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Papa, maman, le sexe et moi (lu sur le net)

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Delphine avait décidé de rentrer de vacances une semaine plus tôt que prévu. Une dispute avec Éric, son petit ami, au camping de La Couarde avait été la goutte d’eau de trop. Il commençait à reluquer les autres filles un peu trop souvent à la plage. Il avait mal pris sa remarque, ils s’étaient engueulés et voilà. Elle se trouvait à la grille de la résidence secondaire de ses parents pour se refaire une santé morale au bord de leur piscine en attendant des jours meilleurs. Un taxi l’avait conduite ; elle était entrée sans sonner pour leur faire la surprise. Sûr qu’ils apprécieraient de voir leur fifille de 22 ans passer quelques jours avec eux, au soleil du mois d’août.

Elle entra. Personne. La porte était pourtant ouverte. Elle monta à sa chambre poser ses affaires, ouvrit la fenêtre et… mon Dieu ! Tout en bas, au bord de la piscine, à l’arrière de la maison, se trouvaient ses parents. Entièrement nus. En train de faire l’amour. Allongée sur le bain de soleil, sa mère se faisait prendre par son père debout, jambes fléchies, celles de son épouse sur ses épaules. Delphine était fascinée par les fesses de son père, qu’elle n’avait jamais vues dénudées. Étonnamment bronzées, elles étaient animées par un mouvement de pulsion rotative alors que sa mère se pâmait, les pieds au ciel, écartelée, échevelée, fouaillée. Mais ce qui stupéfia encore plus Delphine, ce fut la vulgarité de sa mère à mesure que son plaisir allait crescendo :

— Allez, vas-y, plus fort, mets-la-moi profond !

Delphine se recula de la fenêtre. Elle ne voulait pas en voir plus. Jamais elle n’avait imaginé que ses parents puissent « baiser », car c’était bien ce qu’ils étaient en train de faire. Bien sûr, elle se doutait que leur sexualité n’était pas rangée au rayon du passé. Sa mère, Monique, une rousse flamboyante aux yeux émeraude, portait souvent de profonds décolletés qui mettaient en valeur sa chair laiteuse et abondante. Son père, René, était un sportif toujours bronzé qui avait conservé une ligne impeccable. À cinquante ans passés, ils étaient encore jeunes et Delphine en était fière. Mais de là à les imaginer aussi cochons…

Ce fut plus fort qu’elle. Elle se repencha à la fenêtre, cette fois plus discrètement. Son père était en train de se retirer d’entre les cuisses de sa mère, toujours en érection. Delphine fut épatée par le volume de son membre viril. « D’une autre consistance, pensa-t-elle, que celui d’Éric. » Monique s’en saisit et le porta rapidement à sa bouche pendant que René lui caressait les seins, deux belles outres blanches pointées de rose, vierges de bronzage car elle protégeait sa peau fragile. Puis elle s’interrompit et adressa quelques mots à son mari, que Delphine n’entendit pas.

Le couple se leva, main dans la main et s’embrassa, corps contre corps, en se caressant mutuellement les fesses. Delphine s’aperçut alors que le pubis de sa mère était complètement rasé, révélation supplémentaire. Ils se chuchotaient quelques mots, riaient. Monique astiquait le sexe tendu de René qui doigtait la vulve de Monique. Delphine n’en perdait plus une miette, comme si ses parents étaient en train de lui donner à leur insu une leçon de sexualité. Monique tira René par la main et se positionna les mains sur le haut de l’échelle de la piscine, cambrée. René fléchit les genoux et s’enfonça en elle d’une seule poussée. Le couple s’activait à quelques mètres en contrebas de la fenêtre où se trouvait Delphine, qui n’avait d’yeux que pour le visage de ses parents. Monique souriait, se passait la langue sur les lèvres, les yeux clos. René, très concentré, semblait regarder sa queue en action et surtout les hanches charnues qu’il empoignait. Il accéléra le rythme et les gros seins de Monique se mirent à danser la samba entre les montants de l’échelle.

— Allez, chéri, jusqu’aux couilles !

Choquée, Delphine piqua un fard, ce qui était courant chez elle avec sa peau claire et ses taches de rousseur. Sa mère était vraiment d’une indécence folle. Jamais elle n’aurait cru qu’elle pouvait tenir un langage aussi cru. Et dire que c’était elle qui lui faisait naguère réciter ses poésies de Ronsard et corrigeait ses versions latines… Elle décida qu’elle en avait assez vu, assez entendu. Elle rangeait ses affaires quand elle entendit un clapotis. Ses parents devaient se baigner maintenant, ils avaient fini leurs petites affaires et c’était tant mieux. À oublier vite. Un coup d’œil vers la piscine confirma la chose puisqu’ils nageottaient. Monique se hissa souplement sur le bord pour s’asseoir, comme pour se sécher. René s’avança vers elle, lui écarta les genoux et enfonça son mufle entre ses cuisses. Sa femme gloussa et avança son pubis au bord du bassin et écarta les jambes, offerte.

— Mais ils n’ont pas encore fini ? C’est incroyable… murmura Delphine.

De fait, debout dans l’eau, René faisait aller et venir sa bouche le long de la fente de Monique qui, la tête rejetée en arrière, semblait savourer le moment avec délectation. Elle laissait échapper des petits cris, des « Oh ! », des « Oui… ». Delphine sentit une onde de chaleur envahir son bas-ventre. Elle avait toujours adoré le cunni et regrettait qu’Éric n’en fût pas aussi friand que l’avait été Michel, son prof de philo, qui l’avait dépucelée et initiée aux joies de la chair entre deux cours sur Kant et Hegel alors qu’elle avait à peine 18 ans. Ses parents n’en avaient rien su, heureusement, mais on avait frôlé le scandale quand l’épouse de Michel s’était aperçue de l’infidélité de son prof de mari, obligeant celui-ci à rompre brutalement, au grand désespoir de Delphine qui faillit en rater son bac.

Mais voilà que pendant ces réflexions, René était remonté hors de la piscine. Toujours en érection. Il n’avait donc pas éjaculé. Le couple recommença ses simagrées : corps contre corps, bouche contre oreille, mains contre fesses ou plutôt – Delphine le vit bien – à l’intérieur des fesses. « Mais c’est pas vrai, ils se tripotent le trou du cul ! »

À un moment, Monique s’enfuit en riant, poursuivie par René qui la coursait autour de la piscine, bandant comme un faune en rut. Il la rattrapa et la projeta dans l’eau dans un grand rire avant de la rejoindre et de l’acculer contre le mur. Et là, à l’évidence, il la pénétra. C’est du moins ce conclut Delphine en voyant les mains de sa mère enlacer le cou de son père et enrouler ses reins de ses jambes, s’empalant sur le dard. René allait en elle lentement, comme s’il voulait faire durer le coït. Puis Monique s’échappa prestement, prit une serviette et l’étendit sur la courte plage de la piscine avant de s’y allonger. René se mit à quatre pattes, non pour la posséder, comme Delphine se prit un instant à l’imaginer, mais pour offrir son pénis tendu à la bouche de son épouse tout en se penchant pour honorer à nouveau sa vulve de sa bouche.

— Un 69 ! Ils font un 69 ! murmura leur fille.

De fait, le couple de quinquagénaires se lança dans une longue séquence de succion. Delphine courut dans la salle de bain uriner, boire un verre, se rafraîchir le visage. Elle commençait à se demander combien de temps ses parents allaient faire l’amour et la mettre ainsi dans une situation embarrassante pour le moins, oubliant qu’elle s’y était mise toute seule. Quand elle revint à la fenêtre, un bon quart d’heure était passé. Monique et René étaient maintenant côte à côte assis au bord de la piscine, les pieds dans l’eau, toujours en train de se caresser mutuellement l’entrejambe. Cette fois, de sa fenêtre juste au-dessus du bassin, elle les entendit clairement s’exprimer, d’une voix un peu rauque, celle du désir :

— On baise bien, hein ? lança René en l’embrassant dans le cou.
— Oui, on n’a jamais si bien baisé que maintenant. Je me sens beaucoup plus libérée que quand on était plus jeunes. Je n’ai plus de tabous.
— Oui, c’est vrai, je te sens de plus en plus chaude. J’adore ton corps, j’ai envie de lui rentrer dedans. C’est ça, continue à me branler, c’est bon.
— Mmmh, toi aussi, j’aime quand tu me caresses le clito comme ça. Que tu es dur ! Tu dois avoir envie de gicler, non ?
— Oui, ça fait un moment que je me retiens mais c’est tellement bon, ce que tu me fais. J’aime lire le plaisir dans tes yeux, chérie.

Delphine buvait littéralement ces paroles proférées pendant que ses parents se branlaient mutuellement. Jamais elle ne les aurait crus capables d’une telle transgression. Elle tendit à nouveau l’oreille.

— Tu veux que je te fasse jouir comment ? interrogea Monique.
— Attends un peu, on a le temps. Dis-moi, ça ne te dirait pas d’aller en club un de ces jours ? J’adore te voir prise par deux ou trois types en même temps.
— Pourquoi pas ? Mais on pourrait faire ça aussi à la maison, non ? Inviter un ou deux couples ? Les Martin, par exemple. Paul m’excite bien et je sais que Manuella te fait bander. La dernière fois avec eux, c’était génial.
— On va voir. Hou, c’est bon ce que tu me fais là ; c’est ça, branle à la base de ma queue. Les couilles aussi. J’adore quand tu me caresses les couilles et quand tu les gobes comme des œufs.
— J’aime ça aussi, tu sais ? Si je n’aimais pas, je ne ferais pas. Plus je vieillis et plus ta queue me rend folle.
— Je vais te la mettre bien profond tout à l’heure, tu vas jubiler. Fais-moi plaisir : sois vulgaire quand tu vas jouir, j’adore ça.
— Chéri, j’en peux plus, je suis archi-mûre, il faut que tu me baises maintenant. Prends-moi par derrière et encule-moi.

Delphine crut avoir mal entendu. « Encule-moi : elle a dit ça, ma mère ? » Et pourtant, elle vit son père et sa mère se placer en levrette, de profil, observa le sexe de son père s’enfoncer progressivement entre les fesses de sa mère, celle-ci remuer son derrière copieux tout en se retournant pour observer son père. Les yeux dans les yeux, ils atteignirent un formidable orgasme réciproque, leurs cris de jouissance s’étant confondus, amplifiés par l’eau de la piscine. Cette fois, Delphine ferma la fenêtre, courut à la douche et tenta désespérément de se calmer, le bouton congestionné, profondément troublée par ce qu’elle avait vu. « Je suis une voyeuse. » se dit-elle, consternée…

Une fois séchée, la situation lui apparut dans toute sa complexité. Si elle se montrait tout de suite, ses parents seraient obligés d’en déduire qu’elle les avait vus faire l’amour et une grande gêne s’installerait, en tout cas de son côté. Non, la seule solution était de s’échapper en catimini pendant qu’ils étaient encore à la piscine, avec son sac pour donner le change et faire semblant de rentrer. Elle se rhabilla, vérifia discrètement qu’ils étaient bien toujours à la piscine et s’esquiva par la porte d’entrée. Elle fit deux fois le tour du pâté de maison avec son sac et sonna comme si elle venait d’arriver. Sa mère vint l’accueillir, dûment vêtue d’un bikini dont Delphine pensa qu’elle l’avait pris dans son armoire à elle car il ne cachait pas grand-chose de ses rondeurs épanouies.

— Chérie, quelle surprise ! On ne t’attendait pas si tôt.
— Je vais vous expliquer. J’ai d’abord une faim de loup.

Son père avait lui aussi revêtu une tenue décente sous la forme d’un boxer de bain soulignant son sexe encore gonflé par les coïts à répétition. Delphine se garda de baisser les yeux mais rougit à nouveau. Elle ne pouvait pas s’empêcher de penser à la paire de fesses bronzées aux circonvolutions jouissives pour sa mère. Mais le débat s’engagea sur la rupture avec Éric, et Delphine en oublia presque, dans son ressentiment envers son boy-friend, le spectacle qui l’avait tant troublée une heure plus tôt.

—ooOoo—

Quelques jours passèrent. René et Monique poursuivaient leur vie de vacanciers en deux bons bourgeois, alternant promenades et bains (en tenue ad hoc) à la piscine pendant que Delphine, entre deux bains, s’abîmait dans des lectures diverses tout en laissant son esprit vagabonder d’Éric à ses parents. À sa grande surprise, ceux-ci la préoccupaient davantage que celui-là. Une phrase restait gravée dans sa mémoire : « La dernière fois avec eux, c’était génial… »

Delphine venait de découvrir que son père et sa mère étaient libertins et cette révélation la tourneboulait. En même temps, elle enviait leur liberté d’esprit et de corps. À côté d’eux, elle se sentait beaucoup plus coincée. Mais elle leur reprochait aussi leur dissimulation, faisant mine de croire qu’elle aurait préféré qu’ils mettent cartes sur table. Aussi mijota-t-elle un plan. « Il a peu de chances de réussir, mais ça vaut le coup de tenter. se disait-elle, souriant par avance à la situation que ce plan engendrerait.

— Je pars ce week-end voir Julie, ma copine ; ça ne vous embête pas ?
— Mais non, ma chérie, répondit illico son père, tu ne vas pas passer ton temps libre avec tes parents ; il faut que tu t’amuses.
— Tiens, on en profitera pour inviter les Martin, ils sont là en ce moment ; et peut-être les Richard aussi, ajouta Monique, l’air de rien.

Delphine sourit à ces propos. Son plan avait marché…

Elle avait beaucoup réfléchi ces derniers jours sur ce qu’elle avait vu, ou plutôt surpris. Un moment déstabilisée, elle s’était ressaisie et elle avait analysé. Ses parents étaient des êtres de chair, comme elle. Ils aimaient faire l’amour, comme elle… mais peut-être un peu plus. Elle s’était remémoré leurs jeux, leur manière de faire durer le plaisir indéfiniment, de rester sous tension avec des pauses et des moments d’un érotisme torride alors que pour elle, l’acte d’amour était bref et intense. Elle avait surtout médité sur le comportement de sa mère, son pubis rasé comme pour faciliter le cunni, sa voix rauque de désir, son langage cru, son « Encule-moi » qui l’avait tant choquée sur le moment. Elle en avait déduit que dans l’acte sexuel, sa mère, comme son père, n’étaient plus tout à fait eux-mêmes. Ou plutôt, ils étaient différents et exprimaient la face un peu bestiale de l’être humain. Devaient-ils être condamnés pour autant ? Non, mais il y avait cette soirée échangiste en prévision ; et là, Delphine se sentait plus mal à l’aise car elle n’imaginait pas ses parents faire l’amour – ou plutôt baiser – avec d’autres. En même temps, elle ne savait pas ce qu’était une partouze et, au fond d’elle-même, elle avait envie de connaître ça. Après tout, elle était libre après sa rupture. C’était peut-être le moment ou jamais.

—ooOoo—

Son père la conduisit à la gare comme si elle devait partir. En fait, elle en profita pour visiter son amie Julie, qu’elle n’avait pas vue depuis longtemps. Elle aussi était en rupture et leur discussion porta pour l’essentiel sur l’ingratitude « des mecs ». Puis elle demanda à son amie de la reconduire discrètement chez elle. Elle était censée partir tout le week-end, mais son plan consistait à revenir au domicile parental en catimini, après les invités.

Ceux-ci étaient arrivés, à en juger par les deux voitures en stationnement devant la maison, quand Delphine se glissa dans la maison par la porte de derrière. Tout le monde était à table et, à l’oreille, l’ambiance semblait joyeuse, pour ne pas dire légèrement alcoolisée. Delphine se déchaussa et monta dans sa chambre sans bruit en attendant la suite des événements. Elle savourait à l’avance la surprise qu’elle allait faire à la compagnie. Les Martin, elle les connaissait depuis longtemps. Paul était un partenaire de bridge de son père. Elle se remémora un grand type aux cheveux argentés, très distingué. Manuella venait souvent à la piscine se baigner avec sa mère. Une belle blonde plantureuse aux seins aussi lourds que ceux de Monique avec laquelle elle faisait du topless. Elle connaissait moins les Richard. Lui, un petit homme costaud et trapu, invitait son père à chasser dans son domaine. Elle, une femme élégante et mince, à la belle chevelure blond vénitien, très BCBG, fréquentait sa mère elle ne savait trop où. Mais ces deux couples de quinquas bien sous tous rapports, jamais Delphine ne les aurait imaginés en train de partouzer, a fortiori avec ses parents.

Soudain, un remue-ménage se fit entendre. Delphine colla son oreille à la porte de sa chambre. Des gloussements se firent entendre dans le couloir. Delphine reconnut la voix de sa mère et une d’homme non identifié ainsi que d’autres personnes, mais pas son père a priori. Ils semblaient entrer dans la chambre parentale. « Et voilà, ça commence ! » se dit Delphine. Quelques minutes s’écoulèrent et elle n’entendit plus rien. « Ils ont dû fermer la porte. »

Alors, elle ouvrit très lentement la sienne, passa un nez dans l’entrebâillement. De fait, la chambre de ses parents était fermée. Elle se dirigea à pas de chat vers l’escalier, descendit quelques marches et jeta un œil dans le salon. Un couple se trouvait sur le canapé. Nu et en train de se faire des mamours tout en se branlant mutuellement. C’était son père et Mme Richard. Celle-ci astiquait le membre imposant de son paternel avec conviction puis se pencha et entreprit une fellation particulièrement subtile avec un habile jeu de langue autour du gland. « Mme Richard a de la pratique… » constata Delphine in petto. Elle ne put s’empêcher de sourire en voyant son père, la tête rejetée en arrière, visiblement en extase. Elle commençait à trouver cette pipe un peu longuette et s’apprêtait à remonter quand son père sortit de sa léthargie :

— Viens, on va les rejoindre à l’étage.

Delphine se dépêcha de rejoindre sa chambre et entendit les « Ahhhh… » des deux autres couples quand son père et Mme Richard firent leur entrée. Elle se demanda comment ils faisaient, vu que le lit de ses parents – certes vaste – devait contenir six personnes en pleine action. Bien que dévorée de curiosité, elle se maîtrisa quelques minutes. Il fallait attendre encore un peu.

Enfin elle se décida. Lorsqu’elle ouvrit la porte de la chambre de ses parents, la stupéfaction fut générale. De la part de Delphine d’abord, qui découvrit un méli-mélo de corps sur une surface réduite. Le sommier avait été relevé et repoussé dans un coin et deux matelas se trouvaient côte à côte à même le sol. Ce que Delphine vit en premier fut d’abord sa mère, prise en levrette par Paul Martin tout en suçant M. Richard. Mme Richard était allongée, les pieds autour du cou de son père qui limait lentement mais profondément tandis que Manuella, allongée entre ses jambes, lui léchait les bourses.

— Coucou tout le monde !

L’apparition de Delphine, vêtue d’un simple string et chaussée d’escarpins, figea les partouzeurs.

— Delphine ! Qu’est-ce que tu fais là ?

Monique, stupéfaite, n’avait rien trouvé de mieux à dire et René, qui s’était détaché brutalement de Mme Richard, commençait déjà à débander.

— Tu aurais pu frapper ! dit-il bêtement.

Heureusement, Paul Martin détendit l’atmosphère qui tournait à l’aigre :

— Eh bien Delphine, tu sais au moins à quoi t’en tenir ; et je vois que tu es dans de bonnes dispositions. Tu veux te joindre à nous ? Personnellement, je n’y vois aucun inconvénient.
— Oui, abonda M. Richard, pas la peine de se raconter des histoires, on est là pour baiser, et viens baiser avec nous, à moins que Monique et René soient contre, bien sûr.
— Et puis quoi encore ? intervint Manuella. Delphine est majeure, non ? Si elle veut s’amuser avec nous, elle est la bienvenue ; moi, je n’y vois pas d’inconvénient.

Monique et René n’avaient pipé mot, mais Delphine sentait bien que sa présence parmi les trois couples – dont celui de ses parents – était malvenue. Alors elle fit signe à Paul en agitant son index, d’un l’air de dire « Viens par ici avec moi. ». L’intéressé comprit tout de suite et rejoignit la jeune fille qui le prit par la main et l’attira dans sa chambre.

— Et moi, je peux venir aussi ? ajouta M. Richard, dont l’érection intacte témoignait de son enthousiasme.

Il est vrai que le corps mince et nerveux de la jeune fille, ses seins hauts plantés, sa vertigineuse chute de reins soulignée par le string, ses taches de rousseur et l’abondante toison pubienne couleur de feu qui débordait du mince tissu avait de quoi enflammer les deux quinquagénaires, que la perspective d’honorer une chair fraîche rendait particulièrement vaillants.

— Si vous voulez ; mais vous allez faire des déçues, ricana Delphine en regardant les trois femmes matures sur le matelas.
— Pas grave, dit Manuella, décidément bienveillante ; René fera l’affaire. Pas vrai, René ?

Mais la moue boudeuse de Monique et son époux en disait long sur leur état d’esprit. Leur fille venait tout simplement de gâcher leur soirée.

Sur son lit, Delphine se laissa tripoter par Paul et M. Richard qui, en hommes d’expérience, cherchaient surtout à ne pas l’effaroucher et la « préparer ». Mais ils avaient quand même très envie de lui enlever son string ; et quand Delphine s’en débarrassa elle-même avec grâce et souplesse, ils manifestèrent leur contentement.

— Regarde, Paul, comme c’est mignon, cette petite chatte ; tu ne crois pas qu’on devrait aller y voir de plus près ?

Paul glissa illico son mufle entre les cuisses de la jeune fille et entreprit un cunni d’expert. « En voilà un qui sait y faire, se dit aussitôt Delphine, pas comme ce couillon d’Éric qui ne sait même pas où est mon clito ! » Tout en se délectant de la langue de M. Martin, Delphine goba le pénis de M. Richard dont elle apprécia la consistance et l’épaisseur. Pour la première fois de sa jeune vie, deux hommes étaient en train de lui faire l’amour en même temps. Deux hommes mûrs qui connaissaient la femme, à en juger par leurs caresses et leur patience. « Avec des mecs de mon âge, ce serait déjà fini. » se dit-elle au bout d’une vingtaine de minutes de succion, M. Richard et M. Martin ayant interverti leur position.

— Es-tu prête pour l’étape suivante ? interrogea Paul Martin, dont l’érection était maintenant considérable.

Oui, Delphine était prête. Elle n’attendait même que ça. De l’autre côté du couloir lui parvenaient des gémissements féminins non identifiés mais dont son père, supposa Delphine, était à l’origine. Aussi, quand elle vit Paul Martin se munir d’un préservatif et se positionner pour s’enfoncer en elle, elle se mit sur les coudes et écarta les jambes, offerte et impatiente. L’entrée de la pine lui procura un bonheur ineffable et elle se mit à onduler du bassin avec frénésie, griffant les épaules de son amant. Paul Martin la pilonnait avec d’autant plus ardeur qu’il avait trop longtemps retardé sa pénétration, mais dut se retirer pour ne pas éjaculer prématurément. Il fut aussitôt relayé par M. Richard dont le pénis trapu laboura les chairs intimes et surexcitées de Delphine. Elle se mit alors à vocaliser, couvrant les gémissements de l’autre côté du couloir, ruant sous son partenaire comme une jument sauvage. M. Richard faillit lui aussi gicler et se retira en enserrant son sexe de sa main pour contenir le sperme.

— Bon Dieu, Paul, on a tiré le gros lot : quel coup ! ne put-il s’empêcher de dire, la voix rauque.

Alors les deux quinquagénaires adoptèrent l’attitude prudente que la frénésie de Delphine réclamait. Ils se relayaient en elle, un coup par-devant, un coup par derrière, un coup dessus, un coup dessous, l’un soufflant et récupérant pendant que l’autre limait, mais accusant peu à peu la fatigue alors que la jeune fille semblait fraîche comme une rose et toujours demandeuse. Mais qui allait jouir le premier ? Paul fit alors une suggestion à Delphine :

— Est-ce que tu connais la double pénétration anale-vaginale, mon petit ?

Non, elle ne connaissait pas, mais elle avait envie de connaître, avec deux hommes d’expérience comme eux.

Ils lui expliquèrent en quelques mots comment ils allaient procéder. M. Richard serait dessous pour qu’elle le chevauche et Paul la prendrait par son petit trou en levrette après l’avoir bien préparée. Avait-elle été déjà sodomisée ? Non, elle ne l’avait pas été ; mais pourquoi pas ? Elle repensait au « Encule-moi » de sa mère et ne voulait surtout pas être en reste.

Après un bref moment de tâtonnement, le trio trouva son rythme et Delphine ne tarda pas à ressentir un plaisir intense, inouï et surtout inédit. Elle ne criait plus : elle gueulait son plaisir. Devant tant de générosité et d’allant, les deux hommes se sentirent pris au cervelet et jouirent l’un après l’autre dans leur capote, comblés par ce corps de rêve et par cette baiseuse au talent fou. « Elle tient bien de sa mère… » se dit Paul. La triple explosion laissa les deux quinquas rincés et rigolards. Delphine, elle, en aurait bien remis une couche ; elle se sentait même dispo pour un gang-bang, mais il n’y avait plus un mâle en état de marche dans la maison. Alors elle enfila un tee-shirt long et descendit à la cuisine pour se désaltérer. Sa mère était là, en peignoir, en train de fumer une cigarette. Pensive.

— Ah, te voilà, toi ! lança-t-elle à sa fille.
— Eh ben oui, me voilà, y a un problème ?
— Non, à peine : tu surgis dans la maison sans prévenir, tu nous surprends dans notre intimité et en plus, tu te fais sauter par nos amis sous notre toit.
— Ah ben oui, c’est vrai que vous étiez en train de jouer à la belote…
— Oui, nous sommes échangistes ; et alors, ça te choque ?
— Quand je m’en suis aperçue, oui, ça m’a un peu choquée ; mais finalement, je reconnais que c’est bien agréable si on n’y accorde pas plus d’importance que ça n’en a.
— Eh bien, tu vois ? Bon, allez, on ne va pas passer le réveillon là-dessus. Fais ta vie, on fera la nôtre et va te coucher ; tu as quand même les yeux un peu cernés.
— Tu ne t’es pas regardée, maman.

Monique éclata de rire. La glace était rompue. L’épisode serait enterré quelque part dans leur cerveau dont la capacité d’oubli est insondable. En remontant, Delphine croisa les deux couples (rhabillés), leur fit la bise comme si de rien n’était et courut se glisser sous la couette. Et elle fit de beaux rêves.

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