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Femme de ménage et vraie soumise

Femme de ménage et vraie soumise



Femme de ménage et vraie soumise

Depuis quelques semaines, je suis inscrite sur un site de tchat libertin. Sur ma fiche, j’y met : « femelle, 46 ans. Aime jouer les soumises et qu’on me parle grossièrement. » Malgré cette description sans équivoque, je ne suis pas une fille facile. J’ai bien enttendu reçu beaucoup de messages. Directs et sans fioriture, du genre « Demain je t’attend pour t’enculer, salope ». Pas un qui se distingue plus d’un autre, pas un qui me pousse à franchir le pas.  
Jusqu’à ce message arrivé deux jours plus tôt
« Mon appartement a besoin d’un peu de ménage. Sois chez moi jeudi à 14h, talons, bas, jupe courte, décolleté. Tu as intérêt à savoir manier le balai ou on sera très vite si ta description dit vrai. Si l’expérience te tente, appelles moi ».
Dès la première lecture, elle a bien sûr immédiatement consulté la fiche du monsieur. J’ai relu le message, puis la fiche, puis le message, comme s’ils contenaient un code secret. A chaque relecture, l’excitation grandissait. Au réveil le lendemain, j’y pensais déjà. En fait, j’y avais pensé toute la nuit. Je n’avais trouvé le sommeil qu’après m’être fait jouir seule. La proposition est trop tentante. C’est décidé je l’appellerais dans la journée. Au moment de composer le numéro, mon ventre se noue . Comment va-t-il répondre ? Que va-t-il demander ?
«  Bonjour Monsieur, c’est Michèle, vous m’avez envoyé un message hier. »
«  Oui en effet. Bonjour Michèle. Si tu m’appelles, j’imagine que ma proposition te tente ? »
« Oui Monsieur. Ça serait mentir… Mais c’est la première foi et j’ai honte.»
« Tu hésites. Tu as besoin d’en savoir plus ? »
«  Oui c’est ça. Je ne suis pas une pro de ces sites, j’ai un peu peur. »
«  Oui je comprend. Mais ton annonce m’a plu et m’a inspiré. »
«  Qu’est-ce que vous proposez Monsieur? »
«  La même chose que dans mon message. Tu sera rémunérée comme une boniche. Si tu le veux, je te donne mon adresse et demain tu viens à 14h, habillée comme décris dans le message. La suite, c’est une surprise, fais moi confiance. »
«  Mais justement, comment puis-je vous faire confiance ? »
«  Je te promet que la suite te plaira, si tu assumes ce qui est écrit sur ton profil, tout ce passera bien. Je te demande juste une chose, pour que le moment soit parfait. Si tu acceptes de venir, tu ne sors pas de ton rôle de boniche On aura le temps de faire mieux connaissance ensuite.  Alors, tu acceptes ? Je comptes sur toi ? »
J’observe un long moment de silence. Tout se bouscule dans ma tête. Puis je me lance à l’eau.
«  Oui. Comptez sur moi Monsieur. »
A peine raccrocher, je me demande comment elle va réussir à tenir jusqu’à demain. Le lendemain, 14h pétante, je sonne à la porte d’Alain. Après quelque seconde, la porte s’ouvre.
« Bonjour Michèle ! Tu viens pour le ménage ? »
«  Oui Monsieur. »
«  Entre ! Je vais te montrer ce qu’il y a à faire. » 
Alain me dirige vers le salon. Il me tend un chiffon et dit :
« Voilà, il faut faire la poussière au dessus de l’armoire, à l’intérieur du placard et sur la table basse. »
J’att**** le chiffon et me tourne vers l’armoire. Avec mon mètre soixante-dix, Je vais devoir monter sur une chaise pour atteindre le sommet. D’ailleurs Alain est déjà en train de ramener un tabouret, Il va s’asseoir dans le canapé et attend le spectacle. Ainsi perchée et les bras tendu en l’air, Alain peut parfaitement étudier mes formes. 
Même sur la pointes des pieds, je ne voit pas réellement le haut de l’armoire. Ma main commence à l’aveugle à dépoussiérer le dessus de cette armoire quand je rencontre un objet qui roule et tombe.. Alain est déjà debout et a ramassé l’objet. Il me regarde d’un air sévère : « Vous ne pouvez pas faire attention ! Vous faites le ménage d’une drôle de façon ! Les hauteurs ne vous réussissent pas, faites plutôt l’intérieur du placard ! »  
Je baisse la tête. Le piège était grossier mais l’objectif était clair : me mettre en position de faiblesse. Le fameux placard est un meuble de télévision, c’est à dire au raz du sol. Je comprend immédiatement l’intérêt de la situation. Pour nettoyer l’intérieur, je vais devoir me mettre à quatre pattes. Une position humiliante et qui surtout offrira une superbe vue sur mon postérieur à Alain qui est tranquillement retourné s’installer dans le fauteuil, comme au spectacle, un verre à la main. Michèle s’agenouille et se penche pour nettoyer l’intérieur. Ma jupe courte découvre alors parfaitement mes fesses. Je mouille déjà, rien que d’y penser. Alain ne fait rien et Observe Michèle qui épouste le placard. Je tombe alors sur une feuille, où est écrit :
« Maintenant, tu vas nettoyer la table basse. Tu vas commencer par le côté en face de moi. Puis tu époussetteras en tournant autour de la table. » 
Michèle se relève, se retourne et regarde Alain. Il est assis dans le fauteuil et lit un magazine d’un air faussement inspiré. Elle commence méticuleusement à essuyer la table. Alain lève distraitement les yeux. Quelques instants plus tard, ce ne sont plus ses seins qu’Alain à sous le nez mais ses jambes et ses fesses. Au moment où elle va passer devant, celui-ci tend son pied. Elle bute dessus et entend Alain jurer :
« Vous pouvez pas faire attention espèce de cruche ! » Michèle se retourne. Il a renversé son verre sur le pantalon.
Instinctivement Elle utilise son chiffon pour tenter d’éponger son pantalon. Ce dernier n’en attendait pas tant. D’une main, il plaque la mienne tenant le chiffon sur son sexe, de l’autre il m’att**** par les cheveux et m’attire à lui. Il me regarde droit dans les yeux :
« Tu n’es pas très douée pour nettoyer les meubles, on va voir ce que tu vaux avec ma bite salope ! Sors ma queue et fait la briller ! »  
Prise par le jeu, je n’ose rien dire. Je commence a déboutonner son jean. Alain bande déjà bien dur et je commence à le sucer. Alain me tire alors la tête en arrière par les cheveux :
« Mets tes mains dans le dos, je veux que tu me suces qu’avec ta bouche et ta langue ! ».  
J’obéi et Alain me refourre sa bite dans la bouche. Toujours la main dans mes cheveux, il commence de rapide mouvement de va et vient. Puis, il me maintient sa bite au fond de ma gorge pendant quelques secondes.
« Maintenant montres moi ce que tu sais faire toute seule ! ». je reprend la fellation en m’appliquant, alternant mouvement rapide de bouche, et caresse avec la langue. Régulièrement Alain m’impose d’autre « gorge profonde ». Il me demande aussi de s’occuper de ses couilles. Après de longues minutes de ce traitement, je sens Alain proche de l’orgasme. Il me prend alors la tête à deux mains.
« Regardes moi, ouvres la bouche et tire la langue ! ». Alain se branle sur ma langue, puis il décharge en longs jets dans ma bouche.
«Avales bien tout salope ! Bien, t’es une bonne chienne. T’aimes ça, bouffer du foutre ? Réponds ! »
«  Oui Monsieur »
«  Pardon, j’ai pas bien entendu ? T’aimes ça ? »
«  Oui monsieur !!!!! »
«  Bien ! Je vois que tu as vite compris. Voyons maintenant jusqu’où tu es une bonne soumise ! Mets toi à genoux, visage au sol, bras dans le dos et ne bouge pas ! »  
Je n’en peux plus. J’aimerais qu’il me pénètre sur le champ. Mais il a visiblement autre chose en tête. Il m’observe d’abord un long moment, profitant de la vue de ce cul offert. Puis il se lève et sort de la pièce en disant :
« Pas bouger chienne !»  
Je l’entend revenir quelques minutes plus tard. Il commence par m’attacher les mains dans le dos. Puis il m’ attache une cheville à ce que je comprend être un bout de bois. Il m’écarte largement les jambes et attache mon autre cheville au même bout de bois. Il finit en me donnant une bonne claque sur les fesses. Je sursaute et pousse un grand AÏE.
« Tais toi, sinon je vais être obligé de te bâillonner. »  
Il commence alors doucement avec son index à me titiller le clito. Je suis en état d’excitation maximal, ce simple doigt me tire des gémissements de plaisir. Je me tortille tant que je peux.
« Tu aimes ça ma salope, tu voudrais bien que je t’enfile espèce de garage à bites. C’est ça, tu veux ma bite dans ta chatte, salope ? »
«  Oh oui monsieur, je veux votre bite ! »
« Tu l’as pas encore méritée putain ! »  
Et une nouvelle claque atterrie sur mes fesses. Alain introduit maintenant son index et son majeur dans mon vagin, puis ressort son majeur et l’introduit dans mon anus. Il commence alors me branler énergiquement. Je n’en peux plus. Je crie et joui violement.Alain se lève et revient avec une serviette. Il se place à genoux devant moi, me soulève la tête par les cheveux et m’enfourne sa bite dans la bouche.
« Allez suce salope, lubrifies la bien, tu va en avoir besoin ! » il donne de rapides coups de bassin dans lma bouche. Il se retire d’un coup. Un filet de bave coule de ma bouche. Il se sert alors de la serviette pour me bâillonner.
« Vu comment tu cries, sac à bite, je préfère couper le son !».  
Il passe derrière moi,et me remonte le postérieur. Il plaque son gland au bord de son petit trou. Puis il commence à me pénétrer et entame des va-et-vient. Il att**** le nœud de la serviette et le tire pour me faire relever la tête. Il reprend alors ses va-et-vient plus rapide et avec plus d’amplitude. La cadence augmente. Je gémi. De sa main libre, Alain claque les fesses de sa jument ! Quand il sent l’orgasme venir, il se retire, enlève la capote et gicle sur mon petit trou. Il va s’asseoir dans le fauteuil et reprend son souffle. Quelques minutes plus tard, il meétache et m’essuie avec la serviette.
« Alors, ça t’a plu ma petite chienne ? »
«  Horriblement ! »
« Très bien, je t’engage comme femme de ménage alors ! »  
Nous partîmes alors dans un éclat de rire et passâmes le reste de la journée à faire connaissance.

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