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Chap 27 : Les confidences d’Amélie. (Fin)

Chap 27 : Les confidences d’Amélie. (Fin)



C’est à la sortie du collège en fin d’après-midi que la belle Amélie retrouve Marie la frivole, qui l’attend de pieds fermes devant le portail métallique.
Bras dessus, bras dessous, elles se dirigent d’un pas franc vers la station de métro en bavardant.
Marie est d’humeur taquine.
– Tout l’après-midi, j’ai repensé à ton histoire, j’ai essayé de m’imaginer la suite.
– Impossible que tu trouves.
– Ha bon? C’était si spécial que ça?
– Pour moi oui.
– J’ai hâte de connaître le dénouement.
– Je ne dirais plus rien avant d’être à l’appart.

Assise dans le métro, notre protagoniste songe à sa rupture, à ses 6 mois de relation avec un homme qui lui a menti, qui ne l’a pas respecté. Il y a de la colère en elle, mais cette colère s’évapore lorsqu’elle se rend compte que si elle n’était pas sortie avec Greg, elle n’aurait jamais rencontré Christophe, elle n’aurait jamais connu ce bonheur, cette passion, ce désir de jouir qui l’anime tant. C’était en quelque sorte un mal pour un bien.
Sa collègue l’interrompt dans ses rêveries.
– Au fait, tu as répondu à son texto?
– Oui, j’ai écrit que je pensais également à lui, que j’étais heureuse d’avoir vécu tout ça avec lui et que j’aimerais trop le revoir.
– Ca me fait chier pour toi, qu’il ne soit pas dans le coin.
– Ouais c’est ça, tu aurais essayé de me le piquer, sourit-elle.
– Mais non, je ne suis pas comme ça. Et même si je le trouve mignon, tu sais bien que je préfère les blacks et les rebeus. En tout cas, ne t’en fais pas, tu vas vite l’oublier. Tu es célibataire, belle comme un cœur, tu trouveras très vite un autre beau gosse qui te fera le même effet.
– Je l’espère, mais je ne suis pas pressée, je vais continuer de rêver un peu.
En attendant ce jour, Amélie sait qu’elle pourra compter sur son amie pour s’éclater.

Les deux jeunes femmes ôtent leurs souliers en entrant chez Amélie, qui propose une coupe de pétillant à son amie. Elles trinquent ensemble à la nouvelle vie de la célibataire et s’agenouillent toutes les deux face à face sur le canapé clic-clac. Marie la charrie un peu.
– J’espère que ce n’est pas ici que vous avez niqué.
Amélie rougit encore en souriant, muette.
La blondinette blague de nouveau:
– Oh merde, j’espère que je ne me suis pas assise sur des tâches de sperme.
– Ca ne risque pas, je te rassure.
– Bon alors, raconte-moi, vous vous êtes embrassé et ensuite?
Amélie désigne du doigt, l’endroit du salon où ils se trouvaient deux jours plus tôt.
– On était là, tous les deux debout, on s’embrassait avec la langue, on se caressait, j’étais de plus en plus excitée. Il était torse nu et j’ai commencé à défaire son pantalon précipitamment. Il l’a enlevé pendant que je retirais ma robe. J’avais bien fait de mettre un bel ensemble dessous, ça lui a beaucoup plus. Quand il m’a vu en soutif et tanga, il était stupéfait. Il m’a dit que c’était très sexy, que j’étais belle, que j’avais un corps sublime.
– Il n’avait pas tort. Il devait bien bander.
– Hihihi, oui, il y avait une belle bosse dans son boxer. Ensuite, on s’est enlacé, on ne pouvait plus décoller nos bouches. Je mouillais de plus en plus en sentant sa verge toute dure contre ma fentine liquéfiée. J’avais méga-chaud. Puis, il a posé ses mains sur mes fesses et il m’a soulevé. J’ai enroulé mes jambes autour de sa taille.
– Putain, moi j’adore quand un mec me baise debout comme ça, aussi bien de face que de dos.
– Là, on ne baisait pas, on était encore en sous-vêtements. Il m’a juste portée pour venir m’allonger sur le canapé.
– Donc, juste à ma place.
– Et oui. Il était sur moi et il a commencé à me faire des bisous partout. Dans le cou, sur les épaules, le creux des seins, le ventre, l’intérieur des cuisses et sur ma minette par dessus mon tanga. Il me rendait folle.
– Tu devais avoir envie d’un petit cuni dans les règles.
– Comment tu le sais? Tu étais là ou quoi?
– Hélas non, mais j’aurais bien voulu voir ça et participer tant qu’à faire.
– Bah voyons…bref, il ne m’a pas lécher tout de suite si tu veux tout savoir. Il a juste écarté l’élastique et il m’a fait un bisou sur mon ticket de métro et sur mes lèvres.
– Hum, il t’a fait bouillir à petits feux.
– Ouais, je n’en pouvais plus et il l’a bien compris. Il est revenu sur moi, et il m’a embrassé en glissant sa main entre mes cuisses sous l’élastique. Il m’a cajolé le clito avant de me doigter lentement. Plus possible de faire machine arrière, j’étais haletante, gémissante. J’ai dégraffé mon soutif pour offrir à sa bouche mon 95C.
– 95C? J’aurais dit plus.
– Je sais les mettre en valeur. Les tiens sont assez gros aussi.
– Seulement 90B, mais ça me suffit. Du coup, il a dû se régaler.
– Évidemment, dès qu’il les a vus, il ne les a pas lâchés et il m’a régalé aussi. Il les a bisouté, sucé, léchouillé, gobé, mordillé, enfin tout ce que tu veux.
– Hum le pied.
– Et tout ça en continuant de me masturber.
– Monsieur est un pro?
– Il s’y prenait très bien.
– Avec sa bouche et ses doigts peut-être, mais avec sa langue et son manche?
– A ton avis? Si je te parle de lui depuis ce matin…
– Oh, je te taquine.
– Je sais. Bon, il a fini par me retirer le bas et moi j’ai viré son boxer.
– Et alors? Saucisse knacki ou gros boudin blanc?
– Une taille honorable, bien droite et toute lisse.
– Miam!!!
– On était tous les 2 nus, on s’emballait. Je l’ai pris en main et j’ai commencé à le branler, pendant qu’il me fouillait à deux doigts. On ronronnait ensemble sans se quitter du regard. Puis il m’a donné ses doigts à lécher avant de m’écarteler. Il m’a fait un cuni de dingue, j’ai eu un orgasme direct.
– Tu es une rapide dis donc.
– Attend, j’étais surexcitée et c’était tellement bon. Sa langue virevoltait sur mes trésors avec une finesse inouïe.
– Tu sentais qu’il aimait faire ça.
– C’est clair. Après il a pris une capote et il m’a fait l’amour.
– Tu ne l’as même pas sucé un peu avant?
– Non. Il ne me l’a pas demandé et j’avais trop envie qu’il me prenne.
– A priori, lui aussi, s’il a mis une capote tout de suite.
– Hihihi, oui. Il s’est allongé sur moi, entre mes cuisses. Je tremblais à nouveau quand j’ai senti qu’il me pénétrait. Ses va-et-vient étaient doux, tendres, profonds.
– Ça a duré longtemps?
– Assez pour qu’il me fasse jouir une nouvelle fois.
– Tu ne t’es pas trop lâchée alors.
– La première fois non, mais on a recommencé plus tard.
– Vas-y raconte.

Amélie ressert un verre à sa confidente et poursuit avec le sourire.
– Après ça, on est resté nu, on se câlinait. Je lui ai demandé s’il avait trouvé ça bien.
– Il a dit quoi?
– Qu’il avait adoré, qu’il était même surpris.
– C’est à dire?
– Grégoire lui a dit que j’étais nulle au lit, que j’étais une grosse coincée, que j’aimais pas le sexe et qu’en gros si ça continuait comme ça, il irait voir ailleurs.
– Putain, mais quel bâtard.
– J’étais en rogne. Je l’ai appelé direct pour lui dire que c’était même pas la peine qu’il essaye de me revoir, que c’était mort entre nous.
– Qu’est-ce qu’il t’a répondu?
– Rien, j’ai eu son répondeur. Je lui ai laissé un beau message…
– Tu m’étonnes, tu as bien fait.
– Du coup, derrière cette révélation, je n’avais plus aucun scrupule pour coucher avec Chris.
– Parce que tu en avais avant.
– Un peu oui, c’était la première fois que je trompais quelqu’un.
– Du coup, tu t’es jetée sur ton breton?
– Pas tout de suite, il fallait que je me calme. On a bu un verre, on a regardé la télé en discutant. Il a réussi à me détendre par ses mots, ses baisers, ses caresses. Il a su me redonner le sourire.
– Tu étais à nouveau prête à l’action.
– Oui, avec une furieuse envie de lui prouver que je n’étais pas une coincée.
– T’as fait quoi?
– Je lui ai d’abord demandé s’il voulait mater un film X comme la nuit précédente.
– Non? Tu lui as dit que tu l’avais vu se tripoter
– Oui, il m’a paru un peu gêné au départ, mais il a rapidement repris du poil de la bête. Tu sais ce qu’il m’a dit?
– Non, annonce.
– Puisque tu m’as vu, je veux te voir aussi.
– Oh le coquin. Tu l’as fait?
– Oui, je me suis assise face à lui, j’ai écarté les cuisses et j’ai commencé à me masturber.
– Mais il t’a transformé ce type.
– Grave, j’aurais jamais osé faire ça avant. Mais je me sentais tellement bien avec lui, il m’excitait tellement, que j’aurais pu faire n’importe quoi.
– Et t’as kiffé?
– Oui, surtout qu’il a fait pareil. On s’est branlé l’un en face de l’autre pendant au moins 10 min.
– Hum, c’est trop excitant de faire ça.
– J’étais toute trempée, je ne cessais de fixer sa main sur sa belle tige tendue. C’est là que je me suis jetée dessus. Je l’ai sucé comme une grosse gourmande.
– Il a dû apprécié.
– Oui hihihi, il grognait, il n’arrêtait pas de dire que c’était trop bon, qu’il avait trop envie de moi.
– Tu as été jusqu’au bout?
– Non, après je lui ai demandé de s’allonger et je suis venue m’empaler sur lui.
– Sans préservatif?
– On n’en avait plus et impossible de faire marche arrière.
– Ouais je comprends.
– C’était encore meilleur. J’étais sur lui en appui sur mes bras en arrière, il me ramonait puissamment et là j’ai eu le meilleur orgasme de ma vie. J’ai hurlé, tellement c’était fort. Je ne pensais pas que c’était possible de jouir comme ça. J’ai eu plusieurs convulsions, j’ai même éjaculé plein de mouille.
– Ca y est, tu es devenue femme-fontaine.
– Oui et je ne me rendais compte de plus rien, j’étais à moitié dans les vapes. J’ai même pas senti quand il a giclé en moi. J’ai seulement compris quand j’ai remarqué que ça dégoulinait le long de mes cuisses.
– Oh, tu me donnes trop chaud ma belle.
Marie soulève sa jupe et dévoile son string humide à Amélie.
– Regarde ça comment je mouille.
– Euh…tu n’es pas obligée de me montrer ça.
– On est entre nous, je suis sûre que tu es dans le même état.
– Oui j’avoue, mais ce n’est pas une raison.
– Putain, j’ai trop envie de me caresser avec tes histoires.
– Ouais bah tu attendras d’être chez toi.
– Oh allez pourquoi on ne se caresserait pas ensemble?
– Mais tu es tombée sur la tête ou quoi?
– Tu ne t’es jamais masturbée avec une copine.
– Non
– Allez, viens on le fait, tu verras c’est plus excitant qu’en solo.
– Mais non, sacrée cochonne, je n’ai pas envie de faire ça avec toi.
– Allez, je suis sûre que tu en as envie.
– Arrêtes tes conneries, je le ferais toute seule.
– Ok, je me calme, mais si ton histoire continue à m’exciter comme ça, je ne vais pas pouvoir me retenir.
– Il faudra bien.
– Ca veut dire que tu as encore des choses à me dire.
– Exact, vu qu’il est resté dormir. Mais je ne sais pas si je dois tout te raconter, sinon tu vas me sauter dessus.
– Ca nous ferait une nouvelle expérience à toutes les deux.
– Ha bon, je croyais que tu avais déjà testé avec les femmes.
– Non, mais j’aimerais bien.
– Plus rien ne m’étonne venant de toi.
– Heu oh!!! Je n’ai pas fait autant de saletés que toi.
– Et ton black de samedi soir.
– Bah juste un coup par devant, un coup par derrière et je suis rentrée. D’ailleurs en parlant de derrière, tu ne m’as pas confessé quelque chose à ce propos ce midi?
– Si, après avoir jouit comme une folle, j’étais exténuée et je me suis endormie dans ses bras.
Au petit matin, il m’a réveillé en douceur en me câlinant, en me faisant des petits bisous. Il m’a répété qu’il me trouvait belle, qu’il avait passé une nuit merveilleuse. Et moi je lui disais que c’était réciproque, que j’avais jamais joui comme ça.
– Tu n’as pas eu beaucoup de mecs non plus.
– C’est vrai, mais je lui ai avoué que, dès que je l’ai vu, j’ai eu envie de lui, que je m’étais masturbée plusieurs fois en pensant à lui.
– Il devait se sentir fier.
– Je ne sais pas. Toujours est-il que j’étais à nouveau toute emoustillée.
– T’avais faim de lui.
– Hihihi, oui et lui de moi. Il est passé sous les draps alors que j’étais sur le ventre. Il embrassait mes fesses en me caressant la vulve. Forcément j’étais déjà dégoulinante. Il a commencé à me doigter avec un doigt, puis un deuxième. Je suis partie au quart de tour.
– Tu m’étonnes, dès le réveil c’est trop bon.
– Ensuite, il s’est allongé sur moi, je sentais son appendice bien dur contre mes fesses. Il m’a embrassé et m’a demandé si c’était agréable. J’ai répondu par l’affirmative et là il m’a répondu « je vais faire mieux »
– Oh, oh…
– Il est reparti sous les draps et il m’a léché le minou. Alors moi, haletante, j’ai soulevé le bassin en me cambrant un peu et d’un coup, il a écarté mes fesses et il a léché mon petit trou.
– Hum, j’adore, tu as dû kiffé.
– D’abord surprise, on ne me l’avait jamais fait.
– Même pas avant une petite sodo?
– J’ai essayé une fois la sodo, j’ai eu trop mal, depuis plus personne ne touche à mon anus.
– Pourtant là…
– Il m’a prise au dépourvu, et vu que c’était bon, je l’ai laissé continuer. Sa langue alternait entre ma minette et mon petit trou et il a réussi à me faire jouir comme ça.
– Oh la chance, ça devait vraiment être un bon coup. Et ensuite il t’a pris les fesses?
– Non, il a tenté mais j’ai pas voulu.
– T’es bête, tu aurais peut-être aimer cette fois-ci.
– J’ai pas fini, j’ai dit non au départ. Il m’a d’abord prise en levrette de plus en plus sauvagement, mes seins gigotaient dans tous les sens.
– Hum le pied!
– Et pendant qu’il me donnait des grands coups de reins, il m’a titillé la rondelle.
– C’est ce qui s’appelle tourner autour du pot…
– Hihihi, oui et après il a enfoncé son pouce dans mon rectum. Tout en me besognant adroitement, il me doigtait l’anus de plus en plus vite. C’était trop bon
– Et là ne me dis pas que tu n’avais pas envie de te faire enculer.
– Marie!!! T’es vulgaire… Mais, oui j’étais partagée entre l’envie et la peur d’avoir mal. Mais j’étais surexcitée surtout quand il a replongé sa langue dedans. Je gémissais si fort. Il a insisté et j’ai cédé. Il y est allé progressivement.
– Tu as eu mal?
– Pratiquement pas. Une fois dedans, il m’a sodomisé de plus en plus vite. J’étais en transe, je me suis lâchée complètement. J’ai même crié « j’aime trop ta bite »
– Et c’est moi la vulgaire…
– J’ai encore du mal à réaliser que j’ai pris du plaisir par derrière. Je ressens encore son sexe au fond de mon petit cul et ses mains qui pressaient mes seins. C’était génial.
– Je veux bien te croire.
– Sur le moment, je me sentais perverse, surtout quand il est sorti et qu’il a éjaculé sur mes fesses et mon œillet. J’ai adoré l’entendre jouir sur moi. Je n’avais qu’une envie, qu’il recommence.
– Et bien, il a fait de toi une nouvelle femme.
– Je ne sais pas. Je me suis posé plein de questions quand il est parti sous la douche.
– Du genre?
– Est-ce que c’est lui ou mon désir pour lui qui m’a poussé à me lâcher comme ça tout le weekend. Est-ce que ce n’était pas dans ma tête que je faisais un blocage. J’avais tellement joui en deux jours, et de telles manières différentes, que je ne savais plus quoi penser.
– Ca donne envie de se lâcher plus souvent hein?
– C’est clair, je te comprends mieux maintenant.
– C’est bon de laisser libre cours à ses fantasmes.
– Oui et c’est ce que j’ai fait en le rejoignant sous la douche.
– Encore? Mais vous étiez des machines.
– Hihihi, quand on n’aime, on ne compte pas, c’est toi qui l’as dit. Et il fallait bien que je le remercie.
– Laisse-moi deviner…tu lui as offert une petite gâterie?
– Bien vu. J’étais encore excitée en le voyant nu sous la douche et par nos ébats une heure plus tôt. On s’est embrassé sous l’eau, il m’a dévoré les seins. Quand j’ai senti son machin bien dur entre mes lèvres, je me suis accroupie et j’ai commencé à lécher son gland, sa hampe, ses boules. Il trépignait d’impatience.
– Moi aussi, je n’arrête pas de couler.
– Je l’ai pompé entièrement en le branlant bien comme il faut.
– Tu as dû l’exciter à mort.
– Je l’étais aussi et quand j’ai senti qu’il allait venir, je lui ai demandé de gicler sur mon visage.
– Non, t’es sérieuse? Tu as pris une faciale? Même moi je ne fais pas ça.
– Oui, je voulais savoir ce que ça faisait.
– Ca t’a plu?
– Sur le moment oui, ça me faisait tellement plaisir de lui faire plaisir.
– Et bah, tu me surprends…
– Et tu sais ce qui m’a traversé l’esprit à ce moment-là?
– Non.
– Prendre une photo avec mon portable, la figure pleine de sperme et le sexe de Chris encore bien dur contre ma joue, et l’envoyer à l’autre enfoiré en signant « la coincée qui t’emmerde »
– Je ne te crois pas, tu n’as pas pu faire ça.
– Non, je n’ai pas osé, mais la photo a été prise.
– Montre-moi ça
Amélie fouille dans son téléphone et le tend à sa copine.
– Oh la vache, tu l’as vraiment fait.
– Bah oui, je viens de te le dire.
– J’en reviens pas, t’en as partout en plus.
– C’est un bon producteur.
– Oui avec un bel outil, je comprends pourquoi tu t’es régalée tout le weekend.
– Hélas maintenant il est loin.
– En tout cas, c’était très excitant, t’imagines pas comment je suis gluante.
– Pas autant que moi.
– Il n’y a qu’une seule solution pour le savoir.
C’est alors qu’Amélie totalement décomplexée, regarde sa camarade débridée, soulève sa jupe, retire son string et dévoile son minou baveux. Marie lui sourit et exécute la même chose. Face à face, jambes grandes ouvertes, les deux enseignantes comparent leur minette humide et c’est ainsi que dans la soirée elles découvrent ensemble les joies que procurent les plaisirs lesbiens.

FIN.

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