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Le châtiment du dressage pour Sofia et moi

Le châtiment du dressage pour Sofia et moi



Cela fait maintenant trois jours qu’ils nous ont promis une punition et nous attendons angoissées le SMS. Nous recevons enfin un SMS laconique de Christian qui se fait le porte parole des autres.
«  On va vous faire rougir le cuir femelles. Aucune partie de votre corps ne sera épargné et vous êtes si salopes que vous en redemanderez et jouirez sous nos coups. On va vous attacher bien écartelées pour être totalement offertes et sans défense. Après avoir subi un lavement, vous vous ferez défoncer par le groupe. On va vous traiter comme des chiennes et vous jouirez sous nos insultes. De la part de vos Maîtres femelles soumises. RDV chez moi Mercredi matin. »
Sofia et moi arrivons presque en même temps devant la porte de chez Christian. Nous parlons peu. Nous nous sommes juste roulé une pelle pour nous dire bonjour et nous donner du courage avant de sonner.
Christian nous ouvre avec un large sourire et nous découvrons notre comité d’accueil qui aussitôt nous ordonne de nous dénuder mutuellement et de nous gouiner devant eux. Ils commencent fort sans préliminaires mais ce n(est pas pour nous déplaire et nous nous exhibons devant eux sans pudeur. Mais il coupe court notre séance bien avant que nous puissions en jouir.
Au milieu de la pièce trône deux chevalets qui nous sont destinés. Le groupe de Maître dont mon mari fait parti cette fois-ci, nous entraîne sans ménagement vers les appareils où nous sommes attachées fermement.
Sans défense, ne pouvant esquisser le moindre mouvement, nous sommes totalement offertes et à la merci des délires sexuels de nos Maître.
Alain se pointe devant moi et me dit :
« Tu n’a rien oublié Michèle ? »
Je réfléchie, mon esprit s’embrouille mais je ne vois pas ce qu’il veut dire par là. Alors David se met à fouetter le cul de Sofia en disant :
« Rappelle-toi les thermes du contrat salope ! Tant que tu ne dia pas ce que l’on veut entendre je fouetterais ta copine ! »
Sofia cri sous les coups qui lui chauffe le derrière. La punition commence dure et surtout pour elle. Mais les coups qu’elle reçoit, indirectement c’est comme si je les recevais. Je creuse ma mémoire et tout à coup je cri comme une délivrance :
« Dis le avec moi Sofia! Nous sommes vos soumise, vos chiennes, vos salopes et tout nos trous sont à vous! Merci de nous punir pour nous former et nous dresser! »
Les Maître sont satisfait et David arrête de fouetter Sofia dont le cul a pris des couleurs écarlates.
Mais guillaume trouve ça injuste et demande à Alain :
« Ne trouves-tu pas que ton épouse ne devrait pas avoir la même couleur d’arrière train que sa salope de copine ? »
« Bien évidemment cher ami, Je te laisse le loisir de t’en occuper. »
Ni une ni deux, le voilà qui me roue les fesses de coups de fouets. Je me tortille comme je peux dans mes liens en géignant. Mais il redouble les coups en m’invectivant :
« Tu as la mémoire courte salope ! Ne devrais-tu pas me remercier ? »
Aussitôt entre deux cris , je lui hurle :
« Merci mon bon Maître de me traiter comme il se doit ! »
Mon cul est maintenant aussi rouge que celui de Sofia.
Le groupe de Maître se rassemble pour mettre au point la suite du programme et en revenant vers nous, Ben nous dit :
« Nous ne sommes pas des bourreaux et allons vous laisser un moment méditer sur votre sort en buvant un coup à votre santé jolies femelles. »
Mais Seb rajoute :
« Mais avant il faut que nous occupions vos trous de salopes. »
Nous nous attendons à ce qu’ils nous baisent. Mais je vois Christian et David qui reviennent avec des concombres, des bananes, des carottes et des poireaux. Nous n’avons pas besoin d’être devins pour savoir qu’il ne vont pas faire une soupe. Ils s’affairent sur le champs à nous enfoncer ces fruits et légumes dans nos bouches, nos chattes et nos cul. Une foi affublées de ces olisbos champêtres, il se mettent à rigoler et nous laissent ainsi en trinquant.
Nous savions bien que le châtiment ne faisait que commencer. J’ai un peu froid mais en même temps mes fesses me chauffent. Quand les hommes reviennent en marchant calmement vers nous. J’ai des frissons et j’angoisse. Ils nous enlèvent les végétaux qui encombrent nos orifices et commencent à nous palper les seins, le cul,et fouillent nos chattes dégoulinantes de cyprine. Dans une sorte de plainte, nous les remercions comme il se doit. Christian fait remarquer aux autres :
« Voyez-vous, elles commencent à comprendre avec leur QI de poule. »
Guillaume et Seb confirment.
« Oui en effet Christian. C’est un bon traitement pour elles ? »
Alain en remet une couche en disant :
« En doutiez-vous ? Regardez ce deux femelles, on les puni et tout ce qu’elle trouve à faire, c’est de mouiller comme des chiennes en chaleurs ! »
Ben et David reprennent en cœur :
« Et bien continuons le traitement ! »
Nos intimités exposées et sans défenses ne présageaient rien de bon pour la suite des événements. Nous présentons qu’ils préparent quelque chose de tordu. Soudain je trésaille au contact bizarre d’un truc sur ma chatte brûlante et mon clitoris. Sofia gémie à mes côté également. Je cherche à deviner ce que c’est. Mais comprend trop rapidement que ces salops nous caressaient avec des orties. Les démangeaisons qui en résultent
nous font maintenant hurler. Tout mon corps se cabre dans le carcan sous les rires de nos tortionnaires.
Christian lance en rigolant :
« Maintenant qu’elles ont le feu au cul ! Tayoooo défonçons les ! »
Immédiatement nous somme assaillis par leurs queues qui nous fourre sans vergogne. Nous sommes secouées de toute part. Nous ne pensons plus aux brûlures du fouet ou des orties tant leurs verges nous investissent brutalement. Dans cette débauche humiliante, nos corps réagissent et un violent orgasme nous toute les deux. Après une bonne dizaines de minutes de se traitement, nos Maîtres éjaculent en nous et sur nous. Puis ils se reculent et Nous demandent :
« On dit merci qui ? »
J’avale tant bien que mal ce que je me suis prise dans la bouche et la tête encore en vrac, je répond :
« Merci de vous être servi de nous comme vide couilles . »
Alain est content de ma reaction et se congratule :
« Ha vous avez vu comme elle est bonne ma salope ! »
Ils nous détachent enfin. Nous sommes toute courbaturées mais ils n’en n’ont que faire et nous demande de mettre nos main sur la tête. En nous claquant les seins avec une sorte de martinet, Christian demande :
« Qui sommes nous ? »
« Nos Maîtres Christian. »
« Qui êtes vous ? »
« Vos femelles et vos chiennes. »
« Oui c’est bien ça. Les chiennes dans vos genres ça se dressent. Vous comprenez quel est votre rang avec nous. Pour aujourd’hui ça ira comme ça ! Allez prendre une douche vous êtes invoyables ! Vous nous faite honte ! »
Nous filons

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