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Malika et sa collègue

Malika et sa collègue



Vous connaissez bien maintenant Malika, celle de la station d’essence que j’ai commencée à baiser il y a de cela quelques semaines. C’est une belle maghrébine, une petite quarantaine, pas très grosses, de petits seins, des cheveux tout bouclés, de beaux yeux et une bouche avec des lèvres pourpre et charnues, une bouche de suceuse quoi !!! On a déjà fait bien des choses ensemble avec son mari et avec sa nièce, Samia, plus jeune, plus forte et un même tempérament affirmé de baiseuse. Malika a des horaires décalés et il m’arrive d’aller la chercher à la station où elle travaille pour la ramener chez elle.

Ce jour là, j’arrive vers quinze heures et elle me demande si je peux aussi prendre sa collègue, Marie-Claude qui a fini son service en même temps qu’elle mais qui va avoir de la difficulté à rentrer, sa voiture étant à la révision ce jour là. J’accepte mais sans savoir qu’elle habite assez loin de la ville. Quand Malika m’indique où je dois aller, je fais discrètement la moue, Marie-Claude, installée à l’arrière, ne voyant pas mon visage. C’est à une vingtaine de kilomètres en passant par les petites routes, davantage en prenant la plus grande. Avantage, ces petites routes sont pittoresques et on passe par une belle forêt.

Sur le chemin, Malika me demande de m’arrêter à une pharmacie pour choisir une crème hydratante. Comme elle tarde un peu, j’en profite pour parler avec Marie-Claude. Elle aussi blanche de peau que Malika est brune. Elle a des cheveux blonds qu’elle décolore, elle a de gros seins que son corsage a du mal à contenir. Sa jupe remonte largement sur ses cuisses et comme elle ne fait rien pour la rabattre, je vois son entrecuisse. Si elle les écartaient un peu, je verrais carrément sa petite culotte. Marie-Claude me dit qu’elle vit seule avec deux de ses filles, dont l’aînée a presque vingt ans et qui fait ses études, la plus jeune allant sur ses dix-sept ans.

Malika ressort de la pharmacie, toute à sa joie d’avoir trouvé la crème qui lui convient et qui rendre sa peau encore plus douce et plus soyeuse. On repart et on discute de tout et de rien avec Malika et Marie-Claude. Soudain, je sens la main de Malika qui s’égare vers mon pantalon et qui commence à me caresser la queue. Je la regarde, surpris et elle me répond : « Mais non, ne t’en fait pas, on se dit avec ma collègue, on se fait toutes nos confidences ! ». Je comprends mieux et je me dis que Marie-Claude n’ignore rien des parties de baise que nous avons faites Malika et moi. La main de Malika est efficace et il ne faut pas longtemps pour que je bande et que ma bite se sente à l’étroit dans mon pantalon.

Malika, la coquine, entreprend alors de sortir ma bite de son fourreau, ce qui n’est pas facile mais il y arrive rapidement, celle-ci se déployant, le gland déjà décalotté, rouge et luisant. Elle me branle pendant que je conduis et je sens le regard de Marie-Claude sur les caresses que me prodigue Malika. Bientôt, le vois la tête au cheveux noirs bouclés de Malika qui se dirige vers ma bite et ses lèvres avalent mon gland qu’elle suce comme une tétine aspirant ma bite en même temps que je sens sa langue qui tourne autour de mon gland. Je soulève les bras pour tenir le volant par le haut et lui laisser de la place pour mieux me pomper le dard. Venant de l’arrière, j’entends des halètements, signe que ce qui se passe dans la voiture ne laisse pas insensible Marie-Claude. Je sens aussi l’odeur discrète, légèrement acidulée de la cyprine qui, j’en suis sûr doit dégouliner aussi bien de la chatte de Malika que de celle de sa collègue, Marie-Claude.

Moi, je conduis doucement pour ne pas prendre de risques et prendre mon pied à la place. Il faut dire que Malika est une pro de la pipe et comme j’ai besoin de me vider les couilles, il ne me faut pas longtemps pour envoyer la purée dans la bouche de Malika. Je lui dis en un souffle : « Je jouis » que j’ai déchargé tout mon foutre en jouissant comme rarement je l’avais fait avant. Sympa pour mon pantalon, Malika avale et quand elle se relève, il ne reste qu’un peu de liquide blanchâtre aux commissures de ses lèvres. D’une main, je remets ma bite dans mon pantalon. Je regarde Marie-Claude dans le rétroviseur, je lui souris, elle me sourit aussi et je remarque la rougeur de ses joues. Je me retourne rapidement et je vois ses cuisses largement écartées tandis qu’elle n’a pas enlevé sa main de sa moule. Un peu gênée, elle la retire en me faisant encore un sourire. En fait, on se comprends sans un mot, on sait qu’on vient de jouir et ça nous fait du bien. Malika, elle, se tourne vers moi et me dit : « Ça t’a plu ? » en m’embrassant à pleine bouche, nos langues se mêlant allégrement me faisant ainsi partager le goût de mon propre sperme. Je lui réponds : « Oh oui !!! et tu le sais avec ce que je t’ai envoyé !!! ». Elle se retourne alors vers sa collègue et lui dit : « Tu vois, je t’avais dit que je le sucerais devant toi !!! » Et Marie-Claude de lui répondre : « Oui, et salope, tu m’as drôlement fait jouir !!! Je te revaudrais ça !!! ». Et Malika de dire : « D’accord et je sais comment !!! ».

On continue à rouler mais soudain, j’ai envie de m’arrêter pour me soulager. Ça tombe bien, on traverse la forêt qui est sur notre itinéraire. Je prends un petit chemin forestier et j’arrête la voiture dans un endroit assez isolé. Je laisse les filles et m’éloigne. L’air est agréable et frais et j’en profite pour faire quelques pas pour me dégourdir les jambes. J’arrive dans une petite clairière, sors ma bite qui reste à moitié bandée et me mets à pisser. D’avoir ma bite en main me donne envie de tester sa vigueur et je mets à faire quelques va et vient sur mon membre. Super ! Il réagit au quart de tour et je vois que je me remets à bander rapidement. J’en suis là de mes conclusions, quand j’entends un craquement de brindilles non loin. Je tourne la tête et je vois une ombre qui se cache contre un arbre. Je m’approche, la bite toujours en main et c’est un jeune ado qui a la sienne, déjà bien grosse pour son âge, également en main. Je lui dis : « Alors, comme ça on vient se branler en matant ! ». Il rougit et dit : « Je vous ai vu arriver en voiture et je vous ai suivi. De vous voir, ça m’a fait bander et j’ai sorti ma bite ! ». Mais j’ai une autre idée en tête. Je range ma bite dans mon pantalon, je lui dis, en dirigeant mon regard vers la sienne : « Remets là en place et suis moi ! ».

Je me doute un peu de ce que les filles font et je me dis qu’on va profiter du spectacle voire davantage et nous partons en direction de ma voiture. Arrivés dans ses parages, j’intime au petit jeune de marcher sans faire de bruit et ce qui s’offre à notre vue est super excitant. Malika est assise sur le capot de la voiture et Marie-Claude lui lèche le minou. Malika a défait son corsage et elle est en train de se malaxer ses petits seins en en pinçant les pointes qui de toute évidence sont super dures. Marie-Claude, elle, a le cul en l’air, sa jupe remontée au-dessus de la taille, son slip a disparu. En même temps qu’elle lèche la chatte de Malika a une de ses mains entre ses cuisses et elle doit être en train de se branler le bouton déjà excité par le spectacle que Malika et moi lui avons donné dans la voiture. A la vue de cette scène, ma bite se remet aussitôt à bander et je la sors de mon pantalon pour lui donner de l’espace et pour me la branler. Le petit jeune, voyant cela, fait de même et nous voilà en train de faire des va et vient sur nos bites respectives. Je ne sais pas ce qui l’excite le plus : me regarder en train de me branler ou bien de voir les filles en train de se gouiner. Toujours est-il qu’il bande au maximum et que son regard va de l’un à l’autre des spectacles, celui que je lui offre et celui que les filles lui procurent.

De sentir la gaule que j’ai et de voir Marie-Claude se branler me donnent envie de passer à des choses plus sérieuses. Son cul et sa chatte sont trop à portée de ma bite pour y renoncer. Avant de quitter ma cachette, je dis à mon jeune de se joindre à nous quand j’aurais commencé à baiser et il fait oui de la tête pour me dire qu’il a compris. J’approche de Malika et de sa collègue et je leur fais d’un ton joyeux : « Alors, on se donne du bon temps ! », en même temps que je saisis Marie-Claude par les hanches et qu’elle sent ma bite contre ses grosses fesses. Elle, elle ne répond rien ayant la bouche prise par la chatte de Malika qui elle, me répond : « Et visiblement ça te fait de l’effet à voir ta bite !!! ». En effet, elle m’a vu arriver la bite en main !!!

Très vite, ma bite atteint la chatte de Marie-Claude et elle est tellement trempée de sa mouille que je rentre à fond d’un seul coup. Je commence à la pilonner en la tenant par les hanches. Par moments, une de mes mains va jusqu’à sa connasse pour lui exciter le clito qui est vraiment gros. Chaque fois que je lui touche, cela déclenche une accélération du rythme de son cul contre ma bite. Marie-Claude continue à brouter le minou de Malika au rythme des coups de bite que je lui envoie. Soudain, Malika pousse un grand cri, elle est en train de jouir sous la langue de sa collègue qui elle est un peu surprise par les cuisses qui lui enserrent la tête et les mains qui lui plaquent la tête contre la chatte de Malika.

Notre jeune mai voyeur s’est rapproché et Malika l’aperçoit quand elle se remet de sa jouissance. Nous, Marie-Claude et moi, on s’écarte un peu du capot de la voiture que Malika continue d’occuper, cuisses largement ouvertes, la chatte luisante de sa mouille et de la salive de sa collègue. Il n’en faut pas plus pour que notre jeune ami vienne profiter de cette chatte pour y plonger sa bite, fort grosse finalement. Malika, n’a même pas le temps de dire un mot, que la jeune bite est au fond de sa chatte déjà largement ouverte sous les assauts de la langue de sa collègue. Lui, n’a pas l’air de trop apprécier la largeur de l’orifice car, j’entends Malika dire : « Mais il n’encule le salaud ! ». Visiblement, il est passé de la chatte de Malika à son trou du cul. Je sais qu’elle ne va pas trop souffrir de ce côté car elle a l’habitude de se faire enculer. Et du coin de l’œil, pendant que je continue à baiser Marie-Claude, je vois que le jeune étalon donne des grands coups de bite dans le cul de notre beurette qui aime la queue.

La forêt raisonne maintenant des cris de jouissance des dames qui sont en train de se faire bourrer respectivement par les deux trous. La vue que j’ai de l’anneau culier de Marie-Claude ne donne l’envie d’y mettre un doigt. Ça rentre facilement et je me dis que je vais pouvoir en mettre davantage, d’autant que cette caresse dans son trou du cul n’a pas l’air de lui déplaire. J’y fait entrer deux puis trois doigts et fais des petits tours avec pour lui écarter la rondelle. Bien ouvert, son trou du cul est une invite pour moi pour que j’y mette ma queue, ce que je fais en ayant prélevé de la mouille de sa chatte qui en dégouline. Je me retire de sa chatte, me penche et lui crache sur la rondelle pour faciliter la pénétration de ma queue dans son cul. Le gland rentre facilement et ça coince un peu quand je veux aller plus loin. Pour lui faire oublier sa légère douleur, je masse plus activement son clito pendant que pousse un peu plus et là, ma bite entre de moitié puis totalement. La douleur disparaît rapidement et je peux pilonner son cul. Une de mes mains est passée Je veux profiter de ses nichons volumineux et mes mains passent de sa chatte à ses gros lolos qui sont hors de son corsage et qui ballottent au gré de mes coups de queue.

Malika a l’air d’apprécier la bite de son jeunot qui l’encule profondément par les cris qu’elle pousse et par les propos qu’elle tient : « Oui, vas-y encule-moi, tu peux y aller, j’aime ça !!! ». Une de ses mains est sur sa chatte et je devine qu’elle doit se branler le clito pendant qu’elle est enculée, le tout pour décupler son plaisir. Ça fait un bon quart d’heure qu’on est en train d’enculer nos chaudasses chacun de notre côté et c’est le jeunot qui éjacule le premier, Malika nous faisant vivre l’événement en direct : « Salaud, tu jouis déjà !!! vas-y fous ton jus sur ma chatte, je vais me branler avec et ce sera mailleur, vas-y donne m’en encore, oui, là juste sur mon clito !! ». J’imagine que c’est ce qu’il fait car Malika continue : «Oui, c’est bon, je me branle, je jouiiiiiis !!! ». Ce qu’on vient d’entendre nous a excités Marie-Claude et moi et je sens que son cul se contracte de plus en plus et de plus régulièrement. Ce massage de ma bite accélère ma jouissance et voilà que je sors ma bite, je me donne deux ou trois coups de poignet et voilà que ma semence se déverse sur les fesses blanches de Marie-Claude qui, elle, pour ne pas être en reste de jouissance se branle furieusement le bouton. Elle crie sa jouissance en même temps d’un : « Je jouiiiiiis, c’est trop bon !!! ».

Chacun est content, on se rhabille les uns et les autres. Notre jeunot est un peu gêné et il s’éclipse rapidement. Malika et Marie-Claude remettent leurs slips, rabaissent leurs jupes pendant que je range ma bite dans mon caleçon et remets mon pantalon. On remonte dans la voiture et la discussion repart entre nous sur tout et rien. On arrive chez Marie-Claude, elle nous propose de rentrer boire quelque chose mais on décline l’offre Malika et moi et on repart. Malika est vraiment douce avec moi sur le chemin du retour. Elle m’embrasse à pleine bouche, me met la main sur la queue, écarte les cuisses de temps en temps, les resserre. Bref, je sens qu’elle n’est pas satisfaite et qu’il lui manque quelque chose.
On arrive chez elle et là elle me dit sans que je puisse refuser : « Tu rentres boire un pot chez moi ». Je ne peux pas refuser. A peine rentré chez elle, elle m’attire vers elle en me disant : « J’ai envie d’une bonne bite dans ma chatte, viens par ici !!! » et nous voilà montés dans sa chambre. Là, elle se laisse tomber sur son lit, les cuisses largement écartées. Elle écarte son slip et se met à se branler la chatte avec vigueur, en y mettant d’emblée trois doigts puis quatre. Le spectacle m’excite et je sens que ma queue se remet à bander. Je m’approche de sa chatte et je mets à la lécher. Elle ruisselle de mouille et du foutre du jeunot qui a déchargé sur son clito une quantité de sperme peu commune. Je me délecte du mélange de ces jus. Je lui lèche aussi le trou du cul qui est encore largement ouvert à la suite de la bite qu’elle s’est prise dans le cul. Ma bite bande et on se met en soixante-neuf Malika et moi. Je continue à lui bouffer les deux trous et elle, elle me suce la queue. Quand elle est bien dure, elle se la fourre dans la chatte, me tournant le dos. Je vois son cul qui se soulève et s’abaisse en cadence.

Visiblement, elle a tellement envie de jouir de la chatte que je sens rapidement les contractions de sa connasse sur ma bite. Je décharge en elle mon jus de couilles tandis qu’elle crie qu’elle est en train de jouir. Elle se laisse retomber sur moi en arrière. Sa chatte dégouline de son jus et du mien sur mon ventre. Je mets mes mains sur ses petits seins et dans sa chatte bien distendue. Elle se retourne et m’embrasse et me dit : « C’est bon, j’ai aussi joui avec ma chatte !!! C’était bon !!! ».

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