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prof coquine

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Je me préparais pour aller faire mes cours. J’étais prof de math, la trentaine et sans me vanter, plutôt séduisante. J’enseignais à des classes de seconde. Il faisait chaud, on était vers la fin de l’année. J’enfilais donc une jupe noire, et un petit chemisier blanc. Je regardais mon emploi du temps avant de partir : je commençais par 2h avec ma classe préférée de seconde. Chouette ! Un dernier bisou à mon chéri et je partis donc dans ma twingo verte. Quand j’arrivais je sentais la chaleur de l’été sur ma peau. C’était si agréable.

Je commençais mon cours avec des élèves étrangement excités, sans doute les vacances qui approchaient. Je demandais aux élèves de sortir leurs affaires, puis je fis, comme chaque jour, des calculs mentaux. Vu que c’était la fin de l’année, j’en proposais des faciles.
« – Quentin, 5×5 ?
– 25 M’dame ! Comme la longueur de la mienne quand je vous vois !
– Quentin ! Ton carnet ! »
Quelle arrogance ! J’étais choquée, lui qui était si sage d’habitude, cela ne lui ressemblait pas ! Quand il m’apporta son carnet, il me fit un clin d’oeil. J’étais,? Troublée. Pendant tout le reste du cours, il faisait des allusions sexuelles, et me regardait intensément, moi ou ma poitrine. Ce garçon m’excitait mais au fond de moi, je n’avais pas le droit, je le savais, je pourrais aller en prison. Quand la cloche sonna, je me détendais enfin. C’était la récréation, je m’asseyais à mon bureau et soufflais, sauf qu’il était là, il m’attendait. Une fois que tous ses camarades furent sortis, il s’approcha de moi. Me dit qu’il n’avait pas compris un exercice, mais je voyais bien que ce n’était pas ça qui l’intéressait.
« – Écoute Quentin, on a pas parler de cela du cours, dis moi ce qui te tracasse vraiment, tu as des problèmes ?
– Oui, me confia-t-il
– Ah, et lesquels, tu veux te confier ?
– Ben, j’ai fais un pari, et je compte bien le tenir
– Et, quel est le p…
– Vous baiser madame, vous baiser. Et croyez moi je ne renoncerais pas, je sais que vous me trouvez tout à fait à votre goût, je sais que vous avez envie de moi et que la seule chose qui vous retiens c’est notre relation prof-élève, allons, laissez vous faire, personne n’en saura rien Camille, je peux vous appelez Camille, c’est bien votre nom ?
– Que, quoi, qui, ? Non ! Quentin ! Voyons ! Non mais pour qui tu te prends !
– Allons, laissez vous faire ! »
Et à ces mots, il me prit de force par le coup avec sa main droite, m’embrassa et me caressa la poitrine en même temps. Je le repoussais vivement.
– Hmmm, un bon 90C, je me trompe ?
– Je, je, je vais porter plainte !
– Allons, vous ne refuseriez pas un 25 cm Camille ? Ne faites pas la difficile.
A ces mots, il partit. Je m’effondrais, ne sachant que faire. Cela m’excitait terriblement, et pourtant. Le soir, chez moi, je n’arrivais pas à dormir. Ne pensant qu’à mon envie de lui.
– Le lendemain, je mis un pantalon. Avec le même chemisier mais avec un tee-shirt en dessous, j’aurais chaud, mais tant pis. Quand j’arrivais, c’est lui que je vis en premier. Il était là, me regardait et fumait.
– Quentin Lucas ! Cigarette interdite dans l’enceinte du lycée ! Suivez moi !
– Oui madame ! Dit-il avec un grand sourire narcissique.
Et ne faites pas le malin je vous prie.
Quand je voulus emprunter les escaliers, il me dit :
J’peux pas prendre les escaliers madame. J’ai une boule au pied, faut que je prenne l’ascenseur.
Partagée entre la peur et l’excitation, je pris l’ascenseur avec lui. Il me regardait avec insistance. Je rougissais, je savais qu’il le voyait. A ce moment, je ne sais pas ce qui m’a pris, je lui ai dit :
– Tu es très bien habillé aujourd’hui.
– Merci, répondit-il. Vous, vous êtes habillée plus chaudement qu’hier. Pourquoi ?
– Cela ne te regarde pas !
Puis, une légère secousse retentit, l’ascenseur qui était censé être au deuxième étage affichait « 8ème étage », alors qu’il n’y avait que 4 étages.
– Mademoiselle Camille, je crois que nous sommes en panne !
– Oh non, non ce n’est pas possible ! Dis-je en appuyant sur toutes les touches.
– Oh, c’est trop bête !
– Toi, tais-toi !
J’étais complètement paniquée ! Que faire !? La seule chose qui me passa par l’esprit était de m’asseoir, ce que je fis donc. Personne ne parlait. Il faisait de plus en plus chaud, je réfléchis à deux fois avant de le faire, mais j’enlevais mon chemisier. Il ne me restait que mon tee-shirt, je m’aperçus que je n’avais pas mis de soutien-gorge. Quelle idiote !
– Camille, tu as chaud ?
– Je t’interdis de m’appeler Camille et encore moins de me tutoyer jeune homme, quand nous sortirons tu fileras directement chez le proviseur ! Et oui, j’ai chaud !
– Désolé, je pouvais pas savoir.
Il s’assit à mes côtés. J’avais chaud, ma tête me tournait, je voyais tout flou. Je fermais les paupières puis, plus rien.
Quand je me réveillais, j’avais froid, mais une douceur m’envahissait. Après avoir retrouvé mes esprits, je me rendis compte que j’étais nue. Je relevais la tête et je vis celle de Quentin entre mes jambes. Je ne savais que dire. Je ne dis rien. Je posais ma main sur sa tête pour l’encourager à continuer et me stimulais le clitoris avec mes doigts. C’était mal, je le savais, mais après tout, peu importe.
– Mademoiselle Camille, vous n’êtes pas fâchée ?
– Non, j’ai envie de tes 25cm depuis le début de l’année. Maintenant, promets moi simplement de ne rien dire à personne.
– Promis !
Il me mis un gros coup de langue dans la chatte. C’était si bon. Je me mis à genoux, il se mit debout et sortit son sexe, il n’avait pas menti, il y avait bien 25cm, voire plus. Quel jeune homme bien monté ! Je me mis à le sucer, sa queue était meilleure que toutes celles que j’avais bien pu avoir en bouche !
– Oh, c’est trop bon, t’es trop bonne. Ma première pipe ! Ma prof de maths, vas-y continue salope, cochonne t’aimes ça hein ! Elle est bonne ma queue ! Allez, allez contin…
– Tais-toi et laisse toi faire petit cochon prébubert !
– Ça veut dire qu…
– Chut j’ai dit !
Il éjaculait rapidement dans ma bouche. J’avalais tout aussi rapidement. Je lui dit de me prendre par tous les trous.
– Mais, à vrai dire, je sais pas comment on fait, c’est la première fois tu comprends ?
– ENFONCE TOI EN MOI ! C’est tout !
– Ok, ok !
– Vas-y !!!!! J’en peux plus je mouille trop !
Il n’hésita plus, et entra dans ma chatte toute mouillée comme une brute ! J’hurlais de plaisir. Il s’empalait en moi en émettant des râles de plaisir. Tout à coup, je sentis une semence chaude à l’intérieur de moi.
– T’as éjaculé !?
– Oui, pourquoi ? T’es trop bonne comme meuf sérieux !
– T’as pas mis de capote ?
– Ben nan ! Tu m’as pas dit d’en mettre !
– Mais ça paraît évident ! Lui hurlai-je dessus.
Je me rhabillais, en colère, fouillais dans les poches de son pantalon, pris son portable et appelais la secrétaire pour lui dire que nous étions en panne. 15 minutes après, nous étions sortis d’affaire. Maintenant, il fallait que je fasse un test de grossesse.

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