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1ere fellation au sex-shop

1ere fellation au sex-shop



Cette histoire s’est passée il y a maintenant 20 ans. A cette époque j’étais étudiant dans une école d’ingénieur de Lille. J’avais 21 ans et j’étais encore puceau. Cela peut paraître incroyable d’être encore puceau à 21 ans (surtout quand ce n’est pas réellement un choix) mais à l’époque j’étais affligé d’une effroyable timidité envers les femmes. Je parvenais à leur parler et même à plaisanter avec elle mais je ne savais absolument pas comment faire pour les séduire et aller plus loin avec elle. Fort heureusement cette situation évolua après la fin de mes études et j’appris plus tard comment me comporter pour les séduire mais cela est une autre histoire.
A l’époque j’habitais une chambre dans une résidence étudiante située rue de Courtrai dans le Vieux-Lille. Les petites rues du Vieux-Lille entre mon adresse et la Gare de Lille Flandres qui était la station de Métro la plus proche étaient à l’époque le quartier de prédilection de prostituées mais aussi de quelques sex-shops aux vitrines masquées. Bien que puceau les prostituées m’intéressaient peu. D’abord parce qu’en tant qu’étudiant fauché je n’avais pas l’argent pour les payer et qu’ensuite la plupart faisaient plutôt penser à des junkies en recherche de l’argent pour leur prochaine dose. Bref elles provoquaient en moi plus de dégoût et de pitié que de désir.
Les sex-shops par contre m’intriguaient. A l’époque il n’y avait pas internet pour se gaver de films pornos. Seule la petite chaîne cryptée passait un film porno le 1er samedi de chaque mois et si on en voulait plus il fallait avoir un magnétoscope et aller en louer au vidéo club. Or il n’y avait aucun vidéo club dans le village où habitaient mes parents et je n’avais même pas la télé dans ma chambre d’étudiant. Les sex-shops qui promettaient pour 30 francs l’accès à des cabines de projection avec des milliers de films de diverses catégories « Lesbiennes », « Sado Masos », « Partouzes » « Interracial », « Bisexuels » etc… enflammaient ma curiosité et mon excitation.
L’un d’entre eux en particulier devant lequel je passais tous les jours en revenant de l’école mais également certaines nuits lorsque je rentrais vers 01h00 du matin, à l’heure du dernier métro, de soirées étudiantes arrosées. Il était alors le seul à être encore ouvert en semaine à cette heure-là et il m’arrivait alors parfois de croiser des hommes qui en sortaient le plus naturellement du monde.
Un vendredi soir, n’ayant pas de cours le lendemain et aucune soirée de prévu ce soir-là, je me décidais à pousser la porte de cet établissement, histoire au moins de voir si mon excitation était justifiée.
Une fois la 1ere porte passée il y en avait une seconde fermée où il fallait sonner pour qu’on vous ouvre après avoir vérifié via une caméra que vous étiez bien majeur ou que vous n’étiez pas une bande de petits crétins venus « foutre le bordel ». Une fois entré je trouvais à droite un comptoir avec le gérant discutant avec 2 clients de la pluie et du beau temps, à gauche des rangées de DVD par catégories « Transsexuels », « SM », « Gays », « Gros Seins », « Asiatiques », etc. 2 ou 3 hommes devant cherchant leur bonheur et au fond de la pièce une porte avec un escalier montant et un autre descendant et avec écrit au-dessus « Cabines – 30 Francs ».
Ne sachant trop quoi faire, je me tournais moi aussi vers les rangées de DVD et passais quelques minutes à regarder leurs jaquettes évocatrices. Je dois bien dire que jamais je n’aurais pensé qu’il existait autant de catégories dans le porno. Il en existait même une pour les « Nains Noirs avec Blondes ». Je finis par me décider pour un film plus classique où des femmes asiatiques se faisaient partouzer par quelques hommes noirs biens membrés. Je me tournais alors vers l’employé derrière son comptoir pour lui demander comment accéder aux cabines pour voir un film :
-« C’est la 1ere fois que vous venez ici ? »
-« Euh.. Oui .. »
-« Alors je vous explique : vous payez au comptoir 30 francs et vous me dites le numéro du film que vous souhaitez voir et moi je vous indique sur quel canal vous pourrez le voir dans la cabine. Vous pouvez utiliser la cabine tout le temps que dure le film. Il y a aussi d’autres films qui tournent sur les autres canaux si vous voulez zapper. Vous pouvez aussi changer de cabine si l’envie vous en dit, vous retrouverez votre film sur le même canal dans toutes les cabines. Au rez-de-chaussée les cabines sont des cabines normales, à l’étage il y a une très grande cabine avec un fauteuil où vous pouvez aller en couple ou même à plus et encore 2 autres cabines communicantes entre elles par une large fenêtre si vous avez envie de vous amuser avec votre voisin, au sous-sol les cabines sont toutes équipées d’un Glory Hole, un trou dans les parois où vous pouvez passer la main, ou votre bite aussi. Vous avez compris ? »
-« Euh….Je crois oui… »
-« OK.. c’est quoi le numéro de votre film ? »
-« 128030 »
-« OK… canal 37… »

Je payais mes 30 francs et entrais dans le couloir sous l’œil amusé des clients avec lequel discutait l’employé. Je vis l’escalier descendant qui s’enfonçait vers un sous-sol d’aspect sombre ainsi que l’autre escalier qui montait vers un étage semblant être uniquement éclairé par une ampoule rouge. J’entrai finalement dans le couloir du rez-de-chaussée et pénétrai dans la 1ere cabine que je trouvais libre, fermais la porte, m’installais sur la chaise et appuyai sur le bouton de la manette permettant de déclencher l’écran et de zapper d’un canal à l’autre. Je zappais sur le canal 37 où une jeune chinoise apparut en lingerie devant 3 grands noirs assis sur un sofa qui commençaient à se toucher. Rapidement la chinoise se trouva à genoux à sucer les queues généreuses des 3 Blacks. Je commençai à baisser mon pantalon et mon caleçon pour débuter ma masturbation mais je ne faisais que regarder vaguement le film, mon esprit était ailleurs. Je repensais à ce que m’avait dit l’employé, à cet escalier s’enfonçant au sous-sol où les cabines étaient munies de trous suffisamment grands pour passer sa bite.
Je ne sais s’il s’agissait de l’abstinence sexuelle forcée mais l’idée de me branler tout en matant une autre bite par le trou ou en me faisant mater commençait à enflammer mon imagination. Je commençais à zapper par curiosité. L’un des films montrait un mec blanc suçant l’énorme queue d’une superbe transsexuelle noire avec des seins et un cul à donner des complexes à n’importe quelle bimbo mais en même temps montée comme un cheval. La vue de cet homme agenouillé devant cette superbe créature pour sucer d’une manière si gourmande ce sexe magnifique était une source supplémentaire de trouble. Disons-le j’étais totalement fasciné par la fellation que cet homme faisait à ce shemale. Je commençais à m’imaginer à sa place devant une si belle « femme ». Il était clair que j’aurais eu envie de l’embrasser goulûment , lui lécher tout le corps, ses seins, ses fesses, ses jambes, son ventre et enfin… comment aurais-je pu résister à l’envie de goûter son bâton de chair ? La raideur de mon sexe que je masturbais en observant l’écran ne laissait aucun doute sur mon excitation…
Je restais absorbé à la vision de cette fellation plusieurs minutes tout en repensant à cet escalier s’enfonçant dans ce sous-sol et à ces cabines à trous. Et si j’allais y jeter un coup d’œil ? Juste par curiosité bien sûr… Y verrais-je des bites en vrai ? Voire une fellation peut-être ? Qu’est-ce que je risque ?..
Bon ma décision était prise. Je me rhabillai, sortis de ma cabine et me dirigeai vers l’escalier.
Chaque marche que je descendais semblait augmenter un peu plus la petite boule que je ressentais au ventre ainsi que mon excitation.
En bas de l’escalier je me retrouvais dans un petit couloir sombre avec 2 rangées de porte de chaque côté, certaines ouvertes, indiquant que la cabine était libre, et d’autres fermées. J’entrai dans la 1ere cabine à ma gauche qui était libre. La cabine juste à côté était également vide. J’enclenchai la lecture vidéo et je zappai à nouveau sur le film avec l’homme blanc et la transsexuelle noire. Cette dernière était maintenant en train de le sodomiser à 4 pattes tout en lui parlant en portugais et même si je ne connaissais pas cette langue j’imaginais aisément ce qu’elle lui disait. Les gémissements et le visage de l’homme montraient qu’il prenait visiblement un énorme plaisir à se faire enculer de manière virile par cette si belle créature.
Je baissai à nouveau mon pantalon et mon caleçon pour reprendre ma masturbation partagé entre la peur et l’excitation de voir quelqu’un venir occuper la cabine à côté de la mienne. Quelques minutes passèrent à me masturber doucement tout en regardant la transsexuelle retourner l’homme sur le dos pour pouvoir le sodomiser tout en le branlant. J’entendis alors dans la cabine d’à côté la porte se fermer. Risquant un coup d’œil rapide par le trou dans la cloison je vis un homme s’asseoir et enclencher la lecture.
Je me remis à mater mon film un peu excité de savoir qu’un mec à côté pouvait me mater me branler. L’homme blanc avait joui sur son ventre sous les coups de butoir et la masturbation de la transsexuelle noire qui désormais se branlait au-dessus du visage de l’homme pour se finir. C’est alors qu’une main ouverte passa à travers le trou attendant sans aucun doute qu’on la remplisse. J’hésitai quelques secondes avant de me lever pour placer ma bite dans cette main. Elle entama aussitôt un mouvement de va et vient et je sentis pour la 1ere fois de ma vie ma queue branlée par une autre main que la mienne. Le plaisir de cette nouvelle sensation était sur l’instant quasiment plus psychologique que physique. Savoir que quelqu’un d’autre que moi me branlait, que c’était la 1ere fois et que cette 1ere fois était avec un homme était extrêmement troublant.
Mais cet homme n’avait pas l’intention de s’arrêter à une simple branlette. Il attira ma queue à travers le trou et rapidement je sentis une bouche gourmande s’activer sur ma queue. 20 ans plus tard j’ai encore le souvenir de cet étau chaud et humide qui s’était refermé sur ma queue et qui se mit à coulisser dans un doux mouvement de succion. Rapidement je sentis sa langue se balader sur ma bite en donnant de larges coups. L’homme me léchait la bite en descendant dessus avant d’arriver sur mes couilles qu’il se mit aussi à lécher avant de les gober doucement l’une après l’autre. Bien que je savais qu’il s’agissait d’un homme de l’autre côté qui me léchait les couilles je ne pouvais que reconnaître qu’il me procurait un grand plaisir par les frissons qui parcouraient mon corps en provenance de mon bas ventre. Après un long moment à me lécher ainsi les couilles, sa langue remonta doucement vers mon gland tout en exécutant des balayages rapides. Il me lécha ainsi le gland avant de l’emboucher pour reprendre sa fellation. Il le fit de manière douce puis accéléra sensiblement le rythme. D’une main il avait attrapé la base de ma bite et me branlait au même rythme que sa fellation tandis que l’autre main caressait doucement mes couilles du bout des doigts. De temps en temps cette main passait à travers le trou pour venir me flatter les fesses par en-dessous. Un doigt furetait même entre mes fesses pour caresser mon anus. Emporté par le plaisir que cette bouche me procurait j’ouvrais mes fesses en tirant dessus avec mes propres mains. Le doigt joua alors un petit moment coquin avec mon anus avant de se retirer. Je fus presque déçu de frustration de ne plus le sentir mais je le ressentis en fait à nouveau rapidement mais cette fois recouvert d’une substance froide. Je compris que le coquin avait posé sur son doigt une dose de gel lubrifiant. Il m’en tartina délicatement l’oignon avant d’appuyer doucement sur mon cul que j’ouvris alors en tirant au maximum mes fesses. Enhardi par ce comportement le doigt s’enfonça plus fort et pénétra finalement mon cul. Dans ma tête, résonna cette phrase « Je me fais enculer… et putain… ce que c’est bon… » . Bien sûr ce n’était qu’un doigt mais pour moi c’était la première fois. Il débuta un mouvement circulaire d’abord très lent puis de plus en plus rapide qu’il alterna avec des mouvements de va et vient. Sentant que mon cul s’était assoupli, et que je n’opposai visiblement aucune résistance, un deuxième doigt rejoint le premier. Et me voilà moi le puceau de 21 ans, collé contre la paroi de la cabine d’un sex-shop, me faisant sucer et branler par un mec qui me doigtait le cul à 2 doigts en même temps.
De l’autre côté sa bouche et sa main accélérèrent encore leur mouvement de va et vient sur ma queue tandis que ses 2 doigts au fond de moi faisaient naître des vagues de plaisir de plus en plus fréquentes et profondes qui parcouraient tout mon être. Je ne pus tenir que quelques minutes à ce traitement. Sentant ma jouissance monter je dis pus au milieu de mes gémissements :
« Au Putain… Je vais jouir »
Loin de le bloquer, il poursuivit le mouvement de ses doigts et de sa bouche. Ma jouissance explosa en logs jets dans sa bouche et me secoua de la tête au pied en même temps que des petites lumières passaient devant mes yeux. Je le sentis avaler mon sperme. Mes spasmes musculaires avaient refermé mes fesses sur ses doigts et il fallut plusieurs secondes avant que je ne puisse détendre à nouveau mon cul pour qu’il ressorte ses doigts.
Un peu assommé par ma jouissance je me rassis sur le siège quelque peu décontenancé. Ma première expérience sexuelle venait de se passer et elle avait eu lieu dans un sex-shop avec un homme qui non content de ma faire une fellation m’avait également doigté. Cette situation m’apparaissait doucement dans sa réalité. Mais je n’eus pas le loisir de réfléchir très longtemps à cette situation car de l’autre côté de la cabine l’homme s’était maintenant levé et venait de faire passer par le trou sa bite en érection et ma foi d’une fort belle érection. Belle était bien le mot car sur le moment je me souviens très bien m’être fait cette réflexion : « Sa bite est bien belle ». Elle n’était pas spécialement longue mais elle était bien dure, parcourue de jolies veines bleues, surmontée d’un gland déjà luisant de liquide pré-spermatique et accompagnée de 2 belles couilles poilues.
Bien entendu, maintenant que j’avais joui j’aurais très bien pu ouvrir la cabine et m’en aller, remonter l’escalier et sortir du sex-shop mais cela m’aurait paru « incorrect » voire « mal élevé » de ne pas au moins essayer de donner un peu de plaisir en réciproque à l’homme qui m’avait si bien fait jouir pour ma première expérience. Et disons-le j’étais curieux de sentir une autre queue que la mienne dans mes mains, curieux aussi de la sentir dans ma bouche. Enfin je devais bien reconnaître que je me sentais attiré par cette bite que je trouvais si belle et en même temps de ne même pas distinguer l’homme à qui elle appartenait.
Je rapprochais donc ma chaise du trou, tendis la main et attrapai doucement cette queue. Je commençais un mouvement de va et vient dessus et de mon autre main je lui caressai les bourses du bout des doigts. J’approchai ma bouche pour déposer quelques baisers le long de la hampe. Je fus séduit par la douceur de la peau que je sentais sur mes lèvres et évidemment après les baisers c’est ma langue que je sortais pour commencer à lécher cette colonne de chair chaude. Je léchai ainsi cette queue en larges coups de langues du bas vers le haut. Fatalement ma langue passa également sur le gland où je sentis ce goût légèrement salé caractéristique. Je m’appliquai à bien lécher doucement le frein sur le gland, un endroit qui chez moi était très sensible (et chez lui également à en juger par ses gémissements). Enfin je me décidai à emboucher son gland puis son sexe dans ma bouche pour le sucer. Je le suçais de mon mieux pour ma première pipe, en coulissant mes lèvres le long de sa queue et en creusant mes joues dans un mouvement d’aspiration-succion. La sensation de cette queue dans ma bouche était tellement agréable.
Je suçai cette queue de plus en plus vite et plus je la suçais plus je me rendais compte que j’aimai ça. Des phrases résonnaient dans ma tête :
« Je suis en train de sucer la queue d’un inconnu dans un sex-shop…. Je taille une bonne pipe comme une salope de film porno… » et cela augmentait encore mon excitation.
Ma bite recommençait à bander malgré ma récente jouissance, doux privilège d’avoir 21 ans. Je me remis à me branler en ne lâchant surtout pas la bite dans ma bouche. J’alternai avec volupté mes succions et de grands léchages du gland en l’entourant de ma langue. Puis je lâchais sa bite pour descendre de ma langue sur ses couilles poilues. Je léchais ses 2 belles couilles qui étaient durcies par l’excitation et le plaisir. Ma langue passait en dessous avant de lentement remonter dessus jusqu’à la base du sexe puis je les gobais l’une après l’autre pour les suçoter doucement. Enfin je fis faire à ma langue de rapides mouvements circulaires à la base de ses couilles pendant que ma main continuait de branler la queue. Les gémissements du propriétaire de cette belle bite m’indiquaient que je ne devais pas me débrouiller si mal. Et en effet je sentis sa respiration s’accélérer et ses couilles se rétracter rapidement quand son éjaculation surgit me surprenant. Son sperme atterrit sur mes cheveux, mon visage et coula sur ma poitrine. Une éjaculation faciale pour le puceau converti en salope suçeuse…
Après sa jouissance l’homme se rhabilla et sortit de sa cabine non sans m’avoir gratifié d’un rapide « Merci. Au revoir » auquel je répondais : « De rien. Au revoir ».
Un peu hébété et pensif je restais 2 ou 3 minutes de plus dans ma cabine en matant le film sans vraiment le voir. Finalement moi aussi je me nettoyais rapidement au mouchoir en papier, me rhabillais, sortis de la cabine, remontais l’escalier, passait devant le comptoir et sortis du sex-shop après un rapide « Au Revoir » au vendeur.
Je rentrais ensuite dans ma petite chambre d’étudiant en songeant à ce que je venais de vivre. Une fois dans ma chambre je repensais à cette expérience et ne pus m’empêcher de rebander et de me branler à nouveau. Je compris que, tout en continuant à être très attiré par le corps des femmes, cette bite n’allait pas être la dernière que j’allais sucer.

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