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Le Séminaire – Chapitre n°12 – Fin

Le Séminaire – Chapitre n°12 – Fin




Assise dans la baignoire, le jet de la douche me tombe en pluie sur le corps, je me repose et réfléchi dans l’écume et la vapeur chaude de l’eau qui ruisselle sur moi…
Dans cet écrin protecteur, je pense à Sam, mon chéri qui me manque. J’ai tant besoin de lui et de lui parler…mais j’ai aussi tellement peur de le décevoir…
Mes actes, mes pensées et même mes désirs, tout mon esprit mélange ce qui est bien de ce qui est mal…

L’heure tourne et contrainte et forcée, je me relève pour me préparer en vue de la soirée…

A côté du bac de linge sale, j’observe mes vêtements, et particulièrement ma culotte avec la semence de Philippe… comment ais je pu accepter que ce vieux porc reste en moi ?…
Prenant mon portable en main, je compose le numéro de Sam. Mais évidemment je n’obtiens que le répondeur…
Je lui laisse un message, et le complète par un sms « Appelle moi, c’est important et urgent, je dois te parler ! Je t’aime.»

Me préparant et m’habillant je choisi une robe bleu sobre a bretelles et escarpins assortis, (une robe d’été classique) avec un gilet de laine en guise de couvre épaules. Je prépare dans ma tête les mots que je veux dire à Sam… Lui dire ce que j’ai fait et subi. Lui dire aussi que j’ai honte mais que je l’aime et que j’ai hâte qu’il revienne et que tout cela finisse.

Enfin prête, maquillée et parée de quelques bijoux, j’attends dans le salon que la voiture de Cédric arrive…surveillant mon portable et espérant que Sam me réponde.

19h50 : La berline sport au losange (pour ne pas citer de marque) de Cédric stationne devant la maison et je sors sur le palier pour le rejoindre. Voyant Sarah assise devant, je me dirige vers l’arrière pour prendre place mais y découvre avec surprise Thomas, l’ingénieur de STEIN.

Moi : (surprise) « Heu… bonsoir,… Bonsoir Thomas… vous êtes aussi de la fête ce soir ??
Thomas : Oui, ce n’était initialement pas prévu, nous avons été conviés par Philippe, votre chef, et donc j’accompagne M.KLEIN qui doit nous rejoindre plus tard.
Cédric : Oui, papa… enfin je veux dire Philippe a prévu la petite fête pour nous tous ce soir afin que ce contrat soit le point de départ pour une longue collaboration entre nos 2 sociétés.
Moi : Ok… ben pourquoi pas… nous allons où ??
Cédric (souriant) C’est une surprise… »

La voiture prend la route et roule environ 15 minutes en ville avant d’arrivée devant un petit restaurant italien isolé… La soirée est conviviale et l’ambiance sympathique. Durant l’apéritif au champagne, les honneurs et félicitations à l’équipe du projet sont rendus moi recevant des fleurs et les hommes une bouteille de vin. Les discussions sont simples et nous évoquons des souvenirs du projet et du séminaire comme la soirée dans Paris ou le congrès, des futurs projets à venir et des perspectives d’avenir dans les 5 prochaines années. Nous parlons de tout sans entrer dans les détails…
Le champagne me tourne un peu la tête, et la fatigue n’aide en rien ma digestion déjà difficile.
Juste avant de passer commande pour le repas, M. KLEIN nous rejoint et salue l’ensemble de la table. Poliment, les dames de la table, moi y compris, nous levons et lui accordons une bise amicale de bienvenue. Seule différence pourtant à mon égard, M.KLEIN pose sa main sur ma hanche voir ma fesse, plutôt que mon bras comme pour les autres filles.
Pâtes, Pizzas…nous commandons un peu de tout que nous partageons entre nos assiettes…personnellement, j’aurai préférée une salade (plus légère à digérer) pour la soirée. Mais ne voulant pas me démarquer du groupe, je suis le mouvement et participe aux plats plus riches… Le vin et le « Lambrosco » coulent à flot…et rapidement ma migraine revient m’obligeant à quelques absences aux toilettes pour me rafraichir.

La soirée avance, et naturellement, l’alcool aidant, l’ambiance devient plus chaleureuse que nécessaire.
Les hommes un peu graveleux, taquinent les femmes qui minaudent…
Cédric en bout de table est pratiquement ivre, et tiens un vocabulaire très imagé voir obscène, mais vite repris par Philippe, il se calme et commence à embêter Sarah a côté de lui qui le repousse poliment.

Apres le repas et avant le dessert, certains en profites pour prendre l’air dans la cour et faire une pause cigarettes. Cette coupure arrivant a point nommé, les esprits se calment et je profite aussi de ce moment pour sortir et marcher.
Consultant mon portable, je n’ai toujours pas de nouvelles de Sam.
Sarah, non loin, se laisse plus facilement embrasser par Cédric.
Ce petit couple est beau a regarder, il me rappel mes jeunes années avec Sam et notre insouciance…
Seule, je marche et tourne en rond, visitant les lieux… L’air frais du soir et quelques cachets m’aident à faire passer mes maux de ventre persistants. En arrière des cuisines, je remarque un petit chemin menant à un bassin et un banc de pierre, un coin sans doute privée du patron ou les VIP du restaurant pour les soirs d’été. L’endroit semble paisible et romantique et toujours curieuse de nature, je m’aventure discrètement dans le jardin privé. La nuit est claire… et je rêve d’avoir un endroit pareil dans mon jardin, pour mes soirées avec Sam…

Dans la pénombre, j’avance, malheureusement l’alcool ne m’aimant pas, je trébuche sur un pavé et m’étale au sol en me tordant la cheville et m’éraflant le genou.
La douleur est vive…et même si j’arrive à me remettre debout rapidement, je n’arrive pas à poser le pied par terre correctement.
M.KLEIN, fumant non loin, me voyant boiteuse, s’approche et m’intercepte.

M.KLEIN : « Alors, madame Estelle, vous allez bien ?
Moi : (surprise de sa venue). Heu, oui ! Oui, je suis juste tombée dans le noir mais sinon ça va.
M.KLEIN : Faites-moi voir cela…
Moi : Non, c’est bon ça ira… c’est juste une égratignure… et puis j’ai un peu trop bu aussi.
M.KLEIN : J’insiste ! Venez, il y a un banc par là. On va s’y assoir un moment.
Moi : Non merci, je vous dis que c’est rien et puis il y a le dessert qui nous attend.
M.KLEIN : Comme vous voudrez. Mais désinfectez au moins la plaie.
Moi : heu…oui bien sûr, j’ai ce qu’il faut dans mon sac.
M.KLEIN : Venez-vous assoir… »

M.KLEIN prévenant, me tient par le bras et m’aide à avancer jusqu’au banc de la petite cours (en arrière cuisine)…
Il semble connaitre les lieux, et ironiquement, en passant par le chemin, je lui dis que c’est ici que je suis tombée et qu’il faut faire attention car certains pavés glissent.
Sans rien dire, il me sourit et me confirme que c’est un bel endroit.
Sur le banc, à la lumière du lampadaire du bassin et de la fontaine, il m’installe et s’accroupi devant moi pour regarder mon genou rouge de sang et le soigne.
Confuse, je n’ose rien dire lorsque ces mains remontent ma robe sur la moitié de mes cuisses, exposant ma peau blanche et frêle à la lumière pâle du lieu.
Voyant que je ne le repousse pas, il s’approche encore un peu, et délicatement caresse ma peau subtilement dénudée. Son regard d‘un bleu intense me fixe comme pour m’hypnotiser tout en faisant avancer ses mains vers mes flans.
Perdue dans ses yeux, je ne réalise que trop tard que ses mains sont complètement remontées sous ma robe et me tiennent maintenant les fesses et les hanches. Très délicatement ses doigts effleurent ma peau puis progressent sur les bords en dentelles de ma culotte comme pour me la retirer. Pourtant je ne bouge pas… ne me défends pas… Subjuguée par son regard.

Derrière moi, dans la pénombre et le silence, une ombre glisse et approche. Un frisson me parcours la colonne vertébrale, lorsque des mains aussi légères que des plumes touchent mes cheveux et se posent sur ma nuque avant de déplacer les bretelles de ma robe sur mes bras libérant et découvrant mes épaules.
Mon regard dans celui M. KLEIN, je n’entends que le bruit de l’eau de la fontaine. Impossible de réagir ou de penser (serais-je droguée ?). L’ombre derrière moi, dégrafe mon soutien gorge puis le crochet de fixation de la robe dans mon cou, avant de poursuivre centimètre par centimètre la libération de ma poitrine et mon dos. Descendant tres lentement le haut de ma robe sur mon ventre, il jubile de découvrir mes seins blancs, lourds et ronds qui apparaissent dans la lumière blême du lieu. Nue et offerte, je reste sans réactions, seul mon fin collier de perles posé entre mes seins me sert de protection.

La brise de la nuit et l’humidité de l’air provenant du bassin me font frissonner dans une caresse. Devant le regard ravi de M.KLEIN immobile et spectateur ma poitrine se dresse et pointe comme a 20 ans.
Sans comprendre, je me laisse faire, envelopper par son regard et la douce chaleur naissante dans mon corps. L’ombre dans mon dos me caresse encore la nuque, puis mes flancs avant de venir prendre délicatement mes seins et les présenter à M.KLEIN devant moi…
Celui-ci s’avance, les embrasses et les lèche tel un nourrisson qui prend la tétée. La douce chaleur de sa bouche m’enivre et sous la caresse du jeu subtile de sa langue jouant sur mon téton, ma respiration accélère. Seins tendus en avant, je me laisse porter par le plaisir. Derrière, les mains de l’ombre me frôlent le cou, me touchent la gorge et me pincent mais je ne ressens aucune douleur moi qui suis pourtant si sensible.

Doucement, me tenant les bras, je sens que l’on me soulève du banc …afin de facilité l’effeuillage de mon corps… Comme en apesanteur et légère, les mains toujours sur mes hanches commencent à bouger sous mes fesses et je vois que l’on me retire ma culotte, la dentelle glissant sans effort sur la peau blanche de mes jambes.
Délicatement, je regarde la scène, comme exclu de mon propre corps.

M.KLEIN, devant moi, range son trophée de lingerie. Doucement, ses mains écartent sensiblement mes cuisses et remonte ma robe vers mon ventre, repoussant davantage l’étoffe pour qu’apparaisse le haut de mes cuisses, mon intimité et ma toison fine dans la lumière du réverbère. L’homme (ombre) derrière moi, me tiens par les épaules et effleure ma peau, dessinant délicatement les courbes de mes seins tout en affolant mes tétons.
Je me sens si bien… trop bien…l’envie de faire l’amour me prend au corps.

M.KLEIN : (murmurant) « Doucement, doucement Thomas, ne la réveille pas… on va la coucher sur le banc…
Thomas (murmurant aussi) OK… Elle est trop belle comme ca… »

Suis-je éveillée ? Endormie ? Je ne sais pas,… je vois la scène… les 2 hommes m’allongeant doucement sur le banc de pierre, M.KLEIN glissant son visage vers mon sexe et l’ombre (Thomas) près de mon visage jouant sur ma poitrine…
Je me laisse faire… c’est si doux, si bon, si délicat.
Mon corps, à l’inverse de mon discernement, ne semble pas endormi, les lèvres de M.KLEIN m’embrassent le ventre puis glisse vers ma fine toison, sa langue joue sur mon clitoris et entre mes lèvres qui s’ouvrent instinctivement. Le frisson parcours tout mon corps…l’envie de plaisir grandi à chaque seconde… je me voute, cherchant un souffle d’air… courbant le dos, je présente mes seins au ciel, et Thomas ne se gêne plus pour les embrasser…
Entre leurs bouches, je me laisse guider…emporter par les ondes du désir.

Cela dure un moment, puis ils inversent leurs places… toujours dans le silence de la fontaine, je les laisse me couvrir de baisers et de tendresse.
Thomas est excité, il guide ma main sur la tige de son sexe déjà fort bandé et m’impose de le branler… ce qu’inconsciemment je fais… M.KLEIN près de mon visage, me présente son sexe sur le bout des lèvres…et d’instinct je l’embrasse délicatement, sortant même le bout de ma langue sur son frein…
Les actes deviennent plus précis encore. Thomas passe mes jambes de chaque coté du banc et m’ouvre maintenant les jambes largement. Ma robe enroulé sur mon ventre comme une ceinture, il profite de la vision de ma vulve ouverte, ma toison fine et ma peau blanche ainsi que de ma poitrine qui pointe au ciel… Il me lèche un peu, me touche de ses doigts doucement et effleure parfois mon anus fragile et palpitant…
Les mains de M.KLEIN, elles, me pressent les seins… tirent mes bouts et les écrasent, il passe son gland rond et dur dessus, se masturbant sans pudeur…

Mais il veut plus, après un baiser échangé, sa langue fouillant ma bouche pour me rendre plus réceptive, il guide d’une main mon visage vers son sexe et me l’offre à sucer….
Il est doux, sucré et amer à la fois. Les lèvres ouvertes, j’accueille son gland qui se décalotte sur ma langue puis le laisse entrer sans résister. Il gémit par la chaleur de l’antre qu’il possède. Il coulisse dans ma bouche en douceur… son mat veineux me remplis et va loin mais il ne force pas…il se contente de prendre du plaisir par ma fellation…
Thomas, qui bande férocement, quitte ma main pour venir se mettre entre mes jambes relevées… tres doucement, il me tient les hanches, se place tout contre moi et je sens son sexe ouvrir le mien… il est massif et viril… presque trop large pour mon ventre. Sans convictions, sans force, ma main sur son torse cherche à le repousser, mais je le laisse faire et gémis sous son intrusion…la bouche pleine de M.KLEIN… prise entre eux… je me laisse aller, le plaisir est intense… mes reins et mon ventre palpitent, ils me possèdent, allant au plus loin dans mes orifices … mon cœur bat fort dans ma poitrine… je suce et aspire le chibre que l’on m’offre tout en me cambrant pour mieux sentir celui qui me pénètre. Chaque pousser en moi me donne l’envie de crier mais seulement des gémissements résonnent dans ma gorge…le plaisir est totale.
Cela ne dure pas longtemps. L’onde de choc est terrible… un orgasme jailli au creux de moi, me terrassant littéralement, je gémis et tremble les laissant toujours en moi profiter de mes spasmes…
M.KLEIN grossis un peu plus encore, il me tient la tête tout en pinçant l’un de mes seins je le sens approcher de la jouissance… mais au moment où je pense qu’il va jouir, c’est en réalité Thomas qui inonde mon ventre par de puissant jet brulant….
M.KLEIN voyant le spectacle et son ami, ne résiste plus et me donne son foutre jusque dans la gorge, m’obligeant a déglutir chaque saccade crémeuse.

Encore endormie, ou devrais-je dire à demi consciente… je reste nue et allongée sur le banc pendant que mes 2 amants s’éloignent…
Mon corps reste totalement nu et disponible, offert à la vue de tous… malgré le risque, je ne réagis pas, comme envahi par un bonheur permanent et une zenitude relaxante.

Quelques minutes se passent où je reste ainsi… nue et seule…. Le regard plongé dans le ciel étoilé. Puis, sans doute prévenu par M.KLEIN, Philippe et Cédric arrivent sur les lieux et me trouvent… D’abord inquiets de me voir ainsi, ils m’aident à me relever… mais Cédric toujours très alcoolisé propose à son père d’en profiter avant que mon réveil ne soit complet…
Philippe, hésitant un instant, décline l’offre mais se propose de faire le guet s’il y tient vraiment…

Philippe : (chuchotant) « Fais ce que tu veux… mais fais le vite… moi je l’ai déjà baisé cette après-midi de tout façon.
Cédric : ahhh ok… je m’en doutait… vu le temps que vous avez mis dans le bureau.. ha ha»

Cédric, survolté et surexcité me porte à nouveau au banc, il me malaxe les seins sans tendresse, m’arrachant des plaintes de douleur… puis il sort sa queue pour me la faire sucer. Malheureusement avec l’alcool il a du mal à bander, et pour se motiver, m’insultes et de jure tout en caressant mon visage avec sa bite semi molle…

Cédric : « Ouvre ta bouche salope… bouffe… allez la bourge… suce ma queue…. Tu vas me sucer connasse. Tu as un collier de pute… alors suces moi putain…»

A bout d’énervement, il force ma bouche et me fais gober son champignon (son gland). Évidemment sous l’effet de la chaleur et de ma salive, il commence à grossir et progressivement son sexe durci, prenant même une taille importante et considérable entre mes joues.
Son engin en forme, il bute vers ma gorge tout en me coinçant la tête à chaque coup de rein plus profond… plusieurs fois la nausée me prend et j’étouffe.
Mais toujours insatisfait, il se retire, relève ma robe qui le gène et me place à califourchon sur le banc. La froideur de la pierre au contact de ma peau me fait sursauter et je pousse une plainte de désaccord qui le fait rire. D’abord devant moi, il m’observe, se masturbe devant et sur mon visage et ma poitrine et joue avec ses doigts sur mon ventre…. Puis passant dans mon dos, il m’incline sur le banc pour me mettre a plat ventre et que mes fesses se tendent vers lui.

Sans le vouloir, ma poitrine et le ventre écrasés sur le banc, je vomi sur le sol… Mais Cédric trop concentré sur la vision de mon cul offert ni prêtes pas attention…
Relevant complètement ma robe sur mes reins, il m’écrase un peu m’immobilisant les bras dans le dos et je sens maintenant que son pieu se dirige vers mon antre humide et chaud…
Sans attendre, sans douceur, il me plante son engin dans la chatte, m’arrachant un cri de surprise et de dégoût. Il force un peu et coulisse, puis se retire…

Cédric : « Putain, elle est déjà pleine de sperme…
Philippe : Moins fort abruti, c’est sans doute encore ma dose de cette après-midi, ou KLEIN ou Thomas qui l’on baisés avant. Dépêche-toi…
Cédric : Petite salope tu aimes ça te faire baiser… je vais t’en mettre aussi. Tu vas voir.
Moi :(somnolente) MMmm non…pas…no… qui.
Cédric : Bouges pas…je vais te mettre la dose. »

Enfonçant à nouveau son pieu dans mon ventre, il m’agrippe par les cheveux pour me relever et voir mes seins sauter en cadence à chacune de ses pénétrations puissantes, puis me relâche avant de me pistonner énergiquement s’appliquant à y mettre toute sa longueur, claquant son ventre sur mon cul. Ecroulée sur la pierre froide, je sens ses mains posées dans la cambrure et les fossettes de mes reins, il se délecte de mon corps soumis sous lui, plongeant son chibre dans mes entrailles brulantes et m’arrachant des gémissements à chaque coup de queue.

Cédric : « Bouges pas ma salope, je vais t’élargir le cul aussi…
Moi : (a peine lucide) Noooo pas… no.. »

Ne pouvant me défendre, Cédric se retire de moi et pointe son dard sur mon œillet fragile. D’une main j’essaie de le pousser mais peine perdue, lubrifiée par ma mouille et le sperme de Thomas, le sexe de Cédric force ma rondelle qui ne résiste pas sous la pression. Son champignon, plus gros qu’avant s’engouffre dans mon cul me coupant la respiration et m’arrachant des larmes…
Il ne bouge pas, laissant l’intrusion s’adapter, mais progressivement je le sens forcer et entrer, un centimètre apres l’autre. Je ressens son gland rond me forer, sa queue énorme et veineuse me remplir… la douleur est vive et je serre les dents autant que les paupières le laissant progresser et m’ouvrir le corps en 2.

Cédric : « ha putain.. Tu es serrée, je vais vite cracher… je sais que tu aimes te faire enculer… mmmm… c’est bon.
Philippe : CHUuuut imbécile. »

Cédric planter dans mon intestin, en appuis sur mon bassin et m’écrasant les seins sur la pierre, commence un long et méticuleux va et viens… allant de la corolle de son gland jusqu’à la butée de ses couilles sur ma fente ouverte…
Durant un moment, il me fore et me lime doucement puis de plus en plus vite, la douleur est intenable, et mes gémissement se mêlent à mes sanglots.

Cédric : « Mmm… salope je viens.. Je vais te bourrer et farcir l’oignon… je viens… tu sens…arghhh »

Je suis anéanti, a demi consciente et même spectatrice de mon propre corps sodomisée de force et secoué de spasmes,… je sens Cédric grossir en moi et élargir mon cul jusqu’à la limite de la rupture…
Il pousse encore, écartant mes fesses et plantant sa poutre jusqu’à la garde en moi… puis un geyser de foutre inonde mes entrailles…
Au-dessus de moi, il tremble et grogne comme un a****l en rut…me poignarde encore de sa queue en éjaculant à flots épais…
Mon corps souillé et humilié, se crispe et je le sens encore plus fort en moi…. Sans prévenir, mes reins se courbent comme pour le retenir et une onde transperce mon bassin, me faisant jouir à mon tour…

Cédric, se retire de moi en ricanant … mou et satisfait, il admire sa semence au fond de mon cul béant … Philippe, reviens à nouveau et me relève…
Il me rhabille, essuie les souillures de son fils et remet ma robe en état afin de me porter dans la cours du restaurant…
La marche et l’air frais me réveillent doucement, étrangement mes souvenirs s’effacent et je ne me souviens plus de ce qui s’est passé.
Assise sur un transat, je retrouve péniblement mes esprits… A côté de moi Sarah me tiens la main et me parle….
Il me faut un peu de temps pour la comprendre…et lui répondre.

Sarah : « Allo Estelle, réveille-toi… allo
Moi : Quoi ? Comment ?
Sarah : A enfin, tu nous as fait peur, tu t’es évanoui dans la cours il y a 30 minutes… tu vas bien ?
Moi : Heu oui ??? Pourquoi ? Je marchais et puis…
Sarah : et puis boom… comme un masse…Tu as a mélangé alcool et médicament, le toubib vient juste de partir… »

Sarah, Thomas, Philippe et tous les membres du groupe m’encerclent et me regardent…

Aurais-je rêvé ?
Tout cela fût il réel ?

Apres cet épisode trouble, Philippe et Sarah, m’aide à marcher et me portent jusqu’à la voiture que Cédric vient d’avancer. Nous partons et je somnole durant tout le trajet, ne comprenant rien de leur conversation.
Arrivé chez moi, Sarah m’aide à rentrer dans la maison et me conduit jusque dans la chambre. A demi consciente et ivre, je la laisse s’occuper de moi, sans réaction, les yeux dans le vague. Doucement ma robe quitte mes épaules et tombe à mes chevilles, puis le reste disparait aussi. Je reste nue devant elle, sans savoir ce que je dois faire ou dire… Nous nous regardons brièvement puis elle m’allonge sur mon lit et me couvre avant de s’éclipser.

Sarah : (m’embrassant) « Bonne nuit ma belle. Dommage que tu ne sois pas lesbienne. Notre petit moment me manques. Chutttt. Bonne nuit… »

Assommée de sommeil, je ne comprends pas ses mots…. Et m’endors immédiatement. La porte au rez de chaussée claque, et je devine qu’elle rentre chez elle avec Cédric…

Vendredi, le lendemain : Le soleil, à travers la persienne du volet, éclaire ma chambre…mon mal de tête est toujours présent et mes nausées avec.
Sortant du lit, il me faut presque un quart d’heure avant de pouvoir me marcher et tenir debout sans tituber. Me dirigeant aux toilettes, je n’ose regarder le reflet de mon visage dans le miroir de peur de voir le désastre de la nuit.
Assise sur la cuvette, je me tiens la tête, je pense ou du moins essais de me souvenir de la soirée passée… mais rien ne viens…j’ai juste mal aux cheveux et au ventre…comme après une forte cuite. Pourtant je ne me souviens pas avoir abusé de l’alcool non plus.
Quelques crampes me fendent le ventre et je me vide complètement. Retenant mes nausées à cause de la forte odeur, une diarrhée me libère les intestins…
Pensive, physiquement épuisée, je m’interroge sur mon état physique…
Mais cela est de courte durée, car mon estomac, jaloux sans doute de mon cul, souhaite aussi se libérer d’un trop plein…
A genou, sur le carrelage, je vomi… je me sens vidée et épuisée…
Me glissant dans la baignoire… je me rince le corps afin de me remettre d’aplombs.

Une petite demi-heure après, je ressors, propre mais toujours fatiguée, comme malade d’une gastro. Rapidement je me sèche et soigne l’égratignure de mon genou. Au loin mon téléphone sonne, mais je n’ai pas la force de courir pour y répondre…
Nue dans le couloir, je retourne doucement dans la chambre, cherchant quelques affaires, je remarque que ma robe bleu est posée sur un cintre sur l’armoire… chose que je ne fais jamais, et qui me confirme que l’on m’a raccompagné hier soir.
Elle est un peu froissé au niveau de la ceinture, mais n’est pas sale ou abimée. Plus loin mon soutien-gorge est posé sur une chaise, mais je ne retrouve pas ma culotte en dentelle. Etrange ???

Aujourd’hui, le ciel est clair, comme chaque jour… il va être presque 9h20 quand je réalise être en retard pour le travail. Mais bon je m’en fiche un peu…
Je m’habille rapidement et retourne me coiffer et me maquiller dans la salle de bain. Et comme je le prévoyais, mon image fait peine à voir.
Dans mon sac à main, mon portable sonne de nouveau… et s’éteint rapidement. Je le consulterai plus tard.

Le café en main, je m’installe à la table de la cuisine. Je me fixe de partir pour 10h…
Mon sac pas loin, je cherche mon portable… quelques appels en absence dont un de Sam et 2 SMS non lu depuis 6h ce matin.

Sam (SMS) : « Tiens le coup, je ne t’en veux pas… je t’aime… »

Comment devine-t-il mes doutes et mes peurs, lit-il dans mes pensées ???

Gérard :(SMS) « Bonne nouvelle…nous avons nos éléments et votre dossier sera réglé rapidement. »

Les appels en absence sont du bureau dont l’un du portable privé de Sarah…mais n’ont aucuns messages. (Certainement pour me signaler mon retard comme à chaque fois).

Finissant mon petit déjeuner, et après avoir pris encore un cachet contre mes maux de ventre et de tête, je prends mes affaires et pars pour le boulot.
Arrivée au bout de la rue, je remarque un véhicule de police, mais ne m’en fait pas outre mesure puisque je ne roule jamais au-dessus des limitations.
Sur le parking privé de la société, s’alignent les véhicules de mes collègues et de la direction, ainsi que 2 SUV blanc devant les portes de sortie principale et de secours.

Stationnant, et coupant le moteur, je me dirige vers les locaux et me stoppe net dans le sas d’entrée en reconnaissant Kévin (avec un plâtre au bras) et Gérard dans l’open-space discutant avec Philippe. Plus loin, Sam (que je n’ai pas revu depuis le samedi) cherche des documents dans les bureaux.
Ce retour serait-il le grand retour ? Serais ce pour aujourd’hui ? Enfin la fin du calvaire ?
J’entre, tremblante comme une feuille dans l’espace, et le silence se fait.
Cédric et Sarah sont dans la salle de réunion et semblent isolés avec d’autres personnes.

Sans quitter le groupe d’homme, Sam se retourne, me regarde et me sourit… j’ai envie de crier ma joie, mais je tremble tellement que je manque de m’évanouir sur place.
Gérard m’invite à les rejoindre et regardant Philippe, je comprends que quelque chose de grave se passe.
Dans la salle de réunion, j’entends des cris et des pleures…

Moi : « Sam ? Philippe, Messieurs…. Que se passe-t-il ?
Kévin :(timide) Nous sommes là pour ce que vous savez…
Sam : C’est fini… tu es libre… »

Ces quelques mots me font un plaisir immense et naturellement mes larmes jaillissent dans mes yeux.

Philippe : « Vous êtes … Vous êtes… ignoble… vous me le paierez cher… »

Sortant de la salle de réunion, je vois Cédric et Sarah, menottes aux poignets, accompagné de M.KLEIN et d’un policier.

Moi : (surprise) Mais…qu’est-ce que…
Gérard : C’est très simple. C’est Sarah qui vous a manipulée… ou plutôt qui a manipulée tout le monde…
Moi : Sarah ?? je ne comprends pas.
Sam : C’est simple… tu es ici la plus ancienne cadre, et tu es aussi celle qui gère le mieux la société. Sarah, est la fille de M. BUCK (le PDG de Paris) et devait prend la direction de l’agence ici… sauf que comme tu étais en place et que tu avais été promu a se poste pour septembre, elle n’a pas supporté son éviction et a donc manigancé tout cela pour te détruire. »

Assise à mon bureau, j’écoute avec attention toute l’histoire et l’explication des hommes autour de moi. Philippe voyant son limogeage au bénéfice de Sarah avait accepté de lui céder son poste de directeur de région sous réserve que son fils Cédric reste actionnaire ou devienne son mari (chose qui aurait pu se faire naturellement vu leur réel sentiments) et si une contrepartie lui serai remise… sauf que la promotion dont j’étais titulaire via les votes des actionnaires nationaux les bloquait et donc il fallait m’éliminer de leur plans afin d’avoir les pleins pouvoir.

Moi : « Mais.. et M.KLEIN et Thomas ???
Gérard : M.KLEIN est un agent fiscal du tribunal infiltré, il a intégré l’an dernier les bureaux de STEIN INDUSTRIE dans le but de démasqué les entreprises qui se dérobent du droit fiscal en changeant de nom, de direction ou de partenaires et c’est ainsi que M. BUCK et sa famille ont été découvert avec une fraude fiscale de plusieurs millions d’euros.
M.KLEIN, connaissant M. BUCK et ses méthodes, savait qu’en suivant sa fille, il arriverait a le faire tomber. »

L’histoire rocambolesque de détournement de fonds est terrible. Sarah, la petite blonde si jolie était en fait manipulatrice, Cédric et son père étant pour elle des jouets et des pervers horribles qui ont œuvré à ma destruction. Les gardes, l’hôtel du séminaire (qui appartient à la famille BUCK, je l’apprendrais plus tard), les membres du personnel m’ayant prisent en photos ou m’ayant violé, tous faisaient partie du plan de Sarah qui voyait en moi la seule rivale à sa prise de pouvoir dans l’empire familial.

Sam « Mais ce n’est pas tout…Philippe…je te laisse lui annoncer…je te prie
Philippe : (fâché et penaud) J’ai… j’ai…je m’excuse pour tout…
Sam : Philippe…s’il te plait.
Philippe : La direction de l’agence Grand Est, y compris les contrats en cours et ceux promis avec STEIN INDUSTRIE, sont maintenant à toi.
Moi : Comment cela ? Moi ? Quoi ?
Gérard : C’est simple Madame Estelle, aujourd’hui c’est vous la directrice générale de la société. En échange de sa liberté et sa mise en retraite immédiate et sans poursuite, Philippe a signé la passation de pouvoir en votre nom. Vous êtes officiellement la grande gérante. »

Ne réalisant pas totalement, je regarde Philippe partir avec la police pour sa déposition, accompagné de Kévin et Gérard.
Sarah, son père et Cédric risquent tous la prison pour une vingtaine d’année pour détournement de fonds, séquestrations, agressions sexuelles et autres délits…
Seule, je regarde autour de moi, Sam et la police récupérant des classeurs en guise de preuve. La secrétaire, en larmes, ne réalisant pas tout le mensonge qui se tournait autour d’elle.
Il est 12h00 et le temps semble s’être arrêter, la police et les véhicules sont partis, la secrétaire me demandant quoi faire, je lui laisse la journée et le weekend pour se reposer, on en reparlera ensemble tranquillement lundi, je la rassure en lui précisant qu’elle ne risque rien, et que son travail se poursuivra si elle le souhaite toujours.

M.KLEIN, à côté de moi, me regarde toujours avec ses grands yeux bleus… et je reste figée devant lui…sans un mot, il glisse dans ma main la culotte qu’il m’avait prise la veille et me remercie pour ma collaboration. Avant de partir définitivement, il me demande la faveur de ne pas poursuivre Thomas, qui a agi pour le bien de l’enquêtes et qui n’es pas au courant de l’histoire. L’aventure d’hier au soir n’était pour Thomas, moi et lui qu’un instant de plaisir partagé : un égarement sexuel et humain.
En moi, je réalise que cela n’était pas un rêve, et que leurs douceurs, dans cet égarements comme il le dit, était un vrai plaisir, durant les 2 dernières semaines, et au travers de tous les rapports que j’ai eu ou subi, seul celui-ci a été réellement consenti et désiré… le sujet est clos.

Une larme ruisselle sur ma joue, et Sam l’essuie de sa main.
Il n’y a plus que nous, dans les bureaux vides… Apres tant de temps, nous nous retrouvons enfin… après ces 2 mois de folie, entre ses voyages en Allemagne et en Russie et moi le séminaire et mes terribles aventures… enfin nous sommes réunis.
Je m’écroule en sanglot dans ses bras. Lui demandant pardon, l’implorant de tout mon cœur, je me serre à lui comme à la vie… cherchant les mots que j’avais préparés dans ma tête mais ne laissant parler que mon cœur.
Dans ses bras, sa chaleur me porte et me rassures, sa voix m’apaise… enfin nous ne faisons plus qu’un…
Apres quelques minutes, d’échanges et de baisers tendres, nous prenons la route pour rentrer chez nous…
Arrivée sur le palier, je retrouve ma mère et mes enfants, qui courent vers moi pour m’accueillir… le bonheur est total.

L’après-midi se passe, je suis toujours un peu fatiguée mais tellement heureuse que notre famille soit réunie.
En moi je me dis, que même gérante et présidente de société, jamais plus, je ne ferais de séminaire dans ma vie.

Les enfants couchés, après le diner aux chandelles pour fêter nos retrouvailles, entre nos coupes de champagne, Sam me glisse une enveloppe et me sourit…

Moi : (en panique)« Sam, non ! Je ne veux pas…
Sam : (très calme) Je sais tout Estelle, et j’ai vu tout… je sais aussi pour Philippe, et aussi pour Kévin sur cette table. Je sais pour ton aventure avec Sarah, les nuits à l’hôtel à Paris et tout le reste… même pour hier soir… je sais tout… et devines quoi… je t’aime. Et je m’en fiche car tu es ma femme et tu le resteras toujours…
Moi : (au bord des larmes) Mais Sam… non… je ne veux pas que tu me pardonnes, je ne le mérite pas… et puis tu sais que je n’aime pas les enveloppes …
Sam : (souriant) C’est vrai… je le sais, mais celle-là tu peux l’ouvrir… et puis puisque tu insistes, je trouverai déjà un moyen pour te que tu te fasses pardonner… hihi. »

Fébrile, j’ouvre l’enveloppe et découvre 2 billets d’avions pour les îles Galapagos… notre voyage de noces, notre paradis de l’époque… juste nous 2…juste pour se retrouver et recommencer à vivre heureux.

Moi : « Mais tu es fou ? C’est…
Sam : Oui… fou de toi… cependant… en contrepartie, je veux aussi que tu me redises Oui.
Moi : Comment cela ?
Sam : Que tu me redises oui, en mariage et en vie… Que tu t’offres à moi par l’esprit mais aussi par le corps. Que tu me laisses te faire l’amour de toutes les façons dont j’ai envie et autant de fois dont j’en ai envie… sans tabous ni limites, sans contraintes ni pudeur. Je veux que tu me dises oui, pour être à moi. Totalement.
Moi : (hésitante) Heu…mais… Oui…oui…oui… je suis à toi… je t’aime tant.
Sam : Tu n’as plus le choix… tu m’appartiens.
Moi : (me jetant dans ses bras) Mais… alors sans douleurs… s’il te plait…
Sam : Ohhh je ne te promets rien la dessus, on verra si tu es vraiment sage, tu seras ma soumise à moi …» (rire)

Ces mots taquins, son envie de me posséder et de faire de moi sa femme libérée et sexuellement disponible, mon envie de lui appartenir, je ne résiste pas et cède à son envie. Mon corps lui appartient et je sais au fond de moi que même si sa queue me fait ou me fera mal parfois, son amour, lui, ne me blessera jamais…
Epuisés, heureux et complices, nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre, sans même faire l’amour tellement comblés de n’être que nous même et réuni…

Au petit matin, mon état n’a pas changé, toujours nauséeuse…. Sam part avec les enfants pour faire des courses. Et j’attends le médecin….
La consultation est classique mais le résultat est : Explosif…

Comment dire ? Comment lui dire ? Comment annoncer cela ? A mon âge, à 40 ans déjà et être dans cet état ? Vu la situation….et tout ce que je viens de vivre…ou ce qu’il reste a faire pour ma carrière et notre vie.

Comment dire à Sam que… que je suis : enceinte…. (et que ce n’est pas de lui)

Fin…. (ou pas)

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