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Martine au camping

Martine au camping



Nous avons organisé un weekend prolongé au camping dans l’île d’Oléron. Nous sommes quatre, Martine sa fille, mon fils et moi. Mon fils a emporté, a mon insu, des cigarettes qui font rire. Après l’apéro, les grillades, les pèches et le café mon fils nous a proposé de partager ses cigarettes. Le climat est parfait, la nuit tombe et les jeunes s’en vont danser.

« Allons sous la tante ! »

« Déjà Martine ? »

« Oui absolument, j’ai envie de jouir ! »

Visiblement, ces cigarettes ont un effet violent sur elle. A peine sous la tente elle arrache ses vêtements, s’allonge sur le dos soulève ses jambes en les écartant.

« Bouffe moi la chatte ! »

Ça, c’est un truc qu’il ne faut pas me demander 2 fois. Je lui fais le cunni camping trois étoiles, avec doigts partout et léchage complet jusqu’à l’orgasme. Encore secouée de plaisir elle se retourne se met à quatre pattes.

« Bourre moi la chatte ! »

Vraiment l’herbe ça la démonte, elle ne s’exprime jamais comme ça, mais j’aime. Je m’exécute et lui pétrissant ses adorables fesses, je la bourre à grands coups de reins, mes boules tapant bruyamment contre son bouton.

« Encore, encore, plus fort »

« Martine doucement tu vas ameuter tout le camping »

 » Allez ! »

Je continue mon œuvre, elle a la tête contre le matelas pneumatique et cela fait ce bruit si caractéristique du matelas caoutchouc torturé. Ayant ainsi libéré ses main elle écarte ses fesses. Je pousse doucement mon pouce dans sa jolie rosette.

« Oui encules moi, fort ! »

« Chut ! »

Je m’exécute et lui défonce littéralement la rondelle. elle soupire bruyamment puis se convulse dans le plaisir de la jouissance. Et comme une bougie soufflée, elle tombe sur le matelas et s’endort. Etant encore dans l’action je m’allonge derrière elle et continue jusqu’à ma jouissance. Le sommeil me gagne rapidement.

Elle me secoue

« Pierre réveille toi, j’ai encore envie ! « 

Elle me suce pour me donner de la vigueur, mais cela tarde à venir.

« Pas grave si tu ne bande pas, mets tes doigts »

Et elle s’allonge une nouvelle fois dans la même position. Je mets donc deux doigts de chaque main dans ses orifices brûlants. Sous la tente, nous sommes baignés par la bonne odeur de baise. Je la pistonne des mes doigts et lui lèche le bouton.

« Plus fort ! Encore ! Plus fort »

Elle va réveiller tout le camping. Je lui plaque une main sur la bouche, elle sent son odeur et se met à bouffer mes doigts. Comment la faire taire ? Et oui, je la soulève la retourne prend sa tête entre mes mains et pénètre sa bouche et me couche sur elle, m’enfonçant bien à fond dans sa gorge. Elle ne dit rien respire pas le nez et m’avale. Mes doigts recommencent à la remplir, non plus deux mais trois. Elle me suce si fort que je gicle, je la sens se contracter et je me soulève.

« Mets toute ta main ! »

J’hésite un moment.

« Allez défonce moi fort ! »

Elle est comme folle, j’hésite encore.

 » Dé fon ce moi ! »

De trois doigts à la main il n’y a pas un monde. La bouteille d’huile de « massage » n’étant pas bien loin je m’enduis les mains avec. Et glisse à l’intérieur de son sexe.

« Défonce moi le cul aussi ! »

Et bien voilà qui est fait. Dans cette pénombre je vois mal le tableau, dommage que je ne puisse pas faire une photo. A nouveau elle rugit de plaisir et s’endort.

Vous croyez que cela s’est arrêté là ?
Hélas non. Deux fois encore elle m’a réveillé pour recommencer.

Je m’éveille vers onze heures, je suis seul, Martine est gaie souriante. Elle prépare le petit déjeuner.

« Bien dormi Martine ? »

« Oui, mais j’ai fais des rêves il faut que je te raconte »

« Oupss, des rêves ? »

Les enfants arrivent avec le pain. Le déjeuner en famille commence en toute gaieté. Un moment mon fils me demande.

« As-tu entendu cette nuit ? »

« Quoi ? »

« Des bruits, un couple… »

« Non ! »

La fille de Martine d’ajouter

« Non rien, et toi maman ? »

« Moi ? J’ai dormi comme une souche, surement l’herbe … »

Et mon fils d’ajouter

« Vous avez loupé un truc immense … »

Une fois les enfants partis, j’ai expliqué à Martine la source de ce bruit. Visiblement elle ne me croie pas.

‘Tu te moques de moi ? »

« Et si tu allais dans la tente pour renifler, sentir cette douce odeur ? »

Elle est revenue, en riant.

« Dommage, pour toi, que je ne me rappelle de rien. Tu vas devoir me montrer ce que tu m’as fait ! »

Nous sommes retournés sous la tente.
Zip …

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