– Maman, j’ai un truc à te montrer !
Ah, bon ! Mon fils n’arrêtait pas de me tanner pour que je fasse installer internet afin qu’on puisse « communiquer » plus facilement. Ce n’était pourtant pas difficile puisqu’on habite à vingt kilomètres l’un de l’autre mais il prétend que depuis que je vis seule…
Enfin, j’ai quand même un ordinateur et lui me montrait un CD, une de ces galettes de plastique qui font que je n’ai plus acheté de musique quand on a arrêté de faire des 33 tours. Mon fils a allumé l’ordinateur et il a introduit le CD dedans puis il est allé chercher un cadre sur la cheminée, celui ou je pose avec son père.
– Regarde cette femme, a ajouté mon fils ! On dirait que c’est toi !
Je n’ai pas compris tout de suite de quoi il parlait. Mon mari avait été marin et il avait des tatouages et ça ne me plaisait pas beaucoup mais je m’étais quand même laissée convaincre de m’en laisser tatouer un sur le haut du gras gauche.
Sur l’écran, maintenant, c’était un film et la femme enceinte qui est apparue, c’était moi et ce qui m’étonnait le plus était que je parlais en anglais.
– C’est toi, non, a insisté mon fils ?
Je caressais mon gros ventre et je pressais mes mamelons pour en faire sortir quelques gouttes.
– C’est toi, a encore insisté mon fils ! Tu ne peux pas le nier !
C’était bien moi et pour preuve sur la vidéo, la femme avait le même tatouage que moi et le type qui maintenant lui faisait l’amour en levrette c’était bien son père, mon mari, avec ses tatouages, mais lui, on ne lui voyait pas le visage. J’ai continué à regarder parce que j’étais fascinée de me revoir.
– Tu as trouvé ça où, ai-je demandé à mon fils quand le film s’est arrêté ?
Sur la dernière séquence, je suçais le pénis de mon mari et je laissais s’écouler son sperme de ma bouche sur mes seins. Mon fils m’a expliqué qu’il avait déniché ça sur Internet. Mais c’était plutôt ma belle-fille qui recherchait ce genre de film sur les femmes enceintes depuis qu’elle l’était elle aussi. Elle le lui avait montré et mon fils m’avait tout de suite reconnue malgré mon âge et il avait aussi reconnu les tatouages de son père.
Etrangement, je n’en avais pas honte. Mon mari nous avait filmé avec sa caméra 9,5 mm et il avait même fait des photos de ma grossesse et quand j’ai révélé ça à mon fils et que je lui ai dit que je ne les avais jamais montrées à personne, je me suis rappelée qu’on avait fait des photos d’un autre genre pendant cette grossesse. Ce qu’on appelle des photos de cul. J’avais vingt-trois et j’étais trop amoureuse pour ne pas les lui refuser. Mon mari m’avait fait prendre toutes les poses et faire seule ce qu’une femme désire faire seule et c’était il y a presque trente ans.
Vous vous doutez bien que mon fils m’a demandé à voir les photos de ma grossesse. J’en avais enfoui l’album au fond de l’armoire de ma chambre et quand je l’ai sorti, j’étais aussi émue que quand j’avais posé pour ces photos. Il les a regardées en silence puis il m’a demandé s’il pouvait les montrer à ma belle-fille.
Curieux hobby, ai-je pensé. Il a pris l’album. Mon fils m’avait dit avant de se marier que ma future belle-fille était moderne et je n’avais pas compris ce qu’il avait voulu dire. Quinze jours plus tard quand il est venu me chercher pour que je passe l’après-midi avec eux, il m’a dit qu’ils avaient eux aussi ce genre de photo et de film et que si je le voulais, je pourrais les regarder.
Ma belle-fille m’attendait avec son gros ventre. A sept mois, on avait l’impression qu’elle attendait des jumeaux mais elle n’en attendait qu’un, un garçon et à chaque fois que j’avais demandé à voir son ventre, elle n’avait pas rechigné, soulevant sa robe pour me montrer son ventre et aussi sa toison toujours rasée de près et son absence de petite culotte.
Chaque fois que je la voyais, elle était magnifique et resplendissait. Elle m’attendait en haut du perron et du bas des marches j’ai eu l’impression que son ventre était une montgolfière. Une fois encore je lui ai dit qu’elle est belle et elle m’a tout de suite répondu que j’étais belle, moi aussi et que je le suis toujours.
– Vous me draguez, lui ai-je fait !
– Oh, non, m’a répondu ma belle fille ! Votre fils à l’esprit large et j’ai ce qu’il me faut !
Ça non plus je ne l’ai pas compris tout de suite. Nous sommes allés dans le salon et j’ai pu admirer son ventre rond puis ma belle fille m’a tendu un album de photo et dès le début, il n’avait pas d’équivoque. Le couple faisait l’amour. Ma belle-fille et mon fils dans toutes les positions puis, à la moitié de l’album, ma belle-fille était avec une femme et ils faisaient l’amour eux aussi.
Pour ne pas paraître ridicule, j’ai dit que je n’en avais jamais eu l’occasion. Je continuais à tourner les pages et je me rendais compte que ça me gênait moins que les deux femmes se fassent un soixante-neuf que quand elles s’embrassaient sur la bouche.
– Vous faites aussi des films, ai-je demandé à ma belle-fille pour ne pas paraître ringarde ?
– Oui, m’a-t-elle répondu ! J’en ai mis quelques-uns sur la télé !
Elle a allumé la tété et j’ai vu ma belle-fille qui se faisait enculer par mon fils et il s’est passé un moment avant que je ne comprenne que là aussi, quelqu’un d’autre filmait.
– C’est mon amie, m’a avoué ma belle-fille !
– Mais vous la connaissez depuis quand ?
J’avais soudain des frayeurs.
– Depuis très longtemps, a commencé ma belle-fille ! Nous étions au lycée mais j’ai rencontré votre fils !
Elle a ajouté qu’elle les aimais tous les deux de la même façon.
– Ils font l’amour ensemble tous les deux, ai-je osé ?
– Parfois, m’a répondu ma belle-fille en me faisant un sourire ! Je les autorise de temps en temps, il faut bien ?
Je lui ai demandé si elle n’avait pas peur que mon fils mette enceinte son amie et elle m’a répondu que ça me ferait un petit-fils de plus. Mon fils à annoncé que la table était prête et nous sommes allées déjeuner. A la fin du repas, leur amie est arrivée et je dois avouer que son regard m’a émue quand elle m’a regardée. Elle avait des tatouages partout et quand elle a sorti sa poitrine j’ai pu voir qu’elle une gurlande de lierre enroulée sur le torse et la poitrine et des piercings aux mamelons.
– On pourrait se revoir, m’a-t-elle dit quand elle m’a téléphoné la semaine suivante ?
Elle a tant insisté que j’ai accepté. Elle me dit toujours que je suis comme une mère pour elle quand nous faisons l’amour. Elle m’a emmenée me faire percer les mamelons et elle a pour projet de me faire percer les petites lèvres de la vulve.
A SUIVRE
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