et j’y retourne deuxieme phalange et deuxieme doigts je continue je crache dans sa raie le troisieme passe, elle crie comme une folle et ce n’est pas de douleur apparemment, ses cris m’excitent encore plus et j’accélère la cadence jusqu’à temps qu’elle prenne encore une fois son pied, je profite de l’instant et point son petit trou c’est le moment ou jamais, je force sur le gland, elle ne dit plus, elle à la bouche grande ouverte, elle cherche de l’air, le gland passe doucement je m’enfonce je m’enfonce elle m’aura bientôt tout entier au fond d’elle, contre toute attente c’est elle qui d’un coup de rein s’enfonce encore plus, ca y est elle a tout, je suis bien, c’est tout serré, j’ose a peine bouger mais c’est sans compter sur elle, ca a l’air de lui plaire et c’est elle qui y va , je suis juste un pieu sur lequel elle bouge son beau cul, je passe une main soue elle et lui prend un sein, elle s’excite encore plus et va encore plus vite sur mon chibre raide, encore deux secondes et je lui dis que je vais venir
« vas y arrose moi vas y »
je pousse deux tyrois dernières fois
« je viens tu vas tout prendre »
elle sent les premières giclées dans son cul, s’enlève et met son visage à hauteur de ma queue pour me finir sur ses joues, ses lèvres et sa langue, on s’asseoit repus tous les deux, besoin d’un petit moment pour récupérer, je remets mon caleçon et elle part à la salle de bain……
passé par la chambre j’ai envie de la rejoindre, mais par la fenètre la voiture de ma fiancée est devant le portail
« elles arrivent « dis je à ma belle mère et vite j’enfile unpantalon et tee shirt avant qu’elles ne passent la porte

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