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Expérience bisexuelle avec couple mari&

Expérience bisexuelle avec couple mari&



Un dial sur internet avec un homme marié. Il offre sa femme. Pas un fantasme non, ils ont déjà reçu deux hommes chez eux. La première fois était très difficile pour madame, quelques attouchements dans un contexte très tendu mais tout de même un cunnilingus. Mais elle n’a pas voulu le sucer et a à peine caressé sa queue et il s’est finalement branlé sur son ventre. Mais une fois l’homme parti, ils ont fait l’amour dans l’odeur forte du sperme de l’intrus collé à leurs ventres et madame a alors pris du plaisir.

La seconde fois, madame était plus détendue. Un homme plus âgé, la soixantaine, elle a 42 ans son mari 50. Doux avec elle, un peu le même physique que son mari petit rondouillard mais avec une queue plus épaisse. Flirt sur le canapé puis longs préliminaires dans le lit conjugal. Le mari aux anges et raide d’excitation de voir la queue de cet homme dans la bouche de sa femme. Puis l’homme lui est grimpé dessus. Il l’a baisée en missionnaire. Elle mouillait bien m’a dit son mari. Lui le mari a caressé les couilles de l’amant ce dernier étant d’accord. Au bout de 10 minutes, l’homme s’est retiré et a joui sur la chatte de madame. L’homme une fois parti, ils n’ont pas fait l’amour : le mari n’avait pu se retenir de jouir en sentant les couilles de l’homme dans sa main. Il a simplement léché le sperme épais dans les poils de sa femme.

Il me prévient : il est bisexuel et il aimerait participer davantage aux ébats. Je lui réponds avec sincérité que j’ai peu d’expérience avec les hommes. Mais tout de même, je me suis branlé avec d’autres hommes, on m’a sucé et je lui avoue que j’ai sucé une fois jusqu’à l’éjaculation. Il a l’air sympa. J’ai envie de baiser. Alors on se décrit. Moi 45 ans très grand mince poilu, belle queue, belles couilles. Lui, Jacques, 50 ans, dégarni petit et rond avec du ventre et un sexe plutôt petit. Elle, Anna, 42 ans, brune plantureuse d’origine espagnole, plus grande que lui, de belles formes, chatte brune fournie. Je bande derrière mon PC… Il me demande une photo pour la montrer à Anna puis des photos intimes. Le lendemain, il m’envoie un message. « OK pour ce soir ? Anna est d’accord, on dînera ensemble si tu veux ».

C’est samedi soir. J’arrive devant chez eux, un pavillon de banlieue. Jacques vient m’ouvrir. Je lui tends une bouteille de Saint Emilion, il est ravi. Anna est dans la cuisine. Ça sent bon, il fait chaud. Jacques m’y invite et je tends le bouquet de roses à Anna. Elle me sourit, rougit un peu, s’essuie les mains sur son tablier et me remercie pendant que nous nous embrassons sur les joues. Son visage est chaud, le mien doit être glacé par le froid de l’hiver. Je la sens nerveuse mais elle reste affable, accueillante. Elle a un visage assez gracieux et le charme des gens généreux. Très brune, cheveux attachés, maquillée, un tablier de cuisine par-dessus un chemisier en satin crème et une jupe en cuir courte et fendue qui laisse entrevoir le haut de bas noirs et des escarpins. Ses formes sont plantureuses, des mollets renflés, des cuisses généreuses et je devine un cul assez large et bien cambré mais une taille assez fine lacée par son tablier qui s’évase vers le haut, tendu par sa poitrine opulente. Elle nous chasse gentiment de la cuisine : elle doit être tranquille pour finir le repas. Elle a peut-être aussi besoin de reprendre ses esprits. A l’évidence la situation la trouble intensément. Je sais que Jacques l’a harcelée pour qu’elle accepte finalement à contrecœur. Cela dit elle a l’air davantage troublée que vraiment crispée. En tout cas elle m’excite terriblement.

Jacques lui est surexcité. Il m’attendait avec impatience pour l’apéro alors il sort des bouteilles. Une bonne rasade de Whisky glace et on s’installe dans le canapé. Jacques est conforme à sa description : petit et rondouillard, dégarni et il fait plus que la cinquantaine. On discute de choses et d’autres mais pas de cul. Arrive Anna. Elle a retiré son tablier et fait un peu pute avec sa mini-jupe en cuir. Ça contraste avec son doux regard timide. Elle s’assoie à côté de Jacques qui lui sert une bonne dose de Martini et remplit nos verres. L’alcool détend l’atmosphère. Assis en face j’ai une vue indécente sur le haut de ses cuisses malgré ses efforts de pudeur. Jacques pose sa main sur sa cuisse de temps à autre ce qui semble la gêner. La situation m’excite terriblement, je bande dans mon jean et tous les deux s’en aperçoivent.

On passe à table. Très bon dîner, une daube et le Saint Emilion est excellent. Je sens l’ivresse monter en moi. C’est très agréable. Anna débarrasse la table debout entre nous deux et s’arrête d’un coup pétrifiée. Je comprends en voyant la main de Jacques glissée sous sa jupe et remontée entre ses cuisses. Anna se laisse faire, j’en profite pour glisser ma main, je rejoins celle de Jacques contre sa chatte. Elle n’a pas de culotte et je sens ses poils doux contre mes doigts. J’ai le temps d’en insinuer deux dans sa fente humide puis elle se dégage sans dire un mot les jours roses. Je renifle son odeur délicate et lèche mes doigts. Elle va être divine à lécher.

Café et pousse café. Content de passer bientôt aux choses sérieuses. On va dans le salon. Jacques met un film de cul et cette fois-ci après avoir apporté le café, Anna s’assoie entre nous deux. Je n’arrive pas à savoir si elle est excitée ou résignée à se laisser sauter. En tout cas elle a maté plusieurs fois ma braguette durant la soirée et là elle ne peut pas ne pas voir la forme de ma queue qui gonfle mon jean. Je pose une main sur sa cuisse en me tournant un peu vers elle. Elle n’ose pas me regarder. Elle se laisse faire. Jacques regarde lui aussi. Je sens qu’il est partagé entre l’excitation et la jalousie ou plutôt la peur d’être exclu. Mes doigts caressent la peau douce au-dessus de ses bas. Ses cuisses ne se ferment ni ne s’ouvrent mais sa poitrine se soulève rapidement. Jacques lui déboutonne son corsage. Impossible pour elle d’échapper à la baise troussée par les deux hommes de chaque côté et devant elle sur l’écran, une jeune fille qui suce une queue tandis qu’une autre la pénètre vigoureusement. Mes doigts sont sur sa chatte. Buisson dense et soyeux qui cache complètement sa longue fente bordée par ses lèvres dodues. Je prends sa main pour la poser sur ma queue qui palpite sous mon jean. Elle soupire et me caresse à peine gardant sa main posée.

Jacques retire son chemisier. Son soutif noir voile deux gros seins et laisse entrevoir de gros tétons bruns. Il lui malaxe les nichons en grognant tandis que ma main glisse pour glisser un doigt dans sa fente chaude. Hmmm elle mouille pas mal, mon doigt entre sans difficultés. Je me tourne vers elle, j’ai envie de l’embrasser. Elle me donne sa bouche et répond à mes coups de langue entre ses lèvres. Sa main commence à bien palper ma queue à la serrer, à la presser. Là je sais que si elle était peut-être réticente, elle a maintenant envie d’un homme d’une belle bite. Sans que je m’en rende compte, Jacques s’est levé et s’est mis totalement nu. Il nous regarde en se caressant. Il m’avait dit qu’il n’était pas très membré. En effet, sa bite est vraiment petite et peu épaisse. Je dégrafe le soutif d’Anna. Elle a des seins magnifiques lourds et des tétons dodus que ma bouche engloutit aussitôt. Je la tête et elle gémit. Je sens qu’on dégrafe mon jean. C’est Jacques. Il retire mes chaussures chaussettes aussi. Ma queue est libérée et cela fait du bien. Je sens qu’on me branle doucement. C’est elle ou lui. Je sais pas je m’en moque. C’est bon. A la télé, la fille se prend le sperme des deux gars sur le visage et les seins. Je demande à Anna d’enlever sa jupe. Elle se lève et la fait glisser. Elle a un corps magnifique, un cul et des cuisses bien galbés. Jacques continue à me caresser le sexe tout en se branlant.

Je m’approche à genoux d’Anna, lui embrasse les cuisses, le cul et vient sentir sa chatte. Hmm quel bonheur, j’ai envie de lui bouffer la moule et je sens qu’elle aussi. Elle s’installe sur le canapé et, à quatre pattes, je lui écarte les cuisses. Je plonge entre ses cuisses, écarte ses poils et lèche sa longue fente jusqu’à son clito. Assez vite sa moule se gorge de mouille et elle ondule lentement du bassin. Pendant ce temps, j’oublie Jacques derrière moi qui me caresse la bite, les couilles, le cul. A un moment je reprends conscience qu’il y a un mec derrière moi en sentant sa langue sur mes couilles puis le long de ma raie et qui s’attarde sur mon anus. C’est juste carrément bon. Je le laisse faire avec plaisir, le visage plein de mouille et mes doigts sur les tétines de sa femme qui gémit maintenant. Anna met longtemps à jouir mais elle cède en étouffant ses gémissements tandis que son vagin se spasme avec des bruits humides. Son clitoris est bien bandé et elle me retient la tête pour que j’arrête de le lècher. Je laisse juste ma langue dessus et le sens se contracter avec délice. L’autre me pénètre l’anus avec sa langue en grognant et en soupirant. J’adore ça et j’attends immobile qu’Anna reprenne ses esprits. Je me relève enfin après avoir essuyé mon visage sur le pubis d’Anna.

Jacques propose d’aller dans la chambre conjugale. Anna s’assoie sur le bord du lit et je lui propose ma queue. Elle la caresse timidement, je cherche sa bouche avec mon gland qui dégouline de bave. Elle accepte de le prendre. Sa bouche est chaude et elle me recueille ma mouille gluante avec sa langue. Jacques regarde le spectacle en agitant sa petite bite. Pas une grande suceuse Anna mais sa façon de faire est touchante. Je sors ma bite et caresse son visage avec. Elle ferme les yeux, se laisse faire. Je l’allonge sur le lit et écarte ses cuisses. De nouveau, je sens le trouble, la pudeur dans son regard. Je frotte mon gland contre sa fente, Jacques n’en perd pas une miette. Je la pénètre. Elle n’est pas très serrée et je ne peux m’empêcher de penser que Jacques ne doit pas toucher les bords… Il m’avait dit qu’elle refusait catégoriquement l’anal ce qui le frustrait beaucoup ce que je comprends vu le cul de rêve à l’anus bien serré de son épouse. Mais enfin, son vagin est bien chaud et doux, je touche le fond avec mon gland c’est plutôt très bon.

Je commence à la piner doucement, elle se cale bien pour me recevoir et visiblement elle aime ça, elle se mord les lèvres, ferme les yeux. Je sens le souffle de Jacques sur mes couilles, il regarde ma bite luisante s’enfoncer dans la moule de sa femme. Il lèche mes couilles qui ballotent puis ma raie et revient sur mon anus qu’il fouille à nouveau. Je trouve ça toujours aussi bon. De temps à autre je sens une pression plus forte contre mon petit trou. C’est super bon aussi mais je me demande comment il fait ça avec sa langue. En tout cas, je bande comme un cerf dans le vagin d’Anna qui soupire et gémit. C’est clair qu’elle aime ça les grosses bites. C’est la troisième fois que je baise la femme d’une autre devant lui et j’avoue que ça m’a toujours procuré le sentiment d’être un vrai mâle : d’être celui qui baise la femme d’un homme « sexuellement inférieur ». C’est encore le cas avec Anna qui gémit sous mes coups de queue.

Sauf qu’a un moment, la pression sur mon anus a été plus forte et j’ai senti qu’il laissait entrer… la bite de Jacques. Je m’arrête stupéfait. La tige est bien en moi, et j’entends Jacques râler de plaisir. J’ai le réflexe de serrer les fesses mais cela ne fait que mieux sentir sa bite petite certes mais bien dure et aussi de faire gémir Jacques qui commence à bouger en moi tandis que je sens ses mains agripper mes hanches. Anna a compris également mais elle fait comme si de rien n’était ou plutôt elle m’enlace les reins pour me maintenir en elle. Je comprends que c’est un guet-apens et un frisson parcourt mon dos. N’empêche, involontairement, je cambre mes reins. Parce que j’aime ça. Parce que ma queue palpite et gonfle encore dans le ventre d’Anna. Je me laisse aller sur elle, me vautre sur ses mamelles, mon visage dans son cou. Je m’y blottis comme contre une mère et je ne bouge profondément enfoncé en elle qu’à cause des coups de bite maintenant plus affirmés de son mari. J’ondule du bassin malgré moi. Ces sensations sont nouvelles et particulièrement délicieuses. Je sens le ventre de Jacques presser mes reins et ses cuisses buter contre mes fesses.

J’avoue qu’à ce moment, j’ai envie que ça ne s’arrête jamais. Mais tout a une fin. Jacques sort brutalement de mon cul et je l’entends crier « oh je vais jouir, oh je jouis » et je sens le sperme brûlant sur mes reins et dos jusqu’à mes épaules. Je crois défaillir et le temps d’un aller retour dans la moule d’Anna je sens le plaisir monter d’un coup, je sors ma bite et éjacule en gémissant. Une longue giclée lui éclabousse le visage, elle fait un petit « oh ! » en détournant la tête et j’avoue avoir pensé « tu l’as pas volée celle-là ». Je gicle abondement sur ses seins et son ventre puis retombe à quatre pattes en soufflant. Je retrouve mes esprits dans l’odeur forte de mon sperme et je sens celui de jacques dégouliner sur mes flancs.

Jacques s’allonge à côté de sa femme et contemple les yeux brillant son corps souillé de foutre. Il l’embrasse amoureusement, elle lui sourit apaisée heureuse même. Je me sens un peu de trop. Surtout je me demande ce qui m’arrive, très troublé d’avoir adoré me faire sodomiser. J’essuie le sperme sur mes reins. Il sent bon, il a une moins forte odeur que le mien. Je leur dis au revoir, qu’il ne se dérangent pas. A peine un regard tant ils sont entre eux, Jacques léchant ma semence sur la joue de sa femme. Je descends, me rhabille gardant le sperme sur moi. Une rasade de Cognac. J’en ai besoin. Je prends ma voiture et rentre chez moi la bite pleine de la mouille d’Anna et dans l’odeur de foutre de Jacques et j’imagine aussi troublé qu’une ado qui vient de perdre sa virginité avec le premier venu, qui a adoré ça et qui se demande si elle n’est pas une belle salope. N’empêche, rentré chez moi, je me suis mis nu au lit, et reniflant on tee-shirt odorant je me suis branlé sans pouvoir m’empêcher de me toucher entre les fesses.

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