Ça s’est passé l’été dernier, ma femme et moi avions décidé d’aller dans un camping nudiste que nous savions ouvertement échangiste. Pas de caravane, pas de tente-roulotte. Nous n’avions qu’une petite tente pas bien chaude pour les journées parfois froides de notre pays. Nous sommes donc allés avec notre minivan que nous avions déjà bien préparé à jouer le rôle de tente idéale. Un grand matelas ajusté derrière nous tenait confortables et le caractère inné de ce type de véhicule fait en sorte que même une pluie diluvienne ne pourrait nuire à notre confort. Arrivés sur place nous nous sommes déshabillés et, un peu embarrassés par la situation, nous sommes sortis mi-excités et amusés.
Nous avons décidé d’explorer les lieux ; d’abord la piscine située au beau milieu du camping, il y avait là une vingtaine de gens nus qui soit se faisaient bronzer par le soleil de midi, soit se baignaient dans le plus simple appareil. Une musique festive donnait une ambiance qui se voulait chaude et érotique. Le reste de la journée nous l’avons passé à nous prélasser dans la piscine et à déambuler dans les sentiers de la forêt toute proche.
Le soir venu nous sommes allés à la fête du carnaval qui avait lieu dans la bâtisse principale. Une grande piste de danse accueillait les nudistes maintenant habillés pour l’occasion. Le DJ mettait de la musique chaude du Brésil. Nous avons dansé pendant une heure environ, lascivement bien entendu tant nous étions excités par la journée passée nus à regarder et à nous faire regarder.
Dans un coin de la grande pièce principale trônait un spa dans lequel il y avait trois ou quatre personnes regardant les gens danser. Nous avons décidé d’aller y faire un tour. C’était étrange de se déshabiller devant tous. Après tout, nous étions nus toute la journée alors pourquoi pas ? Je me suis installé dans un coin, ma femme m’a vite rejoint et nous avons commencé à relaxer tout en nous caressant un peu. Un homme avec un chapeau de cow-boy s’est approché du spa, s’est mis nu et a enjambé le bord pour venir se tremper lui aussi. Il regardait fixement ma femme avec une envie certaine. On aurait dit qu’il fonçait sur une proie. Nous l’avons ignoré, continuant à nous donner nos impressions sur le fait d’être là dans cette drôle de situation. Sandra était maintenant assise sur ma cuisse droite et je lui caressais les seins gentiment. Tout à coup elle se raidit en sursautant un peu.
— Qu’est qu’il y a mon amour ? ai-je demandé.
— Le gars me caresse la cuisse, dit-elle un peu hésitante.
— Ben laisse le faire si t’en as envie, chérie.
Elle sursauta à nouveau.
— Oui chérie ? voulais-je savoir.
— Il me touche la chatte !
Maintenant sa voix vibrait un peu, je pense que c’était par nervosité mais aussi parce que c’était bon.
— Et tu aimes ça ? m’informai-je.
— Mmmh, j’pense que oui, pas sûre d’elle.
Et voilà qu’elle bouge un peu le bassin.
— Qu’est-ce qu’il te fait chérie ?
— Il a rentré un doigt, mmmh.
Maintenant j’étais surexcité, ça faisait longtemps que j’imaginais un homme caresser ma femme jusqu’à en prendre possession. Et ce qui me faisait bander encore plus c’était de voir qu’elle adorait ça et qu’elle jouissait très fort. Je continuais de lui caresser les seins en les soupesant et en agaçant ses tétons tandis qu’un inconnu s’occupait de son sexe.
Nous sommes restés comme ça à donner du plaisir à ma femme en équipe. À un moment donné j’ai tourné la tête pour voir le gars qui faisait si bien gémir Sandra. Il avait évidemment les deux mains dans l’eau, il avait l’air de bien s’appliquer. J’ai ressenti un peu de jalousie en m’apercevant qu’il était plutôt beau bonhomme et athlétique. Sandra ne l’avait pas encore vu mais j’étais persuadé que son physique lui plairait. De plus il était sûr de lui, ce que ma femme adore chez les hommes.
Et tandis qu’elle gémissait moi je n’en pouvais plus. J’étais dans un état d’excitation extrême. Elle ondulait de plus en plus et semblait apprécier toute cette attention.
— Pourquoi tu vas pas vérifier sa queue pour voir comment elle est ? je lui ai suggéré.
Je l’ai sentie s’étirer le bras pour atteindre le membre de l’inconnu. Je sentais son bras bouger dans l’eau, elle le caressait, c’était certain. Au bout de quelques minutes je lui ai demandé :
— Alors chérie, elle est comment sa queue ?
— Dure, dit-elle, avec de la satisfaction dans la voix.
— Et elle est grosse ?
— Oh oui !
Décidément elle était avare de commentaires :
— Et elle est longue aussi ? hasardai-je.
— Oui, elle est très longue aussi
— Il en a une plus grosse que moi ?
Elle ne répondit pas.
— Il a une plus grosse queue que moi ? répétai-je.
— Oui, elle est très grosse !
Bon, j’avoue que ça m’excitait un maximum cette situation, mais il était quand même très bel homme et il semblait monté comme un âne. J’étais un peu jaloux et insécure. Mais tout ça me donnait des ailes et je lui ai demandé, un peu pour la pousser mais aussi pour la tester :
— Pourquoi tu ne l’embrasses pas, chérie ?
Comme seule réponse elle s’est tourné la tête vers moi et c’est moi qu’elle a embrassé.
— Tu penses ? dit-elle, cherchant à savoir si j’étais véritablement prêt à jouer à ce jeu.
Je m’entendis répondre affirmativement par un « oui » un peu sec comme s’il s’était échappé de ma bouche. Alors elle s’est tournée vers lui, et ils se sont embrassés à pleine bouche. J’étais content de voir que c’était très sexuel. Elle a quitté ma cuisse et ils ont continué de s’embrasser en se caressant dans le milieu du spa. Un couple qui était resté dans le spa nous observait depuis le début et se donnait du plaisir en regardant la scène de ma femme quittant son homme pour prendre du plaisir avec un autre. Alors il lui a chuchoté quelque chose à l’oreille, elle a acquiescé et il s’est installé assis sur le bord du spa, la queue complètement sortie.
Mon Dieu qu’elle était grosse. Longue et grosse. Ma femme s’en est emparée, le feu dans les yeux. Elle s’est tournée vers moi comme pour voir si tout allait bien, je lui ai fait un petit sourire et nous nous sommes fait notre clin d’œil qui nous remet toujours au diapason.
Elle a commencé à lécher ce membre. Elle essayait parfois de le mettre dans sa bouche mais le gland avait de la difficulté à entrer. Et sa main n’en faisait pas complètement le tour. Quelle queue ! Le gars lui disait qu’elle suçait bien et lui demandait de lui sucer les couilles aussi, ce qu’elle faisait.
Passé ces quelques moments d’émotion je me mis à « travailler » aussi. Je lui ai sorti les fesses de l’eau et je l’ai mangée avec tout mon savoir-faire. Évidemment je ne pouvais l’entendre gémir car sa bouche était totalement pleine. Au bout d’une dizaine de minutes, je me suis penché à son oreille et lui ai demandé :
— Tu veux qu’on l’amène dans notre lit ?
Elle a cessé de sucer pour me répondre :
— Oui, c’est une super bonne idée !
— Demande-lui alors.
Elle l’a embrassé encore et il lui prenait les fesses, elle lui a parlé à l’oreille (il y avait beaucoup de bruit) et il a répondu quelque chose qui l’a bien fait rire. Puis ils se sont embrassés encore. Elle s’est tournée vers moi et m’a roulé une pelle pleine d’amour et de sensualité. Je lui ai dit que je voulais passer par les toilettes, en fait je voulais acheter quelques préservatifs car nous n’en avions pas. Nous avions convenu qu’il n’y aurait pas de pénétration hors couple s’il se passait quelque chose avec d’autres couples. Mais jamais nous n’avions parlé de le faire avec un autre homme et moi j’étais bien partant pour la voir se faire prendre.
Quand je suis sorti de la bâtisse principale il y avait quelques personnes qui fumaient à l’extérieur sous l’éclairage mais pas de Sandra. Il a fallu que je scrute un peu les environs pour les voir dans l’ombre. Ils s’embrassaient dans le chemin qui mène à la zone où était notre minivan. Ils se masturbaient. Puis elle m’a vu et m’a fait signe. Alors nous sommes partis vers notre lit. Elle était dans le milieu et nous la caressions en marchant. Elle était bien contente d’avoir pour elle deux queues à prendre dans chacune de ses mains.
Arrivés à notre véhicule j’ai cherché la clef sur le pneu avant gauche alors qu’ils attendaient en continuant à s’embrasser et s’exciter. J’ai ouvert la porte latérale de gauche pour leur ouvrir celle de droite. J’ai pu la voir me sourire lorsque la porte s’est ouverte, allumant le plafonnier. Elle s’est penchée pour entrer et il lui a pris les hanches pour la déguster par-derrière. Elle se laissait faire et souriait de plaisir en m’embrassant. Ils étaient très complices et ça me faisait un peu peur tout ça. Mais l’excitation était la plus forte et je n’ai rien fait pour arrêter.
Une chance que Sandra m’ait donné un peu d’attention ! Nous nous sommes embrassés et étendus sur le matelas, elle était par-dessus moi et m’a mordillé le cou en descendant vers mon sexe. Elle m’a regardé amoureusement et a embouché ma queue qui ne demandait que ça. Mmmh ! Elle sait y faire et j’ai dû me faire v******e pour ne pas jouir trop vite. Tandis qu’elle me suçait je le savais derrière elle et il continuait de la manger et de la masturber avec ses doigts. Alors elle s’est assise sur ma queue. Comme toujours j’attendais le moment de la pénétration avec impatience, et à chaque fois c’est magique. Elle a demandé à Jean-Nicolas — c’était son nom, ils avaient dû s’échanger leurs prénoms tandis que j’étais aux toilettes — de s’installer devant elle pour qu’elle puisse le sucer. Il s’est exécuté et j’avais une vue imprenable de ma femme suçant ce membre énorme. J’avais ses couilles dans le visage et j’y suis allé de quelques coups de langue aussi. Il n’a pas émis de réticence, ce qui augurait bien pour la deuxième partie de mon fantasme, la bisexualité.
Un peu plus rassuré par le comportement de ma femme, j’ai proposé de changer de place lui et moi. D’accord ! Il s’est installé couché sur le dos, sa queue paraissait encore plus grosse. Je voyais les yeux de Sandra briller d’impatience. Elle a enfilé le préservatif sur cette massue et tranquillement s’est empalée, centimètre par centimètre. Elle a fait une petite pause une fois remplie, pour bien s’habituer à ce calibre. Puis elle s’est penchée pour l’embrasser et a commencé à bouger. Elle avait l’air d’apprécier d’être aussi pleine. Elle gémissait beaucoup. Alors je me suis positionné pour qu’elle me suce et Jean-Nicolas me léchait aussi les bourses. C’était très très excitant, Sandra avait de la misère à me sucer tellement ça semblait bon. Elle lâchait ma queue pour crier son plaisir. Je n’ai pas pu me retenir et j’ai éjaculé un peu sur son visage et le reste dans sa bouche.
Je me suis assis à côté d’eux pour les regarder baiser. J’étais un peu ramolli mais tellement excité que je suis quand même resté un peu dur. Elle criait à Jean-Nicolas de lui sucer les seins, que sa queue était bonne et grosse, qu’il la faisait jouir. Alors elle a senti son orgasme monter et la submerger. Elle a crié son orgasme pendant trois ou quatre minutes et elle s’est affaissée sur son torse. Il n’avait toujours pas joui. Nous sommes restés quelques minutes allongés sans trop parler. Alors elle s’est levée et m’a embrassé encore et a déclaré :
— Bon, c’est pas tout mais on a un étalon à faire jouir, nous !
Elle m’a attiré vers sa queue bandée et nous l’avons sucé alternativement. Je lui mangeais les couilles pendant qu’elle le suçait et nous changions de place. Au bout de dix minutes il s’est déversé dans la bouche de ma femme en longs jets. Elle m’a passé sa queue et j’ai accueilli les deux derniers jets directement dans la bouche. On s’est embrassés en s’échangeant sa semence.
Ensuite nous nous sommes endormis, elle dans le milieu et lui à sa gauche. Je me suis fait réveiller par des gémissements, j’étais tourné sur le côté droit dos à ma femme. Je me suis retourné encore ensommeillé et légèrement encore alcoolisé. Je voyais ma femme, couchée sur le côté, se faire prendre, il était derrière elle et je voyais sa queue entrer et sortir de son vagin distendu. Elle était toute mouillée et elle jouissait de se faire remplir de la sorte. Je l’ai embrassée en lui souhaitant bon matin et nous nous sommes souri. Ouf ! elle semblait continuer de jouer le jeu du sexe et m’aimer encore.
Je sais qu’elle adore cette position, lorsqu’elle se fait prendre par-derrière alors qu’elle est couchée sur le côté. Mais nous ne pratiquons pas souvent cette pénétration à cause de la longueur de mon pénis qui ne fait pas tout à fait six pouces. Elle a encore eu un orgasme au bout d’une dizaine de minutes. Lui s’est laissé aller après encore quelques minutes, c’est là que j’ai réalisé qu’il n’avait pas de préservatif. Quand il s’est retiré une grosse quantité de sperme est sortie du vagin de ma femme encore ouvert par la grosseur de l’engin.
Moi aussi je voulais jouir d’elle et je l’ai prise en missionnaire par-devant. C’était excitant de la prendre alors qu’elle était encore pleine de sperme de notre amant.
Ensuite nous sommes sortis et avons déjeuné seuls, il devait partir tôt pour retourner chez lui.
Nous sommes partis de ce camping quelques heures plus tard et n’avons pas souhaité échanger nos coordonnées avec Jean-Nicolas.
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