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De retour chez ses parents ! (partie 2)

De retour chez ses parents ! (partie 2)



Et voici la 2e (et avant-dernière) partie de notre 3e histoire avec Caro, « De retour chez ses parents ! ». J’espère que vous l’apprécierez autant que la première partie ! J’en profite aussi pour vous demander des idées de ce que je pourrai lui faire faire. J’avoue sans honte que je n’ai pas énormément d’expérience en tant que « maître » (Caro étant ma première petite-amie soumise), et même si j’ai beaucoup d’idées, quelques suggestions sont toujours les bienvenues. Donc n’hésitez pas à m’en envoyer dans les commentaires ou par MP !

Après lui avoir donné sa récompense, j’ai laissé Caro tranquille jusqu’au repas du soir. Cela me permettrait de reprendre des forces, tandis qu’elle pourrait réviser (je ne voulais pas être tenu pour responsable si elle venait à échouer dans ses examens). Je lui ai cependant interdit de remettre ses vêtements, l’obligeant à rester nue pour pouvoir l’admirer à loisir. Pour être sûr qu’elle n’ait pas froid, j’ai augmenté le chauffage de la maison de 2 degrés. Et, pour m’assurer de sa docilité, je lui ai mis le collier pour chien que je lui avais acheté sur la route pour Ikéa. Elle l’a mis sans discuter, lâchant même un petit « Wouf wouf ! » qui nous a fait rire tous les deux. Après quoi, elle est retournée à ses fiches tandis que je me suis lancé un petit film. Une fois celui-ci fini, je me suis levé pour aller préparer le repas. Le frigo était bien rempli (merci maman de Caro) mais j’ai décidé de faire simple, pâtes et côtes de porc. Je suis passé la voir pour lui dire que le repas serait bientôt prêt. Pendant que les pâtes et les côtes de porcs cuisaient, j’ai récupéré la carotte que Caro avait utilisée pour se masturber. Je l’ai râpée et l’ai mise dans un petit bol. L’entrée de Caro était prête.

Caro a débarqué peu de temps après, toujours nue. J’avais beau l’avoir vu ainsi des centaines de fois, en voyant sa peau blanche, ses seins magnifiques (ni trop gros, ni trop petits, juste parfait), la courbe de ses hanches, et surtout sa bouche souriante… cela a suffi pour lancer un début d’érection. Caro a mangé son entrée sans sourciller, même après que je lui ai dit ce que c’était. Pendant ce temps, Je m’étais également déshabillé, et je nous ai servi nos assiettes. Caro s’apprêtait à commencer mais je l’ai arrêté d’un geste.

« Non, ton assiette n’est pas assaisonnée, lui ai-dit en lui montrant mon sexe en semi-érection
– Mais ça va refroidir, a-t-elle protesté
– Donc c’est à toi de faire de ton mieux pour que ce soit rapide. Attention, si ça te prend trop de temps et que le repas est froid, tu auras une punition !
– Et si je gagne ?
– Et bien tu auras une autre récompense. »

Elle a souri devant mon défi, puis elle a pris mon sexe en bouche. Je l’ai senti se raidir de plus en plus à l’intérieur d’elle. Elle aussi apparemment, car elle m’a regardé, satisfaite de constater l’effet qu’elle me faisait. Je le répète depuis ma première histoire, Caroline ne cesse de me surprendre. Elle a recommencé au cours de cette petite séance de fellation. Jamais encore je n’avais senti le plaisir monter aussi vite. Sa langue passait sur les endroits sensibles de mon gland, s’y attardant, puis allait jouer sur la base de mon pénis, puis remontait. Elle a enfoncé ma bite au plus profond de sa gorge plusieurs fois, puis a fait jouer ses lèvres de nouveau sur mon gland, le tout en souriant. Il n’y avait qu’elle capable de sourire pareillement tout en faisant une fellation. Moi qui fanfaronnait 2 minutes auparavant et qui avait déjà en tête une punition, j’ai senti l’éjaculation venir beaucoup plus tôt que prévu. N’y tenant plus, j’ai sorti mon sexe de sa bouche et j’ai lâché quelques jets de ma semence ma semence sur son assiette encore fumante. C’était ma 3e éjaculation de la journée donc il y en avait moins que ce que j’aurai voulu, mais ça suffirait. Au menu pour elle : pâtes au gruyère et côté de porc sauce au sperme.

Elle arborait un sourire extrêmement satisfait lorsque elle m’a demandé si ça m’avait plu. J’ai réussi à lui sortir un « Pas mal » en haletant un peu, puis j’ai repris de la constance en lui disant que son assiette était prête. Je l’ai regardé tremper sa viande dans le sperme que je lui avais fourni comme elle l’aurait fait avec du ketchup. Elle avait l’air d’adorer ça, et moi j’adorais la regarder faire. J’avais également débouché une bouteille de cidre trouvée dans le frigo, pour fêter ça. Plus elle boirait, plus vite elle aurait envie de pisser et j’étais curieux de voir le choix de lieu qu’elle ferait. Elle m’a demandé ce que sera sa récompense, je lui ai dit que j’y réfléchirai et que, quoique ce soit, je lui donnerai demain.

J’avais pour ma part besoin de me ressourcer un peu. J’ai lu beaucoup d’histoires sur ce site avec des hommes capable de baiser une femme pendant des heures, de jouir 10 fois et de ne pas se sentir plus fatigué que ça. Eh bien, ce n’est malheureusement pas mon cas. A la place, j’ai décidé de conduire Caro dans la chambre de sa petite sœur, de nouveau. Elle m’a suivi, pensant sans doute que je l’entrainais encore dans une nouvelle partie de jambe en l’air dans le lit de sa sœur. Au lieu de ça, je lui ai demandé si elle voulait mettre des vêtements. Après tout, depuis le départ de ses parents il y a plusieurs heures, je lui avais interdit de se rhabiller. Elle m’a avoué avec un certain soulagement que oui, elle aimerait car elle n’avait pas l’habitude de rester nue aussi longtemps. Mais elle a marqué une pause en voyant que j’ouvrais un des tiroirs de la commode de sa petite sœur. Sans lui prêter attention, j’ai commencé à fouiller (tout en essayant de mémoriser l’emplacement de chaque vêtement, pour ne pas être grillé plus tard par sa sœur). J’ai fini par dénicher ce que je cherchais : le tiroir à petites culottes. J’en ai sorti quelques unes : une culotte « Snoopy », d’un style très gamine, une autre bleue en tissu classique avec un petit nœud, une blanche avec des petites fleurs et de la dentelle sur les bords… pas de doute, c’était bien de la lingerie d’ado ! Je n’ai trouvé qu’un seul string assez sobre. En somme, rien de très osé mais ça fera l’affaire. Je lui ai dit de faire une séance d’essayage pour moi. Tremblante d’excitation, elle a commencé avec la culotte Snoopy. J’ai eu peur qu’elle ne puisse pas l’enfiler mais c’était sans compter la taille de guêpe de Caro. La petite culotte de sa petite soeur lui allait comme un gant.

Assis sur le lit, je lui ai demandé de prendre des poses suggestives. Elle s’est aussitôt mise à l’œuvre, penchant délicieusement ses fesses vers moi, caressant ses seins, mordillant sa lèvre… j’aurai tellement voulu prendre des photos, mais Caro me l’avait strictement interdit. C’était, pour l’heure, la seule barrière que j’avais identifié, son unique tabou. Je ne voulais pas risquer de tout perdre. Caro était toute excitée de porter les sous-vêtements de sa sœur, je le voyais bien à sa manière de se prêter au jeu. Ne pouvant plus se retenir, elle a fini par se caresser à travers le tissu. Une petite tache d’humidité était déjà visible. Je lui ai fait signe d’approcher et de s’assoir sur mes genoux, après quoi j’ai passé ma main dans sa culotte. J’ai ainsi pu confirmer qu’elle était vraiment mouillée. J’ai continué de la caresser ainsi un moment, me délectant de ses gémissements de plaisirs qu’elle me lâchait à l’oreille. Après un gémissement plus intense que les autres, marquant un orgasme de sa part, je lui ai dit de se relever et de m’attendre.

Je me suis dirigé vers la salle de bain, avec pour objectif le bac à linge sale. J’espérais de tout cœur que… oui, bingo ! Sa mère n’avait pas eu le temps de mettre une machine. Une fouille rapide m’a permis de trouver ce que je cherchais : une petite culotte sale (rose… couleur des filles innocentes) appartenant à sa sœur. Et à en juger par les traces laissées au fond, ça avait dû être un jour particulièrement excitant pour elle. J’en ai également profité pour récupérer un tee-shirt lui appartenant également. Je l’avoue, je n’ai pas pu résister et j’ai porté le tout à mon nez pour sentir l’odeur d’une jeune fille en fleur. Moi aussi, j’ai mes faiblesses… De retour dans la chambre de la sœur de Caro, j’ai vu que Caro avait pris l’initiative d’enlever la culotte Snoopy pour essayer la rose avec un petit nœud. Bien.

« Tu sais ce que c’est ? lui ai-je demander en exhibant ma trouvaille
– C’est… une autre culotte de ma sœur ?
– Oui, mais pas n’importe laquelle ! Celle-là a été portée, ai-je dit en souriant
– Tu… tu veux que je la mette ? a-t-elle demandé, tremblante d’excitation
– Non, j’ai une meilleure idée. Ouvre la bouche. »

Machinalement, elle m’a obéi. Sans plus de cérémonie, je lui ai fourré la culotte sale entre les dents, puis je lui ai demandé de passer sa langue dessus. Elle s’est exécutée, rouge de honte et d’excitation.

« Voilà, maintenant tu connais le goût que ça aurait si tu faisais un cunni à ta sœur… ça te plait ?
– Oui… beaucoup… (j’ai pu voir qu’elle avait recommencé à se toucher à travers le tissu de la nouvelle culotte qu’elle venait d’enfiler. Pas de doute, elle ne mentait pas)
– Décris-moi le goût
– Légèrement métallique… un peu salé… mais pas désagréable
– Ah oui ? Fais voir (j’ai récupéré la culotte dans sa bouche, et j’ai donné quelques coups de langue). Ah oui, effectivement. »

Je lui ai remise dans la bouche, puis je lui ai ordonné de mettre le tee-shirt de sa sœur que j’avais récupéré dans le bac en même temps que la culotte. Comme je l’espérais, celui-ci était trop petit pour elle, sa sœur n’ayant presque pas de seins. Sur Caro, cela donnait l’impression que ses seins étaient comprimés et prêts à jaillir à n’importe quel moment. Le tee-shirt ne parvenait pas à descendre suffisamment bas, laissant son nombril apparent. Incapable de résister, j’ai attrapé deux élastiques qui trainaient sur la commode et je lui ai demandé de se faire des couettes, façon « petite fille salope ». Ainsi vêtue d’une culotte rose de sa sœur (propre), d’un tee-shirt trop petit (sale) appartenant également à sa sœur et laissant apparaitre son nombril, dotée de couettes et d’un collier pour chien autour du cou et ayant une autre culotte (sale) de sa petite sœur dans la bouche, elle était parfaite. Tellement que je n’ai pas pu résister et que pour la deuxième fois de journée, je l’ai prise en levrette sur ce lit (en écartant juste le tissu qui me bloquait l’entrée). Et, cette fois, je me suis introduit directement dans son anus.

Elle a lancé un petit cri de surprise, puis s’est remise à gémir au fil de mes allers-retours de plus en plus rapides. Pendant que je la sodomisais de nouveau sur le lit de sa sœur, elle recommençait à se toucher à travers le tissu de la culotte qu’elle avait emprunté. Ses gémissements se muèrent en véritables cris de plaisirs, et elle parvient à me surprendre une nouvelle fois en me demandant de l’appeler par le prénom de sa sœur. Ce que je fis avec grand plaisir, naturellement, jusqu’à ce qu’elle lâche un cri de plaisir plus intense que les autres. Sentant également approcher l’orgasme de mon côté, j’ai ralenti mes va-et-vient et je me suis retiré. Elle s’est rapidement mise à genou, et j’ai pu arroser de sperme le beau tee-shirt de sa sœur qu’elle portait. J’ai été surpris tout comme elle par la quantité que j’ai réussi à faire sortir, étant donné qu’il s’agissait de ma 4e fois de la soirée. Caro a enlevé le tee-shirt souillé, étalant ainsi un peu de sperme dans ses cheveux, puis on s’est allongé dans le lit, transpirant, couverts de fluides intimes mais heureux.

Au bout de quelques minutes, Caroline s’est redressée et j’ai eu la surprise de voir qu’elle rougissait. La raison était simple, après tout le cidre que l’on avait bu au repas, elle avait soudainement envie d’uriner… et conformément à mes ordres, elle avait interdiction d’utiliser les toilettes jusqu’à dimanche. Elle ne pouvait également pas réutiliser un lieu qu’elle avait déjà utilisé, à moins que je ne l’y autorise. Je lui ai donc demandé si elle avait choisi un lieu, et c’est en bredouillant qu’elle m’a répondu « Dehors ». Bon choix. Nous étions tous les deux crevés, et je n’avais pas envie d’attendre qu’elle nettoie pour qu’on aille se coucher. Dehors, au moins, nous n’aurions pas à le faire. Je lui ai dit de retirer la culotte, et je suis allé chercher la laisse que j’avais pris soin d’apporter. Après tout, si j’avais besoin de la sortir pour qu’elle aille pisser, telle une chienne, autant jouer le jeu jusqu’au bout. Après avoir accroché la laisse à son collier et m’être habillé, nous sommes sortis.

Caroline a légèrement frissonné lorsqu’une petite bourrasque d’air est venue caresser sa silhouette nue. Le mois de septembre touchait à sa fin, et les nuits étaient encore assez chaudes pour qu’elle n’att**** pas froid de suite. La lune brillait tellement fort que l’on y voyait clairement, presque comme en plein jour. J’ai dirigé Caroline vers un des arbres du jardin. Depuis cet endroit, on pouvait voir deux maisons voisines. Ce qui signifiait, bien sûr, qu’ils pouvaient nous voir aussi s’ils leur prenaient l’envie de regarder par leurs fenêtres… Caroline s’est accroupie devant l’arbre, étonnamment à l’aise, pendant que je la tenais toujours en laisse. Elle m’a regardé droit dans les yeux, faisant apparaître ce fameux sourire coquin dont elle a le secret. Un filet d’urine a commencé à couler entre ses jambes, filet qui s’est transformé en jet puissant. Tout en me regardant et en pissant, elle jouait avec sa poitrine, la léchant, provocatrice. Le fait que les voisins pouvaient parfaitement la voir ne l’inquiétait pas ou, plus vraisemblablement, ne lui était pas venu à l’esprit. Terminant d’uriner, elle s’est approché de ma braguette, toujours accroupie. Elle a sorti mon sexe et avec la Lune pour témoin (et potentiellement tout le quartier), elle a entrepris de me faire une énième fellation.

J’aurai aimé la récompenser avec une belle érection mais la vérité est que, à ce moment-là, malgré toute mon excitation, j’étais épuisé et vidé. Son initiative m’avait cependant ravi. Caro ne s’est pas découragée de ne sentir dans sa bouche qu’une bite à moitié molle. Jouant de ses talents « linguistiques », elle s’est acharnée jusqu’à obtenir de moi une petite goutte de sperme au bout de ma queue. Elle l’a recueilli avec le bout de sa langue, presque précieusement puis l’a avalé, m’accordant au passage un nouveau sourire. Un ange avec des pulsions perverses de démon. MON ange.

Le reste de la soirée a été bien calme. Nous sommes rentrés et, épuisés, nous n’avons pas pris la peine de ranger. Les culottes en vrac, le tee-shirt plein de sperme, cela attendra demain ! Contrairement à ce que j’avais dit, j’ai autorisé Caroline à dormir avec une culotte, du moment qu’elle choisissait une appartenant à sa sœur. Elle m’a de nouveau surprise en allant en chercher une directement dans le bac à linge sale, une petite culotte noire tout simple avec quelques faux diamants dessus. On s’est endormi dans les bras l’un de l’autre, dans ce lit appartenant à sa petite sœur, où nous avions fait tant de folie. Je me suis réveillé pendant la nuit, alors que Caro était en cuillère contre moi. J’aurai pu la réveiller en la baisant, comme je lui avais dit, mais j’ai renoncé. Je préférais qu’elle soit en pleine forme pour demain… après tout, il nous restait encore une journée entière et une nuit dans la maison de ses parents pour faire tout ce qui nous passerait par la tête. Pour ma part, j’avais deux-trois idées que je voulais absolument concrétiser , et que je comptais bien mettre en oeuvre…

Fin de la deuxième partie

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