J’avais rencontré sur Xh un mec qui aimait jouer avec son anus, un de plus … comme moi !
Il s’habillait en femme, avec nuisette et bas nylon, se vernissait les ongles de pieds et s’épilait tout le corps .
Sur les vidéos qu’il mettait en ligne, il se défonçait avec de la graisse de cuisine à l’aide d’énormes godes,
d’une main en silicone et il avait le cul tellement éclaté que désormais il s’en enfilait deux en même temps !
Il était marié avec enfants et si sa femme acceptait de le goder régulièrement, elle se refusait à lui enfiler
sa propre main dans le cul.
C’est ainsi que nous rentrâmes en contact, il cherchait quelqu’un pour le fister.
On se donnait rendez vous dans un café près de chez lui et comme le courant eut l’air de bien passer,
il m’emmena chez lui.
Rapidement on passa aux choses sérieuses, on se dévêtit ! Et il apparut ainsi que je vous l’avais décrit,
nuisette, bas noirs, vernis aux ongles de pieds, épilé totalement sauf curieusement le pubis où il avait gardé
sa touffe noire au dessus de sa queue de taille normale mais à la peau très sombre.
Cependant il avait rajouté une autre petite touche : il s’était tiré les pointes de seins
qu’il avait entourées d’élastiques très serrés, ce qui avait pour résultat de les rendre énormes et complètement érigées !
Après quelques caresses, il me demanda de les presser très fort puis de les mordre …
Ça avait l’air de lui plaire et pendant ce temps là je lui attrapais le sexe pour jouer un peu avec mais
bizarrement ça ne le faisait pas tant bander que ça.
Il me demanda aussi de lui lécher les aisselles mais ce n’était pas trop mon truc.
Alors il m’emmena dans sa chambre où il avait tout préparé : la grande serviette étalée sur le lit,
le pot de graisse de cuisine ainsi qu’un flacon d’huile et bien évidemment le rouleau de sopalin.
A côté du lit, il y avait un sac où se trouvait tous ses godes et il avait une sacrée collection.
Un attira particulièrement mon attention, c’était une énorme verge rose en silicone avec les testicules
qui devait bien faire 50 cm de long et 9 cm de diamètre !!! J’aurais vraiment eu envie de lui mettre moi même,
peut être une autre fois …
Je m’assis sur le lit et il se mit à me sucer. C’était bien agréable mais dans ma tête j’étais venu pour autre chose.
Alors il vint s’installer à genou à côté de moi, jambes écartées pour me laisser le passage vers son cul.
Je voyais ainsi entre ses fesses l’énorme boursouflure de son fion, déjà luisante et rouge et je me mis à la tripoter.
C’était fabuleux comme sensation, c’étaient comme de pulpeuses lèvres de chatte, ouvertes et déjà humides.
Je lui fit remarquer et il me dit qu’effectivement, il mouillait du cul !
Malgré tout il m’aspergea la main de son huile et sans aucune difficulté mes doigts le pénétrèrent.
Je jouissais de cette sensation d’être dans une chatte béante et chaude, mes doigts allaient et venaient et
j’avais l’impression que son cul me les aspirait.
Mais il voulut d’abord que je le sodomise pour connaître ce plaisir avant d’être trop dilaté.
Il s’allongea sur le dos, remonta ses jambes et je me plaçais à genoux devant lui. Je voyais encore mieux
son orifice et continuais à lui enfiler mes doigts. Puis je mis un préservatif mais hélas cela me fit légèrement débander
et malgré nos efforts réunis, je ne pus l’enculer comme il le voulait.
Alors il me tartina cette fois-ci la main avec sa graisse de cuisine, et quand je parle de ma main, en fait il m’enduisit aussi l’avant bras !
Il me demanda de mettre mes doigts en pointe et de le pénétrer. Je sentais qu’il poussait car son fion
s’ouvrait tout seul comme une bouche gourmande. Et très vite, j’arrivais au passage le plus large de ma main.
Cela forçait un peu, alors il me saisit le bras et me le poussa lentement en lui jusqu’à ce que ma main disparaisse en entier entre ses fesses.
J’avais la couronne boursouflée de sa chatte autour de mon poignet !
J’étais excité comme un fou, un grand rêve se réalisait pour moi. Mais il me dit de continuer à pousser et ce devint plus difficile
car j’avais de plus peur le lui faire mal.
Alors je lui proposais de me mettre au pied du lit avec mon bras dirigé vers le plafond en appui sur le matelas et que lui vienne s’empaler ainsi.
C’est ce que nous fîmes et il vint s’accroupir au dessus ma main pour l’engloutir prestement. C’est alors que par petits accoups,
il vint forcer sur mon bras que je vis disparaître petit à petit dans sa chatte de plus en plus ouverte .
Je l’entendais souffler et quand il s’arrêta, j’avais presque l’avant bras en lui. Encore 10 cm et on arrivait au coude …
Ça faisait tout de même pas loin de 40 cm qu’il avait dans le cul .
Bizarrement il ne bandait pas mais du liquide coulait de sa queue et peut être même un début d’éjaculation .
Alors lentement, il se désempala de mon bras et ce coup ci le passage le plus large de ma main ne fit aucune difficulté.
Par contre, ma main était tartinée d’excréments qu’il s’empressa de m’essuyer avec le sopalin. Il s’excusa mais même si ce
n’était ce qu’il y avait de plus agréable, je préférais ne retenir que le plaisir de ce fist mémorable.
J’allais me nettoyer dans la salle de bain et à mon retour il me demanda si je voulais qu’il me suce. Etrangement je m’entendis
dire non. Alors il me demanda si le sperme ne me dérangeait pas et si je pouvais le sucer. C’était donc bien un début d’éjaculation
qu’il avait eu lors de cette pénétration, et effectivement sa queue molle en était couverte. Mais peut être voulait il en fait jouir
aussi dans ma bouche …
Je m’allongeais de côté sur le lit et il vint se positionner à genou à côté de moi. Mais je lui demandais de me prévenir avant
de jouir et quand je mis sa bite dans ma bouche , j’eus aussitôt le goût du sperme. Il me demanda de le décalotter à fond en tirant très fort
sur son prépuce, ce que je fis de la main droite et je l’avalais autant que je pus.
Je glissais ma main gauche sous lui à la recherche de sa chatte pour lui remettre quelques doigts et après quelques va et vient,
très vite il me dit qu’il allait jouir.
Je sortis sa queue de ma bouche et me mis à le branler énergiquement. Sa bite devint soudain très grosse et très dure,et il juta à longs jets
sur mon bras gauche avec mes doigts toujours encrés en lui . Je regardais avec délectation ses longues giclées chaudes et je me régalais de
sa queue entre mes doigts jusqu’à ce qu’elle redevint molle.
Il est vrai que je n’ai pas joui et que je n’ai toujours pas connu la sensation de me faire enfiler mais ce n’était pas le propos aujourd’hui.
Ce plaisir de fister quelqu’un, surtout à ce point est certainement plus rare à trouver et il suffit à me faire bander pendant de longues nuits ….
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