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Julie ou Julien (12)

Julie ou Julien (12)



C’est repus de cette matinée que j’observe le tableau sous mes yeux.
Sophie et isabelle, sa mère, allongées au sol, à moitié lovée l’une contre l’autre, digère leurs orgasmes mutuels. Isabelle vient de passer le cap i****tuel en sodomisant à coup de strapon sa fille.
Pierre, la lopette qu’a épousé Isabelle, toujours entravé, s’est laissé tomber sur le flanc tant bien que mal, exhibant malgré tout son anus élargit par ma queue et le god.
Et enfin, Julie, ma petite poupée soumise, blottie contre moi, caressant mon torse amoureusement, les yeux pétillant d’une joie de vivre nouvellement découverte.
Pour ma part, je ne suis pas peu fier de ce tableau. Ma bite ramollie et essorée me rappelle les ébats depuis la veille. C’est une opportunité incroyable qui s’offre à moi, et je compte bien la saisir et en abuser autant que possible. Pour ça, il me faut mettre les choses au clair avec Isabelle, puisque pour Sophie et Julie c’est déjà tout vu, et que Pierre n’a semble-t-il pas grand-chose à dire.
Je me lève, déposant un petit baiser sur les lèvres de ma poupée, et sortant Isabelle de sa torpeur
– Isabelle, debout et suis moi
Elle se lève, encore groggy, toujours nue et à ma suite nous allons dans la chambre parentale. Je lui fais signe de s’assoir sur le lit, ce qu’elle fait, encore un peu gênée de la situation et de sa nudité je pense
– Isabelle, il faut faire un rapide bilan de ces évènements, et surtout il faut que tu mettes des mots sur tout ça, sur ce que tu as ressentis et ressens encore maintenant
– Je… je sais pas… c’est… déroutant ? Je… j’ai sodomisé ma fille !
– Oui, en effet. Les faits je les connais ma chérie, mais ce que je veux savoir c’est ce que tu ressens !
– Je… je crois que j’ai aimé… J’en reviens pas de dire ça… Tout se bouscule dans ma tête… Bon sang c’est complètement fou ! Vous débarquez à la maison, avec mes enfants, en ayant transformé mon fils en… je sais même pas quoi, en fille ? Avec ma fille aussi dont vous avez fait une salope lesbienne, et l’instant d’après vous me baisez et baisez mon mari ! Je sais pas quoi dire !
– Ton mari… hum… oui, la lopette tu veux dire… Tu l’as dit toi même, il a reçu ce qu’il méritait. Tes enfants… je ne les ait forcés à rien
Je lui raconte alors le déroulement des évènements, depuis ma rencontre avec feu-Julien jusqu’à ce matin. Sidérée, les yeux ronds elle ne sait trop quoi dire.
– Je te l’ai dit, je ne les ait forcé à rien, j’ai juste profité de ce qu’elles sont et stimulé leurs attente. J’ai révélé leur personnalité profonde qui s’avère être des salopes dociles et soumises. Comme je te l’ai dit, elles se sont offertes volontairement à moi. Elles m’ont offert leurs dévotions totales. mais encore une fois, je n’ai pas entendu ce que toi tu ressens
– Je… j’ai aimé je crois… J’ai jouis bon sang… Quand je vous ais révélé la nature de notre relation avec Pierre, je me suis sentie tellement soulagée d’enfin pouvoir en parler à quelqu’un ! Ça m’a retiré une sorte de poids… Et de pouvoir prendre encore plus de pouvoir sur lui. Je.. j’ai découvert encore plus à quel point j’ai du plaisir à exercer ce pouvoir. Et le faire publiquement, l’humilier au point de le voir se faire baiser par un homme… J’ai adoré je crois…
– Bien, dans ce cas, il serait dommage de te priver de ces nouvelles sensations, non ?
– heu… oui… Mais c’est effrayant aussi quand même
– Effrayant de jouir ?
– De jouir de tout ça… J’ai jouit avec la langue de ma fille collée à ma chatte… Mon dieu, rien que de le dire ainsi… et pourtant…
– Le plaisir a de très nombreuses sources tu sais. Le sexe pluri sexuel tout comme pluri partenaire en sont certaines…
Méditante, Isabelle acquisse de la tête.
– Maintenant, comme pour tes filles, une question se pose. Veux-tu que ça s’arrête ou pas ? Tu dois choisir, maintenant !
– Je… je crois que non… Je veux découvrir…
– Comprends-tu ce que ça veut dire ? ce que ça entraine ? A quelle type de  »relations » je fais allusions ?
– je cois
– Non, il ne faut pas croire, surtout dans ce cas-là, il faut être sûr ! Si tu souhaites aller plus loin, ce que j’attends de toi c’est comme tes filles, un abandon total de toi à moi. En t’engageant ainsi, tu m’offre le plein contrôle sur toi, sur ta vie, sur ton couple, sur ta lopette. Je t’aiderais à te surpasser dans l’éducation de ce qui te sert de mari, à accroitre ton emprise et ton pouvoir sur lui.
A ces derniers mots, concernant son pouvoir, le la vis avoir le regard pétillant.
– J’accepte !
– Allons officialisez ça en famille, suis moi
Nous quittons la chambre pour rejoindre la petite troupe au salon. Les filles semi-comateuse, se redressent à notre arrivée.
– Les filles, nous avons une nouvelle pour vous. Isabelle ?
Isabelle me regarde, interrogative, ne sachant pas comment procéder… je pointe le sol des yeux pour l’aider. Elle comprend et se positionne à genoux, devant moi.
– J’ai accepté de m’offrir à lui
– Isa, ma chérie, applique toi d’avantage
– Je… je m’offre à vous, mon corps, ma volonté, mes choix vous appartiennent dorénavant. Je vous offre aussi ma lopette et nous nous mettons à votre service complet.
De son côté Pierre, encore sur le flanc est affolé alors que les filles elles applaudissent leurs mère
– Mais Isabelle, tu es folle ? Tu fais quoi !?!?
– ta gueule lui dit Isabelle. Il est temps pour toi d’enfin te mettre à ta vraie place. Notre heu… notre Maître va à présent nous aider à mieux développer notre relation.
– Bien, lèves toi
Isabelle se lève, face à moi, et pour sceller ça je colle ma bouche à la sienne, la fouillant en profondeur. Passé l’effet de surprise, Isabelle me rend ce baiser, fougueusement.
– Bien, que diriez-vous de fêter ça en trinquant ? et nous allons manger tous ensemble. Isabelle, tes filles et toi allez préparer le repas
– Bien
Isabelle part vers la cuisine, Sophie emboite le pas, je l’arrête au passage et lui mange aussi la bouche. Puis Julie passe, le regard bas, je l’arrête aussi
– Ma puce, ne sois pas triste. Je te l’ai dit, tu auras une place privilégiée, mais non exclusive. Je suis loin d’en avoir terminé avec toi rassures-toi. Néanmoins, tout ceci est nécessaire et sera très utile pour ton évolution. Que ton cercle familiale soit au courant de ce que tu es te permettra d’évoluer plus vite et plus librement !
Satisfaite de mon discours, le visage de Julie s’illumine d’un sourire grandiose. Je la colle donc moi et lui accord un long gourmand baiser qu’elle me rend de toute sa générosité. Je décolle d’elle et d’une tape sur le cul l’envoi à ses tâches en cuisine.
Il ne reste donc plus que la lopette dans le salon, toujours entravé. Je m’approche de lui et constate qu’il est en pleure
– Que t’arrive-t-il ?
Reniflant, et entre deux sanglots
– Qu’est-ce que tu comptes faire à ma famille salaud
Je lui met un petit coup de pieds dans les roupignolles
– Qui t’as permis de me tutoyer ainsi sous-merde ?!
Il se pli en deux sous le coup
– Tu l’as constaté toi-même, ta famille s’est offerte à moi de son plein grés. Aucune de ces petites salopes n’a été forcées. Même ta tendre épouse, que j’ai moi fais jouir, s’est offerte à moi volontairement et au passage t’as aussi offert.
– t’es un grand malade connard
Nouveau coup dans les couilles
– Tu disais ?
– tu… vous êtes malade !
Encore un coup bien placé
– Ecoutes moi bien. Tu ne me parle pas comme ça. Tu ne parles d’ailleurs que si je t’y invite, sinon tu fermes ta gueule de grosse lopette ! Tu fais le malin, mais regarde toi ! T’as le cul en choux fleur, t’as jouis quand je t’ai enculé, t’as bouffé mon sperme qui sortait du cul de ta fille ! Et tout ça aussi t’as fait mouiller ! Il est peut-être temps de t’assumer non ? Ca fait presque vingt ans que ta femme te défonce le cul, que ta seule chance de visiter sa chatte c’est avec ta langue ! Et aujourd’hui tu as enfin la chance de t’assumer ! Alors contrairement aux filles tu vas pas avoir le choix ! Tu veux te rebeller, tant mieux, essais ! Je te rappel les vidéos de toi que j’ai. Je mettrais pas ta femme dans l’embarras et je saurais mettre en évidence ont seul visage et diffuser tout ça là où il faudra !
Je termine en lui remettant un coup aux couilles et quitte le salon en le laissant gémir de souffrance et pleurnicher. Je me dirige dans le dressing parental, dans la cache à malices. J’en profites pour mieux regarder tout l’attirail. Je refais une petite sélection de divers accessoires. Je suis ébahit de cette collection, en sachant la réserve et timidité dont fait preuve Isabelle. Sa perversité introvertie semble immense. Je retourne au salon, les bras chargés.
Je dépose le tout sous le regard médusé de la petite lopette. Piochant dans ma sélection, je commence par lui mettre le gagball en place, histoire de lui clouer le bec. Toujours entravé, ses tentatives à se débattre sont plutôt vaines. Je ne manque pas malgré tout de le calmer en lui rappelant qu’il a les couilles sensibles à mes coups de pieds. Je lui passe ensuite un collier en cuir muni de crochets nasaux. Les crochets une fois insérés dans son nez, je tends les sangles aux plus, lui donnant un air de petit cochon. Je prends ensuite le crochet anal. A sa vue, la lopette frémis de terreur, il semble savoir où je vais en venir. Je lui insère le crochet, qui a son extrémité intérieur est muni de 3 boule, au fond de son cul. Je relis ensuite la sangle à laquelle le crochet est relié à la sangle de ses crochets nasaux. En tendant le tout je le contraint à une pose, cul cambré, tête relevée en arrière qui le met parfaitement à sa place. Il se met à couiner, à protester mais je n’en tiens pas compte évidement. Je mets ensuite en place des pinces à poids sur ses tétons et sur ses couilles. Je termine par lui insérer, en complément du crochet anal, un plug gonflable. Dégonflé, il passe assez facilement. Une fois en place, je le gonfle, pas forcément de manière très raisonnable…
– Bien, tu restes dans cette position, en silence. Les salopes et moi on veut manger en paix. Quand je reviendrais je ne veux pas te voir avoir bougé.
Les larmes ruisselantes de son visage me permettre de confirmer qu’il a compris ne pas avoir le choix. C’est à ce moment que Sophie arrive dans la pièce.
– Maître, le repas est prêt
– Bien ma belle
Maître, vous me permettez une liberté s’il vous plait ?
– Voyons toujours
Sophie se dirige vers son père, se place face à lui
– Espèce de sale porc, t’as tout ce que tu mérites ! si tu crois que je voyais pas quand t’essayais de me mater dans la salle de bain !!
Sur ce elle lui envoi au visage un énorme mulard, se lève et viens de présenter à moi, la tête basse
– Allons manger
J’att**** quelques affaires sur la table et vais vers la salle à manger à côté. Isabelle, toujours nue, finit de remuer un plat, Julie à ses côtés. J’entends Isabelle lui prodiguer des conseils culinaires. Quand Julie se rend compte de ma présence, elle vient vers moi, tête basse
– Maître, j’ai demandé à ma mère de bien vouloir m’apprendre à mieux cuisiner, si cela ne vous pose pas de problèmes bien sûr. Je souhaites pouvoir ainsi mieux vous servir
– C’est bien ma poupée. Je crois que ta mère, et ta sœur, aurons bien des choses à t’enseigner
Je la flatte d’une caresse sur la joue, et regarde Isabelle qui observe la scène avec un mélange de fierté et de satisfaction
– Bien, tout le monde à poil maintenant
En dehors d’Isabelle que j’ai fait se dévêtir tout à l’heure, les filles n’avaient quitté que le minimum pour notre petite baise au salon. Sans hésitations, Sophie et Julie retirent leurs robes. Sophie est donc déjà nue. Elle regarde ses pieds, ses chaussures et m’interroge du regard
– Tu peux les garder. Julie, retire ta robe seulement, garde porte jarretelles, soutiens gorge et bottes.
Isabelle observe ses filles se dévêtir, toujours un peu hébétée je pense par la situation. Pendant ce temps, je dispose sur 3 chaises, un god ventouse. Les filles me regardent faire, un peu étonnées, mais sans commenter.
Pour ma part je prends place sur une chaise sans, pendant que ces dames mettent les plats sur la table. Elles regardent alors leurs chaises, et m’interroge du regard. Julie, toujours aussi téméraire et désireuse de me satisfaire tire la chaise, se positionne au-dessus et se laisse glisser dessus. c’est dans un profond soupir de contentement qu’elle se retrouve les fesses posées sur la chaise, mais le cul plein. Elle m’adresse son sourire le plus fier. Sans que je dise quoi que ce soit, Sophie à son tour se positionne, faisant pointer le god contre sa chatte et se laisse glisser dessus. Elle fait quelques montée-descente pour le faire pénétrer pleinement jusqu’à être totalement assise. Je l’observe, inspirer profondément, se mordant la lèvre inférieur, toute à son plaisir. Il ne reste plus qu’Isabelle, qui encore une fois semble totalement perdue à voir ses enfants se comporter comme deux petites chiennes.
– A toi ma belle, je lui dis
Hésitante, elle tire également la chaise, m’interroge du regard auquel je réponds d’un simple mouvement du menton. Elle se place alors à son tour au-dessus du god, et du bout du gland en plastique se frotte avec. Me regardant, et d’une petite voix elle dit
– Désolée… Je mouille plus comme une petite jeune moi…
– Dépêches toi, avant que le repas refroidisse
A priori l’excitation est suffisante pour que rapidement elle entame elle aussi quelques petits va et vient avant de se retrouver assise et empalée entièrement
– ho putain lâche-t-elle
– Maman ! surveille ton langage bon sang, lui envoie Sophie dans un éclat de rire
Les trois partent dans un fou rire, auquel je me joins.
– Bon, servez-moi maintenant
Elles réalisent alors que pour a pas d’autre choix que de se relever. Isabelle et Sophie le font, assez promptement alors que je vois Julie en profiter pour se faire quelques va et viens. Interpellée par sa mère
– Julie, on ne jouis pas à table !
– Ho la petite salope, elle en profite, lance Sophie
Nouvel éclat de rire commun. Elles viennent alors avec les plats, me servent, et attendent mon approbation pour se servir également. Une fois tout le monde servit, elles reprennent place. Les trois affichent de larges sourire lors de la nouvelle introduction en elle des sextoys.
Nous démarrons le repas et au bout de quelques minutes
– Julie, va me chercher le sel
Elle se relève, me le ramène et reprend place
– Sophie, un bout de pain
Idem, contrainte de se levée et retour à sa place.
– Isabelle, j’ai soif
Sûrement surprise que je m’adresse ainsi à elle, elle est d’abord surprise puis finit par se lever, me servir et retourner à sa place. Lors de sa nouvelle introduction, c’est un long gémissement qu’elle pousse. Je la vois démarrer des mouvements du bassin et même glisser une main entre ses cuisses.
– Isabelle stop !
Coupée dans son élan, elle s’arrête, et baisse le regard honteux. Je trouve plusieurs excuses durant le repas pour les faire lever, plusieurs fois chacune. Les trois font de gros efforts pour se retenir, étant noyées par le désir de se laisser aller à la jouissance, ce que je leur interdit.
– maître, puis-je prendre la parole ? demande Sophie
– Oui je t’écoute
– Maître, ce soir, je dois repartir pour mes cours. J’ai le train à prendre…
Je sens à sa voix une pointe de déception.
– Ok. Saches que j’attends de toi que tu excelle dans tes études. Je ne veux pas d’une sotte à mon service. Ton assiduité doit être exemplaire, de même que tes résultats. Je vais t’imposer de porter la ceinture de chasteté que tu as essayée hier. Tu seras déjà moins tentée d’écarter tes cuisses à tous les mecs qui passent. Je t’accorderais toutefois quelques libertés. Si des occasions se présentent, tu m’en fera part, et selon ma décision tu pourras ou non t’offrir à eux. Tu n’auras pour ça que ton cul ou ta bouche à offrir. Tu vas aller préparer tes affaires. Je ferais le tri de ce que je t’autorise à emporter.
– Bien Maître, et merci de votre soutien. il y a des vêtements chez vous que je souhaiterais emmener, m’autorisez-vous à les chercher ?
– Oui vas-y
Sophie se lève, non sans se permettre un petit aller-retour et quitte la pièce. J’entends la porte d’entrée s’ouvrir et se refermer. Elle a quitté l’appart nue…
Je lève, et rapproche de moi la chaise où étais Sophie
– Isabelle, rapproches-toi de moi que nous discutions un peu
Je passe un doigt sur le god qui était encore il y a quelques minutes dans les tréfonds de Sophie, j’y ramasse une goutte de cyprine que je déguste. Isabelle, s’est levée et approchée de la chaise, regardant le god
– Sophie l’a hydraté pour toi, prends place
Prenant une profonde inspiration, elle se positionne et s’assois, en gémissant.
– Julie, ma puce, vient donc par ici, dis-je tout en pointant le sol du doigt.
Je tourne ma chaise pour être face à Isabelle. Julie, se lève tout en gémissant et vient se placer à genoux, face à moi, entre sa mère et moi. Je saisis ma queue, en demi-molle et lui la tend. Toujours aussi gourmande et souriante, Julie se précipite dessus et me la gobe.
– En douceur ma puce, ne me fais pas jouir tout de suite.
Elle ralentir son allure me faisant durcir en douceur dans la bouche.
– Alors ma belle Isabelle, parles moi un peu plus de toi. Que fais-tu dans la vie ?
C’est assise, empalée, et en écartant les cuisses de façon provocatrice qu’elle me répond
– Je suis… directrice commerciale… pour une entreprise internationale
– Ho, je vois. Donc ta nature directive se traduit aussi dans ton job ?
– hummm, oui d’une certaine manière. J’ai de grosses équipes sous ma direction.
– Bien, bien, je suppose que ça rapporte un salaire sympa tout ça ?
– Oui, assez…
– Et ta lopette, que fait-elle ?
– Il heu elle est patron de sa boite. Il heu elle tient une menuiserie industrielle qui marche plutôt bien
– Ha oui, son propre patron. Et pourquoi tu boss pas avec ?
– La boite a grandie progressivement. A l’époque c’était pas rentable pour nous. Aujourd’hui ma position est bien plus confortable.
– Vos revenus sont donc très larges j’en déduis ?
– Oui, on manque de rien. On investit dans l’immobilier régulièrement.
– Intéressant, tu me fera voir vos comptabilité
Tout en parlant, Isabelle regardait Julie me sucer. Elle-même semblait avoir une envie de gourmandise, son regard restant régulièrement fixé sur ma queue.
– Elle est belle ta fille non ?
– Heu… oui… C’est vraiment perturbant… A dire vrai je me suis souvent dit qu’il était homo. Mais maintenant, je trouve presque naturel de le, enfin, de la voir ainsi. Comme son père, ça n’a jamais été vraiment un mec…
Recrachant ma queue mais en continuer une petite branlette, Julie se tourne vers sa mère
– merci maman ! et elle reprend ma queue en bouche.
– J’ai des projets pour ta fille. Je vais la prendre sous mon aile, à domicile. Je vais parfaire son dressage et son éducation, mais j’espère que tu m’y aideras. Je vais aussi voir pour lui construire une nouvelle vie. J’ai plusieurs idées auxquelles je vais travailler la semaine prochaine.
– Merci de prendre soin d’elle, et oui, je vous aiderais autant que je peux
– toi aussi je te dresserais. Et je te baiserais, tu as du retard à ratt****r
– oui…
– Bien ! Julie, il y a une toilette que tu dois faire. Tu portes ta cage depuis hier, il faut te nettoyer un peu. Ta maman va t’y aider.
Je constate qu’Isabelle a discrètement posé as main sur son clito et démarrer un lent massage
– Isa ! Je ne t’ai pas autorisé !
– Ho, pardon… je ne m’en étais pas rendu compte.
– Levez-vous, allons à la salle de bain
Les filles se lèvent et vont à la salle de bain. Je fais un crochet par le salon pour récupérer dans mon pantalon la clé du cadenas. Je jettes un œil à la lopette, qui me regarde suppliant, gémissant
– Ta gueule
Et je rejoins les filles. Je fais rentrer Julie dans l’immense douche italienne avec Isabelle. Je tends la clé à Isabelle
– Libère là
Elle saisit le petit paquet de sa fille et retire le cadenas puis la cage. une fois libéré apparait le mini clito de Julie. Isabelle ne peut s’empêcher de ricaner
– pff, comme ton père quoi
– Isabelle, ne te moque du clito de ta fille. Caresse le plutôt, et nettoie le…Avec ta bouche
Elle se tourne et me regarde surprise. Face à mon absence de réaction, elle commence, avec deux doigts une petite branlette. Elle se préparer à s’agenouiller mais je la retiens.
– Non, debout, mais penches toi
Penchée en avant, elle se retrouve devant moi son postérieur cambré, tendu vers moi. Je la vois alors prendre le bout du gland entre ses lèvres et en une petite aspiration, toute la petite nouille de Julie disparait dans sa bouche. Julie me regarde, un air triste
– Maître, s’il vous plait, vous savez que j’aime pas qu’on me touche là…
– tais-toi petite salope et laisse maman te laver
J’en profites pour passer ma main sur la chatte tendu d’Isabelle. elle est humide à souhait. Ma caresse lui fait pousser un petit gémissement, accentué quand deux doigts viennent la pénétrer. Je me rends comptes que Julie finit par prendre une sorte de plaisir. En observant je constate que sa mère est passée entre ses cuisses et a glisser un doigt dans donc fondement. Superbe spectacle qui accentue mon érection que je décide d’aller planter dans la chatte juteuse d’Isabelle
– Han, ouiiiii dit-elle en ayant lâché le clito de Julie. Hum, une queue dure et chaude, c’est si bon…. et elle replonge sur la vermicelle de Julie, qui elle aussi est au comble du doigtage prodigué par maman.
Je saisis les hanches d’Isabelle et commence à la bourrer. Tout en la prenant, je commence à écarter ses fesses, c’est mon objectif du moment. Doucement, mes doigts viennent caresser sa rondelle, qu’elle m’a dit avoir vierge. Je vais m’offrir une nouvelle virginité de la famille. Pour le moment elle ne réagit pas, du moins pas négativement, gémissant juste sous mes coups de butoir. Je récupère un peu de sa cyprine et l’étale sur son œillet. Je fais de petits cercles et au fur et à mesure qu’elle gagne en élasticité je fais progresser mon pouce en elle. Je la sent se contracter, mais sans protester. Mon pouce en elle, je commence de petits va et vient. je viens présenter un second doigt, que je fais également rentrer en douceur. Julie me regarde faire, toute souriante, et hoche de la tête en me faisant un clin d’œil. Elle aussi pousse un soupir plus gros, peut-être que sa mère a aussi rajouté un doigt ? je ne vois pas… La rondelle d’Isabelle s’étant assouplie, je laisse couler de la base dans la petite ouverture que je pousse avec me doigts pour la lubrifier plus. Un troisième doit à rejoins les deux premiers et à présent il vont en elles aisément. Je décide donc de retirer ma queue de sa chatte, la coller à son anus. Elle lâche alors le clito de Julie, et se tourne vers moi
– Doucement…. s’il vous plait… Et elle reprend son activité buccale.
Voilà, elle vient d’accepter que je l’encule. Je commence à pousser mon gland en elle. il entre progressivement, et la collerette se trouve d’un coup happée. Ca la fait pousser un petit cri, mais je continu. Je pousse, ressors un peu, repousse et petit à petit je me retrouve entièrement en elle. Quand mon bassin vient se coller à ses fesses
– Huumm ho oui…. hum c’est bon… Mais doucement encore s’il vous plait.
Je démarre alors un lent va et vient, pour graisser son conduit, je lâche de nouveau de la salive, et repars en profondeur. Julie halète de plus en plus, et je vois les mains d’Isabelle accélérer leur mouvement dans le cul de Julie. La petite prend son pied, mais malgré ça son clito est quasiment flasque. Quand je sens Isabelle prête, je démarre une vraie sodomie, envahissant ses entrailles aussi profondément que possible, et allant jusqu’à ressortir entièrement, pour mieux replonger en elle d’un coup. A un moment d’elle même son bassin se cale à mon rythme, cherchant ma queue. Julie se met à couiner, et la connaissant un peu je sais qu’elle va jouir. Ca ne tard effectivement pas, la petite jouie, toujours aussi bruyamment. Je devine au mouvement de sa mère qu’elle boit son éjaculation.
Julie finie par s’écrouler par terre. Je plaque alors les mains d’Isa au mur, lui secouant le cul comme il faut
– Alors tu aimes son jus
– hum ouii et ta queue, hum encore ! défonce moi, c’est trop bon ! Mais pourquoi je me suis privé de ça aussi longtemps !
– Julie, vient lécher maman
Elle se redresse tant bien que mal pour venir coller sa bouche à la chatte qui l’a vu naitre. Je la vois boire le jus de sa mère et donner de puissant coups de langues ! Mon rythme dans le cul d’Isa s’accélère tout comme sa propre jouissance. je la sent jouer de son cul, le contracter ou le relâcher, toujours à chercher ma queue. Elle gémit de plus en plus fort, criant son plaisir à coup de  »ho putain » ou  »encore » ou même  »défonce moi le cul ». Sûr que sa voix passe au travers des murs ! Elle finit par jouir, si fort que son cul se serre fort sur ma bite. Je me laisse aller et finit par me lâcher au fond de son cul. Je sens d’un coup du liquide couler sur la jambe. Isabelle jouit en coulant à flot. Une véritable fontaine asperge le visage de Julie qui tente d’en boire autant que possible. Je décule Isabelle et aussitôt Julie se précipite sur son anus baillant pour venir chercher mon sperme. Je la vois fouiller du doigt pour en récupérer autant que possible.
M’approchant de la bouche d’Isabelle, je dis
– Julie, quelle est la règle ?
– Tout ce qui sort de ton cul, repasse par ta bouche
Sans hésiter, isabelle se rue sur ma queue, la gobant entière d’un coup, puis la ressort
– Merci toi ! dit-elle à ma bite. tu vas encore bien me faire jouir !
Puis elle aspire ma bite, la suçant, salivant dessus pour bien la nettoyer. Ma queue propre, son anus aussi, je me retourne et vois Julie dans l’encadrure de la porte, la main sur sa chatte. Elle sursaute en me voyant la regarder
– Pardon, je.. j’ai pas jouis, je me suis retenue promis ! Mais vous faisiez tellement de bruit à vous amuser sans moi !
D’un mouvement de la tête je lui fait comprendre qu’elle doit partir. Isabelle, s’est adossée au mur, Julie toujours à genoux. Isa me regarde et dit
– merci, quand tu veux-tu recommence
Je la gifle subitement, ce qui la surprend
– Tu ne me tutoie pas
– pardon, dit-elle en baissant les yeux
– Finissez vos toilettes, et réemballes Julie
Je quitte la salle de bain et rejoins Sophie dans sa chambre.

***A SUIVRE***

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